Dynamique de l’usage de l’Internet

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

L’Internet à Madagascar

La situation de Madagascar

D’après la revue Dans les Médias du Demain14, c’est en 1994 que le premier internaute malgache a navigué sur le web à partir de Madagascar. En avril 2004, pour le service Internet, sept Prestataires de Service Internet (PSI) exercent ce travail15 pour 10 480 parcs d’abonnés, ayant pour un service de trafic de 20 550 000 minutes, soit environ 1960 minutes par abonnés16
Sur le plan mondial, Madagascar se classe à la 87è rang sur 104 pays concernant l’appropriation de l’Internet17. Ce classement est établi suivant une base de critère dont notamment les politiques gouvernementales, législations sur les télécommunications, pénétration et utilisation de l’Internet, nombre d’ordinateurs par habitant.
Pour le décompte officiel, en 2004, seulement 4,9% de la ville d’Antananarivo ont accès à l’Internet à domicile. Le tableau suivant montre le taux d’utilisation de l’Internet selon l’activité des individus.
Ce tableau démontre une faible appropriation des habitants de la capitale de l’Internet. Seuls, ceux qui exercent leurs activités dans le domaine de service et de production et les étudiants sont les plus attirés par cette technologie.
En ce qui concerne le type d’accès à l’Internet ; sur les cinq lieux d’accès possibles, l’accès collectif du genre cybercafe reste de loin le lieu préféré des internautes pour se connecter sur le Net dont le tableau suivant apporte plus de clarification.

Les activités liées à la promotion de l’Internet

Du côté du pouvoir public

Plusieurs activités ou projets sont en cours pour promouvoir l’Internet à Madagascar et ils sont variés. Pour le pouvoir public, la promotion de la nouvelle technologie se concrétise par la mise en place du Programme National e-gouvernance (PNEG) par la loi n°:2005-023 du 17 octobre 2005. D’après la définition officielle, l’e-gouvernance est tout dispositif électronique qui cherche à promouvoir et à appliquer la gouvernance auprès des services de l’administration par le biais d’infrastructure publique ou privée, collective ou individuelle, et qui se traduit par la gestion informatisée de l’Etat et de ses rapports avec les citoyens sur toute l’étendue du territoire national.18.
Ce programme national en matière d’e-gouvernance s’est concrétisé par la mise en réseau via Intranet de certaines institutions étatiques dont notamment la présidence, le Sénat, la primature et l’Assemblée Nationale. Notons sur le passage le lancement par le gouvernement de son propre site Web19.
En liaison avec la mise en application de l’e-gouvernance, plus près de la population, la mise en place de l’Intranet de l’Etat sur trois régions-pilotes : la région de Boeny, la région de Vakinankaratra avec son village TIC de Sambaina et la région d’Anosy. L’objectif du projet est de permettre à la gestion de l’administration publique plus fluide et fiable par la suppression des charges et de rendre le travail ainsi plus rapide.

Dans le secteur privé

Plusieurs efforts sont déployés pour promouvoir l’Internet à Madagascar. En 2004, les abonnés à l’Internet comptent environ 15 000 clients20. Les principaux fournisseurs d’accès sont au nombre de trois dont :
 DTS (Data Télécom Service)21 compte 8 500 abonnés à Internet en 2004
 SIMICRO compte 3 000 abonnés en 2004.
 BLUELINE22 compte1 000 abonnées en 2004. Elle dispose une licence VSAT23 de transfert de données.
Dans un cadre général, un salon destiné à l’informatique24 se déroule chaque année depuis 1996. L’objectif du salon est de fédérer les opérateurs économiques (exposant) derrière une idée force pour le développement et d’informer les utilisateurs (visiteurs) sur les axes possibles pour la création de richesse. Le salon est l’outil de prédilection pour générer du chiffre d’affaires dans le secteur TIC à court et à moyen terme. Dans ce même volet, le salon est un indicateur d’appréciation de l’évolution et de l’appropriation de la technologie numérique par les utilisateurs locaux.
Pour l’Internet, particulièrement, il existe l’organisation annuelle par l’AEMISA (Association des Etudiants en Mathématique, Informatique et Statistiques appliquées.) de la fête de l’Internet. L’objectif de cet évènement est de promouvoir l’Internet auprès d’un public plus large dans toutes évènement, en 2006 le sillonnant l’axe Sud et internautes les régions, et les grandes villes de Madagascar. Associé à cet taxi-brousse de l’Internet a contribué à la banalisation du Net en l’axe Nord de Madagascar afin d’étendre la communauté.

Présentation du terrain d’enquête

Comme méthode d’approche, nous effectuons en deux temps la présentation de notre terrain. D’abord, une délimitation administrative qui porte sur une approche de la commune au sein de laquelle se trouve le cybercafe terrain. Ensuite, nous parlons de notre cybercafe-terrain proprement dit. Sur ce point, nous évoquons sa spécificité et sa genèse.

Délimitation administrative

Notre investigation s’est déroulée dans la commune rurale d’Andoharanofotsy. Elle se trouve dans la région d’Analamanga, dans le département d’Atsimondrano. Elle se situe dans l’axe sud, traversé par la Route Nationale 7.
La commune est constituée par 8 Fokontany pour une superficie de 12 Km2 et compte 46 773 habitants (février 2007).

Situation du cybercafe

Le cybercafe terrain se localise dans le fokontany d’Andoharanofotsy. Ce dernier dispose de deux cybercafés pour desservir ses habitants et ses alentours. Au total, les deux cybercafés disposent 12 postes d’ordinateurs.
L’existence du cybercafe remonte au mois de mars 2006. Il dispose cinq postes d’ordinateurs destinés aux clients et deux autres postes à l’usage du gérant.
Le coût de navigation est de 20 ariary la minute pour une connexion minimale de 15 minutes. L’activité du cybercafe commence le matin dès 7. 30 jusqu’à 20.30 le soir, pendant six jours de la semaine. Il est abonné à DTS en ADSL25.
Outre le service Internet, le cybercafe ne déroge pas aux caractéristiques communes des cybercafés, c’est-à-dire, il offre d’autres services liées à l’informatique bureautique, le taxiphone, et la vente des consommables et réparation des outils informatiques.
L’Internet, à lui tout seul, contribue au processus mondialisant. C’est ce constat qui nous a incités à entreprendre une recherche dans ce domaine. Dans ce cas, nous avons construit un état de lieu de la situation de l’Internet dans le monde d’abord, ensuite au niveau local. Liée à cette approche nous avons rassemblé les idéologies dominantes que cette technologie véhicule. En dernier lieu, nous avons effectué une approche descriptive de notre cybercafe terrain. Cette démarche se présente comme un processus de dénouement vers notre objet d’étude. Cela se tient dans la prochaine partie.
Cadre de référence et présentation générale des enquêtés
L’utilité de ce chapitre réside dans la spécificité du cas à étudier. Il convient avant d’aller loin, d’expliquer la notion du terme « usage ». Pour ce faire, nous allons emprunter quelques points de vue des auteurs.

Analyse de « l’usage »

Pour MADELEINE GRAWITZ, le terme « usage » est un comportement habituel dans certaines circonstancies et dans certains milieux. Sans le fondement moral de la coutume, apparaît moins impératif et dépourvu de sanctions26.
Pour CHAMBAT, le terme « usage » renvoie à celui d’emploi, d’utilisation, de pratique, ou encore d’appropriation. Il est utilisé à la fois pour repérer, décrire et analyser des comportements et des représentations relatifs à un ensemble flou : les nouvelles technologies de l’information et de la communication (…)27.
JOUËT qualifie l’usage comme plus restrictif et renvoie à la simple utilisation, tandis que la pratique est une notion plus élaborée qui recouvre non seulement des techniques (l’usage) mais les comportements, les attitudes et les représentations des individus qui se comportent directement ou indirectement à l’outil28.
Pour LACROIX, il propose le concept « usages sociaux » qui se définit comme des modes d’utilisation se manifestant avec suffisamment de récurrence et sous la forme d’habitudes suffisamment intégrées dans la quotidienneté pour s’insérer et s’imposer dans l’éventail des pratiques culturelles préexistantes, se produire et éventuellement résister en tant que pratiques spécifiques à d’autres pratiques concurrentes ou connexes29.
De notre point de vue, nous considérons « l’usage » comme une pratique quotidienne générée de l’interaction entre l’individu (usager) et l’objet (la technique). Cet usage n’a pas d’utilité que dans un cadre spécifique. Cette utilité est relative à l’interprétation de chaque individu de l’objet.

L’approche théorique

La profusion partout dans nos sociétés des TIC construit un nouveau terrain et que cet état de fait amplifie la complexité de notre travail. Pour cadrer théoriquement notre travail, nous optons pour une approche par l’interactionnisme symbolique.

L’interactionnisme symbolique

L’interactionnisme symbolique s’intercale entre deux pôles : le pôle objet et le pôle sujet, en mettant ces deux éléments en relations.
Chaque individu agit dans un cadre bien précis. Ce cadre conditionne les attitudes et les comportements de chacun. Pour l’interactionnisme, les faits sociaux ne s’expliquent pas par des caractéristiques propres aux individus, et pas davantage par des structures sociales déterminantes, qui s’imposent de l’extérieur aux individus. C’est suite à l’interaction sujet/objet qu’un mode opératoire se construit. Autrement dit, la construction est un effet émergent d’une influence réciproque entre sujet et objet.
Pour que l’interaction génère, HERBERT GEORGE BLUMER cite trois principes fondamentaux :
 Les humains agissent à l’égard des choses en fonction du sens que les choses ont pour eux ;
 Ce sens est dérivé ou provient des interactions de chacun avec autrui ;
 C’est dans un processus d’interprétation mis en œuvre par chacun dans
le traitement des objets rencontrés que ce sens est manipulé et modifié. 30.

EVERETT, M. ROGERS et la théorie de la diffusion 

Cette théorie consiste à comprendre le processus de diffusion d’un tel produit, d’identifier les consommateurs (adoptant par élaboration) des modèles comportementaux, et par la suite évaluer les impacts de leur adaptation.
Pour ROGERS, la perception par les individus des caractéristiques de l’innovation reste le facteur qui déterminant son taux d’adaptation. ROGERS attribue cinq caractéristiques de l’innovation : son avantage actif, sa compatibilité avec les valeurs du groupe d’appartenance, sa complexité, la possibilité de la tester et sa visibilité.
Les usagers sont classés selon cinq profils types : les innovateurs, les premiers utilisateurs, la première majorité, la seconde majorité et les retardataires.

PATRICE FLICHY et l’approche par l’innovation

Il se réfère à la notion de « cadre naturel » et de « cadre social » de GOFFMAN. Il conçoit un « cadre de fonctionnement », qui renvoie aux fonctionnalités de l’objet et à l’usage technique, et un « cadre d’usage », qui réfère à « l’usage social ». La fusion de ces deux cadres a pour conséquence la construction d’un nouveau « cadre socio-technique », qui est la synthèse de la technique et du social, une fois que l’innovation trouve son équilibre. Pour Flichy, l’instauration du cadre de fonctionnement fait intervenir à la fois plusieurs acteurs, et pas seulement les innovateurs ; le cadre d’usage n’est pas figé, il est susceptible de transformer dès les premières utilisations ou modifier selon le cours des événements. Tous deux s’opèrent au cours de processus complexe et permanent.

CHAMBAT PIERRE et l’approche de l’appropriation

Elle situe sur le plan de la « mise en usage » dans la vie sociale et elle s’attache à l’étude des usages dans les termes d’appropriation sociale des technologies et renvoie à l’analyse de leur formation du « point de vue des usagers ».
Pour CHAMBAT, l’appropriation insiste sur la disparité des usages et des usagers quant à la construction sociale de l’usage, sur les significations que l’objet revêt pour l’usager entre autre. Il est plus important de saisir de l’intérieur la représentation du statut de l’objet pour son usager et voire son enracinement dans le contexte de la construction de notre quotidien et de notre mode de vie.

Technique qualitative

Dresser les différents types de recueil de données entrepris, tel est l’objectif de cette section. Pour ce faire, nous avons procédé trois types de recueil de données pendant notre terrain.

L’observation

Elle s’est tenue durant la descente sur terrain. Il s’agit d’une observation pratiquée par les ethnographes. Il a permis de saisir les comportements de nos sujets dans son environnement naturel. Etant donné que nos sujets se trouvent in situ, nous avons pu apprécier de l’intérieur chaque fait et gestes qu’ils ont adoptés. Cette technique présente un énorme avantage dans la mesure où elle réactualise la pratique de l’observation dans un milieu restreint. Nous avons réduit notre intervention pour ne pas perturber le dynamisme du quotidien de nos sujets en prenant le rôle d’un observateur et d’un acteur à la fois.

L’entretien

Durant notre enquête, il est difficile de situer le moment opportun pour saisir l’individu. En fait, l’entretien implique une certaine rupture avec la routine du quotidien de nos enquêtés, car cette technique demande une latitude de temps pour pouvoir évoquer tous les sujets que nous tenons à aborder. Toutefois, sa pratique a été fructueuse. L’entretien s’est tenu à la sortie des usagers du cybercafe puisque les enquêtés sont encore imprégnés par le monde de l’Internet.
Reste que l’entretien a permis de saisir à travers le discours de nos sujets des informations que nous souhaitons obtenir.
En ce qui concerne le contenu de l’entretien lui-même, nous avons catégorisé en quatre parties :
 Une série de questions centrée sur le lien historique entre l’individu et l’Internet ;
 L’implication de l’Internet dans le quotidien des enquêtés ;
 La représentation que nos enquêtés ont sur l’Internet ;
 Une illustration significative de la part des sujets sur l’usage du Net.

La bibliographie

Nous avons effectué une lecture plurielle. Cette lecture est passée par la fréquentation régulière de quelques bibliothèques importantes que nous trouvons sur Tananarive. Ainsi, les principales bibliothèques que nous avons côtoyées entre autre sont :
– Le Centre Culturel Albert Camus ;
– Le Centre de Recherche en Sociologie ;
– La bibliothèque du Centre d’Education Permanente des Adultes (CEPA) sis à Tsaramasay ;
– Le centre de documentation de l’UNESCO, sis à Atsahavola ;
– L’Institut National de Statistique.
Outre ces bibliothèques, vu que notre travail de recherche concerne l’Internet, nous tenons à ce que la consultation des sites Web a été faite pour compenser le manque d’ouvrages sur certains thèmes que nous souhaitons traiter.
L’objectif de toutes ces consultations est multiple : il s’agit de construire une base solide en matière de connaissance sur les différentes approches dominantes dans le cadre de la sociologie des usages et aussi sur l’ensemble de la discipline sociologique. Enfin, il est également question dans l’ensemble de notre travail, intégrer les données statistiques et les données qualitatives.

La technique quantitative

La technique quantitative, nous l’avons considéré comme un instrument permettant de mesurer les discours des enquêtés. De ce fait, sa construction est liée étroitement aux entretiens que nous avons menés.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Introduction générale
Partie I : Cadre général de l’Internet et démarche d’approche.
Chapitre I : Les dimensions significatives de l’Internet

1.1.1. Approche historique
1.1.2. Les applications de l’Internet
1.1.2.1. Le Web
1.1.2.2. Le courrier électronique/e-mail
1.1.2.3. Le chat ou messagerie instantanée
1.1.2.4. Les forums ou groupes de discussions
1.1.2.5. Le blog ou weblog
1.1.2.6. L’Intranet
1.1.3. Le cybercafe
1.1.3.1. Historique
1.1.3.2. Spécificité
1.1.4. Dimension idéologique de l’Internet
1.1.5. Les déterminants de l’usage de l’Internet
1.1.5.1. Deux modèles d’accès
1.1.5.2. L’accès dans les pays en voie de développement
1.1.5.3. Un phénomène urbain
1.1.5.4. Dans les grandes villes
1.1.5.5. Le facteur psychosociologique
Chapitre II L’Internet à Madagascar
1.2.1. La situation de Madagascar
1.2.2. Les activités liées à la promotion de l’Internet
1.2.2.1. Du côté du pouvoir public
1.2.2.2 Dans le secteur privé
1.2.3. Présentation du terrain
1.2.3.1. Délimitation administrative
1.2.3.2. Situation du cybercafe terrain
Partie II : Dynamique de l’usage de l’Internet
2.3.2.1. L’interactionnisme symbolique
2.3.2.2. EVERETT, M. ROGERS et la théorie de la diffusion
2.3.2.3. PATRICE FLICHY et l’approche par l’innovation
2.3.2.4. CHAMBAT PIERRE et l’approche de l’appropriation
2.3.3. Technique qualitative
2.2.3.1. L’observation
Chapitre III Cadre de référence et présentation générale des enquêtés
2.3.1. Analyse de « l’usage »
2.3.2. L’approche théorique
2.3.3.2. L’entretien
2.3.3.3. La bibliographie
2.3.4. La technique quantitative
2.3.4.1. L’enquête par questionnaire
2.3.4.2. L’analyse de contenu
2.3.5. Intérêts et limites de la recherche
Chapitre IV Présentation générale des enquêtés
2.4.1. Réalisation
2.4.2 Le questionnaire
2.4.2.1. Profil des enquêtés
2.4.2.2. La fréquentation
2.4.2.3. L’appropriation
2.4.3. Traitement de données
2.4.3.1. Les difficultés
2.4.3.2. Tendance générale sur les caractères des enquêtés
2.4.4. Typologies des variables étudiées
Chapitre V : Approche sur les usagers de l’Internet
2.5.1. Approche par fréquentation
2.5.1.1. Les habitués du lieu
2.5.1.2. Dimension temporelle
2.5.1.2.1. Le taux de fréquentation
2.5.1.2.2. Le Jour de fréquentation
2.5.1.2.3. La durée de navigation
2.5.1.3. L’accompagnement
2.5.1.4. Le montant alloué
2.5.1.5. La fréquentation, un réseau à l’intérieur de la société
2.5.2. Approche par appropriation
2.5.2.1. L’utilité de l’Internet
2.5.2.2. La perception de l’Internet
2.5.2.3. La place du Net dans la vie quotidienne de nos sujets
Chapitre VI Eléments de réflexion et analyse de synthèse sur l’usage de l’Internet
Partie III Modèle d’analyse et panorama d’avenir sur l’Internet
3.6.1. Qui sont les usagers ?
3.6.2. L’usage de l’Internet comme constructeur identitaire
3.6.3. L’utilité de l’Internet
3.6.4. L’apport de l’Internet dans notre société
3.6.4.1. Les impacts de l’Internet sur l’individu
3.6.4.2. L’Internet apporte-t-il beaucoup plus de bien pour notre société ?
Chapitre VII : Perspectives d’usage de l’Internet
3.7.1. Divers grands problèmes des sociétés face au développement de l’Internet
3.7.1.1. La fracture numérique
3.7.1.2. Le problème de liberté
3.7.1.3. La cybercriminalité
3.7.2. Les mesures à prendre en faveur de la banalisation de l’Internet
3.7.2.1. Une politique en faveur de la promotion de l’Internet
3.7.2.2. La promotion de la coopération bilatérale/ multilatérale
3.7.2.3. La mise en conformité de l’échange sur le Net
Conclusion générale
Bibliographie

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *