LES EQUIPEMENTS DE SECURITE
Gants
Les produits corrosifs (bases et acides forts, oxydants puissants…), les composés pénétrant facilement à travers la peau (dérivés nitrés, amines aromatiques…) seront manipulés avec des gants, sélectionnés selon le type de produit utilisé (gants en latex, en vinyle, en fluorocarbure…). Les fiches de données de sécurité précisent la nature des gants à employer. Attention : chaque type de gant est conçu pour une protection spécifique[20].
Lunettes de sécurités
Elles sont utilisées pour éviter les projections oculaires.
Douchettes de sécurité & Douches d’urgences
Les douchettes de sécurité peuvent en travaux pratiques être utilisées très efficacement comme fontaine oculaire.
Réfrigérateur
N’attendez pas l’accident pour sécuriser votre réfrigérateur.
Quelques cm3 de solvants peuvent le transformer en une bombe potentielle.
Comment sécuriser votre réfrigérateur ? En transférant hors du réfrigérateur l’interrupteur du thermostat et en supprimant le circuit d’éclairage en enlevant l’ampoule. N.B. : cet appareil ne devra en aucun cas servir à la conservation de produits alimentaires [20].
Pipetage
L’aspiration avec la bouche doit faire l’objet d’une interdiction stricte. Cette opération peut être facilement réalisée avec du matériel peu onéreux (poires aspirantes diverses, seringues etc. [20].
Masques de protection respiratoire
Filtres à poussière : ils doivent être choisis en fonction de la granulométrie des particules solides et ne doivent jamais s’employer dans le cas de substances nocives ou toxiques[20].
Masques à cartouche : ils possèdent une cartouche qui absorbe les vapeurs nocives ou toxiques. Cette cartouche est spécifique à des familles de produits et seulement efficace pour des concentrations ne dépassant pas une valeur donnée par le constructeur. Sortis de leurs emballages d’origine, l’utilisation est limitéedans le temps à quelques jours [20].
GESTION DES DECHETS
Selon la loi n° 75-633 du 15 juillet 1975 de la CEE, est considéré comme déchet « tout résidu d’un processus de production, de transformation ou d’utilisation, toute substance, matériau ou produit, ou plus généralement, tout bien meuble abandonné ou que son détenteur destine à l’abandon ». Cette définition ne caractérise ni la forme du déchet, ni le milieu dans lequel il est rejeté. Le décret n° 97-1048 du 6 novembre 1997, relatif à l’élimination des déchets d’activité de soins à risque infectieux et assimilés, et des pièces anatomiques, fait obligation au producteur de déchets de les éliminer conformément à la réglementation, de respecter les règles de triage, d’emballage, d’étiquetage, d’entreposage et de destruction, sous peine de sanctions (principe du pollueur-payeur) [11].
Le GBEA précise que les déchets générés par l’activité de prélèvement et par l’exécution des analyses au laboratoire doivent être séparés en déchets à risques et déchets assimilables à des ordures ménagères.
Déchets à risques pour l’homme ou l’environnement
Ces déchets, dits « spéciaux » ou « générateurs de nuisances », ou encore «déchets toxiques et dangereux », peuvent être regroupés en plusieurs catégories : déchets potentiellement contaminés (prélèvements, produits sanguins, pièces anatomiques, cultures, papiers contaminés, gants), certains d’entre eux étant piquants ou coupants (aiguilles, pipettes) ; produits chimiques ou toxiques ; produits radioactifs ; déchets mixtes renfermant des constituants appartenant à des familles différentes : plaques d’immuno-enzymologie, gels d’électrophorèse, cônes, effluents d’automates.
Déchets assimilables à des ordures ménagères
Ces déchets sans risque, autrefois appelés déchets « spécifiques », regroupent les déchets de bureau, les papiers non contaminés, les cartons d’emballage… Chaque catégorie de déchet ayant sa propre filière. L’élimination des déchets comporte plusieurs étapes : le tri (avec, par exemple, conditionnement dans des conteneurs plastiques étanches), les traitements éventuels sur place (autoclavage, neutralisation, décontamination…), la collecte vers le local de stockage qui ne doit pas excéder 72 heures, le transport et le traitement spécifique par une société prestataire de services liée contractuellement. Les bordereaux de suivi doivent être conservés pour la traçabilité des quantités [12-35].
CADRE D’ETUDE
Cette étude, entièrement menée aux unités physicochimique, microbiologique, vaccin et logistique du Laboratoire National de Contrôle des Médicaments (LNCM), entre dans le cadre de la mise en place d’un système de sécurité au niveau du laboratoire.
PRESENTATION DU LNCM
Le Laboratoire National de Contrôle des Médicaments a été créé en 1979 par le décret n°79-416 du 12 mai 1979 portant organisation du Ministère de la Santé Publique. Mais ce n’est que vingt ans plus tard en 1998 qu’il a réellement vu le jour avec l’achat d’équipements indispensables à son fonctionnement et le transfert des locaux de la Pharmacie Nationale d’Approvisionnement à l’exORONA au 39, Avenue Pasteur.
Le laboratoire national de contrôle des médicaments (LNCM) est situé au 39 Avenue Pasteur en face L’Hôpital Aristide LEDANTEC. IL constitue un pole national et même sous régional en matière d’analyse et de contrôle des médicaments. Il se situe sur trois niveaux: un niveau sous terrain qui abrite les unités microbiologique, vaccin et logistique. Un niveau rez de chaussé qui abrite l’unité physicochimique, la salle de conférence et le restaurant et en fin un étage qui abrite la direction.
Le décret, n°2002-79 du 29 janvier 2002 portant organisation du ministre de la santé et de la prévention limitait la composition du LNCM à sept (07) bureaux :
Bureau de gestion
Bureau Assurance Qualité
Bureau Physico-chimie et Pharmacotechnie
Bureau Toxicologie et Pharmacologie
Bureau Microbiologie
Bureau Vaccins
Bureau Logistique.
Mais actuellement on ne parle plus de bureau mais d’« unité ».
UNITE PHYSICOCHIMIQUE
Elle est composée de cinq (05) salles.
Salle 1:C’est dans cette salle que s’effectue la préparation des échantillons à analyser.
SALLE 2: Cette salle n’était pas fonctionnelle au moment de l’étude.
SALLE 3 : C’est dans cette salle que s’effectue le test de dissolution des médicaments.
SALLE 4: C’est la salle dans la quelle on fait le dosage des principes actifs des médicaments préalablement préparés au niveau des salles précédentes.
SALLE 5: C’est là où on vérifie l’uniformité de masse s’il s’agit de la forme comprimée.
UNITE MICROBIOLOGIQUE
L’unité microbiologique est composée de deux petites salles contigües au niveau sous terrain.
UNITE VACCIN
Le bureau de vaccin est constitué d’une seule salle et un petit bureau pour le responsable. Les unités microbiologiques et vaccin partagent la salle d’INCUBATION et la salle LAVERIE.
UNITE LOGISTIQUE
L’unité logistique constitue l’échantillothèque du laboratoire, c’est la partie du laboratoire qui en magasine les échantillons qui servent à faire les analyses au niveau physicochimique, microbiologique, et vaccin. Elle est composée d’une grande salle et un petit bureau occupé par le responsable et son adjoint. La salle est équipée de plusieurs placards au nombre de huit, trois armoires et un réfrigérateur.
En ce qui concerne le Personnel : nous avons :
Un directeur des installations ;
Un responsable management qualité et ses coordinateurs ;
Un gestionnaire et un comptable en matières ;
Des Analystes ;
Un responsable métrologique et ses coordinateurs ;
Un responsable logistique et son suppléant ;
Un responsable hygiène et sécurité ;
Un Secrétariat.
MISSION DU LNCM
La mission du LNCM est restée inchangée depuis sa création et a été d’ailleurs reprise dans le dernier décret 2004-1404 du 04 novembre 2004 portant organisation du ministère de la santé et de la prévention médicale. L’article 6 de ce décret classe le LNCM parmi les services rattachés au cabinet du ministre de la santé, supprimant ainsi la tutelle de la direction de la pharmacie et la direction des laboratoires.
Le stockage des produits (réactifs et échantillons chimiques et biologiques,)
Des dispositions ont été prises pour le stockage, en toute sécurité, des produits chimiques, réactifs et échantillons (Echantillothèque).
Les produits lourds sont placés en dessous des produits légers. De même, le rangement tient compte des incompatibilités entre les produits.
Avant stockage, le Responsable de la logistique procède à l’identification et à l’étiquetage de tous les produits chimiques, particulièrement toxiques et dangereux, sans considérer que tous les autres produits chimiques sont sans danger.
Il existe au laboratoire des fiches de données de sécurité pour les principaux produits chimiques utilisés.
Au laboratoire, le sol et les tables de travail sont faciles à nettoyer, imperméables à l’eau, résistants aux substances acides ou alcalines, aux solvants organiques, aux désinfectants et aux agents de décontamination utilisés [33].
La communication des risques
Il a été mis en place une signalisation adaptée en fonction des risques encourus dans les différentes unités : pictogrammes sur des interdictions comme par exemple : ne pas fumer, ne pas boire et des obligations du genre port de blouses et de lunettes obligatoires.
Les instructions de sécurité générales et spécifiques sont communiquées au personnel au moyen d’affiches et de rencontres régulières.
Le fournisseur, le producteur ou l’importateur de produits chimiques doit être en mesure de fournir une information détaillée ainsi qu’une fiche de données de sécurité permettant d’évaluer les risques pour la santé et pour l’environnement, de manipuler le produit en toute sécurité et de l’étiqueter.
Les producteurs ont établi des fiches de données de sécurité pour de nombreuses substances et préparations. Elles doivent accompagner le produit jusqu’à son utilisateur industriel. Les informations contenues dans ces fiches ne sont toutefois pas toujours validées ou vérifiées.
Pour les substances pures, il existe des fiches internationales de sécurité chimique. Elles contiennent des informations de base validées, pouvant servir à la préparation de fiches de données de sécurité pour des préparations ou des produits chimiques.
Les informations nécessaires à la classification et à la rédaction des étiquettes peuvent être extraites de résultats d’essais en laboratoire, de données publiées, d’expériences pratiques et des exigences en matière d’information figurant dans les règlements internationaux sur le transport des marchandises dangereuses et des déchets [33].
Le contrôle des accès
L’accès aux différentes unités est réservé aux personnes autorisées. Il existe à cet effet un contrôle magnétique des accès aux différentes unités.
Il existe un registre permettant l’enregistrement des visiteurs conformément à la procédure d’accueil des visiteurs.
Les visiteurs et les entreprises prestataires de services (SAV, entretien, dépannage, etc.) sont pris en charge dès leur entrée au laboratoire.
Le laboratoire est pourvu d’un système d’observation (fenêtres, issues de secours en verre caméras etc.) permettant de voir les occupants depuis l’extérieur.
Le système a été complété avec l’installation de détecteur d’ouverture au niveau des portes et de détecteurs de mouvement à infra rouge dans certaines pièces bien choisies.
Toute ouverture des portes non autorisée déclenche une sirène de 110 dB et 4 appels téléphoniques qui informent 4 personnes de la situation . Ces appels sont renouvelés 4 fois et permettent une réaction rapide des appelés [33].
La maîtrise des paramètres d’ambiance
La climatisation des différentes salles de manipulation permet d’assurer une bonne maîtrise des conditions d’ambiance en conformité avec les conditions de stockage des produits et des appareils.
Des chambres froides (congélateurs et cryostat) sont disponibles pour des conservations à très basses températures.
Dans le cadre du laboratoire, le stockage en réfrigérateur ou en congélateur doit être réservé aux produits exigeant d’être maintenus à des températures inférieures à la température ambiante [33].
Maîtrise des systèmes informatiques
Les premières mesures ont été prises pour assurer une stabilisation du courant électrique grâce à un stabilisateur de courant électrique de 50 KVA et un groupe électrogène permettant en moins de 10 secondes d’assurer immédiatement une alimentation en courant en cas de coupure d’électricité.
Des dispositions sont prises au laboratoire pour la gestion et la maîtrise des systèmes informatiques, la protection des données générées. Chaque ordinateur est doté d’un onduleur.
Un logiciel anti-virus régulièrement mis à jour effectue automatiquement l’examen des supports amovibles introduits et des fichiers dont l’ouverture est lancée. Ce logiciel assure la protection du système informatique contre les virus informatiques.
Les ordinateurs des bureaux disposent de mots de passe connus uniquement des membres du bureau concerné.
La qualité et la fiabilité des données générées par les ordinateurs sont assurées par l’utilisation de systèmes d’exploitation de version récente (Windows 2000) et un service de maintenance lié au laboratoire par un contrat en bonne et due forme.
Les logiciels permettant le pilotage des différents appareils utilisés dans les analyses sont disponibles sur disquette ou sur CD dans le bureau du directeurdes installations.
Tous les documents qualité du laboratoire sont générés au niveau du Bureau Management Qualité selon des procédures définies dans le chapitre « gestion documentaire » des normes ISO 17025 2005 du manuel des procédures du laboratoire. Ces documents sont tous des originaux visés par le responsable Management qualité ou son suppléant.
Tous les documents qualité en vigueur au laboratoire sont disponibles sur CDROM et sur un serveur sécurisé. Le serveur est accessible à toutes les unités mais seul le bureau qui y enregistre des données peut les modifier [33].
La prévention et la gestion des risques d’incendie
Un système automatique de détection d’incendie, de chaleur, de fumée avec sirène extérieure à 110 DB alerte rapidement de tout déclenchement de sinistre : il est possible de déclencher manuellement l’alarme pour avertir le personnel etpermettre une intervention efficace.
En cas de besoin, un numéro (le 18) permet de faire appel aux sapeurs pompiers.
Des extincteurs ont été choisis en fonction de la nature et de l’origine des risques d’incendie.
Le personnel a été formé à l’utilisation des extincteurs (voir contenu de la formation disponible sur CD-ROM).
En cas d’accident un point de rassemblement a été identifié. Il s’agit du parking du laboratoire pour permettre une évacuation rapide du personnel.
La procédure à suivre en cas d’incendie est affichée au niveau du laboratoire.
D’autres procédures notamment les mesures à prendre en cas de renversement accidentel de produits chimiques (liquides ou solides) sur le sol seront affichées [33].
La formation continue à la sécurité
Le chargé de la sécurité organise des séances de formation continue sur la sécurité au laboratoire en étroite relation avec le bureau management qualité chargé de coordonner toutes les formations.
La formation peut comprendre des séances d’utilisation d’extincteurs, de formation aux premiers secours, de simulation d’incendie, des risques professionnels.
Les membres des différentes unités signent une fiche de prise de connaissance prouvant leur connaissance des risques liés aux produits qu’ils manipulent [33].
DISCUSSION
Local
A l’entrée du laboratoire, nous faisons face à un bâtiment qui constitue l’unité physicochimique, juste avant le bâtiment nous avons le parking ou sont garés les véhicules du personnel, ce qui pourrait constituer un obstacle en cas d’incendie car on n’a pas un dégagement du lieu. Par contre le local est bien éclairé,
accessible et bien équipé d’appareils malgré que certains ne marchent pas. Nous avons aussi un matériel de paillasse complet à savoir : mortiers, pilons, béchers 50-150-250ml , pipettes, tubes à essai, Erlen 100-150-250ml , entonnoir en verre petit modèle , entonnoir en plastique grand modèle, pro pipette, éprouvette 5-250 ml , burette . Le sol et les paillasses sont faciles à nettoyer et sont imperméables à l’eau.
Les unités microbiologiques et vaccins sont regroupées dans un petit bâtiment très étroit au niveau souterrain ce qui veut dire le local est inadapté, hors normes et l’accessibilité n’est pas facile.
Là, nous pouvons noter que les salles de manipulation et les bureaux des responsables sont trop proches alors qu’il n’existe pas de vestiaires à ce niveau pour ranger leurs affaires ; ce qui peut favoriser la contamination. Les locaux de l’unité vaccin sont sombres et étroits. Par contre les locaux de la microbiologie sont bien éclairés et équipés même si certain des appareils ne sont pas fonctionnels. Le sol et les paillasses sont faciles à nettoyer.
D’autant plus que les établissements de recherche sont susceptibles d’être particulièrement dangereux, car le risque lié à une substance ou un procédé peut rester ignoré jusqu’à ce que surviennent un accident, une maladie ou un décès imprévus. Les laboratoires courants et de diagnostic manipulent un e grande variété de matériels et un nombre important d’agents pathogènes potentiellement dangereux [17] . Au niveau des couloirs le passage n’est pas libre; nous notons un encombrement des lieux.
L’unité logistique aussi est située au niveau souterrain dont l’accessibilité n’est pas simple ; avec un couloir encombré. La salle de l’échantillothèque et le bureau du responsable sont hors normes, ils sont dépourvus de fenêtre, en effet, il y a un seul issu de secours la porte d’entrée. Au niveau de l’échanti llothèque nous pouvons noter un encombrement stérique : des caisses et quelques bagages sont posés par terre au milieu de la salle, une armoire située dans le couloir est remplie de produits alors que trois des armoires dans la salle sont remplis de produits périmés ; ce qui montre un rangement désorganisé et une salle qui ne peut pas peut être contenir tout les produits. Par contre les lieux de travail doivent être parfaitement propres et en ordre; seuls les matériels et appareils absolument nécessaires doivent s’y trouver; les réserves doivent être rangées dans les locaux et armoires prévus à cet effet [3].
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LA SECURITE AU LABORATOIRE
I. SYMBOLES DE DANGER
I.1. Symboles des réactifs de laboratoire
I.1.1. Symboles utilisés sur les étiquettes
I.1.2. Phrases de Risques
I.1.3. Conseils de prudences
I.1.4. Combinaison de phrases R
I.1.5. Combinaison de phrase S
I.2. Symboles des lieux de travail
I.3. Symboles des moyens de secours
II. COMPORTEMENT DANS UN LABORATOIRE
II.1. Les interdits
II.2. Les obligations
II.3. Les vérifications indispensables
II.4. Les recommandations
III. EQUIPEMENTS DE SECURITE
III.1. Gants
III.2. Lunettes de sécurités
III.3. Douchettes de sécurité & Douches d’urgences
III.4. Réfrigérateur
III.5. Pipetage
III.6. Masques de protection respiratoire
IV. DONNEES TECHNIQUES DE SECURITES
IV.1. Gaz
IV.2. Renseignements toxicologiques
IV.3. Pollution
V. GESTION DES DECHETS
DEUXIEME PARTIE : ETAT DES LIEUX
I- CADRE D’ETUDE
I.1. PRESENTATION DU LNCM
I.1.1- Unité physicochimie
I.1.2- Unité microbiologie
I.1.3- Unité vaccin
I.1.4- Unité logistique
I.2.MISSION DU LNCM
II-ASPECT SECURITAIRE DU LABORATOIRE
II.1. Obligation concernant le personnel
II.2. Obligation de la direction des installations
II.3. Le processus d’achats et gestion des produits chimiques
II.4. Le stockage des produits (réactifs et échantillons)
II.5. La communication des risques
II.6. La gestion des déchets
II.7. Le contrôle des accès
II.8.Maitrise des paramètres d’ambiance
II.9. Maitrise des systèmes informatiques
II.10. La prévention et la gestion des risques d’incendie
II.11. La formation du personnel à la sécurité
III. DISCUSSION
III.1-Local
III.2-Personnel
III.3-Equipement spécifiques de prévention
III.4-Suivi des bonnes pratiques manipulations
III.5-Stockage des produits
III.6-La communication des risques
III.7-Gestion des déchets
III.8-Contrôle des accès
III.9-Maitrise des paramètres d’ambiances et du système informatique
III.10-Formation continue du personnel
IV. RECOMMANDATION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE