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Caractรฉristiques physiques et dรฉmographiques
Au Cameroun, nous pouvons distinguer quatre grands ensembles de reliefs: les plaines et les montagnes isolรฉes du Nord, les plaines cรดtiรจres au Sud, lโarc des hautes terres du Centre et de lโOuest, et le plateau sud-camerounais.
La vรฉgรฉtation est considรฉrable par sa diversitรฉ. La savane arborรฉe ou arbustive est localisรฉe, sous le climat soudanien, de lโAdamaoua ร la vallรฉe de la Bรฉnouรฉ ; cโest le domaine de lโรฉlevage par excellence. La forรชt dense et les montagnes constituent un frein pour lโรฉlevage รฉquin.
En 2007, la population camerounaise รฉtait estimรฉe ร 18,1 millions dโhabitants [62]. En 2003, lโindice de fรฉconditรฉ demeurait รฉlevรฉ (4,5), tandis que le taux de mortalitรฉ infantile รฉtait de 66 p. 1 000 et lโespรฉrance de vie ร la naissance de 56 annรฉes.
La densitรฉ de population (39 habitants au kmยฒ en moyenne) varie selon les rรฉgions. Elle est plus concentrรฉe dans les grandes agglomรฉrations du Sud, ainsi que dans les montagnes de lโOuest et la zone de savanes du Nord.
Elevage du cheval au Cameroun
Mode dโรฉlevage
On distingue un systรจme traditionnel et un systรจme moderne.
Systรจme traditionnel
Le mode de conduite du cheptel en milieu rural consiste ร la mise en libertรฉ des juments qui divaguent autour des villages. Celles-ci sont prรฉsentรฉes ร lโรฉtalon au moment des chaleurs. Quant aux รฉtalons, ils sont tenus ร lโattache prรจs de la tente du maรฎtre ou de la case du propriรฉtaire. Les poulains qui, gรฉnรฉralement naissent au dรฉbut ou pendant lโhivernage, sont mis au pรขturage en libertรฉ avec la mรจre et rentrent au village seulement la nuit ; cโest pourquoi ils sont exposรฉs aux intempรฉries. On retrouve ce systรจme dans le grand Nord et le Nord-Ouest du Cameroun.
Les animaux sont en embonpoint aprรจs lโhivernage, mais ils maigrissent pendant la saison sรจche, par manque de pรขturages mais aussi ร cause des feux de brousse qui dรฉtruisent ces pรขturages [30].
Les races importรฉes
Lโimportation de chevaux รฉtrangers amรฉliorateurs a intรฉressรฉ principalement les Pur-sang Anglais et Arabe.
Le Pur-sang Anglais
De type rectiligne, le cheval anglais de course a une tรชte lรฉgรจre et expressive, un profil droit, un front large, les oreilles un peu longues, les nasaux larges, une poitrine haute et profonde. Sa robe est alezane ou baie, rarement grise.
Cโest un animal prรฉsentant un รฉquilibre parfait au travail, un dรฉmarrage rapide et une allure lรฉgรจre, lui permettant de couvrir du terrain sans trop dโeffort.
Pur-sang Arabe
Originaire du plateau central dโAsie, le cheval pur-sang Arabe a un front et un chanfrein plats, une tรชte carrรฉe, des oreilles fines, une encolure droite et bien musclรฉe avec de bons aplombs. Cโest un cheval rรฉsistant, sobre mais moins rapide que le pur-sang anglais. Sa robe est simple avec une prรฉdominance de gris, dโalezan, de baie et quelques noires. Il mesure au garrot 1,40 ร 1,55 m avec un poids dโenviron 350 ร 400 kg [19].
Autres races
Ce sont les divers produits de croisement obtenus ร partir des รฉtalons importรฉs et des juments locales.
Courses hippiques
Elles constituent un sport bien aimรฉ des Camerounais. Des animaux de valeur sont sรฉlectionnรฉs et soumis ร un entraรฎnement intensif pour la participation aux compรฉtitions.
La Fรฉdรฉration Camerounaise des sports รฉquestres organise chaque trimestre des compรฉtitions dans les villes comme Maroua, Garoua, Kumbo et Koussรฉri mais des compรฉtitions sont aussi organisรฉes lors de la fรชte nationale dans toute la partie septentrionale du pays.
Ces compรฉtitions qui concernent les chevaux licenciรฉs se font par catรฉgorie de race, dโรขge et de taille.
Le Pari Mutuel Urbain Camerounais (PMUC) est une sociรฉtรฉ constituรฉe qui gรจre la prise des paris ร travers tout le territoire national sur les courses des chevaux. A travers le protocole dโaccord du 11 novembre 1993 et le contrat de concession du 16 juin 1994, le gouvernement Camerounais visait essentiellement ร diversifier les activitรฉs de la filiรจre de production donc celle des chevaux, ร combattre le chรดmage et ร relancer lโรฉconomie du pays.
Lโentreprise des courses en collectant lโargent des parieurs prรฉsente un intรฉrรชt รฉconomique certain. A titre dโexemple, les enjeux misรฉs par les joueurs du PMU pour lโannรฉe 2002, se sont รฉlevรฉs ร plus de 164 milliards de FCFA dans les pays africains qui le commercialisent [48].
Aspect social
Gรฉnรฉralement considรฉrรฉ comme lโune des plus nobles conquรชtes de lโhomme, le cheval occupe une place importante dans les sociรฉtรฉs traditionnelles africaines. Le cheval chez les Peuls du Cameroun est considรฉrรฉ comme un animal de prestige.
La Fantasia
Les chefs religieux du Nord Cameroun nโรฉlรจvent des chevaux que pour le prestige car le cheval est encore source dโautoritรฉ surtout si sa robe est alezane avec 4 balzanes entiรจrement blanches ou dโun gris clair. Ce type de cheval incarne la noblesse.
Certains chevaux appelรฉs ยซ djirou ยป sont รฉlevรฉs et dressรฉs uniquement pour la danse selon une chorรฉgraphie pรฉrennisรฉe depuis fort longtemps avec lโarrivรฉe de ADAMA qui fut le gรฉnรฉral dโOUSMANE DAN FODIO oรน les victoires รฉtaient fรชtรฉes par des fantasias. Ces chevaux danseurs font encore des dรฉmonstrations lors des cรฉrรฉmonies coutumiรจres.
Au Maroc, la fantasia connue sous le nom de ยซ Tbourida ยป est un divertissement populaire faisant appel ร des dรฉmonstrations รฉquestres. Elle est souvent exรฉcutรฉe ร lโoccasion des fรชtes. Une dizaine ou une vingtaine de cavaliers sโรฉlancent au galop sur leurs montures, rรฉalisant des jongleries avec leur fusil quโils chargent et dรฉchargent dans diffรฉrentes positions sur prรจs dโune centaine de mรจtres environ, tout en chantant et poussant des cris aigus ponctuรฉs par un tir groupรฉ de lโensemble des cavaliers.
Trรจs rรฉpandue et ancrรฉe dans la tradition marocaine, la fantasia est aussi exรฉcutรฉe en signe de bienvenue aux notables et ร des personnages officiels.
Les chevaux participant aux fantasias sont tous des mรขles Barbes ou Arabe Barbes utilisรฉs comme marque de prestige chez les รฉleveurs aisรฉs. On compte aujourdโhui prรจs de 15000 chevaux de fantasia rรฉpartis sur environ 1000 troupes [2].
Lโescorte Prรฉsidentielle
Crรฉรฉ en 1963 ร Maroua, lโescadron montรฉ de la garde prรฉsidentielle, formation dโรฉlite et dรฉpositaire du drapeau de la Rรฉpublique, a dans son dรฉcret organique de Mai 1985 outre toute autre mission que peut lui confier le chef de lโรฉtat, des missions spรฉcifiques dรฉfinis en deux volets :
โข La sรฉcuritรฉ du Prรฉsident, des membres de sa famille, de ses rรฉsidences et de ses hรดtes ;
โข Les honneurs militaires au cours des cรฉrรฉmonies prรฉsidรฉes par le Chef de lโEtat tel la fรชte nationale du 20 Mai et les cรฉrรฉmonies dโinvestiture ร la magistrature suprรชme du Prรฉsident de la Rรฉpublique [6].
Le cheval apparaรฎt alors comme un animal remplissant diffรฉrentes fonctions. Le dรฉveloppement de son รฉlevage permettra de mieux lโexploiter avec lโapparition des nouveaux mรฉtiers.
DOMINANTES PATHOLOGIQUES DES EQUIDES AU CAMEROUN
De nombreuses contraintes pathologiques ont, pendant longtemps, freinรฉ le dรฉveloppement de lโรฉlevage รฉquin au Cameroun [5]. En effet, de nombreuses maladies dโรฉtiologie variรฉe (virale, bactรฉrienne, parasitaire et autres) sont notรฉes.
Maladies virales
Au Cameroun, les maladies virales, comme la grippe รฉquine et la peste รฉquine, sont dโincidence faible et se rencontrent de moins en moins [6].
Maladies bactรฉriennes
Le botulisme et le tรฉtanos viennent en tรชte et sont relativement frรฉquents dans la zone sylvo-pastorale. Ensuite, nous pouvons citer la brucellose, la lymphangite ulcรฉreuse, la fiรจvre charbonneuse et les affections salmonelliques [6].
Maladies parasitaires
Au Cameroun, le parasitisme gastro-intestinal du cheval est dominรฉ par les ascaridioses, les strongyloses, lโhabronรฉmose et lโoxyurose, tandis que les affections ร tiques et les gales dominent lโectoparasitisme.
La trypanosomose et la babรฉsiose sont les parasitoses du sang les plus frรฉquentes. Ainsi, dans le grand sud et dans lโAdamaoua, la pression de la trypanosomose animale africaine constitue une contrainte majeure au dรฉveloppement de lโรฉlevage chevalin [15]. Au rang des maladies fongiques, la lymphangite รฉpizootique (figure 7) est la plus rencontrรฉe.
Autres affections courantes
Les autres affections courantes sont les blessures, les boiteries, les affections de lโลil et les coliques.
Les coliques, par leur frรฉquence, la spontanรฉitรฉ de leur dรฉveloppement, la rapiditรฉ de leur รฉvolution et leur gravitรฉ reprรฉsentent un des plus importants problรจmes en mรฉdecine vรฉtรฉrinaire [15].
Faisant partie des affections les plus redoutables chez le cheval, les coliques occasionnent une mortalitรฉ importante. Plusieurs causes peuvent รชtre citรฉes : lโalimentation (quantitรฉ trop รฉlevรฉe ou trop faible), lโabreuvement mal conduit, le travail irrรฉgulier, les parasites. Ces coliques peuvent รชtre diagnostiquรฉes par lโattitude de lโanimal, les constantes physiologiques chiffrรฉes (tempรฉrature, pouls, respiration), les signes cliniques et lโexploration transrectale.
Parmi toutes ces pathologies majeures du cheval au Cameroun, lโune dโelles fera lโobjet de notre attention, ร savoir la trypanosomose.
LA TRYPANOSOMOSE EQUINE
Gรฉnรฉralitรฉs
La trypanosomose est une maladie qui affecte lโHomme, les animaux domestiques et sauvages. Elle est provoquรฉe par la multiplication, dans le plasma sanguin, de protozoaires flagellรฉs dรฉnommรฉs les trypanosomes. La transmission de ce protozoaire est assurรฉe par des insectes piqueurs (taons, stomoxes), et surtout par des glossines (mouches tsรฉ-tsรฉ), ร lโexception de la dourine dont la transmission sโeffectue par le coรฏt [16].
En effet, les trypanosomoses sont des affections parasitaires provoquรฉs par des protozoaires, appartenant ร la famille des Trypanosomatidรฉs et au genre Trypanosoma, qui se multiplient dans le plasma sanguin, la lymphe et divers tissus, dont le muscle cardiaque et le liquide cรฉphalo-rachidien, des mammifรจres [8].
Les mouches tsรฉ-tsรฉ, insectes exclusivement africains, occupent, sur le continent, une superficie de prรจs de 10 millions de kmยฒ, sโรฉtendant de part et dโautre de lโรฉquateur, depuis le 15ยฐ degrรฉ de latitude Nord jusque vers le 20ยฐ degrรฉ de latitude Sud [8].
Caractรจres gรฉnรฉraux des trypanosomes
Dรฉfinition
Les trypanosomes sont des organismes unicellulaires, microscopiques, de forme allongรฉe, dont la locomotion est assurรฉe par le seul flagelle dirigรฉ vers lโavant, prรจs de la base duquel se trouve une structure particuliรจre, le kinรฉtoplaste. Ce sont des parasites obligatoires ayant, le plus souvent, deux hรดtes :
โ Un hรดte vertรฉbrรฉ chez qui, ils se multiplient dans les liquides physiologiques, le sang en particulier
โ Un hรดte invertรฉbrรฉ, gรฉnรฉralement un insecte piqueur, oรน ils vivent dans le tractus digestif.
Systรฉmatique
Les trypanosomes sont des protozoaires, appartenant au genre Trypanosoma, nom crรฉe, en 1843, par GRUBY, mรฉdecin hongrois ayant vรฉcu ร Paris, pour un parasite sanguin dโune grenouille, quโil nomma Trypanosoma rotatorium. Le genre Trypanosoma, avec sept autres genres de parasites ayant des caractรจres communs, font partie de la famille des Trypanosomatidรฉs [8].
Les trypanosomes des mammifรจres appartiennent donc ร deux grandes sections : la section Stercoraria, qui comprend des espรจces peu ou pas pathogรจnes ou des espรจces trรจs pathogรจnes, mais que lโon ne rencontre pas en Afrique, et la section Salivaria, dans laquelle sont inclus tous les trypanosomes pathogรจnes existant sur le continent africain.
Chez les รฉquidรฉs, les espรจces responsables de la trypanosomose sont T. vivax, T. congolense, T. brucei, T. evansi. Ils sont transmis par les mouches tsรฉ-tsรฉ ou glossines qui constituent leurs hรดtes intermรฉdiaires vรฉritables.
T. equiperdum est transmis par contact, au cours du coรฏt, et est lโagent causal de la dourine, maladie vรฉnรฉrienne des รฉquidรฉs.
Les vecteurs et la transmission des trypanosomes africains
A lโexception de T. equiperdum, tous les trypanosomes des mammifรจres sont des parasites dixรจnes dont la transmission ร lโhรดte dรฉfinitif est rรฉalisรฉe par un insecte hรฉmatophage. Celui-ci peut รชtre soit un simple vecteur mรฉcanique, qui se comporte comme une vรฉritable seringue, le trypanosome restant cantonnรฉ, sans se multiplier, ni subir de modification, aux piรจces buccale [22], soit un vecteur biologique oรน se multiplie le parasite.
Trypanosomoses รฉquines transmises par des glossines
Les trypanosomoses transmises par les glossines (ou mouches tsรฉ-tsรฉ) sรฉvissent en Afrique Noire sub-saharienne et peuvent affecter l’Homme et les animaux provoquant une affection chronique entrecoupรฉe d’accรจs aigus รฉvoluant vers une anรฉmie sรฉvรจre et un รฉtat de tuphos (maladie du sommeil chez l’homme).
Chez les รฉquidรฉs, trois espรจces diffรฉrentes de Trypanosoma pathogรจnes ont รฉtรฉ identifiรฉes : Trypanosoma brucei brucei, T. congolense et surtout T. vivax.
La rรฉpartition gรฉographique des glossines dรฉtermine la zone d’endรฉmie des trypanosomoses africaines. En effet, les glossines sont prรฉsentes du Sud du Sahara au Nord de l’Afrique du Sud dans prรจs de 40% du continent africain. Elles abondent dans la savane, les zones broussailleuses, le long des forรชts ou des cours d’eau. Elles sont gรฉnรฉralement absentes des zones cultivรฉes ou dรฉnudรฉes. Leur activitรฉ est essentiellement diurne pendant les heures les plus chaudes. Les deux sexes sont hรฉmatophages ; la durรฉe du repas sanguin est courte (20 secondes) et l’intervalle moyen entre 2 repas est de 3 ร 5 jours.
Les femelles, qui vivent 2 ร 5 mois, ont plusieurs cycles de ยซย ponteย ยป dans leur vie [8].
La localisation des sites de multiplication et de fixation des trypanosomes chez la glossine est illustrรฉe dans les figures 14, 15, 16 [54]. Les glossines se contaminent lors dโun repas sanguin sur un hรดte infectรฉ. Le proboscis ne semble pas รชtre le seul organe de la mouche dans lequel les parasites peuvent se dรฉvelopper, il a dรฉjร รฉtรฉ mis en รฉvidence la prรฉsence de T. vivax dans le proboscis et lโintestin de glossine par NYEKO et al (1990) ; MOLOO et GRAY (1989) ont รฉgalement observรฉ T. vivax dans la rรฉgion ลsophagienne des glossines. Le diagnostic parasitologique dโespรจce par la localisation des trypanosomes nโest donc pas un diagnostic de certitude, cโest pourquoi le diagnostic par PCR chez la mouche est beaucoup plus prรฉcis [51].
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PARTIE I : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LโELEVAGE EQUIN AU CAMEROUN
I. Donnรฉes gรฉnรฉrales sur le Cameroun
I.1. Caractรฉristiques physiques et dรฉmographiques
I.2. Elevage du cheval au Cameroun
I.2.1. Mode dโรฉlevage
I.2.1.1. Systรจme traditionnel
I.1.1.2. Systรจme moderne
I.2.2. Types dโรฉcuries
I.2.3. Principales races de chevaux au Cameroun
I.2.4. Effectifs et rรฉpartition des chevaux par Province
I.3. Importance socioโรฉconomique du cheval
I.3.1.Aspects รฉconomiques
I.3.1.2. Consommation hippophagique
I.3.2. Aspect social
CHAPITRE II : DOMINANTES PATHOLOGIQUES DES EQUIDES AU CAMEROUN
II.1. Maladies virales
II.2. Maladies bactรฉriennes
II.3. Maladies parasitaires
II.4. Autres affections courantes
CHAPITRE III : LA TRYPANOSOMOSE EQUINE
III.1. Gรฉnรฉralitรฉs
III.2. Caractรจres gรฉnรฉraux des trypanosomes
III.2.1. Dรฉfinition
III.2.2. Systรฉmatique
III.2.3. Morphologie des Trypanosomatidรฉs
III.2.4. Structure des Trypanosomatidรฉs
III.2.5. Nutrition
III.2.6. Reproduction
III. 3. Les vecteurs et la transmission des trypanosomes africains
III.3.1. Trypanosomoses รฉquines transmises par des glossines
III.3.2. Trypanosomoses รฉquines transmises par des taons
III.3.3. La dourine
III.4. Etude clinique
III.4.1. Symptomatologie gรฉnรฉrale
III.4.2. Lรฉsions gรฉnรฉrales
III.4.3. Trypanosomoses spรฉcifiques des รฉquidรฉs
III.5. La trypanotolรฉrance
III.6. Diagnostic
III.6.1. Diagnostic de terrain
III.6.2. Diagnostic de laboratoire
III.7. Moyens de lutte
PARTIE II : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I. 1 Cadre et pรฉriode dโรฉtude
I.1.1 Choix des zones dโรฉtude
I.1.2 Pรฉriode dโรฉtude
I. 2 Matรฉriel
I.2.1. Le matรฉriel animal (les chevaux)
I.2.2 Le Matรฉriel de terrain
I.2.3 Le Matรฉriel de laboratoire
I.3 Mรฉthodes
I.3.1. Enquรชte sur le terrain
I.3.2. Examen clinique et prรฉlรจvement
I.3.3 Analyses
I.3.4. Traitement des donnรฉes
CHAPITRE II : RESULTATS
II.1 Donnรฉes gรฉnรฉrales
II. 2 Typologie des propriรฉtaires
II.3 Donnรฉes cliniques et biologiques
II.4 Rรฉsultats des analyses parasitologiques et sรฉrologiques
CHAPITRE III : DICUSSION ET RECOMMANDATIONS
III.1. Discussion
III.1.1. Choix des sites dโรฉtude
III.1.2. Mรฉthodologie et dรฉroulement de lโenquรชte
III.1.3. Utilisations du cheval par les propriรฉtaires
III.1.4. Rรฉsultats cliniques
III.2. Recommandations
III.2.1. Recommandations aux รฉleveurs et propriรฉtaires de chevaux
III.2.2. Recommandations ร lโEtat
III.2.3 Aux chercheurs
CONCLUSION
Bibliographie
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