Dominantes pathologiques chez les asins

Races d’ânes rencontrées au Burkina Faso

       L’âne domestique est rencontré, d’une façon générale, dans les zones sahéliennes subdésertiques, sahélo-soudanienne et Nord-soudanienne. Son habitat est un peu plus développé vers le Sud. Très peu de documentation existe sur la classification ethnologique des ânes en Afrique. Pendant la période coloniale, DOUTRESSOULE (1948) a distinctement décrit six variétés d’ânes dans les pays sahéliens d’Afrique de l’Ouest que sont : l’âne de l’Aïr ou Kobé (appellation locale), l’âne de Mauritanie, l’âne du Sahel, l’âne de Minianka, l’âne du Gourma et l’âne du Yatenga. Le poids moyen d’un âne est de 150 kg.
Ane de l’Aïr ou Kobé D’une taille de 1m à 1,10m ; il est trapu avec une tête longue et fine. Son crane est étroit et court avec une face longue, une encolure moyenne. Il possède un garrot puissant et son dos est droit avec une croupe un peu avalée. Sa robe est de couleur grise et blanche ou encore rouan et blanche.
Ane de Mauritanie On le reconnait par les caractéristiques suivantes : une tête carrée, un front large, des naseaux minces, un dos horizontal, une croupe courte, des membres nets. Ses poils sont ras dont la robe varie du gris clair au bai foncé à bande cruciale (la bande qui combine la raie de mulet et la bande scapulaire) marquée. Cet âne est de petite taille qui varie entre 0,90 et 1,05 m.
Ane du Sahel Osseux et musclé, sa tête est lourde et disgracieuse avec un crâne étroit et une face longue. Plus grand et plus étriqué que l’âne de l’Aïr. Son système pileux est aussi plus grossier que celui de l’Aïr avec une robe grise quelquefois dépourvue de bande cruciale (bande qui combine la raie de mulet et la bande scapulaire).
Ane de Minianka Sa robe est beige avec une bande dorsale et cruciale (la bande qui combine la raie de mulet et la bande scapulaire) plus sombre-clair sous le ventre et aux membres, légèrement zébré au canon, aux jambes et avant-bras. Il a une tête longue, un chanfrein rectiligne, des oreilles longues, un dos solide et une petite taille (0,90 à 1m)
Ane du Gourma Il a une taille moyenne entre 1,05 et 1,10 m, de robe grise dont le blanc domine et un corps à dessus solide et de bonne qualité.
Ane du Yatenga Animal fortement charpenté et solide, sa tête est lourde et disgracieuse avec de grandes oreilles et un chanfrein rectiligne. Il a un squelette et une musculature plus développés que chez les autres races. Avec une taille qui varie entre 1,05 et 1,15 m ; sa robe est de couleur grise ardoisée, quelque fois nuancée à marque cruciale très apparent. Son poil est fin et de longueur moyenne (3 à 5 cm) et sa crinière assez forte.
Ane hybride Le baudet est le mâle de l’âne, la femelle l’ânesse et le jeune l’ânon. L’hybride issu du croisement entre âne et jument se nomme le mulet ou la mule et celui issu du croisement entre étalon et ânesse se nomme le bardot ou la bardine. Contrairement au cheval qui a six (06) vertèbres lombaires, l’âne en possède cinq (05) ; ce qui diminue la souplesse de ses reins, mais augmente sa force lui permettant de porter de lourdes charges (BAROME, 1986). L’homme croise l’âne/jument et le cheval/ânesse depuis -3000 ans, pour retrouver dans l’hybride bardot/mulet, la taille et la rapidité du cheval, ainsi que la résistance et l’endurance de l’âne (BRAUDEL, 2003). Les Romains auraient amené cette pratique en Gaule dès le Ier siècle (CHABCHOUB et all., 2008). La plupart du temps, ces animaux sont stériles, leur caryotype est à 63 chromosomes. Par contre, ceux du cheval et de l’âne sont respectivement à 64, 62 chromosomes (CHABCHOUB et all., 2008). Leur cri est intermédiaire entre le hennissement (cheval) et le braiment (âne). Leur gabarit est en effet remarquable, avec un poids avoisinant parfois les 600 kg. En Afrique Occidentale, les hybrides sont peu nombreux en raison des croyances. Ils sont importés de France et d’Afrique du Nord. Chez certains peuples noirs, si l’âne est méprisé, le mulet quant à lui est banni car personne ne veut qu’un âne s’accouple avec sa jument. Pour des raisons climatiques, les mulets importés d’Europe vivent difficilement en Afrique et accusent un taux de mortalité très élevé. Mais d’autres expériences tentées dans la boucle du Niger par des Haoussa ont permis aux autres peuples de s’affranchir de leurs préjugés pour se livrer à cette exploitation au détriment de l’élevage de l’âne. La mulasserie de Sotuba (Mali) produisait des mulets appréciés par les populations de cette région (OUMSONRE, 1987).Au Burkina Faso, une telle expérience ne semble pas encore avoir vu le jour. Cependant le pays dispose d’éléments fondamentaux nécessaires (population asine et équine) permettant d’entreprendre cette expérience de croisements.

Importance socio-culturelle

       Au Burkina Faso, les ânes sont les seuls parmi les équidés à être utilisés dans la traction. Il existe des chevaux mais, étant considérés comme des animaux de luxe dans le pays, ils ne sont utilisés que pour des escortes présidentielles, coutumières ou encore lors des mariages (BROOKE, 2020). L’importance sociale de l’âne au Burkina Faso découle de l’intérêt économique, alimentaire et mystique que joue l’âne. En effet, ces différents facteurs contribuent à l’amélioration du bien- être social des populations et surtout de la femme. En contribuant aux travaux champêtres, au transport de l’eau et à la transformation des produits agricoles, l’âne allège non seulement les travaux de la femme mais peut également constituer une source de revenu pour elle (TAPSOBA, 2012). Dans le domaine socio-médical, certaines parties ou organes de l’âne sont utilisées soit pour combattre certaines affections, soit à des fins diverses (fétiches à l’aide d’une queue d’âne) (OUMSONRE, 1987). Malgré les interdits religieux, certaines parties et organes de l’âne sont utilisés dans le traitement traditionnel des affections ci-après :
– coqueluche : le lait d’ânesse est utilisé per os à raison d’une cuillerée à soupe 3 fois par jour pendant 4 à 5 jours ; les effets bénéfiques ne se feraient pas attendre ;
– douleur généralisée ou localisée de la région thoracique : la côte d’âne est incinérée, réduite en poudre puis pétrie avec du beurre de karité pour application externe sur la région affectée ;
– piqûre de scorpion : le cérumen récolté fraichement d’oreille d’âne est directement appliqué au point d’inoculation, suivi d’un léger massage ;
– prolapsus du rectum et hémorroïdes : le sabot d’âne est incinéré, réduit en poudre pour application directe sur la partie malade (les effets bénéfiques de cette médication sont bien connus au Burkina Faso dans le traitement des hémorroïdes infantiles) ;
– dystocies : l’organe utilisé est le placenta (cet organe récupéré lors de mise bas d’une femelle gestante est traité avant d’être administré à la femme en dystocie probablement par voie orale. Le secret qui entoure l’utilisation de cet organe en milieu rural n’a pas permis d’avoir des renseignements clairs et précis).

Anémie infectieuse des équidés

Définition L’anémie infectieuse des équidés (AIE) est une maladie virale et contagieuse causée par un rétrovirus et transmise par des insectes hématophages. Elle attaque tous les animaux appartenant à l’espèce des équidés (cheval, mulet et âne). Elle appartient à la famille des Rétroviridae, du genre Lentivirus. Les variations antigéniques de ce virus sont importantes, d’où l’existence de nombreux types antigéniquement différents. Elle se caractérise essentiellement par une fièvre intermittente, un amaigrissement, une faiblesse grandissante, une anémie plus ou moins sévère, un ictère et des œdèmes en partie déclive (CATCOTT et SMITHCORS, 1974). L’infection est endémique en Amérique, une partie de l’Europe, le Moyen et L’Extrême-Orient, la Russie et l’Afrique du sud.
Mode de transmission La transmission du virus de l’AIE s’effectue par le biais du sang infecté grâce à l’action des arthropodes hématophages (taons), des aiguilles et du matériel chirurgical contaminés. La femelle infectée peut également transmettre le virus à son produit in utéro ou après la naissance, par les leucocytes présents dans le lait (CATCOTT et SMITHCORS, 1974).
Signes cliniques La durée d’incubation du virus de l’AIE est de 15 à 45 jours. La presque totalité des animaux infectés sont des porteurs asymptomatiques. Le tableau clinique est très protéiforme et se traduit par des formes cliniques aiguës sub-clinique ou chroniques une forme asymptomatique (CATCOTT et SMITHCORS, 1974).
Pathogénie Le virus infecte les lymphocytes et intègre leur génome provoquant ainsi des effets dégénératifs ou prolifératifs. Il en résulte une anémie et une leucopénie. Par ailleurs, la présence concomitante d’anticorps et de virus induit la formation de complexes immuns qui sont la cause de la vascularité et de la glomérulonéphrite. A rappeler que le virus de l’anémie infectieuse persiste chez l’animal après infection primaire ; il produit une virémie pouvant durer toute la vie de l’animal. Lorsque les mutants viraux sont produits, ils échappent à la réponse immune et sont responsables d’épisodes récurrents chez les équidés virémiques (CATCOTT et SMITHCORS, 1974).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE 
CHAPITRE I : ELEVAGE DES ANES AU BURKINA FASO
1.1 Présentation du pays
1.2 Races d’ânes rencontrées au Burkina Faso
I.2.1 Ane de l’Aïr ou Kobé
I.2.2 Ane de Mauritanie
I.2.3 Ane du Sahel
I.2.4 Ane de Minianka
I.2.5 Ane du Gourma
I.2.6 Ane du Yatenga
I.2.7 Ane hybride
1.3 Système, alimentation et mode d’élevage des ânes
I.3.1 Système d’élevage
I.3.2 Alimentation
I.3.3 Modes d’élevage
I.3.3.1 Sédentarisme
I.3.3.2 Nomadisme
I.3.3.3 Transhumance
1.4 Importance économique et socio-culturelle des asins au Burkina Faso
I.4.1 Importance économique
I.4.2 Importance socio-culturelle
1.5 Les contraintes de l’élevage des équidés au Burkina Faso
CHAPITRE II : DOMINANTES PATHOLOGIQUES DES EQUIDES  Affections virales
II.1.1 Anémie infectieuse des équidés
II.1.1.1 Définition
II.1.1.2 Mode de transmission
II.1.1.3 Signes cliniques
II.1.1.4 Pathogénie
II.1.1.5 Diagnostic
II.1.1.6 Traitement et prophylaxie
II.1.2 Artérite virale équine
II.1.2.1 Définition
II.1.2.2 Signes cliniques
II.1.2.3 Pathogénie
II.1.2.4 Traitement
II.1.2.5 Prophylaxie
II.1.3 Peste équine
II.1.3.1 Définition
II.1.3.2 Signes cliniques
II.1.3.3 Diagnostic
II.1.3.4 Traitement et prophylaxie
II.1.4 Grippe équine
II.1.4.1 Définition
II.1.4.2 Transmission
II.1.4.3 Symptômes
II.1.4.4 Diagnostic
II.1.4.5 Traitement
II.1.4.6 Prophylaxie
II.1.5 Rhino-pneumonie équine
II.1.6 Rage équine
II.1.6.1 Définition
II.1.6.2 Importance
II.1.6.3 Physiopathologie
II.1.6.4 Diagnostic
II.1.6.5 Prophylaxie
II.1.7 Stomatite vésiculeuse
II.1.7.1 Définition
II.1.7.2 Transmission
II.1.7.3 Signes cliniques
II.1.7.4 Diagnostic
II.1.7.5 Traitement et prophylaxie
II.1.8 Méningo-encéphalite virale
II.2 Maladies bactériennes
II.2.1 Tétanos
II.2.1.1 Définition
II.2.1.2 Pathogénie
II.2.1.3 Signes cliniques
II.2.1.4 Traitement
II.2.1.5 Prophylaxie
II.2.2 Gourme
II.2.2.1 Définition
II.2.2.2 Transmission
II.2.2.3 Signes cliniques
II.2.2.4 Diagnostic
II.2.2.5 Traitement
II.2.2.6 Prophylaxie
II.2.3 Salmonellose
II.2.4 Rhodococcose
II.2.4.1 Définition
II.2.4.2 Pathogénie
II.2.4.3 Signes cliniques
II.2.4.4 Traitement et prophylaxie
II.3 Affections parasitaires et fongiques
II.3.1 Parasites gastro-intestinaux
II.3.1.1 Strongyloses
II.3.1.1.1 Définition
II.3.1.1.2 Signes cliniques
II.3.1.1.3 Diagnostic
II.3.1.1.4 Traitement
II.3.1.1.5 Prophylaxie
II.3.1.2 Oxyuriose
II.3.1.2.1 Définition
II.3.1.2.2 Signes cliniques
II.3.1.2.3 Diagnostic
II.3.1.2.4 Traitement et prophylaxie
II.3.1.3 Ascaridiose
II.3.1.3.1 Définition
II.3.1.3.2 Signes cliniques
II.3.1.3.3 Traitement et prophylaxie
II.3.1.4 Strongyloïdose
II.3.1.5 Téniasis ou Anaplocéphalidose
II.3.2 Parasitoses sanguines (hémoparasitoses)
II.3.2.1 Trypanosomose
II.3.2.1.1 Définition
II.3.2.1.2 Mode de transmission et symptômes
II.3.2.1.3 Diagnostic
II.3.2.1.4 Traitement et prophylaxie
II.3.2.2 Babésiose
II.3.2.2.1 Définition
II.3.2.2.2 Signes cliniques
II.3.2.2.3 Traitement et prophylaxie
II.3.3 Myiases
II.3.3.1 Myiases gastro-intestinales
II.3.3.1.1 Définition
II.3.3.1.2 Signes cliniques
II.3.3.1.3 Diagnostic
II.3.3.1.4 Traitement et prophylaxie
II.3.3.2 Gales
II.3.3.2.1 Gale sarcoptique
II.3.3.2.1.1 Définition
II.3.3.2.1.2 Importance
II.3.3.2.1.3 Sources de parasites
II.3.3.2.1.4 Mode d’infestation
II.3.3.2.1.5 Pathogénie
II.3.3.2.2 Gale chorioptique
II.3.3.2.3 La gale psoroptique
II.3.3.2.3.1 Définition
II.3.3.2.3.2 Diagnostic
II.3.3.2.4 Traitement des gales
II.3.3.2.5 Prophylaxie des gales
II.3.3.3 Habronémose
II.3.3.3.1 Habronémose cutanée
II.3.3.3.1.1 Définition
II.3.3.3.1.2 Epidémiologie
II.3.3.3.1.3 Sources et mode de contamination
II.3.3.3.1.4 Pathogénie
II.3.3.3.1.5 Symptômes
II.3.3.3.2 Habronémose génitale
II.3.3.3.2.1 Définition
II.3.3.3.2.2 Diagnostic
II.3.3.3.2.3 Traitement
II.3.3.3.2.4 Prophylaxie
II.3.3.3.3 Habronémose oculaire
II.3.3.3.3.1 Définition
II.3.3.3.3.2 Etiologie
II.3.3.3.3.3 Mode de contamination
II.3.3.3.3.4 Etude clinique
II.3.3.3.3.5 Diagnostic
II.3.3.3.3.6 Traitement et prévention
II.3.3.4 Mycoses
II.3.3.4.1 Dermatophytoses (teignes)
II.3.3.4.1.1 Définition
II.3.3.4.1.2 Epidémiologie
II.3.3.4.1.3 Signes cliniques
II.3.3.4.1.4 Diagnostic
II.3.3.4.1.5 Traitement
II.3.3.4.1.6 Prévention
II.3.3.4.2 Lymphangite épizootique
II.3.3.4.2.1 Définition
II.3.3.4.2.2 Symptômes
II.3.3.4.2.3 Evolution
II.3.3.4.2.4 Diagnostic
II.3.3.4.2.5 Pronostic
II.3.3.4.2.6 Traitement
II.4 Affections d’origine toxique et métabolique
II.4.1 Dysautonomie équine ou maladie de l’herbe
II.4.1.1 Définition
II.4.1.2 Epidémiologie
II.4.1.3 Etude clinique
II.4.1.4 Diagnostic
II.4.1.5 Traitement
II.4.2 Intoxications aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
II.4.2.1 Définition
II.4.2.2 Signes cliniques
II.4.2.3 Diagnostic
II.4.2.4 Traitement
II.4.3 Hypocalcémie
II.4.3.1 Définition
II.4.3.2 Signes cliniques
II.4.3.3 Traitement
II.5 Coliques
II.5.1 Définition et classification
II.5.2 Classification selon l’anomalie fonctionnelle et la lésion
II.5.3 Signes cliniques
II.5.4 Diagnostic
II.5.5 Traitement
II.6 Tumeurs et autres affections
II.6.1 Carcinome à cellules squameuses (Epithélioma spinocellulaire, Epithélioma épidermoïde)
II.6.1.1 Définition
II.6.1.2 Symptômes
II.6.1.3 Diagnostic
II.6.1.4 Traitement
II.6.2 Mélanome cutané
II.6.2.1 Définition
II.6.2.2 Symptômes
II.6.2.3 Diagnostic
II.6.2.4 Traitement
II.6.3 Papillomatose équin
II.6.3.1 Définition
II.6.3.2 Symptômes et diagnostic
II.6.3.3 Traitement
II.6.4 Mal du garrot
II.6.4.1 Définition
II.6.4.2 Traitement
DEUXIEME PARTIE : PARTIE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1 Zones et période d’étude
I.2 Matériel et méthodes
I.2.1 Matériel
I.2.1.1 Anes
I.2.1.2 Fiches d’enquête
I.2.1.3 Matériel divers
I.2.2 Méthodes
I.2.2.1 Enquêtes exploratoires et rétrospectives
I.2.2.2 Examen clinique des animaux
I.2.2.3 Analyses au laboratoire
I.2.2.4 Traitement des données
CHAPITRE II : RESULTATS
II.1 Données générales
II.1.1 Effectifs
II.1.2 Mode d’élevage et habitat
II.1.3 Activité des ânes
II.1.4 Alimentation
II.1.5 Passé médical des animaux et leur suivi sanitaire
II.1.6 Bien-être animal
II.1.7 Données rétrospectives
II.2 Données recueillies après les examens cliniques
II.2.1 Proportions des différents cas cliniques
II.2.2 Les principales maladies diagnostiquées
II.3 Prise en charge
II.3.1 Prise en charge par l’éleveur
II.3.2 Prise en charge par les professionnels de santé animale
III. CHAPITRE III : DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS
Discussion
III.1.1 Cadre d’étude
III.1.2 Déroulement de l’enquête
III.1.3 Résultats
III.1.3.1 Le passé médical
III.1.3.2 Les données rétrospectives
III.1.3.3 Sur les pathologies rencontrées
Recommandations
III.2.1 Autorités publiques
III.2.2 Aux propriétaires et utilisateurs des ânes
III.2.3 . Aux vétérinaires et professionnels de santé animale
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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