Diversité floristique et caractéristiques structurales des peuplements ligneux

PEDOLOGIE

Les études sur les sols du bassin versant du Ferlo sont nombreuses, celles notamment de Maignien, (1965), Leprun, (1971), Bille, (1977), Le Houerou, (1989), CSE, ROSELT/OSS (2002) permettent de distinguer cinq grands ensembles de types de sol :
– les sols isohumiques, rouge brun subarides recouvrent le nord et l‟ouest de la région;
– les sols ferrugineux tropicaux localisés au nord, à l‟ouest et au sud du Ferlo;
– les régosols occupent toute la partie centrale;
– les lithosols, par contre, sont situés dans le Ferlo oriental ;
– les sols hydromorphes recouvrent les anciennes terres des vallées fossiles du Ferlo.
Les sols rouge-brun subarides du Ferlo septentrional et occidental se caractérisent par une pauvreté en matière organique et une faible fertilité chimique. Ils se composent essentiellement de sables (entre 80 et 85%) et d‟argiles en surface (35%). Ces sols rouge-brun subarides couvrent les dunes fossiles du Quaternaire et sont appelés sols «diors».
Les sols ferrugineux tropicaux du Ferlo occidental et méridional ont une texture de type sableux à sablo-argileux. Ces sols, peu lessivés, de couleur rouge ou ocre sont également caractérisés par une pauvreté en éléments organiques. Ils proviennent des grès du Continental terminal et sont localisés dans un environnement végétal un peu plus favorable avec une teneur en azote, en phosphore et en matière organique nettement plus élevés (CSE/ROSELT/OSS, 2002). Les sols férrugineux présentent
donc des caractéristiques physico-chimiques et une fertilité meilleures que les sols rouge-brun sbarides.
Cette amélioration de la fertilité reste quand même très faible.
Les lithosols sur affleurement rocheux couvrent presque tout l‟est du Ferlo. Ils sont très peu épais et limités en profondeur par la cuirasse continue dont les fragments peu altérés constituent l‟essentiel du profil. Selon Boulet, (1968), les lithosols sont des sols minéraux bruts d‟érosion non climatique qui englobent les affleurements de roches inaltérées dures.
Les régosols du Ferlo, sont très peu profonds, peu évolués et ne présentent donc pas d‟horizons diversifiés. Ils occupent en général le bas des pentes en association avec les lithosols.
Les lithosols et les régosols sont caractérisés par l‟affleurement de la cuirasse et une dissémination des produits de démantèlement de cette cuirasse sur toute l‟étendue des unités (ROSELT/OSS, 2002).
Les sols hydromorphes de la vallée alluviale du Ferlo et de ses anciens affluents, présentent des caractéristiques texturales variables allant du limon sableux au limon argileux en profondeur. Comparés aux autres types de sols, les sols hydromorphes ont évidemment une meilleure teneur e n matière organique ce qui les rend fertiles. Ils sont visibles sur les pentes et le long des vallées du Ferlo et sont favorables aux cultures maraîchères qui sont pratiquées dans les bas -fonds.

COUVERTURE VEGETALE

L‟absence de reliefs accidentés et le développement limité du réseau hydrographique donnent aux facteurs climatiques et notamment aux précipitations un rôle prépondérant dans la répartition des paysages végétaux du Sénégal (N‟diaye, 1980). Ainsi, le bassin versant du Ferlo n‟échappe pas à une évolution de la végétation selon un gradient pluviométrique NW/SE expliquant une disposition zonale des domaines phytogéographiques, interrompus par quelques formations azonales dans la vallée du Ferlo. Les grands types de végétation influencés par le climat, qui joue un rôle essentiel dans la structure et la composition floristique, mais aussi par les grandes formations édaphiques, se présentent au Ferlo sous forme de pseudo-steppes arbustives et de savanes arbustives.
La composition floristique de la zone sylvo-pastorale a fait l‟objet d‟études sectorielles nombreuses, parfois même très récentes à l‟image de celle de Ngom, 2013. Elles permettent de comptabiliser les espèces dominantes. En faisant référence à l‟étude menée à Fété-Olé, au nord de la zone sylvopastorale, on recense dans une parcelle de 25 hectares, lors du Programme Biologique International 11 (PIB.), plus de 20 000 individus ligneux qui sont composés pour 97% des espèces Guiera senegalensis, Balanites aegyptiaca, Grewia bicolor, Commiphora africana, Boscia senegalensis, Acacia senegal (Bille, 1977).
Guiera senegalensis (53%), Balanites aegyptiaca (13%), Grewia bicolor (10%), Commiphora africana (10%), Acacia senegal (7%) et Boscia senegalensis (7%) constituent les espèces lignueses prédominantes dans la partie septentrionale de la zone sylvo-pastorale (Poupon, 1980). SelonSylla, (1986), la flore est composé essentiellement d‟herbacées. Les travaux de Valenza et Diallo, (1972) concernant les parcours naturels au nord du Sénégal distinguent sept types de formations végétales selon la nature du substrat. A l‟optimum de son développement, c‟est -à-dire à la fin de la saison des pluies, la végétation est composée d‟un tapis herbacé, plus ou moins continu, constitué d‟espèces annuelles pouvant atteindre 50 cm à 1 m de hauteur (Akpo, 1992) mais aussi de ligneux fréquemment épineux à dominante arbustive. La prédominance des espèces annuelles est l‟un des facteurs explicatifs de l‟évolution de la biomasse à l‟échelle de la saison végétative, particulièrement, entre les mois d‟août et de septembre.
En résumé, la végétation du Ferlo est scindée en une strate arborée et arborescente, en une strate des arbrisseaux et buissons et en dernier lieu en une strate herbacée. La strate ligneuse (arbres, arbrisseaux et buissons), également abondante, est composée d‟espèces telles que Combretum glutinosum, Prosopis africana, Tamarindus indica, les genres Acacia, Balanites aegyptiaca aux fruits oléagineux, Adansonia digitata, Guiera senegalensis, Ziziphus mauritiana, etc… L‟essentiel de la strate herbacée est constituée de Cenchrus biflorus, Dactyloctenium aegyptium, Aristida mutabilis, Schoenefeldia gracilis et Zornia glochidiata.

DEMOGRAPHIE

La zone sylvo-pastorale se trouve à cheval entre Saint-Louis, Matam et Louga, sur trois régions administratives du Sénégal septentrional. L‟étude des caractéristiques générales de la démographie à l‟échelle des communautés rurales n‟est pas évidente dans cette zone même si des recensements et des prévisions récents de la population ont été faits par les pouvoirs publics. De multiples études sectorielles sur la démographie de la zone sylvo-pastorale ont été réalisées dans le cadre d‟études de projets tels que ROSELT/OSS (depuis 1992), PPZS (lancé depuis 2001), PAPEL (depuis 199 2), effectuées sur cette même zone. La plupart de ces études se sont concentrées dans le Ferlo Sud et Sud-ouest, c‟est-à-dire dans le département de Linguère et celui de Louga. Les données dans le Nord et dans l‟Est sont moins riches et peu fréquentes. Outre ces rapports, l‟analyse s‟appuiera également sur des données récentes obtenues dans le cadre des enquêtes socio -économiques réalisées par le programme ROSELT au Ferlo surtout dans le département de Linguère.
Les différents recensements de la population ont eu lieu dans des situations difficiles à cause de l‟extrême mobilité des populations locales. D‟autres paramètres sociaux et culturels constituent également un frein pour l‟obtention de données fiables sur la population. Ainsi en fonction des motivations de chaque chef de famille, les chiffres avancés sont interprétés, soit positivement, en espérant avoir une aide financière des pouvoirs publics, soit négativement, pour fuir d‟éventuels contrôles fiscaux. En outre, un argument sociologique de nature superstitieuse incite les chefs de famille à ne jamais compter les membres de leurs familles sous peine de les voir décroître. Cependant ces données recueillies permettent de définir les caractéristiques générales d‟une population jeune, à majorité Peul. D‟autres ethnies comme les Wolofs, les Maures, les Sérères et les Laobés sont aussi bien représentées au Ferlo.
Selon les recensements généraux de la population et de l‟habitat (RGPH) de 1988 et des estimations de la population en 2001 effectués par l‟Etat sénégalais dans 60 communautés rurales réparties sur huit départements (Dagana, Saint-Louis, Podor, Ranérou, Kanel, Matam, Louga et Linguère), lapopulation de la zone sylvo-pastorale est estimée aujourd‟hui à 500 000 habitants.

ACTIVITES ECONOMIQUES

L‟organisation des systèmes d‟exploitation est caractérisée par un ensemble de facteurs dont les plus importants sont des pratiques sociales, économiques et culturelles des populations en association avec les potentialités dynamiques offertes par le milie u. Dans le bassin versant du Ferlo, les systèmes de production traditionnels combinent les trois activités essentielles que sont l‟agriculture, la cueillette et l‟élevage.

L’agriculture

L‟agriculture est une activité importante dans le bassin versant du Ferlo. Elle est pratiquée essentiellement par les Wolofs et les Sérères, mais aussi par les Peuls et les Toucouleurs. Pratiquée sous pluie et en décrue, l‟agriculture fut naguère plus orientée vers l‟autoconsommation ce qui favorisa un commerce de troc d‟une partie de la récolte si le besoin se faisait sentir. L‟extension de l‟activité agricole dans le bassin versant du Ferlo surtout dans sa partie sud et sud-ouest est liée à la progression du front agricole à la suite du déclin progressif de l‟ancien bassin arachidier des régions historiques du Baol, du Sine, du Saloum et du Kayor (Sarr, 2009). La venue des paysans arachidiers dans la région de Barkédji remonte au début des années 1930 (Santoir, 1983). Des populations agricoles du Baol profond sont également trouvées dans cette région à la conquête de terres plus fertiles. Les travauxde Lake et Touré, (1984) montrent que, de 1954 à 1979, la culture de l‟arachide s‟est implantée dans la haute vallée du Ferlo (Linguère et environs) entrainant une disparition progressive des parcours pastoraux des Peuls «désarmés par leur dispersion géographique, leur segmentation sociale et le caractère évanescent de l‟occupation de l‟espace (par l‟élevage)».
Limité au nord par la vallée et le Delta du fleuve Sénégal, le bassin versant du Ferlo, a subi dans les parties septentrionales et occidentales des influences liées aux grands aménagements hydro  agricoles de la Société d’Aménagement et d’Exploitation des terres du delta du fleuve Sénégal et de la Falémé (SAED). L‟attirance réelle due aux activités rizicoles dans le delta et à l‟établissement de périmètres irrigués villageois (PIV) a entraîné la marginalisation des activités pastorales et a freiné les mouvements et les déplacements de populations du Jeeri (partie non inondable de la vallée) vers le Walo (partie inondable). Cette situation est la conséquence d‟activités agro -pastorales qui sont favorisées par l‟ouverture d‟une série de forages mécanisés dans les années 1950.
La réalisation de forages mécanisés apparaît au premier abord comme l‟événement majeur de l‟histoire contemporaine de toute la zone sylvo-pastorale. La mise en service des forages à exhauremécaniquea radicalement modifié les conditions d‟occupation et d‟utilisation de l‟espace en permettant à t oute une population jadis saisonnière de s‟y installer de façon relativement permanente. Dupire, (1957) et Barral, (1982) montrent le déclin progressif des grandes transhumances saisonnières dans ce nouveau contexte d‟aménagements hydrauliques. Les paysages périphériques ainsi que l‟intérieur de la zone du Ferlo sont perpétuellement menacés par une progression de l‟agriculture.
L‟agriculture sous pluie a toujours existé en complément de l‟activité dominante qu‟est le pastoralisme même s‟il ne faut pas minimiser le rôle de la cueillette, très secondaire, mais qui fait partie du dynamisme économique de la région.

La cueillette

La cueillette est une activité très ancienne dans cette partie du Sénégal. Elle nécessite peu d‟investissements financiers si on la compare à l‟agriculture par exemple. Les produits de la cueillette exploités à l‟échelon national concernent principalement les fruits, la gomme, les résines, les gousses, les feuilles et les écorces. Parmi les fruits les plus exploités au Sénégal, on r etrouve le « bouy » (Adansonia digitata), le « sidem » (Ziziphus mauritiana), le « soump » (Balanites aegyptiaca), le « dakhaar » (Tamarindus indica). Kane, (2007) montre que 18,8% des besoins alimentaires et élémentaires des paysans en milieu sud-soudanien sénégalais proviennent de la cueillette végétale.
Dans le bassin versant du Ferlo, l‟activité de la cueillette concerne essentiellement l‟exploitation de la gomme arabique. Elle est obtenue par la saignée du gommier (Acacia senegal). L‟essentiel de la production vient des régions de Louga, de Saint Louis et de Matam. Aujourd‟hui, même si la cueillette de la gomme arabique ne mobilise pas beaucoup d‟actifs, elle fait intervenir de plus en plus de programmes de développement pour son exportation et sa commercialisation. A ce propos,  onconstate que la production a connu une reprise au cours des deux dernières décennies, cette situation est fortement influencée par l‟amélioration des précipitations enregistrées à partir des années 1990 quia d‟ailleurs eu des répercussions sur l‟organisation du système pastoral.

RESULTATS

Typologie des profils

Parmi les neufs (09) profils réalisés, quatre seulement ont été présentés dans ce chapitre, les cinq autres sont mentionnés en annexes. Il s‟agit de deux profils du Ferlo nord (bas fond Téssékéré et plateau Labgar) et deux du Ferlo sud (bas fond Kamb et plateau Déali). Les résultats de la description des profils ont été présentés en utilisant le guide pour la description des sols de Baize et Jabiol (1995) avec une échelle de 1/10.

Les profils du Ferlo nord

Le profil présenté par la Figure 6 a été réalisé au niveau d‟un plateau à Labgar. Il comprend quatre horizons et est localisé au 15°49‟42,4‟‟nord et 14°49‟41,2‟‟ouest, sur une pente faible d‟une zone pâturée couverte par un tapis herbacé discontinu. Ces horizons peu compacts voir meubles ont une texture sablo-limoneuse et une structure fragmentaire à particulaire. Ils sont caractèrisés p ar une faible présence de radicelles, ce qui témoigne de la faible densité de végétation dans les plateaux et une transition le plus souvent nette et parfois progressive (Fig. 6)

DISCUSSION

Les paramètres physico-chimiques des sols de la zone du Ferlo présentent une importante variabilité spatiale.
L’activité du sol, tout comme la disponibilité de la majeure partie des éléments nutritifs dépend du pH (Bertschinger et al., 2003). En considérant ce paramètre (pH), les sols du Ferlo sont caractérisés par une forte acidité surtout dans sa partie nord ce qui pourrait entraver la biodisponibilité des éléments nutritifs dans le sol. Dans beaucoup de cas, les carences en oligo-éléments sont dues à un pH du sol trop faible (FAO, 2003). L‟acidité de ces sols pourrait en partie être expliquée par l‟agressivité climatique qui appauvrit les sols (Coudray et Rouguerra, 1994) et l‟effet de leur altération sous l‟action des eaux pluviales entraînant la lixiviation des éléments tels que le calcium (Pieri, 1989). En effet, les variations de concentrations en calcium échangeables sont à relier au pH. Lorsque ce dernier est supérieur à 7, le calcium occupe au moins les deux tiers des cations échangeables (Pernes-Debuyser et Tessier,2002), ceci corrobore parfaitement avec nos résultats.
Les sols du Ferlo ne sont pas salés comme le montrent les valeurs des conductivités électriques. Cette absence de salinisation des sols pourrait être expliquée par l‟inexistence d‟une intrusion marine et l‟absence d‟irrigations par des eaux salées. Selon Halitim et Daoud, 1994, le développement de l’irrigation, s’il constitue un espoir pour les régions arides, se traduit souvent par une remontée du niveau de la nappe superficielle et par une augmentation de la salinité.
Concernant la texture, les sols de la zone du Ferlo sont caractérisés par une dominance de la fraction sableuse sur les argiles et les limons surtout au niveau des plateaux. Ce fait serait lié à la nature du matériau originel ou roche mère et à certains facteurs climatiques comme le vent et la pluie qui entraineraient les éléments fins (argile et limons) vers les bas fonds. Ce drainage des éléments fins vers les zones basses pourrait expliquer les textures équilibrées des sols des bas fonds avec un taux assez important d‟éléments fins. Les textures sont plus grossières dans les sols du Ferlo sud où les t aux de sables atteignent parfois 90%. La texture explique certaines propriétés physiques et mécaniques des sols, notamment celles liées à sa teneur en eau et son mouvement, à son comportement vis à vis de l’air et des racines des végétaux (Soltner, 2000 ; Pansu et Gautheyrou, 2003). Ces dernières sont plus favorables pour les sols des bas fonds du Ferlo à textures équilibrées.
La capacité d‟échange cationique est plus importante dans les sols des bas fonds surtout dans la partie méridionale (Déali et Kamb) avec des valeurs qui dépassent 10 me/100 g. Les teneurs faibles en bases échangeables des plateaux (surtout en calcium et magnésium) s‟expliqueraient par la maturé plus avancée de ces sols constitués presqu‟exclusivement de sables squelettiques. L‟importance de la capacité d‟échange cationique des sols du Ferlo, peut être parfaitement corrélée à leur teneur en argiles et matières organiques. Cela s‟expliquerait non seulement par la nature colloïdale des argiles qui dote les sols d‟une capacité fixatrice de cations élevée, mais aussi par leur combinaison avec la matière organique pour former le complexe argilo humique (ou complexe adsorbant du sol) qui capte les éléments nutritifs chargés positivement (Mareaux, 2010). Elle donne la fertilité chimique du sol (Calvet et Villemin, 1986). Le calcium est la base échangeable la plus représentée surtout au niveau des bas fonds du Ferlo sud où il atteint des teneurs supérieures à 12% dans les sols alcalins. En effet, pour les sols alcalins, le calcium occupe plus des 2/3 des cations échangeables (Pernes-Debuyser et Tessier, 2002).
Les sols du Ferlo sont faiblement pourvus en matières organiques. Cette pauvreté en matière organique pourrait en partie expliquée la déstructuration et la perméabilité de ces sols. En effet, la matière organique exerce un rôle très important sur le sol, elle améliore ses propriétés physiques (stabilitéstructurale, capacité de rétention en eau, etc.) et chimiques par la libération progressif des éléments nutritifs et l’augmentation de leur pouvoir absorbant en éléments minéraux (Callot et al., 1982). Les teneurs les plus élevées en matières organiques, sont notées dans les sols des bas fonds. Ce qui pourrait s‟expliquer par la couverture végétale qui y est quasi-permanente. A cela s‟ajoutent lesconditions microclimatiques qui favorise l‟accumulation de la matière organique dans les bas fonds.

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Table des matières

DEDICACES 
AVANT PROPOS 
TABLE DES MATIERES 
SIGNIFICATION DES SIGLES ET ABREVIATIONS 
LISTE DES ILLUSTRATIONS 
RESUME 
ABSTRACT 
INTRODUCTION GENERALE 
1. PROBLEMATIQUE ET JUSTIFICATION
2. OBJECTIFS ET HYPOTHESES
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA ZONE D‟ETUDE 
1.1 SITUATION GEOGRAPHIQUE
1.2. LE CADRE CLIMATIQUE
1.3. HYDROGRAPHIE ET HYDROLOGIE
1.4. PEDOLOGIE
1.5. COUVERTURE VEGETALE
1.6. DEMOGRAPHIE
1.7. ACTIVITES ECONOMIQUES
1.7.2. La cueillette
1.7.3. L‟élevage
1.7.4. Gestion et occupation des terres
1.8. LES STATIONS D‟ETUDES
CHAPITRE II : ETUDE DES SOLS 
2.1 RESUME
2.2. INTRODUCTION
2.3. MATERIEL ET METHODE
2.3.1. Collecte de données
2.3.2. Analyses au laboratoire
2.3.2.1. Le potentiel Hydrogène (pH) et la conductivité électrique
2.3.2.2. La granulométrie
2.3.2.3. Les bases échangeables et capacité d‟échange cationique
2.3.2.4. Le carbone organique, l‟azote total et le phosphore assimilable
2.3.3. Traitement des données
2.4. RESULTATS
2.4.1. Typologie des profils
2.4.1.1. Les profils du Ferlo nord
2.4.1.2. Les profils du Ferlo sud
2.4.2. Caractéristiques physico-chimiques des horizons
2.4.2.1. Le potentiel Hydrogène (pH) et la conductivité électrique
2.4.2.2. La granulométrie
2.4.2.3. Les bases échangeables et la capacité d‟échange cationique (CEC)
2.4.2.4. Le carbone organique et la matière organique
2.4.2.5. L‟azote total, le rapport C/N et le phosphore assimilable
2.4.2.6. Variation spatiale des sols
2.5. DISCUSSION
2.6. CONCLUSION
CHAPITRE 3 : DIVERSITE FLORISTIQUE ET CARACTERISTIQUES STRUCTURALES DES PEUPLEMENTS LIGNEUX
3.1 RESUME
3.2. INTRODUCTION
3.3. MATERIEL ET METHODES
3.3.1. Inventaire floristique et dendrométrique
3.3.2. Traitement des données
3.3.2.1. Composition et diversité floristique
3.3.2.2. Structure de la végétation
3.3.2.3. Variation spatiale du peuplement ligneux
3.4. RESULTATS
3.4.1. Composition et diversité floristique
3.4.1.1. Composition et richesse floristique
3.4.1.2. Fréquence des espèces
3.4.1.3. Diversité floristique
3.4.1.4. L‟importance écologique des espèces
3.4.1.5. Similitude entre les stations
3.4.2. Caractéristiques structurales
3.4.2.1. Densité du peuplement
3.4.2.2. Le recouvrement du peuplement
3.4.2.3. La distribution des individus selon la circonférence
3.4.2.4. Distribution des individus selon la hauteur
3.4.2.5. Relation de croissance entre la hauteur totale et la circonférence
3.4.2.6. Régénération du peuplement ligneux
3.4.2.7. Dégradation et anthropisation du peuplement ligneux
3.4.2.8. Variation floristique et spatiale du peuplement ligneux
3.5. DISCUSSION
3.6. CONCLUSION
CHAPITRE IV : ETUDE PHYTO-ECOLOGIQUE DE LA STRATE HERBACEE 
4.1. RESUME
4.2. INTRODUCTION
4.3. MATERIEL ET METHODE
4.3.1. Collecte de données
4.3.2. Traitement des données
4.3.2.1. Composition et diversité floristique
4.3.2.2. Analyse phytoécologique
4.4. RESULTATS
4.4.1. Composition et diversité floristique
4.4.1.1. Richesse floristique
4.4.1.2. La fréquence des espèces
4.4.1.3. Similitude entre les stations
4.4.2. Analyse phytoécologique
4.5. DISCUSSION
4.6. CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE 
PERSPECTIVES 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 
ANNEXE

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