Diverses théories et pratiques de salaire

Concepts et méthodes

Cette étude a été référé sur un ouvrage de Pierre Bourdieu De la reproduction sortie en 1970 par l’édition Minuit, le livre parlait beaucoup quelles sont les paramètres pour définir le statut social d’un individu. Il a insisté davantage sur le capital avec ces différentes formes, économique, social, et culturel. Ceux sont des choses acquises,venant de la famille et se transmettent de génération en génération. Cette transmission, voir même l’utilisation de ce capital a été désigné comme facteur d’échec ou de réussite d’un individu. On doit aussi à Emile Durkheim pour la division sociale du travail, dans son ouvrage De la division du travail social (1893), un concept à la fois économique et sociologique désignant la réparation des activités productives, entre des groupes spécialisés dans une forme d’organisation contemporaine de la production industrielle, s’appuyant sur la décomposition du travail en tâches parcellaires, réparties entre plusieurs individus ou groupes d’individus spécialisés, afin d’augmenter la puissance productive d’un personnel souvent peu qualifié. A propos de l’organisation de travail, on a Frederick Winslow Taylor (1856 – 1915) dans le fameux Organisation Scientifique du Travail dont elle repose sur mode d’organisation du travail où l’emportent les considérations humaines et sociales. C’est pourquoi on parle parfois aussi de « division technique du travail » Encore un concept, dans la rubrique perspective, nous appuyons sur l’ouvrage de Martin Weitzman un économiste américain, « l’économie de partage, vaincre la stagflation » sortie en 1986 par l’édition Hachette, ce livre parlait de la possibilité d’une participation financière des salariés dans son entreprise employeur, cette vision tend à considérer que le salariat serait un corps insensible et suggère de remplacer la rémunération au temps par un système composé d’un salaire d’embauche réduit composé par un part de la rémunération indexée sur le revenu de l’entreprise.

FORMES SOCIO-HISTORIQUE DE LA REMUNERATION DU TRAVAIL OUVRIER

Toutes les histoires présentées à cette partie ont été passées réellement en Europe et Aux Etats-Unis. Ces sont les pays qui ont été plus de reformes dans le domaine de travail et de la rémunération, surtout au début du travail industriel ainsi que la formation de la classe ouvrière. Les pays soviétiques et asiatiques ont peu de reformes ; quand aux pays africains, ils ont été sous l’empire européens et dont les règlements sur la rémunération ont été copié. Cette partie se divise en trois grands titres. Premièrement, avant la 2ème Guerre Mondiale, cette date fut marqué le passage de l’époque ancienne sous le signe de serf ou de l’esclavage vers le temps moderne dit industrialisé. Deuxième, après la 2ème Guerre Mondiale, une période le monde a changé de visu notamment dans l’environnement de travail ; nous allons encore parler des reformes de travail à Madagascar et l’histoire de la sécurité sociale. Troisième, les impératifs de la globalisation dans le monde de travail et son impact à l’entreprise Dynastie Confection. Un terrain qui peut donner aperçu aux organisations et structure des entreprises délocalisées. Il est à noter qu’il y a deux grandes guerres mondiales ; la première était en 1914 au 1918 La deuxième en 1936 au 1944

AVANT LA DEUXIEME GUERRE MONDIALE (VXIIIe Siècle au 1934)

Au Moyen Age, le travail a été géré par des clans familiaux, propriétaires de terres, ce sont des classes minoritaires. Les restes de la population étaient leurs employés. Ils ont travaillé étant serfs c’est-à-dire aux services des clans ; le travail était artisanal et n’ont payé qu’aux nourritures. Aux XVIIIe Siècle, le monde a changé, fini le pouvoir des familles, et le travail a aussi changé et pris de force; avec les fruits de la recherche scientifique (découvertes des machines) Ce fut le début de la Révolution Industrielle en Europe, et les travailleurs des terres ont devenu des travailleurs industriels c’est-à-dire travail à la machine. Ce fait a reposé ainsi par l’essor de la classe prolétaire, une classe de travailleurs sortis du système de serf au Moyen Age (travail à mains au profit des propriétaires de terrains). L’industrialisation a reformé complètement le monde de travail, et le mot ouvrier a été destiné pour ceux qui ont travaillé à la machine. Le travail a été devenu plus rapide et productive et donnait naissance au travail à la chaîne dont chacun ne faisait qu’un travail répétitif, ce fût à partir de ce système que les patrons ont imaginé la rémunération à la tâche. Ce temps a évolué aussi le concept de travail homme et travail femme car n’importe quel sexe peu manipulé des machines. Et à travail égal veut dire rémunération égale alors qu’avant, le dernier a perçu deux fois moins important que le salaire du premier. Pourtant si un couple travaillait sur un même patron avec une durée énorme de travail du 14 à 15 heures par jours, le salaire ne suffise pas pour autant. La seule solution que les patrons ont avancée c’était de faire travailler tout le membre de la famille y compris les enfants. Eux travaillaient à la maison et les hommes dans le site industriel. Quand même, les économistes de cette époque ont aperçu que même si chacun y participait et faire entré de l’argent, le pouvoir d’achat était encore maigrichon.

Du fait de ce manque, on attendait le XIXe Siècle pour l’idée de salaire minimum, celui- ci a donné la première fois la forme sociale ouvrière car il a du garantir à tout salarié surtout les ouvriers qui travaillent à temps complet une rémunération minimale et prévoyait un mécanisme d’indexation sur le prix à la consommation. Ici on s’attache beaucoup à des théories économiques sur le salaire tel que Saint Thomas d’Acquin pour qui le juste salaire et celui qui permet à son bénéficiaire d’avoir une vie conforme à sa position sociale. On doit à Adam Smith et David Ricardo pour une théorie, elle est connue sous le nom de la théorie de subsistance, celui-ci explique que les salaires seraient fixés de manière à permettre la survivance des travailleurs mais ne pourrait guerre s’éloigner de ce niveau.

D’un autre coté de la forme sociale de la rémunération au XIX e Siècle, c’est la création des assurances et prévoyances sociales en suivant de l’idée Bismarck. Ce système a été conçu pour protéger les travailleurs à des risques survenus au travail qui a entravé une perte de salaire, par exemple, maladie, accident de travail. Cette structure oblige le patron de verser une somme à la caisse de solidarité des ouvriers pour assurer leur santé. Cette forme de rémunération est appelée rémunération indirecte. En 1914, Henri Ford inspirait de cette idée de salaire minimum et de la théorie de subsistance. Il a constaté dans les industries américaines le niveau de vie des ouvriers et le mouvement des affaires dans les entreprises. Henri Ford a implanté une politique salariale visant à équilibrer le profit salarial et les bénéfices des patrons. Il a dit qu’il faut lier production et salaire. En 1914 l’Organisation Internationale de Travail fut créée dont les objectifs sont à l’échelle mondiale, d’améliorer les conditions de travail, de promouvoir le travail productif et le progrès social, et de contribuer à l’accroissement du niveau de vie. Celle-ci fournit également une aide technique aux nations membres afin de faciliter l’adoption et l’application de normes la concernant. Les programmes de coopération technique englobent l’avancement, la gestion et la formation dans le travail, la gestion des effectifs et les relations sociales, la sécurité Sociales, les conditions de travail, la Sécurité au Travail et la Santé. En 1922 à 1929, Henri Ford lutte sur trois fronts ; salaire plus élevé, frais plus bas, prix de vente réduits

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Table des matières

REMERCIEMENTS
INTRODUCTION
INTITULE DES PARTIES
PARTIE I : Formes socio historique de la rémunération du travail ouvrier
PARTIE II : Motivation patronale et complaisance ouvrière
PARTIE III : Prospective de complémentarité éthico économique entre productivité et
profit salarial
INTITULE DES CHAPITRES
CHAPITRE 1 : Avant la Deuxième Guerre Mondiale (XVIII ème au 1934)
CHAPITRE 2 : Apres la Deuxième Guerre Mondiale (1948 au 1991)
CHAPITRE 3 : Impératifs de la Globalisation et ses impacts a la société DYNASTIE
CONFECTION MADAGASCAR
CHAPITRE 4 : Structure et mécanisme de l’emploi
CHAPITRE 5 : Diverses théories et pratiques de salaire
CHAPITRE 6 : Equilibre budgétaire et perméabilité des ouvriers
CHAPITRE 7 : Impacts sur les conditions sociales des vies des travailleurs
CHAPITRE 8 : Vide politico syndical et la reproduction sociale
CHAPITRE 9 : Les capacités exigibles des forces de travail
CHAPITRE10 : Les exigences de partenariat
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
TABLES DE MATIERES
ANNEXES
CV
RESUME