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La végétation
A la Grande Comore, la végétation est hétérogène,orméef par des savanes et des forêts denses. Au nord, le massif de la Grille culmine à 1087m, et est formé d’une forêt dense ainsi que des zones agricoles dominées par de la végétation herbacée. Au sud, le massif du Karthala culmine à 2361m d’altitude, et est composé de vastes forêtspluviales, de forêts denses et d’une végétation dominée par de la végétation arbustive arborée. A la différence de ces trois régions, celle de Mbudé est dotée d’une terre fertile, et connue depuis longtemps favorable à l’agriculture et l’élevage.
Historique des exportations des bovins à la Grande Comore
L’Union des Comores est un pays où le système d’élevage reste traditionnel, malgré les différents projets de développement, dont le pays apu bénéficier. Pour satisfaire les besoins en viande de la population, le pays a eu recours à l’i mportation de viande congelée en provenance de l’Union Européenne.
Dans les années 1990, la crise de la vache folle a entrainé une réduction des importations de viande congelée européenne et, à partir de 1996, des autorisations d’importations d’animaux vivants en provenance des pays voisins ont vu le jour. Dans un premier temps, les animaux provenaient de Madagascar (Amina. et al. 2010).
Durant cette même année, plusieurs cas d’ecthyma contagieux ont été signalés à la Grande Comore, sur des chèvres importées de Madagascar. En1999, une épidémie signalée à Mohéli conduit l’Etat à décréter un arrêt de l’importationd’animaux vivants en provenance de Madagascar. En 2000, un accord de libre échange (COMESA) est mis en place entre les Comores et la Tanzanie, facilitant le flux de populations animales et humaines entre la Tanzanie et les Comores (Salim. et al, 2006).
En même temps, on assiste à l’émergence dans le pays, de maladies vectorielles humaines (chikungunya), animales (théileriose). Cette dernière épidémie a durement frappé le cheptel de la Grande Comore entre 2002 et 2004 (70% de mortalité), et plus particulièrement l’élevage de la région de Hamanvou, où se situe un parc de garded’animaux importés de Tanzanie, mais également d’autres régions de la Grande Comore (Ministère national chargé de l’agriculture et élevage, 2006).
Classification des tiques
Origine
L’origine de ces arthropodes est mal connue. Les tiques dures seraient apparues à la fin du paléozoïque, dans des zones présentant un climat chaud et humide, certainement en tant que parasites des reptiles.
Puis, à l’ère tertiaire, elles seraient devenues de s parasites aussi bien des oiseaux que des mammifères, tandis que certaines resteront inféodées aux reptiles. Elles vont ensuite évoluer en s’adaptant à certains groupes d’espèces (Bourdeau, 1993).
Ces ectoparasites sont connus depuis longtemps. En effet Homère, puis Aristote les mentionnaient déjà comme étant des parasites hématophages des animaux et de l’homme (François, 2008).
Systématique des tiques Ixodoidea
Les tiques sont des parasites appartenant à :
Embranchement des Arthropoda (Siebold et Stannius, 1845)
Sous-embranchement des Chelicerata (Heymon1901)
Classe des Arachnida (Lamarck, 1901)
Sous-classe des Acarida
Super-ordre des Anactinotrichoida (Grandjean, 1935)
Ordre des lxodida (Sundevall, 1935).
Les tiques principales vectrices des zoonoses appartiennent à l’ordre des Ixodida qui comportent deux sous ordres : le sous-ordre des lxodina et le sous ordre des Argasina. Le sous ordre des lxodina est divisé en deux superfamilles’:
la superfamille des Ixodoidea
la superfamille des Nuttallielloidea.
· la famille des Ixodidae (Banks, 1907)
· la famille des Amblyommidae (Banks, 1907), (Bourdeau, 1993).
Mais, les Amblyommidae constituent le centre d’intérêt de ce travail car les Ixodidae parasitent rarement les bovins en Afrique (tableau1).
Particularités morphologiques des différentes stases
Particularités morphologiques d’une femelle à jeun
La femelle peut présenter, suivant les genres et son état de gorgement, une taille allant de 4 à 15mm. On rencontre, uniquement chez les femelles, deux aires poreuses qui sont les abouchements de glandes (organe de Gêné) dont le rôle sécrétoire tesd’imperméabiliser les œufs (Perez, 2007). Le corps de la femelle à jeun présente un scutum limité, sclérifié et pourvu de sillons permettant l’extension du tégument lors du repas sanguin. Les capitulums antérieur et terminal présentent une base cylindrique ou polyédrique trèsclérifiée. En vue dorsale il a une forme variable (triangulaire, rectangulaire, trapézoïdale, pentagonale ou hexagonale), (Blary, 2004), (figure 6).
Particularités morphologiques du mâle
Le mâle diffère de la femelle en plusieurs points :
· par sa structure : toute la face dorsale de l’idiosoma est recouverte d’un scutum épais et rigide, portant des ponctuations ou non ; le tégument ventral présente parfois des épaississements en plaques paires ; la conséquenceen est que, le mâle change peu de volume au cours du repas.
· par ses proportions : notamment du capitulum qui est plus ramassé chez le mâle ; les aires poreuses sont absentes (Blary, 2004).
Particularités morphologiques de la nymphe
La morphologie est analogue à celle de la femelle, mise à part l’absence du pore génital et des aires poreuses sur le capitulum. De plus, la nymphe est de plus petite taille, mesurant de 1 à 2.5mm. (Blary, 2004).
Particularités morphologiques de la larve
Bâtie sur le même type que la nymphe, elle ne possède que trois paires de pattes ; la taille est très petite (0,5 à 1 mm à jeun) (Perez, 2007).
Différents types de cycle évolutif chez les tiques
Les cycles trixènes (triphasiques)
Ce sont les cycles (où il y a un changement d’hôte entre chaque stase) et qui sont les plus fréquemment rencontrés chez les espèces parasites esd ruminants, en particulier, le genre Amblyomma variegatum. Dans ce cycle (figure 7), il existe alors trois phases parasitaires (larve, nymphe, adulte), séparées par deux phases à terre où se passe la pupaison (Perez, 1998).
Les cycles dixènes (diphasiques)
Cycle dans lequel les trois stades du parasite évoluent sur deux hôtes individuellement différents. La larve et la nymphe se gorgent sur unmême animal et l’adulte sur un autre ; c’est le cycle de Hyalomma marginatum rufipes (Gilot, 1998) (figure 8).
Les cycles monoxènes (monophasiques)
C’est le cas des Boophilus microplus où toutes les stases se succèdent sur un unique vertébré, abordé par la larve. Ce cas est rare : il n’y a qu’une phase parasitaire et une seule ponte, l’incubation et les déplacements des larves en quête d’un hôte se passent sur le sol. La durée du cycle s’en voit raccourcie. Ce type de cycle (figure 9) est l’aboutissement d’une sélection adaptée à des conditions microclimatiques difficiles. Le cycle est donc beaucoup plus rapide (suppression de deux phases de vie libre) la période de séjour sur l’hôte est au contraire prolongée (Rhodain, 1985).
La recherche de l’hôte
La stratégie passive
Elle consiste à attendre dans des endroits particul iers, jusqu’à ce que l’hôte entre dans le champ d’attaque. Cette approche passive peut se subdiviser en stratégie de chasse ou d’embuscade, selon que la tique se déplace vers l’hôte détecté,ou qu’elle attende qu’il passe à proximité (Chanourdie, 2001).
Il en résulte que les chances de rencontre avec l’hôte dépendent du degré de contact (dimension du biotope, abondance des vertébrés).
La stratégie active
Cette stratégie nécessite de partir à la recherchede l’hôte dans des endroits et à des moments où celui-ci montre des signes de sa présence. La détection du passage d’un hôte potentiel fait intervenir différents facteurs captés par la tique,comme par exemple, le changement de luminosité, le dégagement de chaleur et du gaz carbonique (CO2) par l’animal. Par conséquent, la durée du cycle d’une espèce de tique donnée dépendra de la présence d’hôtes, dans le biotope de cette tique. Ces comportements sont gouvernés par la réception de la tique aux stimuli sensoriels élaborés par l’hôte et/ou la tique. Ces stimuli sont de quatre types différents :
les stimuli visuels : détectés par les ocelles situés sur la face dorsaledes pattes II
les stimuli sonores : dont certaines tiques en possèdent pour recevoir les sons produits par leurs hôtes
les stimuli olfactifs : Le principal stimulus olfactif perçu par l’organe de Haller, situé sur le tarse des pattes I de la tique, est l’odeur de l’hôte.
les stimuli chimiques : Chez les tiques, les signaux chimiques sont émis etreçus selon une hiérarchie bien établie. Ceci forme un langage précis, pouvant notamment concourir à la régulation d’une organisation sociale plus ou moins complexe.
La bio-écologie des tiques
Le biotope
Les conditions climatiques
Dans le milieu extérieur, les conditions de vie dépendent étroitement des facteurs climatiques (température et humidité) et écologiques (couverturvégétale).
La température est le facteur dynamique essentiel d’organogenèse et d’activité. Pour chaque espèce, il existe une température en dessous de laquelle s’installe une diapause dans le développement de la tique, notamment pour les formes immatures et les adultes à jeun. Au printemps, une température comprise entre 10 et 18°C permet un développement optimal des tiques.
Le deuxième facteur est l’altitude. Ainsi, il est donc rare d’observer des tiques à une altitude comprise entre 800 et 1200 mètres et ces dernières ne sont plus retrouvées au-delà de 1500 mètres.
L’humidité est un important facteur de survie : une humidité supérieure à 70% est nécessaire au bon développement des œufs et à la survie des stase s à jeun (Gilot et al. 1998).
La couverture végétale
Il faut aussi noter l’importance de la végétation dans le biotope des tiques. En effet, on a une corrélation directe entre la présence des espèces edtiques et le type de végétation. Les tiques se développant dans des endroits à forte hygrométrie, il en résulte leur présence en cas de végétation abondante ou dans un tapis de feuilles mortes. Ces exigences expliquent donc la présence de tiques dans les forêts ou les prairies,selon le degré d’humidité exigée par l’espèce (Aubry, 2009).
Et aux Comores, les espèces de tiques sont plus fréquentes dans la végétation herbacée, rarement dans les forets qui sont en majoritairement situés en haute altitude (Amina, 2010).
ACTIONS PATHOGENES DES TIQUES
Le parasitisme du bétail par les tiques provoque plusieurs désordres que peut être classé en deux catégories :
Ceux qui sont dus à la présence du parasite sur la peau de l’hôte, telles que les lésions locales et la perte de sang, ainsi que ceux dus aux toxines injectées par le parasite : c’est le rôle pathogène direct.
Ceux qui résultent de la transmission d’agents pathogènes : c’est le rôle pathogène indirect (Sambou et al, 2012).
Rôle pathogène direct
Il est dû au parasite lui-même. Les tiques exercentsur leurs hôtes, plusieurs effets, que peuvent être regroupé en trois actions principales:
Action mécanique et irritative
La fixation de la tique sur la peau provoque une lésion prurigineuse et douloureuse, avec inflammation et œdème local. Après le départ de la tique, des complications bactériennes (surtout à Corynebacterium) peuvent survenir.
Action spoliatrice.
Le prélèvement sanguin peut être important quand sletiques sont nombreuses sur l’hôte, ce qui est souvent le cas de la tique du genre Rhipicephalus Boophilus microplus. Chaque femelle adulte étant capable de prélever de 0,5 à 2 ml de sang pour Amblyomma variegatum, la saignée peut atteindre plusieurs centaines de millilitres par jour, et peut entrainer une anémie de l’animal.
Action toxique
Les tiques manifestent un pouvoir pathogène particulier, par les toxines présentes dans la salive, et dont les effets retentissent sur l’organisme entier. Ces toxines agissent sur certains tissus de l’hôt e et provoquent deux actions :
· paralysie à tiques :
Elle est due à l’injection par la nymphe ou la femelle adulte d’une toxine neurotrope, contenue dans la salive. La quantité de toxine inoculée détermine la gravité et la durée de la maladie.
· dyshidrose à tiques :
Elle est encore appelée « maladie des sueurs « . Cette toxicose n’est signalée qu’en Afrique australe, provoquée par les toxines deHyalomma truncatum (mâle et femelle).
Rôle pathogène indirect
C’est le rôle pathogène dans lequel les tiques véhiculent et inoculent des organismes microbiens et parasitaires extrêmement variés.
Les conditions nécessaires pour que les tiques soient des vecteurs, sont la transmission trans-stadiale et/ou trans-ovarienne. Les tiques parasites des bovins sont dangereuses, non seulement par leur rôle pathogène direct, mais aussi et surtout, par leur rôle pathogène indirect, comme vectrices de germes responsables d’affections graves comme la cowdriose, l’anaplasmose, la babésiose et la théileriose (Sambou etal, 2012), (tableau 3).
Méthodes de collecte des tiques
Les techniques de collecte des tiques consistent, dans un premier temps, à bien immobiliser l’animal hôte. Ensuite, les parties sensibles susce ptibles d’être parasitées par les tiques, sont examinées minutieusement, comme la région anale, les mamelles, les oreilles, ainsi que la région du cou.
Cinq (5) bovins par ferme d’élevage ont été sélectionnés pour servir d’échantillonnage. Pour les élevages comportant moins de 5 têtes, un élevage isinvo a été échantillonné afin de compléter l’échantillonnage. Au total, 213 animaux ont été échantillonnés répartis sur 53 élevages dans les trois régions choisies. Les prélèvements des ques,ti sont faits manuellement.
Les tiques collectées sont placées dans un pot à urine contenant de l’alcool 70° sur lequel les indications suivantes sont mentionnées : date du prélèvement, région du prélèvement, village et zone de prélèvement, un code d’identification de l’éleveur formé par les trois premières lettres de son nom. Les tubes contenant les tiques, une fois bien fermés, sont ensuite mis dans un sachet plastique.
Identification des échantillons au laboratoire
Lavage des tiques
La méthode consiste à vider le contenu du pot à uri ne dans un tamis en laissant immerger les tiques. Chaque tique est maintenue avec une pince souple, et nettoyée soigneusement avec du papier serviette. Après nettoyage, la tique est conservée dans un autre pot à urine contenant de l’alcool 70°. Sur ce pot, les mêmes indications figurant sur le pot à urine de collecte sont mentionnées. Les tiques sont ainsi conservées dansl’alcool 70° jusqu’à leur identification.
Identification des échantillons collectés
Les espèces sont identifiées sous loupe binoculaire, à l’aide de clés de détermination décrites par Walker et al. (2003), Uilenberg et al. (2003), Lamontellerie et al (1966). Le contenu de chaque pot à urine est vidé dans une boite de pétri. Avec des pinces souples, chaque tique est prélevée, puis étalée dans le couvercle de la boitede pétri, et examinée à la loupe binoculaire (voire annexe II).
Les caractères utilisés pour l’identification sontbasés sur la morphologie des différentes parties du corps, principalement le capitulum et l’idiosoma.
Au niveau du capitulum, les caractères discriminants sont la forme de l’ensemble des pièces buccales (comparaisons des tailles des articles des pédipalpes) et la forme de la basis capituli.
Sur l’idiosoma, les caractéristiques examinées sontla présence ou absence des yeux, des festons ainsi que la forme du scutum.
Etude statistique
Pour étudier la distribution des tiques en fonctionde l’altitude ou de la végétation, le nombre de chaque espèce identifiée, correspondant à chaque zone d’étude et à chaque site a été évalué. L’étude de l’abondance des espèces dans les facteurs étudiées a été réalisée par l’analyse en composante principale (ACP) en utilisant le logiciel Xlstat sous Excel.
L’abondance des tiques en fonction des zones d’étude a été obtenue en comparant le nombre des espèces collectées pour chaque zone.
Ainsi, l’abondance est définie à partir de la matrice de corrélation obtenue entre le nombre de l’espèce collectée et le facteur étudié.
De ce fait, quand la valeur de la corrélation entrel’espèce et le facteur étudié est positive, ceci montre une abondance de cette espèce en rapport avec ce facteur. Dans ce sens, plus la valeur obtenue de la matrice de corrélation entre l’espèceet le facteur étudié tend vers 1, plus il y a une forte abondance. Au contraire, lorsque la valeur de la corrélation de la matrice entre les deux facteurs est négative, on parle plus d’abondance de l’espèce étudiée. Ainsi la répartition des espèces en rapport avec les facteurs étudiés sont représentés sous la forme d’un cercle par deux variables :
– en rouge les variables actives désignant le facteur étudié que ce soit l’altitude ou la végétation
– en bleu, les variables supplémentaires désignant’espècel étudiée
Ainsi, l’abondance d’une espèce, pour un tel facteur se traduit au niveau du cercle par la distance qui sépare les deux axes, représentant les deux variables étudiées.
Ainsi, des analyses pour tester les différences significatives entre les moyennes de groupes dans chaque site de collecte ont été réalisées par leest de Tukey (HSD).
RESULTATS
Les différentes espèces de tiques inventoriées
Au cours de cette étude, 971 tiques sont collectées y compris les nymphes pour un total de 213 bovins répartis comme suit : 142 bovins locaux, 69bovins importés de la Tanzanie et 02 bovins croisés entre des bovins importés de la Tanzanie etlocaux, tous recensés dans 53 sites différents. Ainsi, trois espèces de tiques ont étéidentifiées. Il s’agit de : d’Amblyomma variegatum, de Rhipicephalus Boophilus microplus et enfin Rhipicephalus appendiculatus. A part ces 3 espèces, une autre espèce similaire à Rhipicephalus zambiensis a été retrouvée dans les échantillons sur des bovins importés, mais cett espèce ne faisait pas parti des données rapportées ci-dessus, étant qu’elle est en cours d’étude par Frederick Stachurski, Acariologue du CIRAD de Montpellier.
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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
1.1. PRESENTATION DES COMORES
1.1.1. Situation géographique
1.1.2. Climat
1.1.2.1. La température
1.1.2.2. Les saisons
1.1.3. La végétation
1.1.4. Historique des exportations des bovins à la Grande Comore
1.2. GENERALITES SUR LES TIQUES
1.2.1. Classification des tiques
1.2.1.1. Origine
1.2.1.2. Systématique des tiques Ixodoidea
1.2.2. Morphologie des Ixodoidea
1.2.2.1. Morphologie externe
1.2.3. Particularités morphologiques des différentes stases
1.2.3.1. Particularités morphologiques d’une femelle à jeun
1.2.3.2. Particularités morphologiques du mâle
1.2.3.3. Particularités morphologiques de la nymphe
1.2.3.4. Particularités morphologiques de la larve
1.2.4. Classification des différents genres
1.3. BIOLOGIE DES TIQUES
1.3.1. Cycle évolutif
1.3.1.1. Différents types de cycle évolutif chez les tiques
1.3.1.1.1. Les cycles trixènes (triphasiques)
1.3.1.1.2. Les cycles dixènes (diphasiques)
1.3.1.1.3. Les cycles monoxènes (monophasiques)
1.3.2. La recherche de l’hôte
1.3.2.1. La stratégie passive
1.3.2.2. La stratégie active
1.3.3. La bio-écologie des tiques
1.3.3.1. Le biotope
1.3.3.1.1. Les conditions climatiques
1.3.3.1.2. La couverture végétale
1.4. ACTIONS PATHOGENES DES TIQUES
1.4.1. Rôle pathogène direct
1.4.2. Rôle pathogène indirect
1.4.2.1 : Illustration des quelques maladies fréquentes dans le cheptel de la Grande Comore
1.4.2.1.1 : La théileriose bovine
1.4.2.1.2 : La cowdriose
CHAPITRE 2 : MATERIELS ET METHODES
2.1. Sites d’étude
2.2. Matériels, méthodes de collecte et de conservation des échantillons
2.2.1. Matériel biologique
2.2.2. Matériels de collecte
2.2.3. Matériels de laboratoire
2.2.4. Méthodes de collecte des tiques
2.3. Identification des échantillons au laboratoire
2.3.1. Lavage des tiques
2.3.2. Identification des échantillons collectés
2.4. Etude statistique
CHAPITRE 3 : RESULTATS
3.1. Les différentes espèces de tiques inventoriées
3.2. Distribution des tiques selon l’origine de bovins par région
3.3. Distribution et abondance des tiques selon les zones d’élevage (végétation)
3.4. Distribution des espèces selon l’altitude
CHAPITRE 4: DISCUSSION
4.1. Les espèces de tiques présentes aux Comores et leurs prévalences.
4.2. Distribution des tiques en fonction des types de bovins
4.3. Abondance des tiques selon la végétation des zones d’élevage
4.3. Distribution et abondance des tiques selon l’altitude
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE
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