DISTRIBUTION ALIMENTAIRE DANS UN PAYS INSULAIRE EN VOIE DE DEVELOPPEMENT

Dรฉfinitions de la logistique par les diffรฉrents acteurs

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  Les entreprises ont crรฉรฉ la fonction logistique afin dโ€™organiser, au moindre coรปt et au moment voulu, le circuit de matiรจres aboutissant ร  livrer au client le bien quโ€™il souhaite. Cette fonction doit assumer la gestion :
– Des flux physiques de lโ€™entreprise : transport et stockage des marchandises ;
– Des flux dโ€™informations : suivi administratif des commandes, des flux physiques.
La logistique a pour tรขche dโ€™organiser les flux matiรจres au sein et autour dโ€™une entitรฉ, de faรงon ร  optimiser les coรปts en garantissant le service rendu. Donc, nous pouvons dire que la logistique est comme le pilotage des flux dans une organisation. Nous allons citer certaines dรฉfinitions qui nous paraissent les plus importantes et qui marquent lโ€™รฉvolution du concept depuis 1948. La premiรจre dรฉfinition, qui datait de 1948, a รฉtรฉ formulรฉ par le comitรฉ des dรฉfinitions de lโ€™American Marketing Association: ยซ la logistique concerne le mouvement et la manutention des marchandises du point de production au point du consommation ou dโ€™utilisation ยป. Nous pouvons dire quโ€™ร  cette pรฉriode, et comme la dรฉfinition lโ€™affirme, la logistique ne concerne que les activitรฉs physiques de la phase de distribution. La logistique se voit confier par les hommes du marketing la mission dโ€™acheminer les produits fabriquรฉs par une entreprise ร  destination du client final. En 1968, lโ€™ouvrage de MAGEE a dรฉfinit la logistique comme suit ยซ technique de contrรดle et de gestion des flux des matiรจres et des produits depuis leur source dโ€™approvisionnement jusquโ€™ร  leur point de consommation ยป. Cette dรฉfinition englobe clairement la dimension ยซ gestion ยป de la logistique pour lโ€™ensemble des opรฉrations de 3 sous-systรจmes : approvisionnement, production et distribution. En 1972, le NCPDM a proposรฉ une nouvelle dรฉfinition, ยซ terme dรฉcrivant lโ€™intรฉgration de deux (ou plus) activitรฉs dans le but de planifier, mettre en ล“uvre et contrรดler un flux efficient de matiรจres premiรจres, produits semi-finis et produits finis, de leur point dโ€™origine au point de consommation. Ces activitรฉs peuvent inclure, sans que la liste soit limitative, le type de service offert aux clients, la prรฉvision de la demande, les consommations liรฉes ร  la distribution, le contrรดle des stocks, la manutention des matรฉriaux, le traitement des commandes, le service aprรจs-vente et des piรจces dรฉtachรฉes, le choix des emplacements dโ€™usines et dโ€™entrepรดts, les achats, lโ€™emballage, le traitement des marchandises retournรฉes, la nรฉgociation ou la rรฉutilisation des รฉlรฉments rรฉcupรฉrables ou mis ร  la ferraille, lโ€™organisation de transport et le transport effectif des marchandises ainsi que lโ€™entreposage et le stockage ยป. FRANCOIS KOLB (1972) dรฉfinissait la logistique comme ยซ une approche globale des problรจmes posรฉs par lโ€™organisation et la conduite des opรฉrations de transport, de manutention et de stockage permettent lโ€™รฉcoulement des flux de marchandises engendrรฉes par les activitรฉs dโ€™une entreprise ยป. JAMES HESKETT (1978) a donnรฉ une dรฉfinition que ยซ la logistique englobe les activitรฉs qui maรฎtrisent les flux de produits, la coordination des ressources et des dรฉbouchรฉs, en rรฉalisant un niveau de service donnรฉ au moindre coรปt ยป. Le Council of Logistics Management en 1986 (ancien NCPDM) dรฉfinissait la logistique comme ยซ une partie des activitรฉs dโ€™une chaรฎne logistique (supply chain). Elle concerne la planification, lโ€™exรฉcution et le contrรดle du flux efficient et effectif du stockage de produits, du service de lโ€™information relatif ร  ces fonctions du point dโ€™origine au point de consommation pour satisfaire les besoins des clients ยป. En 1987, COLIN, FIORE, MATHE, et PACHE proposaient de dรฉfinir la logistique comme ยซ une technologie de la circulation physique des marchandises qui, pour rรฉaliser ses deux prioritรฉs de rรฉduction des coรปts et dโ€™optimisation du niveau de services, associe en un double mouvement un flux de marchandises, rรฉgulรฉ dโ€™aval en amont par un flux dโ€™information ยป. En 1996, TIXIER, MATHE et COLIN proposaient une dรฉfinition complรจte qui est ยซ la logistique est le processus stratรฉgique par lequel lโ€™entreprise organise et soutient son activitรฉ. A ce titre sont dรฉterminรฉs et gรฉrรฉs les flux matรฉriels et informationnels affรฉrents, tant internes quโ€™externes, quโ€™amont et aval. Dans le cadre de la poursuite des objectifs gรฉnรฉraux ร  laquelle elle concourt, sa mission consiste ร  permettre lโ€™รฉlaboration de lโ€™offre de lโ€™entreprise et ร  en rรฉaliser la rencontre avec la demande du marchรฉ, tout en recherchant systรฉmatiquement les conditions dโ€™optimalitรฉ dans lโ€™exรฉcution. Sa mise en ล“uvre procรฉdant de diffรฉrents acteurs, elle est appelรฉe ร  gรฉrer en ce sens les tensions ร  leurs interfaces du fait de la non-identitรฉ de leurs objectifs propres ยป. Pour lโ€™association des logisticiens franรงais dโ€™entreprise (ASLOG) en 1998, la logistique est comme รฉtant ยซ lโ€™ensemble des activitรฉs ayant pour but la mise en place au moindre coรปt dโ€™une quantitรฉ de produit ร  lโ€™ endroit et au moment oรน une demande existe. La logistique concerne donc toutes les opรฉrations dรฉterminant le mouvement des produits tel que : localisation des usines et entrepรดt, approvisionnement, gestion physique des encours de fabrication, emballage, stockage et gestion des stocks, manutention et prรฉparation des commandes, transports et tournรฉes de livraison ยป. Cette dรฉfinition donne la prioritรฉ ร  la performance attendue de la logistique : fournir le produit attendu, au moment attendu, ร  lโ€™endroit attendu, ร  un niveau de service attendu et elle dรฉcline lโ€™ensemble des activitรฉs dรฉvolues ร  la logistique. Nous sommes en prรฉsence de nombreuses dรฉfinitions, qui successivement se complรจtent les unes aux autres et qui assignent des missions de plus en plus รฉtendues ร  la logistique au sein de lโ€™entreprise. De nombreux auteurs lโ€™ont dรฉfini mais nous nous sommes arrรชtรฉs ร  ces quelques explications.

Le transport ferroviaire

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย Historiquement, le transport ferroviaire est le symbole de la Rรฉvolution Industrielle. Cโ€™est lui qui permet aux entreprises dโ€™atteindre rapidement les marchรฉs de consommation de plus en plus รฉloignรฉs des lieux de fabrication. Depuis les annรฉes 1980, le transport ferroviaire de marchandises connaรฎt un incontestable dรฉclin en termes de part de marchรฉ par la prรฉsence dโ€™un puissant concurrent : le transport routier. Ainsi, ยซ la technologie et lโ€™organisation du fer ont fait dโ€™รฉnormes progrรจs puisque la prestation ne se rรฉduit plus ร  une simple traction de gare ร  gare, charge aux expรฉditeurs et destinataires de sโ€™occuper des prรฉ et post acheminements, mais sโ€™apparente ร  un vรฉritable ยซ service complet ยป de porte ร  porte intรฉgrant activitรฉs routiรจres et ferroviaires ยป (COLIN, PACHE, 1988). Les atouts principaux sont la sรฉcuritรฉ et le coรปt. Le prix du transport ferroviaire est trรจs compรฉtitif pour les expรฉditions continentales importantes sur des distances assez longues. Le second atout est la rรฉgularitรฉ : ce mode de transport ne craint ni les tempรฉratures, ni les embouteillages. Cependant, les dรฉlais sont plus รฉlevรฉs quโ€™avec le transport routier.

La distribution physique sous la maรฎtrise du fabricant

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย La volontรฉ dโ€™exercer un relatif contrรดle des opรฉrations de distribution physique dรฉbute chez les industriels aprรจs la Premiรจre Guerre Mondiale. Quelques-uns dโ€™entre eux dรฉcident de crรฉer leurs propres rรฉseaux de distribution physique pour desservir des marchรฉs en rapide expansion. Ces rรฉseaux sโ€™appuient sur des dรฉpรดts rรฉgionaux et locaux articulรฉs entre eux dont lโ€™objectif est de se substituer ร  ceux des grossistes et des nรฉgociants, seuls capables dโ€™approvisionner un secteur commercial atomisรฉ (les commerรงants indรฉpendants isolรฉs). Quelques points de regroupement et de stockage des produits en provenance des usines, relayรฉs par des structures locales de livraison finale : tel est le schรฉma standard qui se met en place, puis sโ€™impose aprรจs la Seconde Guerre Mondiale (voir figure 1). La concentration commerciale des annรฉes 1960, marquรฉe par lโ€™apparition puis la croissance des hyper et supermarchรฉs, nโ€™introduit pas de rupture par rapport ร  cette vision. Certes, comme la taille moyenne des commandes par magasin augmente sensiblement, elle rend superflu le passage par les dรฉpรดts des industriels, surtout si lโ€™approvisionnement dans telle ou telle catรฉgorie de produits correspond ร  un camion complet. Il y a donc un intรฉrรชt รฉvident ร  dรฉvelopper les livraisons directes puisquโ€™il sโ€™agit de la meilleure maniรจre dโ€™accroรฎtre la productivitรฉ des opรฉrations de transport. Chez de nombreux grands distributeurs, cโ€™est plutรดt une simple approche en termes de massification qui lโ€™emporte. Ceci est surtout vrai pour ยซ les firmes spรฉcialisรฉes dans lโ€™hypermarchรฉ puisque les volumes de vente, et donc dโ€™approvisionnement, y sont les plus importants du commerce moderne, sachant au contraire que les dรฉtaillants gรฉrant des magasins de proximitรฉ disposent parfois dโ€™une infrastructure logistique ยป (SAVY, COLIN, LAZZERI, 1984). En contrepartie, le magasin apparaรฎt comme un lieu privilรฉgiรฉ de stockage de produits standard, dans un espace inaccessible aux consommateurs. Les responsables des magasins, en position de force dans les processus de prise de dรฉcision, considรจrent alors la proximitรฉ physique du stock comme indispensable pour rรฉpondre le plus rapidement possible aux demandes de la clientรจle. Au Royaume-Uni, mais aussi en France, la place consacrรฉe au stockage en magasin est ainsi prรฉpondรฉrante puisquโ€™elle parvient ร  reprรฉsenter prรจs de la moitiรฉ de la surface totale au sol dans les hypermarchรฉs au dรฉbut des annรฉes 1970. Il apparaรฎt que plus le stockage de produits prรฉsentรฉs au consommateur dans le magasin est important, plus il stimulera les ventes. ยซ A lโ€™inverse, un ยซ รฉtat de manque ยป ou de pรฉnurie volontaire ou involontaire risque de le faire fuir. Or, ce stock psychologique relรจve dโ€™une stratรฉgie merchandising et non dโ€™une stratรฉgie logistique ยป (LARSON, De MARAIS, 1990). Son rรดle est de stimuler la demande, non de la servir, comme cโ€™est le cas pour les stocks outils et les stocks de sรฉcuritรฉ. Le contrรดle du canal logistique par les industriels revรชt un autre aspect problรฉmatique, en matiรจre de suivi du service rendu (fiabilitรฉ et rรฉactivitรฉ). Reprenant certains principes de la thรฉorie de lโ€™agence, COLLINS, HENCHION et Oโ€™REILLY considรจrent que la dรฉcentralisation dโ€™opรฉrations logistiques dans chacun des magasins permet dโ€™amรฉliorer le suivi des performances des fournisseurs, en rรฉduisant le risque dโ€™alรฉa moral (COLLINS, HENCHION, Oโ€™REILLY, 1999). Il est ร  rappeler que ยซ lโ€™alรฉa moral dรฉsigne lโ€™opportunisme dont feront preuve des agents aprรจs la signature dโ€™un contrat (risque post-contractuel), sachant que certaines actions exigรฉes par ce contrat ne seront pas toujours observables, par exemple si les informations communiquรฉes aprรจs coup sont insuffisantes ou trop coรปteuses ร  obtenir ยป (COLLINS, HENCHION, Oโ€™REILLY, 1999). Pour ces auteurs, les livraisons directes permettraient de gรฉrer au plus prรจs du terrain les interfaces logistiques avec les fournisseurs et prendre des mesures adaptรฉes en cas de dysfonctionnement avรฉrรฉ.

Les fonctions contemporaines de la distribution

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ยซ Les fonctions contemporaines de la distribution sont les fonctions transactionnelles, relationnelles, expรฉrientielles ยป (FILSER, DES GARETS, PACHE, 2001) et logistiques:
– Les fonctions transactionnelles : Elles incluent lโ€™ensemble des opรฉrations dโ€™achat, dโ€™approvisionnement, du stockage, du transport, de la rรฉpartition, mais aussi du passage du conditionnement, de la production au conditionnement, de la vente au consommateur, de la prรฉsentation et de lโ€™information sur les points de vente. ยซ Lโ€™objectif des distributeurs est dโ€™optimiser la relation entre les coรปts de transaction et les services rendus aux consommateurs. Lโ€™explication de cette relation pour une transaction est que le dรฉtaillant doit procurer ร  lโ€™acheteur lโ€™information dont celui-ci a besoin pour prรฉparer sa dรฉcision dโ€™achat (par exemple pour lโ€™achat dโ€™une voiture, lโ€™essai des vรฉhicules), il doit prendre en charge la rรฉalisation de la transaction (acte juridique) et รฉventuellement proposer ร  lโ€™acheteur le financement dont il a besoin pour acquรฉrir le bien ยป (FILSER, DES GARETS, PACHE, 2001).
– Les fonctions relationnelles : Elles constituent lโ€™ensemble des actions et fonctions visant ร  crรฉer un partenariat durable entre distributeurs et fournisseurs dโ€™une part, distributeurs et consommateurs dโ€™autre part. Le marketing de la relation entre producteurs et distributeurs sโ€™est dรฉveloppรฉ autour des notions de Trade Marketing et dโ€™Efficient Consumer Response (ECR, rรฉponse optimale au consommateur). Il sโ€™agit dans ce cas ยซ de dรฉpasser la relation conflictuelle ร  court terme pour la transformer en partenariat ร  plus long terme sur des points prรฉcis (Trade Marketing), et dans lโ€™intรฉrรชt du consommateur ยป (ECR) (FILSER, DES GARETS, PACHE, 2001). Cette action porte sur diffรฉrents รฉlรฉments : ยซ la logistique, le travail commun sur la valorisation de la marque et de lโ€™enseigne, les assortiments, le merchandising, la promotion ยป (DIOUX, DUPUIS, 2005).
– Les fonctions expรฉrientielles : Elles renvoient ร  ยซ lโ€™ensemble des actions qui permettent au consommateur de vivre des expรฉriences ludiques, hรฉdonistes, esthรฉtiques ou spirituelles par la frรฉquentation dโ€™un lieu commercial. Cette fonction met en รฉvidence lโ€™รฉmergence de la fonction rรฉcrรฉative. Le magasin ne sert pas seulement ร  acheter des produits. Il est aussi une source dโ€™interactions pour lโ€™individu : interactions avec les produits, avec le personnel de vente, avec les autres clients, qui peuvent รชtre une source de gratification, mรชme en lโ€™absence dโ€™achat ยป (FILSER, DES GARETS, PACHE, 2001).
– Les fonctions logistiques : Elle consiste ร  mettre physiquement le produit ร  la disposition de lโ€™acheteur, dans la forme et la quantitรฉ que celui-ci peut dรฉsirer. Le point de vente doit donc constituer un assortiment, sโ€™approvisionner en quantitรฉs suffisantes, et assurer grรขce ร  la gestion des stocks la disponibilitรฉ immรฉdiate ou au minimum la plus rapide possible du produit. De grandes diffรฉrences vont exister entre points de vente en termes des modalitรฉs de prise en charge des fonctions logistiques et de leur financement : certains dรฉtaillants assureront la prise en charge complรจte du coรปt logistique, alors que dโ€™autres le transfรฉreront, soit vers le fournisseur (notamment en recourant ร  un crรฉdit fournisseur long), soit vers lโ€™acheteur (en lui faisant prendre en charge le coรปt de livraison du produit ou en transfรฉrant les stocks). Ces fonctions sont complรฉmentaires et elles constituent des variables stratรฉgiques de positionnement des points de vente.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
PARTIE 1 : LE CADRAGE THEORIQUE ET POSITIONNEMENT DE LA RECHERCHE
CHAPITRE 1 LE CADRE THEORIQUE
1.1) La logistique
1.2) La distribution
1.3) la logistique de distribution
CHAPITRE 2 LA ZONE Dโ€™ETUDE SUR LES ACTIVITES COMMERCIALES
2.1) Lโ€™approche de la distribution
2.2) Les circuits dโ€™approvisionnement et de distribution
CHAPITRE 3 LA DEMARCHE METHODOLOGIQUE DE LA RECHERCHE
3 1) Le positionnement รฉpistรฉmologique et la dรฉmarche de la recherche
3.2) Le dispositif dโ€™analyse des donnรฉes et la fiabilitรฉ et la validitรฉ de la recherche
PARTIE 2 : LA LOGISTIQUE DE DISTRIBUTION A MADAGASCAR
CHAPITRE 4 : Lโ€™ETAT DES LIEUX DE LA DISTRIBUTION ALIMENTAIRE
4 1) Lโ€™appareil commercial malgache
4.2) Formes de distribution ร  Madagascar
CHAPITRE 5 : LES APPRECIATIONS DES OPERATEURS SUR LE PROCESSUS DES ACTIVITES LOGISTIQUES ET LEURS PERFORMANCES
5.1) Le cas des industriels alimentaires
5.2) Le cas des importateurs-distributeurs et/ou des grossistes des produits alimentaires de base
5.3) Le cas des dรฉtaillants en produits alimentaires
CHAPITRE 6 : LA VALIDATION DES RESULTATS SUR LES PERFORMANCES LOGISTIQUES DES DISTRIBUTEURS ALIMENTAIRES
6.1) les performances logistiques au niveau de la satisfaction du client
6.2) Les performances logistiques au niveau du respect des dรฉlais de livraison
6.3) Les performances logistiques au niveau du partage de lโ€™information et de la coopรฉration
6.4) Les performances logistiques au niveau des coรปts
PARTIE 3 LES DISCUSSIONS ET LES RECOMMANDATIONS
CHAPITRE 7: LES DISCUSSIONS SUR LES PERFORMANCES DES CANAUX ET CONFIRMATION DES HYPOTHESES
7.1) La comparaison et performance des canaux de distribution alimentaire
7.2) La confirmation des hypothรจses
CHAPITRE 8 : LES PROPOSITIONS Dโ€™AMELIORATION DE LA LOGISTIQUE DE DISTRIBUTION DES PRODUITS ALIMENTAIRES A MADAGASCAR
8.1) Le sous-processus approvisionnement
8.2) Le sous-processus planification transport
8.3) Le sous-processus stockage et entreposage
8.4) Le sous processus systรจmes dโ€™information
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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