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Situation de l’exportation de fruits et légumes à Madagascar
Globalement, les activités d’exportation de fruits et légumes à Madagascar ont connu une augmentation au cours des dernières années. Lesexportations concernent surtout le litchi, les pommes et les fruits tempérés frais ou transformés, la pomme de terre, les oignons, les carottes, les haricots verts, les cornichons, les tomates et les légumes à cosse.
L’Annexe I.3 explique la situation de l’exportationde fruits et légumes à Madagascar.
Perspectives d’évolution de la production de fruitset légumes à Madagascar Compte tenue des activités d’institutions, d’ONG et d’autres organismes tels la MCA (Millenium Challenge Account), FIFAMANOR, et les opérateurs œuvrant directement dans l’appui aux paysans, de nombreux efforts ont été fournis dans le cadre de l’amélioration des techniques de culture et des variétés culturales, ed semences et des traitements post-récoltes. Ces efforts tendent dans l’amélioration de la productivité, du rendement de production et surtout de la qualité des récoltes à tous les niveaux de la chaîne.
De ce fait, une augmentation globale du volume de production en fruits et légumes, ainsi que de leur durée de disponibilité, est attendue d’ici trois à quatre ans à Madagascar. Ainsi, l’existence de structures adéquates pour accueillir, traiter et stocker les produits est de mise pour faire face à cette augmentation.
Industries et artisanats
Intégré dès le temps des royaumes dans l’économiede marché, stimulé par l’arrivée des missionnaires norvégiens avant la colonisation, Vakinankaratra a bénéficié du développement des secteurs artisanal et industriel depuis plus de 40 ans. En général, la transformation des produits agricoles et de l’élevage en milieu rural est encore au stade artisanal. Les produits sont exportés à l’état brut, les transformations artisanales consistent uniquement à la décortiquerie, le séchage, le broyage, et le pressage pour l’huile alimentaire.
L’orpaillage est pratiqué artisanalement un peu partout par les paysans (Anjoma-Ramartina, Maherikely) dans l’Ouest de la Sous-Préfecture de Betafo.
La branche textile est dominée en majorité par laCotona d’Antsirabe qui exerce des effets d’entraînement dans et hors de la région.
L’Agro-industrie est une branche très fractionnée dans la Région de Vakinankaratra allant des grosses unités de transformation, telles que la minoterie de la KOBAMA, la boissonnerie STAR, les biscuiteries artisanales.
Les dérivés du lait sont la branche d’activité quia connu le plus de développement au cours de ces dernières années. D’importantes unitésde transformation des produits laitiers comme SOCOLAIT, TIKO ont vu le jour.
Communication et Information
Parmi les Services Sociaux retenus comme indispensables pour un développement rural réussi, s’inscrit le volet « Communication – Information » dont le développement cautionne la circulation des informations, tant à l ’intérieur de la Région elle-même, que de la Région de Vakinankaratra vers les autres régions etl’extérieur, et vice versa.
Pour les communications téléphoniques, les opérateurs TELMA, ORANCE et ZAIN œuvrent dans la Région.
Concernant les informations audiovisuelles, outre la TVM et la RNM qu’on peut capter dans toute la Région de Vakinankaratra, plusieurs radios placés pour la plupart à Antsirabe I relevant du secteur privé sont fonctionnelles dans chaque sous préfecture.
A propos des informations écrites, les grands quotidiens de la Capitale, les hebdomadaires ainsi que les revues sont vendus à An tsirabe I mais rarement dans les autres Districts, à savoir : Midi Madagascar, l’Express, T ribune de Madagascar et des journaux périodiques tels que Lakroan’i Madagasikara, Ny Gazetiko, DRD, DMD, ROI.
Antsirabe est surnommée la « Vichy Malgache » à cause des nombreuses sources d’eau thermale ou minérale. Ces nombreuses sources naturelles sont exploitées depuis le siècle dernier et portent les noms de Ranomafana I et II (eau chaude), Ranovisy (eau de Vichy), d’Antsirakely, de l’hôpital et de Sahatsiho. Des ba ins et des structures d’accueil ont été aménagés pour les curistes.
Les sites touristiques
La Région Vakinankaratra dispose de plusieurs sitestouristiques attirant les touristes étrangers ainsi que les vacanciers Malgaches. Parmitant d’autres, on peut citer :
Les lacs Andraikiba et Tritriva situés respectivement à 7 et à 17 km de Antsirabe ;
Les thermes de Betafo à 22 km ;
L’ascension du Mont Ibity (2255 m) à 30 km au Sud de Antsirabe.
Justification du projet
Généralités sur la circulation aérienne
La circulation aérienne englobe tous les aéronefsévoluant dans l’espace aérien ou sur l’aire de manœuvre d’un aérodrome. Elle comprend la circulation aérienne générale, composée surtout des aéronefs civils commerciaux ou privés, et la circulation aérienne militaire, composée d’aéronefs militaires ou d’aéronefs en essai .
Le développement rapide de l’aviation a nécessitétrès vite l’établissement d’une règlementation de la circulation aérienne, définissant les règles générales de pilotage à respecter, dites « règles de l’air », et les services rendus aux aéronefs par des organismes au sol. En particulier, la grande majorité des vols commerciaux ne peut se réaliser que grâce au service du contrôle de la circulation aérienne qui, entre autres, évite les abordages entre aéronefs. La nécessité de règlementer une activitépar nature internationale a conduit les États signer la Convention internationale de Chicago le 7 décembre 1944; d’où la naissance de l’Organisation de l’aviation civile internationale (O.A.C.I.), dont le siège est à Montréal, au Canada, est l’organisme chargé de veiller à l’application de cette convention et d’établir les règles qui en découlent, sous forme de normes ou depratiques recommandées partout dans le monde.
Présentation de l’Aviation Civile de Madagascar
L’ACM est l’organisme qui représente l’OACI à Madagascar avec l’objectif de veiller sur le respect des règles internationales de l’aviation applicables sur les 146 aérodromes aménagés dans le pays.
Vu la superficie du pays et son éloignement en tantqu’île, le réseau aérien est vital pour
Madagascar. En effet, Madagascar possède:
Missions de l’ACM
L’ACM est une entité de l’administration de l’aviation civile ; c’est une autorité officielle qui a pour rôles principaux de :
Veiller au respect de la législation et de la règlementation de l’aviation civile à Madagascar ; Exploiter directement certains aéroports ont pris en charge par des entités locales et/ou privées L’ACM a pour mission de s’occuper des études et de la mise en œuvre de la politique de l‘Etat en matière d’aviation civile à Madagascar. E n effet, l’ACM réalise les études préparatoires qui seront vues et observées par le Ministère des Transports et de la Météorologie représentant le Gouvernement ; et c’est ensuite que cet établissement se charge de gérer et de contrôler les travaux de réalisation des divers constructions concernant l’aéronautique à Madagascar.
Le système de l’aviation civile à Madagascar
Le système de l’aviation civile à Madagascar est co mposé de :
Partenaires actifs :
Organismes de Navigation Aérienne (ASECNA, ADEMA, ); Aéroports ;
Compagnies aériennes (AIR MADAGASCAR,…).
Les aéronefs
Les usagers :
Passagers
Responsables de stands Visiteurs
Direction des Aérodromes et de la Navigation Aériene ou DANA
La DANA a pour mission :
L’élaboration de la règlementation ;
Le contrôle de son application dans le domaine de l ’infrastructure aéroportuaire, de l’espace aérien et des services associés telles que la Gestion des Patrimoines Aéroportuaires ou GPA.
Direction Générale
Le Directeur Général de l’ACM est investi du pouvoir de décision nécessaire à la bonne marche de l’établissement, notamment :
Représente l’établissement dans tous les actes de ’aviationl civile ;
Etablit les rapports d’activités ;
Exerce l’autorité hiérarchique sur le personnel ;
Recrute et résilie les contrats de travail des employés de l’ACM,
Préside les organes consultatifs à l’ACM,
Soumet au Conseil d’Administration pour examen et adoption le programme d’activité et de budget;
Exécute le budget ;
Prépare l’ordre du jour des différentes sessions duconseil d’Administration et les convocations qui s’en suivent ;
Assure le secrétariat du Conseil d’Administration ;
Est ordonnateur du budget et répond de ses résultat devant toutes les instances compétentes. L’organigramme de l’ACM est présenté à l’Annexe II3.
Conseil d’Administration
Le Conseil d’Administration:
Oriente les activités de l’ACM ;
Fixe le statut et le règlement général du personnel;
Arrête les documents soumis pour approbation aux autorités de tutelle (programmes d’activités, budget, comptes financiers, rapports d’activités, organisation générale de la Direction Générale, définition des emplois de Direction)
Les membres du CA :
Le Président,
Le représentant de la Vice-Primature chargé d’aviation civile, Le représentant du Ministère chargé du budget,
Le représentant des exploitants du transport aérieninternational, Le représentant des exploitants du transport intérieur,
Le représentant des organismes chargés de la Navigation Aérienne, Le représentant des professionnels du Tourisme.
Importance du réseau aérien
Les réseaux de Transport dans la Région Vakinankaratra
Réseaux routiers
Dans la Région Vakinankaratra, les réseaux routiers sont importants. En fait, les routes facilitent les échanges à l’économie marchande.
Le réseau routier de la région compte environ 1935km et se répartit en trois classes administratives:
les routes nationales (RN) : 413Km ;
Les routes d’intérêts provinciaux (RIP) : 1079 Km ;
Les routes non classées: 442 Km.
La majorité des routes dans la Région est en terreaménagée.
Transport ferroviaire
La ligne ferroviaire de la Région dessert:
Antsirabe vers Antananarivo sur 158 km ;
Antsirabe vers Vinaninkarena.
Le MADARAIL prend en charge le fonctionnement de ces 2 lignes.
Mais, à Madagascar ce type de transport est d’une lenteur et les trains sont tellement anciens qu’ils sont pour la plupart inconfortables pour les voyageurs.
Ainsi, ce transport est souvent destiné aux produits non périssables durant le déplacement.
Les problèmes actuels de la Région et les améliorations envisagées
Situation actuelle
Il se trouve qu’actuellement, les problèmes de la Région se résument par:
le degré d’enclavement de certaines localités dontles zones à potentialité agricole élevée;
le défaut d’entretien des infrastructures routières; la non disponibilité des services de transport ; les coûts de transports;
la longue distance des routes impliquant une perte de temps; l’insuffisance des infrastructures de desserte;
le manque de débouchés pour les produits menant parfois à leur destruction ou à leur utilisation comme aliments de bétail.
Ces-derniers sont alors les causes majeures qui constituent un obstacle majeur au développement des activités des opérateurs économiques et qui freinent ainsi celui de l’économie de la Région.
Projets d’amélioration
Plusieurs projets ont été étudiés avec plusieurs ablissementsét et organisations étrangers et locaux afin d’exporter plus de produits frais via la Région. Dans le souci de les garder au frais et aussi de gagner du temps, l’étude s’est basée sur le système de cheminement à froid qui consiste à effectuer plusieurs étapes dont voici :
Collecte des produits dans les zones de production;
Transport des produits par le biais de véhicules équipés de conteneur à température réglable selon le besoin ;
Vérification des produits vis-à-vis des normes en vigueur ;
Stockage dans une chambre froide installée dans l’enceinte de l’aéroport ;
Embarquement des produits frais dans un avion de type Boeing 737-800 Cargo pour être transportés de suite vers les pays voisindont les frais de douanes sont les moins chers.
Ce qui facilitera l’exportation.
La vigie de contrôle et le Bloc Technique au sein d e l’aéroport d’Antsirabe
Le Boeing 737-800 est un type d’avion qui nécessiteun approche de précision. D’où la nécessité d’un un bloc technique et d’une vigiede contrôle au sein de l’Aérodrome suivant les normes internationales.
Définitions
La structure et la fonction de la tour de contrôle lui confèrent une image de sceptre de l’aéroport. Quelques définitions sont importantes vant de concevoir le présent bâtiment aéroportuaire :
Vigie : entité qui régit les mouvements aériens, atterrissages, décollages, soit l’activité de l’aéroport. En effet, c’est le local dans lequel se trouve l’agent chargé du contrôle d’aérodrome, désigné sous le nom decontrôleur , effectuant l’information de vol ou simplement de diffusant les paramètres météorologiques.
Architecturalement parlant, il existe trois grandes familles de vigies :
Les vigies intégrées à un immeublecomme si elles le couronnaient,
Les vigies servant de couronnement à une tour ,
Les vigies reposant sur un ou plusieurs fûts non habités.
Support : construction, habitable ou non, au sommet de laquelle est placée la vigie. Lorsqu’il est indépendant on l’appelle lefût.
Tour de contrôle : ensemble constitué par le fût et la vigie, ou la vigie seule lorsque celle-ci est plus ou moins rattachée à son immeuble support. En fait, c’est un bâtiment très particulier où les contrôleurs effectuent la surveillance à vue et sur écran des aéronefs évoluant sur la plate-forme aéroportuaireou à proximité.
Bloc technique : bâtiment qui abrite les organismes assurant :
le contrôle de la circulation aérienne ;
l’assistance météorologique sur l’aérodrome,
la sécurité en vol et au sol,
la maintenance des équipements de navigation aériene.
Il peut également contenir les bureaux de divers organismes, entre autres
la Gendarmerie des Transports Aériens, des services de l’exploitant de l’aérodrome ; d’autres services de l’Aviation Civile.
Les fonctions assurées par le bloc technique et lavigie de contrôle
Le tandem vigie – bloc technique assure plusieurs fonctions majeures qui se résument à la sécurité et la régulation de la circulation desaéronefs. Pour cela, ce couple abrite les services chargés des activités suivantes :
— contrôle aérien qui consiste à faciliter et ordon ner le trafic, à prévenir les abordages en vol et à prévenir les collisions entre les aéronefs etles obstacles fixes ou mobiles sur les aires de manœuvre ;
— accueil et information des personnels navigants ;
— fonctionnement et maintenance des équipements mis en œuvre pour assurer les deux premières fonctions ;
— accueil du commandant d’aérodrome, dont le rôle e st de veiller au respect des normes de sécurité et de sûreté aérienne, et des services quilui sont rattachés.
Fonctions en vigie
En principe, les fonctions en vigie sont :
Coordination des différentes fonctions
Responsable de la vigie, le Chef de quart se trouve obligatoirement en vigie.
Commande de balisage
Cette fonction commande les différents balisages au sol et en assure le bon fonctionnement. Elle est obligatoirement en vigie, mais ne nécessite pas un poste de travail. La fonction essentielle d’une tour de contrôle est le contrôle d’aérodrome. Les agents chargés de ce contrôle sont nécessairement en vigie. Sur les aérodromes peu importants une seule personne peut assurer plusieurs fonctions voire toutes. Sur des plates-formes importantes plusieurs personnes peuvent s’occuper d’une même fonction, sauf pour les contrôles «local», «sol», «approche» et «chef de quart».
Information en vol
Cette fonction fournit les renseignements utiles à l’exécution sûre et efficace des vols.
Il ne se trouve pas obligatoirement en vigie mais à proximité.
Alerte
Lorsque les aéronefs ont besoin d’aide, cette fonction alerte les organismes de recherche et de sauvetage et leur prête le concoursnécessaire. Elle n’est pas implantée obligatoirement en vigie, mais toujours dans un local ayant vue sur la piste et les parkings avions.
Gestion des aires de trafic
Elle assure la régulation des activités et des mouvements des aéronefs et des véhicules de piste sur les aires de trafic. Cette fonction répartit les avions sur l’aire de stationnement et déclenche les opérations nécessaires à l’accueil deces derniers et des passagers.
Le contrôle d’approche ;
Position départ; Position arrivée;
Position information des vols d’aérodrome (AFIS) et alerte.
Contrôle d’aérodrome
C’est le contrôle de l’ensemble de la circulation d es aéronefs et des véhicules sur l’aire de manœuvre d’un aérodrome et des aéronefs qui se trouvent dans le ou les circuits d’aérodrome, qui y pénètrent ou qui en sortent. Elle peut se décomposer en deux parties(local et sol), voire une troisième (le prévol) :
le contrôle local ou piste qui contrôle l’utilisation de la piste, à l’atterri ssage et au décollage, les évolutions des aéronefs en circuit’aérodrome et sur la piste à partir du point d’attente ou jusqu’aux voies de circulation;
le contrôle sol qui contrôle les évolutions des avions au sol (hors la piste) et des véhicules sur toute la plate-forme (voies de circulation, parking avion…);
le prévol qui autorise la mise en route de l’appareil et donne les renseignements essentiels sur les paramètres, l’état de l’aérodrome et de la circulation d’aérodrome.
Toutes ces fonctions doivent se trouver impérativement en vigie.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I. ENVIRONNEMENT DU PROJET
CHAPITRE 1. La Région Vakinankaratra
1. Milieu physique
a) Identification de la Région
b) Géologie
c) Climat
i) Température
ii) Pluviométrie
iii) Cyclones
d) Sols et végétations
i) Typologie régionale
ii) Végétations
iii) Sols
2. Milieux Humain et Social
a) Population et démographie
b) Croissance démographique
c) Population urbaine et population rurale
d) Répartition par classe d’âges
e) Enseignement et éducation
f) Dispositif sanitaire
g) Les services de sécurité
i) La Police Nationale
ii) L’Armée
iii) La Gendarmerie Nationale
3. Secteur Economique
a) Secteur agricole
i) Calendrier cultural
ii) Types de culture
iii) Situation de l’exportation de fruits et légumes à Madagascar
iv) Perspectives d’évolution de la production de fruits et légumes à Madagascar
b) Industries et artisanats
c) Communication et Information
d) Tourisme à Antsirabe
i) Antsirabe : la « Vichy Malgache »
ii) Les sites touristiques
iii) Les arrivées touristiques
iv) Transport local urbain
CHAPITRE 2. Justification du projet
1. Généralités sur la circulation aérienne
2. Présentation de l’Aviation Civile de Madagascar
a) Missions de l’ACM
b) Le système de l’aviation civile à Madagascar
c) Direction des Aérodromes et de la Navigation Aérienne ou DANA
d) Direction Générale
e) Conseil d’Administration
3. Importance du réseau aérien
a) Les réseaux de Transport dans la Région Vakinankaratra
i) Réseaux routiers
ii) Transport ferroviaire
iii) Réseau aérien
b) Les problèmes actuels de la Région et les améliorations envisagées
i) Situation actuelle
ii) Projets d’amélioration
CHAPITRE 3. Présentation du projet
1. Description de l’Aérodrome d’Antsirabe
a) L’avion critique
b) Code de référence de l’aérodrome
c) La piste d’envol
d) Les installations terminales
2. La vigie de contrôle et le Bloc Technique au sein de l’aéroport d’Antsirabe
a) Définitions
b) Les fonctions assurées par le bloc technique et la vigie de contrôle
i) Fonctions en vigie
• Coordination des différentes fonctions
• Commande de balisage
• Information en vol
• Alerte
• Gestion des aires de trafic
• Le contrôle d’approche ;
• Contrôle d’aérodrome
ii) Fonctions en bloc technique
3. Etude d’implantation spatiale et de hauteur du bloc technique et de la tour de contrôle
a) Règle sur le Front des installations
b) Règle du 1%
PARTIE II. CONCEPTION ET ETUDES TECHNIQUES
CHAPITRE 1. Conception architecturale
1. Conception générale du bloc technique et de la tour de contrôle
i) Exigence de fonctionnement : due aux souffles des réacteurs et des hélices.
ii) Exigence d’habitabilité psychophysiologique :
• Exigence acoustique
• Exigence d’éclairement
• Exigence thermique
• Exigence de sécurité
• Exigences sur les ratios de surface
2. L’architecture du bâtiment
a) Forme
b) Orientation
c) Organisation
i) La vigie
• Prise en compte de l’importance de l’aérodrome
ii) Bloc technique
• Des espaces techniques ;
• Un poste d’observation météo;
• Des zones vie pour les contrôleurs aériens.
d) L’ossature
e) Matériaux
• Les briques creuses en terre cuite
• Les briques prismalith (ou briques de verre)
• Vitres
CHAPITRE 2. Etudes préliminaires
1. Prédimensionnement
a) Plancher
b) Poutres
i) Hauteur
ii) Largeur
c) Poteaux
2. Calcul des actions
a) Effet du vent
i) Hypothèses
ii) Caractéristiques du bâtiment
iii) Actions statiques dues au vent
• Coefficient de pression extérieure ce
• Coefficient de pression intérieures ci
• Calcul des valeurs de ce et ci
• Pression résultante sur les parois de la construction
iv) Actions dynamiques exercées par le vent
• Actions parallèles à la direction du vent
• Cas de surcharges normales
• ·Cas de surcharges extrêmes
• Actions perpendiculaires à la direction du vent
b) Charges verticales
i) Surcharges d’exploitation
ii) Charges permanentes
3. Descente de charges
a) But et principe
b) Hypothèses de calcul
c) Choix des niveaux
d) Choix de la zone à étudier
e) Descente de charges verticales du poteau E4
f) Descente de charges horizontales
g) Descente de charges totales
4. Calcul des structures
a) Méthode de détermination des sollicitations
b) Evaluation des charges
i) Portique de calcul
ii) Charges verticales sur la poutre
iii) Charges horizontales sur le poteau
iv) Combinaison d’actions
5. Béton armé aux états limites
a) Définition d’état limite
b) Caractéristiques Mécaniques des matériaux pour les éléments en béton armé
i) Le béton
ii) Les aciers
c) Calcul des armatures longitudinales en flexion simple
CHAPITRE 3. Calcul des éléments de la superstructure
1. Poutres transversales
a) Définition et hypothèses
b) Détermination des armatures longitudinales
i) En travée
ii) Aux appuis
c) Vérifications
i) Vérification de la déformabilité des poutres
• Vérification de la flèche de la travée numéro 2
ii) Vérification du béton d’âme
iii) Vérification des conditions d’appuis
• Appuis de rive
• Appuis intermédiaires
iv) Détermination des armatures d’âmes
• Diamètre et espacement
2. Poteaux
a) Généralités
b) Longueur de flambement lf et l’élancement λ
c) Sollicitations aux états limites
d) Détermination des armatures longitudinales
i) Calcul de l’excentricité
ii) Caractéristiques de la section
iii) Calculs des armatures des sections partiellement comprimées
iv) Armatures transversales
3. Plancher
a) Définition et choix du type de plancher
b) Calcul des sollicitations par la méthode forfaitaire
i) Description de la méthode
ii) Application
• Chargement
• Détermination de ρ tel que
iii) Choix des panneaux
iv) Calcul des armatures
v) Vérifications
vi) Arrêt des barres en travée et aux appuis
4. Terrasse
a) Evaluation des charges
b) Vérifications
i) Vérification de la flèche
ii) Vérification des dimensions des armatures
iii) Vérification de l’espacement
c) Arrêt des barres en travée et aux appuis
5. Escalier
a) Définitions
b) Caractéristiques de l’escalier à étudier
i) Paliers
ii) Paillasses
iii) Éléments de finition et confort
• Garde-corps et mains courantes
• Revêtement des marches
c) Ergonomie de la marche. Formule de Blondel
d) Dimensionnement de l’escalier
e) Modélisation de l’escalier
f) Evaluation des charges
g) Sollicitations
h) Calcul des armatures
i) Armatures longitudinales
ii) Armatures de répartition
CHAPITRE 4. Etude de l’infrastructure
1. Généralités
a) Fondations superficielles
i) Les semelles isolées
ii) Les semelles filantes
iii) Les radiers
b) Fondations semi profondes
c) Les fondations profondes
2. La fondation
a) Principe d’étude
b) Caractéristiques géotechniques du sol de fondation
i) Schéma de structure du sol
ii) Analyse des résultats des essais
c) Calcul de la contrainte admissible au poinçonnement par le biais des caractéristiques mécaniques du sol support en Roche Décomposée
d) Le prédimensionnement de semelle de fondation
e) Vérification du poinçonnement
f) Détermination du ferraillage
i) Hypothèses
ii) Méthode des bielles comprimées (DTU 13.2)
CHAPITRE 5. Second œuvre
1. Adduction d’eau
a) Généralités
b) Calcul du réseau de distribution
i) Débit
ii) La canalisation primaire
iii) La canalisation secondaire
2. Assainissement
a) Généralités
b) Evacuation des eaux usées
c) Evacuation des eaux vannes
i) Diamètre des conduites
ii) Dimensionnement des fosses septiques
iii) Dimensionnement de l’élément épurateur
d) Evacuation des eaux pluviales
i) Généralités
ii) Dimensionnement des descentes d’eau
3. Electricité
a) Objectifs généraux
b) Principes d’installation
c) Dispositifs de protection
i) Protection des circuits
ii) Protection des personnes
iii) Protection du bâtiment
d) Projet d’éclairage
i) Le système d’éclairage
ii) Facteur d’utilisation U
• L’indice du local
• Facteur de réflexion
iii) Facteur de dépréciation d
iv) Eclairement minimal
v) Le flux lumineux total
vi) Le nombre et la répartition des luminaires
vii) Cas de la salle de réunion
PARTIE III. ETUDES ECONOMIQUES ET ANALYSES ENVIRONNEMENTALES
CHAPITRE 1. Estimation du coût du projet
1. Devis descriptif du projet
2. Coefficient de débourses
3. Sous-détails de prix
4. Devis quantitatif et estimatif
CHAPITRE 2. Etude de rentabilité du projet
1. Investissement
2. Recettes
a) Généralités sur les recettes
b) Calculs des recettes annuelles
c) Dépenses annuelles
d) Le taux d’actualisation
e) Le taux d’amortissement
f) Le cash-flow
g) La valeur actuelle nette
h) Le taux de rentabilité interne
i) Le pay back period
CHAPITRE 3. Etude d’impacts environnementaux
1. Atteintes aux milieux naturels
2. Impacts sur l’occupation du sol
3. Impacts liés à la desserte de l’aérodrome
4. Impact visuel
5. Bruit engendré par les aéroports
a) Bruit des aéronefs
b) Indice Lden (Level day evening night)
c) Plan de gêne sonore
d) Plan d’exposition au bruit
6. Impacts sur la qualité de l’air
7. Impacts sur la qualité des eaux
8. Gestion des déchets
9. Impacts sur le milieu humain
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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