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Situation de l’exploitation de Prunus africana
A Madagascar, le Prunus africana n’existe que dans 2 régions, l’Est et le Nord-Ouest : dans la région Est, sur le site de Moramanga, d’Ambatondrazaka, de Didy , et de Manakambahiny-Est ; dans la région Nord-Ouest où les sites sont : Bealanana, Befandriana-Nord et Mandritsara depuis des années 1970. Dans ce mémoire, l’étude est seulement axée sur l’exploitation de Prunus africana dans la région Est, surtout dans le site de Moramanga. Elle est composée de 3 participants qui assurent chacun leurs responsabilités respectives ; il s’agit des récolteurs, des collecteurs et des exportateurs. Normalement, l’exploitation d’un produit forestièr ne commence qu’après l’obtention de permis d’exploitation à Moramanga, l’exploitation a commencé depuis 1992 jusqu’à 1999. A dans, cette région, beaucoup d’écorces à récolter et à collecter existaient.
Récolte
Depuis la fin 1992 jusqu’a 1999, la récolte de l’écorce de Prunus africana est effectuée dans la commune de Moramanga. L’enquête menée a été opérée sur 3 sites : MANAMPOTSY, RABOANA, et BEPARASY. Chaque site a sa date début de l’exploitation, mais seule celle du commencement de l’exploitation dans la région a été prise en considération. Dans le site de RABOANA, l’exploitation a commencé en 1995 jusqu’à 1998.
A cette époque 90% des récolteurs sont des paysans des villages c’est-à-dire ¾ des ménages s’attèlent à la récolte de Prunus africana.
Dans ce village, de petits hameaux sont constitués et chaque hameau possède sa forêt de récolte habituelle, le choix de cette forêt est lié surtout au nombre de pieds disponibles et aussi à l’éloignement par rapport au village. Par ailleurs, une répartition traditionnelle des forêts naturelles existe entre les différents hameaux (WALTER et al 1995)
Exploitation durable du Prunus africana
Dans l’exploitation durable, il faut suivre 3 phases : d’abord la phase de l’inventaire, puis la phase de récolte par écorchage sur pied, et la troisième phase c’est le conditionnement des produits.
Phase de l’Inventaire
D’abord, il est procédé au recensement des pieds exploitables dans la superficie accordée par la convention de répartition. Puis il faut marquer les pieds identifiés et ensuite évaluer la quantité de récolte escomptée.
Phase de récolte par écorchage sur pied
Ensuite, la procédure d’écorchage s’effectue par prélèvement à 1 m au-dessus du sol et sur la plus grande première branche. Puis à l’aide d’un grand couteau, il est pratiqué des incisions verticales de 1 m sur le tronc, puis horizontales tous les 50 cm. Enfin, on frappe avec un pied de 20 cm de diamètre, et pesant environ 5 kg pour décéler les positions d’écorce et achever l’écorchage en utilisant l’extrémité d’un coutelas.
Il faut effectuer le choix rationnel des pieds à écorcher, sur les arbres de diamètre compris entre 30 et 50 cm et entamer le prélèvement possible de 2 panneaux qui ne dépassent pas une largeur équivalente au quart( ¼ ) de tour du tronc sur 2 côtés opposés, en prenant soin de ne pas endommager le cambium. Pour les arbres de diamètre supérieur à 50 cm, le prélèvement possible est de quatre panneaux, chacun étant moins large que le huitième( 1/8 ) du tour de tronc, et séparé du prochain par une portion d’écorce de la même longueur, en prenant toujours soin de ne pas endommager le cambium. Pour appliquer cette méthode, l’utilisation éventuelle d’un traitement antifongique sur la partie écorchée s’avère indispensable pour éviter la pourriture. Puis, il faut respecter un arrêt de prélèvement pendant 4-5 ans, temps nécessaire pour sa cicatrisation et pour permettre une régénération suffisante de l’écorce, enfin, il faut préserver les arbres mère et les pied mère pour assurer la régénération naturelle et disposer ainsi de source de matériels de reproduction artificielle.
Phase de conditionnement des produits
Quant à cette phase, concernant le transport de l’écorce de la forêt jusqu’au point de collecte : cette opération est réalisée par un panneau fixé autour d’un banc horizontal (lazaha) ou par des petits morceaux d’écorces conditionnés dans des sacs.
Ensuite après, le séchage, s’effectue à l’air libre pendant une durée variable selon l’épaisseur de l’écorce et son humidité, enfin, les écorces asséchées sont entreposées dans de sacs conservés sous hangar (Manuel de vulgarisation de Prunus africana)
Production
L’entretien avec le personnel de CIREF de Moramanga a permis d’apprendre que les Prunus africana exploitables deviennent actuellement très rares dans la forêt de Moramanga. Mais, beaucoup de jeunes plants de Prunus africana existent dans cette forêt. Par conséquent, la délivrance de permis d’exploitation relative à cette ressource est gelée pour une certaine durée de peur que les paysans ne s’attaquent également au corridor de Zahamena
Effectivement, les paysans-récolteurs enquêtés attestent que la ressource s’appauvrit réellement et que les derniers préleveurs d’écorces en 1999 ont dû même aller chercher très loin pour en trouver. A présent, aucun exploitant légal de ce produit n’a plus le droit d’exploiter car aucun permis n’est délivré dans le site.
Collecte
Pour l’activité de collecte, différents types d’acteurs peuvent être distingués. Mais, cette étude est surtout axée sur la situation des grands collecteurs de la région. D’ailleurs, les informations disponibles auprès de la CIREF de Moramanga ont permis de les identifier instantanément. Dans cette région, il existe 3 exploitants chargés de la collecte de l’écorce de Prunus africana à savoir : Pronatex, Codimex, SODIP. Ces trois exploitants travaillent en collaboration avec des collecteurs indépendants retenus dans les différents points stratégiques de collecte dans cette région. Puis, ces derniers s’approvisionnement à leur tour soit auprès d’autres sous-collecteurs installés dans les villages producteurs, soit auprès de paysans-récolteurs qui livrent directement leurs écorces auprés de ces collecteurs. La collecte de l’écorce de Prunus africana a commencé depuis 1993 jusqu’à 1999 dans la région de Moramanga.
D’ailleurs, les enquêtes effectuées auprès d’un collecteur d’écorce de Prunus africana de Morarano-Gara, ont révélé que ce dernier s’approvisionne principalement auprès des paysans-récolteurs en provenance de villages de site RABOANA. Avant, ce collecteur se déplace à proximité des paysans-récolteurs, sur une distance de 25 km d’une route secondaire. Et il pèse les écorces de Prunus africana récoltées tous les jours. Mais après 2 à 3 ans , les collecteurs quittent ce lieu parce que le Prunus africana devient rare, et la quantité d’écorces obtenue par les paysans récolteurs diminue. Des enquêtes faites auprès de ces collecteurs montrent qu’ils obtiennent 130 000 tonnes d’écorces fraîches de Prunus africana dans le site de RABOANA , ce qui donne 65 tonnes sèches durant l’exploitation de Prunus africana. Là également, ce collecteur n’accepte pas l’écorce de racine, mais seulement celle du tronc celle de la branche. Puis, il se déplace vers le site d’Ampitambe, et y obtient 20 tonnes par semaine. A cet endroit, il accepte l’écorce de racine de Prunus africana, du fait de la présence d’un concurrent entre collecteur. Le prix de l’écorce de Prunus africana différe d’un lieu à un autre, c’est-à-dire chaque collecteur a son prix d’écorce.
Si les collecteurs quittent le village de site d’exploitation, les paysans-récolteurs sont obligés de transporter leur produit jusqu’au point d’achat. En plus, ils assurent la préparation des écorces en petits morceaux de dix fois dix centimètres et leur mise en sacs. Les écorces mises en sachet sont ensuite destinées à l’opération de pesage et l’acheteur (aide-collecteur) enregistre les quantités collectées tous les jours d’achat. A ce moment- là, les achats s’effectuent pendant les jours de fady, c’est-à-dire : Dimanche, Mardi et Jeudi. Les produits collectés sont maintenus dans un magasin de stockage situé sur le point d’achat en attendant l’évacuation sur le lieu de séchage (WALTER et al 1995).
D’ailleurs, l’enquête auprès d’un collecteur sur le site de collecte, relève que le de nombre de récolteurs change chaque jour, parce que les paysans-récolteurs alternent le travail des champs avec la récolte de l’écorce de Prunus africana, car la collecte de l’écorce de Prunus africana n’a pas de période. C’est un travail habituellement effectué tous les jours.
Sur l’exploitation de Prunus africana, c’est le collecteur qui joue le rôle principal, en tant que titulaire du permis, car l’exploitation proprement dite est conditionnée par la délivrance de ce permis. Normalement, c’est le collecteur qui indique aux paysans-récolteurs le lieu de collecte et qui fixe également le point d’achat (WALTER et al 1995)
En résumé, il est à noter que l’exploitation de Prunus africana concerne 3 acteurs principaux : les récolteurs, les collecteurs et les exportateurs. A Madagascar, elle a commencé depuis 1970 à Bealanana et depuis la fin de 1992 dans la région de l’Alaotra Mangoro, surtout dans la commune de Moramanga.
Déroulement de la récolte de l’écorce de Prunus africana
Evolution de la récolte de l’écorce de Prunus africana
Normalement, l’évolution de la méthode de récolte de l’écorce de Prunus africana existe si une formation est dispensée avant ou durant la période d’exploitation. En effet, les populations locales ont ignoré cette plante jusqu’à ce que les collecteurs aient montré des échantillons des feuilles et d’écorces. Les paysans-récolteurs les ont comparés avec les feuilles des arbres dans la forêt. Puis, ils ont aussi affirmé que, le collecteur ne s’est pas soucié de donner une formation appropriée à la récolte de ces écorces. Ainsi, cette dernière est -elle devenue un massacre sauvage c’est-à-dire, partant de l’abattage de l’arbre puis à l’écorchage intégral du tronc, des branches et des racines. Cette opération mal menée est pratiquée jusqu’à la fin de l’exploitation.
Evolution de quantités d’écorces obtenues durant la récolte
Au début de l’exploitation, les paysans récolteurs ont obtenu beaucoup d’écorces, parce que les plantes s’avérèrent faciles à trouver. A cette époque, ils ont pratiqué même 2 récoltes par jour, et en une journée, une famille est arrivée à possèder 45 kg au minimum et 110 kg d’écorce au maximum. Ceci a varié suivant le nombre des membres de famille qui participe à l’abattage de l’arbre et en fonction de la distance et de la grandeur de l’arbre parce que, d’après l’enquête, un pied de Kotofihy fournit environ 500 kg 2,5 tonnes à maximum. Mais après 2 ou 3 ans d’exploitation, ces quantités ont diminué, la plante se raréfie et ne peut être dénichée que très loin dans la forêt.
La quantité obtenue a diminué, elle varie entre 10 et 30 kg compte tenu de la distance du lieu de récolte. A cette époque, les paysans pratiquaient la récolte une fois par jour. Actuellement, ils ne récoltent plus l’écorce de Prunus africana , mais se livrent à leur activité principale, la riziculture. Les autres paysans récolteurs s’adonnent à une autre activité complémentaire en tant que bûcheron, ou guide forestier.
Comme il est indiqué précédemment concernant le Prunus africana dans la forêt de Moramanga, ce mode d’exploitation sauvage a abouti à la dégradation de la plante prouvée par la diminution de quantité d’écorce enregistrée. Dans la forêt de Moramanga, l’inventaire de pied de Prunus africana est difficile à exécuter, parce que la CIREF de Moramanga affirme qu’à l’heure actuelle le nombre exact de pieds de Prunus africana encore existant n’y est recené.
PRATIQUE DE L’EXPLOITATION DE PRUNUS AFRICANA
L’exploitation de produit forestier est l’une des activités de paysans récolteurs de Moramanga. Normalement, pour pouvoir exploiter un produit forestier, il faut obtenir un permis d’exploitation. Pour ce qui concerne le Prunus africana, l’application des différentes techniques d’exploitation, pour améliorer la gestion de cette ressource, doit être mise en oeuvre.
Différentes techniques de récolte de l’écorce de Prunus africana
Technique et méthode de récolte
Auparavant, cette plante était si abondante qu’on la trouvait même dans la forêt périphérique. La recherche et la récolte s’effectuent en une journée. Mais en raison du nombre élevé des récolteurs, la plante s’est raréfiée . De ce fait, ils sont obligés de pénétrer de plus en plus vers l’intérieur de la forêt pour trouver de grands arbres (enquête auprès des paysans). Lorsque certains ont voulu rappliquer dans la forêt périphérique pour récolter l’écorce des jeunes plantes, ils ont également prélevé l’écorce de tronc et des racines.
Les récolteurs, objet de notre enquête ont permis d’affirmer que, le processus de récolte comprend 2 phases : la phase de recherche, pour repérer les plantes dans la forêt et la phase de récolte proprement dite.
La phase de recherche
A ce propos, une ou deux personnes du groupe effectuent ce travail, le plus souvent ce sont le père et le fils aîné de la famille. En principe, ils partent très tôt le matin et passent leur journée dans la forêt,. en pénétrant dans les endroits où ils comptent trouver la plante. La recherche consiste à suivre un itinéraire favorable, le long d’un cours d’eau , sur le bas versant, car cette plante ne croit que sur ce type de terrain.
Quand ils trouvent les arbres, ils y mettent des marques pour pouvoir repérer l’endroit (enquête auprès des paysans). Mais certains autres récolteurs, des qu’ils trouvent un pied de cette plante tout de suite sans marquer, l’abattent et le dénudent complètement.
Phase de récolte
Selon le groupe de récolteurs, un homme seul n’arrive à abattre un grand pied de Kotofihy qu’en 2 ou 4 jours. Donc 3 à 6 hommes s’occupent de l’abattage d’un grand pied de Prunus africana(enquête auprès des paysans),et tous les membres de la famille participent surtout au transport des écorces taillées par plaque de 20cm de large et 50cm a 80cm de long, de la forêt jusqu’au point de dépôt. Mais certains récolteurs découpent l’écorce en morceaux plus petits et puis les mettent dans un sac pour le transport. L’écorchage simple sans abattage de l’arbre n’y est pas appliqué, parce qu’ils ne sont pas mis au courant de cette méthode moderne. La quantité des écorces enlevées change selon le nombre des personnes qui ont trouvé l’arbre. Mais au maximum ce qui pourrait être transporté par un homme fort varie entre 45 à55kg, selon l’éloignement du lieu de récolte. La quantité totale d’écorce fournie par un pied de Prunus africana dépend de la grandeur du tronc et de sa hauteur. Un pied de Prunus africana exploitable, peuvent être retirés 50à2000kg d’écorces .Lors d’une visite dans la forêt, ce Prunus africana de grande taille délogé avait pu fournir jusqu’à 1900kg d’écorces et abattu en 1993.(WALTER et al 1995)
La quantité transportée varie selon l’âge et l’énergie des paysans et les membres de leur famille, ainsi que la distance à parcourir (enquête auprès de paysans). Pour ficeler ces plaques, ils utilisent du « HAFOTRA » écorce d’une autre plante appelée « Hafotra »ou se servent tout simplement .de petites lianes pour former ensuite un ensemble solide de 2 paquets de plaques fixé sur une base de bambou. Cet ensemble est transporté par la suite vers les villages sur l’épaule (RANDRIAMBOLOLONA ,1994).
Durée de récolte et effectifs des récolteurs
D’après l’enquête menée auprès des récolteurs, la récolte dure en moyenne 8 heures,mais cela dépend surtout de l’emplacement du site par rapport à chaque village. Dans le site de RABOANA 4 heures suffisent pour la récolte, car le village se trouve à proximité de la forêt, mais pour le site de BEPARASY, l’exploitation d’un Prunus africana prend 12 heures, car la forêt est très loin près de 8 km de village .Pour le site de Marovoay, il leur faut 8 heures de temps pour exploiter un pied de Prunus africana , puisque la forêt est peu éloignée du village.
En 3 ans, ces durées de récolte ont sensiblement changé parce que le pied de Prunus africana devient rare (enquête auprès des paysans). Rien que pour la recherche, un à quatre jours devient indispensables et, il est possible de ne rien trouver en une semaine, raison pour laquelle les paysans-récolteurs sont parvenus à être convaincus de la dégradation de Prunus africana. Mais actuellement toujours d’après l’enquête dans tous les sites visités, il existe encore de pieds de Prunus africana mais très loin à l’intérieur, à 30 km dans la forêt, d’où vient la difficulté de l’exploitation.
Participants à l’exploitation de Prunus africana
L’exploitation de Prunus africana regroupe différents groupes de participants qui assument chacun leur responsabilité respective. D’abord, les paysans récolteurs, au premier échelon comme ils vivent tout près de la ressource font la récolte des écorces dans la forêt. Puis les collecteurs qui jouent le rôle principal, car étant titulaire et du permis et de l’exploitation proprement dite .Dans ce permis d’exploitation sont consignées la méthode de récolte de l’espèce et l’autorisation du périmètre à exploiter. En effet, c’est le collecteur qui indique aux récolteurs le lieu de collecte autorisé et qui fixe également le point d’achat. Or, le déroulement de l’exploitation des Prunus africana est différent de celui explicitement indiqué dans le permis, en vue de la pérennisation de l’exploitation du Prunus africana. En réalité, le collecteur ne tient pas à informer les paysans récolteurs de cette méthode moderne de récolte de l’écorce.
De tout ce qui concerne cette phase de récolte de Prunus africana, il est à retenir que l’exploitation de Prunus africana demande beaucoup de temps aux différents acteurs.
Pour les paysans récolteurs, la récolte est organisée en plusieurs étapes pour faciliter leur travail.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : HISTOIRE DE L’EXPLOITATION DE Prunus africana
CHAPITRE I : INVENTAIRE ECOLOGIQUE DE PRUNUS AFRICANA
Section 1 : Description de Prunus africana
1.1- Point de vue écologique
1.2-Utilisation de Prunus africana
1.3-Mode de préparation
Section 2 : Situation de l’exploitation de Prunus africana
2.1-Récolte
2.2-Exploitation durable du Prunus africana
2.2.1-Phase de l’Inventaire
2.2.2-Phase de récolte par écorchage sur pied
2.2.3-Phase de conditionnement des produits
2.3- Production
2.4- Collecte
Section 3 : Déroulement de la récolte de l’écorce de Prunus africana
3.1-Evolution de la récolte de l’écorce de Prunus africana
3.2-Evolution de quantités d’écorces obtenues durant la récolte
CHAPITRE II : PRATIQUE DE L’EXPLOITATION DE PRUNUS AFRICANA
Section 1-Différentes techniques de récolte de l’écorce de Prunus africana
1.1-Technique et méthode de récolte
1.1.1-La phase de recherche
1.1.2 Phase de récolte
1.2-Durée de récolte et effectifs des récolteurs
1.3 Participants à l’exploitation de Prunus africana
Section 2 : Impacts de l’exploitation de Prunus africana
2.1-Du point de vue écologique
2.2- Point de vue socio-économique
PARTIE II-ASPECT SOCIO-ECONOMIQUE
CHAPITRE I : EVOLUTION DE REVENU DE CHAQUE MENAGE DURANT LA RECOLTE DE L’ECORCE DE PRUNUS AFRICANA
Section 1 : Cas des paysans récolteurs
1.1-Au début de l’exploitation
1.2-Après 3 ans d’exploitation
Section 2 : Evolution de prix de l’écorce de Prunus africana
2.1- Variations des prix de l’écorce de Prunus africana durant l’exploitation
2.2-Relation de l’exploitation avec la vie quotidienne
Section 3 : Utilisation de revenu de l’écorce de Prunus africana
3.1-Autres utilisations de l’argent de Prunus africana
CHAPITRE II : STRATEGIE POUR LA GESTION DE L’ESPECE
Section 1 : Variations de mode de vie des paysans récolteurs et les collecteurs
1.1-Avant l’exploitation
1.2-Durant l’exploitation
1.3-Après l’exploitation
Section 2 : Résultats et interprétation
2.1-Etude bibliographique
2.2-Etude sur terrain
Section 3 : Proposition de solution et de mesure à prendre pour la gestion de la
génération de la plante
3.1-Méthode utilisée pour gérer l’exploitation de Prunus africana d’ici 10 à 15 ans.
3.2.-Collecte de sauvageons
3.3-Sensibilisation de la population environnante
3.4-Formation
3.5-Distribution de permis d’exploitation
3.6-Mise en place de VOI (Vondron’Olona Ifotony)
3.7-Intervention de la commune
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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