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Système d’élevage, effectifs et races des petits ruminants
Système d’élevage
Les systèmes de production rencontrés au Sénégal varient en fonction des ethnies (Peuls, Wolofs, Sérères, Diolas, Mandingues, Socés et les Ballantes). Ainsi chez les Peuls du Ferlo (zone sahélienne), les systèmes pastoraux sont prédominants ; tandis que chez les Wolofs, les systèmes d’élevage restent dominés par l’agropastoralisme. Cette variation inter-ethnique de systèmes de production est sous tendue par les caractéristiques climatiques variées composées de six grandes zones écologiques: la vallée du fleuve Sénégal, la zone sylvopastorale, les Niayes, le bassin arachidier, la Casamance et le Sénégal oriental (DIOP,2005).Au-delà de cette différence système de production inter-éthnique, au Sénégal il y a trois systèmes de production (système pastoral, système agropastoral, système amélioré) qui ne sont pas pratiqués de la même manière en élevages ovin et caprin (BOYE et al.,2005),. Chez les caprins, les systèmes pastoral et agropastoral sont les deux systèmes pratiqués.
Le système pastoral
Chez les ovins
L’élevage du système pastoral est pratiqué par les Peuls et les Maures dans le Ferlo. Le pâturage est la source principale d’alimentation. Les animaux reçoivent rarement un complément alimentaire. Ce système concerne 35% des petits ruminants du Sénégal (BOYE,et al, 2005). Les performances aussi bien pondérales que reproductives sont faibles et varient en fonction de la période de l’année et du cycle végétatif des pâturages.
Chez les caprins
Le système pastoral est caractéristique des zones sahéliennes. Les caprins sont en général élevés en troupeau bispécifique ovin-caprin par les Peuls. Les animaux d’une même concession sont regroupés en troupeaux de grande taille, de 24 têtes en moyenne, et sont conduits tous les matins au pâturage par des enfants ou des jeunes hommes. Vers la fin de la saison sèche, avec la disparition du couvert herbacé, les éleveurs pratiquent une complémentation à base d’arbustes et d’arbres émondés, de gousses d’acacia et de paille. Toutefois, du fait du grand nombre d’animaux et de la croyance selon laquelle les caprins sont moins sensibles au déficit alimentaire que les ovins, le niveau de complémentation est faible. L’abreuvement aux sources d’eau temporaires et permanentes (mares, puits et forages) constitue un sérieux problème pendant la saison sèche. L’habitat, présent dans 82% des concessions, est un enclos d’épineux où le troupeau passe la nuit. Il sert également à garder, pendant la journée, les jeunes non sevrés au moment où les autres animaux sont au pâturage (BOYE et al. 2005)
Le système agropastoral
Chez les ovins
Le système agropastoral est pratiqué dans les villages par les Wolofs, les Sérères, les agropasteurs du Fouladou et les Diolas de la Casamance. Dans la zone Nord, les ovins sont détachés chaque matin, regroupés en troupeau villageois et amenés au pâturage jusqu’en fin d’après-midi. Ce système concerne 62% des petits ruminants (BOYE et al. 2005). Des ondes céréales, de reste de repas et, rarement, de tourteau d’arachide constituent principalement l’alimentation des petites ruminants, avec un abreuvement deux fois dans la journée au départ et au retour du pâturage. Dans la zone Sud, les animaux sont en divagation libre en vain pâturage dans la zone des plateaux, puis dans les bas-fonds de la fin des récoltes au début des semis. Dans ce dernier cas, les animaux sont libérés en début de matinée, reviennent s’abreuver aux heures chaudes et repartent en pâture pour revenir en fin d’après-midi. La complémentation en saison sèche est à base de sous-produits de récolte, principalement de fanes d’arachide. L’achat d’aliment pour le bétail reste rare. Les performances de croissance(GMQ) et de productions (viande et lait) sont faibles (BOYE et al, 2005),
Chez les caprins
Les systèmes agropastoraux se rencontrent dans les climats soudaniens et soudano-guinéen. Les troupeaux familiaux sont souvent bispécifiques de petite taille (moins de 10 têtes) dans 45%des concessions en climat soudanien et dans 68% des concessions en climat soudano-guinéen et appartiennent en majorité aux femmes (jusqu’à75% des effectifs). Pendant la saison sèche, de novembre à mai-juin, ils divaguent librement sur l’ensemble du territoire et exploitent les parcours naturels et les résidus de culture. Une complémentation à base de fanes de légumineuses et de restes de cuisine, est possible mais les quantités distribuées aux caprins sont très faibles. Pendant l’hivernage, pour éviter les dommages causés par les caprins au niveau des champs, ces derniers sont soit gardés au piquet sur les parcours naturels, les jachères et au bord des routes, soit confiés à un berger collectif. La mise au piquet le matin et l’abreuvement deux à trois fois par jour relèvent de la responsabilité des femmes. Les animaux passent la nuit sur les toits des cases ou dans des abris le plus souvent couverts (BOYE et al, 2005).
Le Système amélioré
C’est un système de production pratiqué chez les ovins. L’élevage de mouton de case concerne essentiellement les moutons mâles (béliers) en zone rurale et actuellement de plus en plus en zone urbaine.
En milieu rural, les animaux, attachés en permanence à côté de la case ou dans un enclos, sont nourris à l’auge : leur alimentation de qualité en général à base de fanes de légumineuses, de tourteaux d’arachide, de graines de coton, de sons de céréales et de restes de repas, complétés en saison des pluies par l’herbe verte provenant des jachères ou des champs. Dans les villes, comme Dakar, les animaux sont élevés en divagation dans la cour de la maison, aux alentours des concessions ou de plus en plus à l’étage (surtout pour la race Ladoum). Leur alimentation est riche et variée comme en zone rurale, avec en plus des emballages de carton. Dans ces conditions, les performances de croissance sont de l’ordre de 48 kg en milieu villageois, et le poids vif de fin d’embouche des animaux d’élite en milieu urbain est de 80 à 95 kg. L’embouche ovine pour la Tabaski est de plus en plus pratiquée aussi bien en milieu rural qu’en milieu urbain, sur des mâles de races Touabire, Bali-Bali ou Ladoum (BOYE et al. 2005),
Effectifs et Races Exploitées
Effectifs
Le Sénégal compte un cheptel important, composé de races adaptées au milieu. En 2016, les effectifs étaient estimés à 6,678millions d’ovins et 5,704 millions de caprins. La figure 2 ‘ présente la distribution géographique des petits ruminants au Sénégal. Et le tableau I présente l’évolution des effectifs des différentes espèces sur la période 2000-2013. Par rapport à 2015, les évolutions enregistrées sur les effectifs des cheptels sont : ovins (+3,3%), caprins (+3,2%). On notera surtout le recul intervenu en 2002 pour les petits ruminants, suite à de fortes mortalités causées par des pluies hors saison et un hivernage défavorable.
Les moutons guinéens ou Djallonké
Ils sont, médio lignes, ellipométriques. Leur taille est petite (0,40 à 0,60m.). Le poids vif ne dépasse pas 30 kg. Le pelage est ras, parfois blanc, le plus souvent pie-noir ou pie-rouge, la couleur foncée couvrant généralement le train antérieur. Le mâle porte la crinière et le camail (Figure5), et souvent une manchette de poils de la gorge au poitrail et sur le garrot. Les cornes du bélier sont moyennement développées, prismatiques, larges à la base, dirigées en arrière, puis en avant, formant une spirale et demie, par contre, chez la femelle, elles sont fines et courtes ou le plus souvent absentes. L’œil est gros, les oreilles sont minces, étroites, tombantes. Ces moutons fournissent une viande d’assez bonne qualité. Le rendement n’excède pas 48%. C’est une race rustique, remarquable parce qu’elle vit bien dans les zones intertropicales humides qui sont peu favorables à l’élevage des ovins.
Les poils de la crinière et du camail du bélier peuvent être tissés (PAGOT et VANDENBUSSCHE, 1971).
Les moutons waralé
C’est une appellation locale du mouton obtenu à partir d’un croisement entre Touabire et Peulh-peulh. Le waralé (figure6) présente une grande variabilité de format et de robe nuancée entre le blanc, le roux et le noir (GUEYE, 1992). Le poids moyen à un an est de 32 kg chez le mâle, 29 kg chez la femelle cité par (GUEYE, 1992). Selon les éleveurs du Ferlo, quand le mâle est peulh-peulh, les descendants de deux sexes portent des cornes et lorsque le mâle est Touabire (croisement le plus fréquent) seul les descendants mâles sont armés. Ce croisement est très répandu dans le Ferlo. Dans le croisement, les produits préférés par les éleveurs sont ceux qui ont une robe blanche et des tâches noires autour des yeux (les lunettes, DIA, 1979).
Races de chèvres
Parmi les races caprines au Sénégal. On distingue : la chèvre du Sahel et la chèvre Djallonké. Les autres races introduites (chèvre rousse de Maradi et Alpine) n’ont pas survécu (BOYE et al. 2005).
La chèvre du Sahel
Elle est retrouvée dans toute la zone sahélienne (LARRAT, PAGOT et VANDENBUSSCHE, 1971).Elle est de grande taille, et mesure 62 cm au garrot, pour un poids vif adulte de 25 kg. La barbiche et les pendeloques sont fréquentes. La robe est très variable (BOYE et al. 2005). (Figure7).
La chèvre Djallonké
La chèvre Djallonké encore appelée chèvre du FoutaDjallon, chèvre guinéenne, chèvre naine ou Casamance, en référence à la zone Sud du Sénégal, qui constitue son aire de répartition. C’est un animal trapu(Figure8 : chèvre Guinnéenne), de petite taille qui mesure 47cm au garrot etpèseenmoyenne18kg (tableau II). La robe est de couleur très variable. Cependant en Casamance, la robe fauve avec une raie de mulet dorsale est la plus fréquente (GUEYE, 1997).
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Table des matières
Introduction
Chapitre I : Elevage des petits ruminants au Sénégal
I.1 Présentation de la république du Sénégal
I.1.1 Situation géographique du Sénégal
I.1.2. Relief
I.1.3. Climat
I.1.4. Pluviométrie
I.1.5. Végétation
I.2. Système d’élevage, effectifs et races des petits ruminants
I.2.1. Système d’élevage
I.2.1.1. Le système pastoral
I.2.1.1.1. Chez les ovins
I.2.1.1.2. Chez les caprins
I.2.1.2 Le système agropastoral
I.2.1.2.1. Chez les ovins
I.2.1.2.2. Chez les caprins
I.2.1.3. Le Système amélioré
I.2.2.Effectifs et Races Exploitées
I.2.2.1. Effectifs
I.2.2.2. Races exploitées
I.2.2.2.1. Races de mouton
I.2.2.2.1.1. Le mouton du Sahel
I.2.2.2.1.2. Les moutons guinéens ou Djallonké
I.2.2.2.1.3. Les moutons waralé
I.2.2.2.2Races de chèvres
I.2.2.2.2.1. La chèvre du Sahel
I.2.2.2.2.2. La chèvre Djallonké
I.3 Importance économique, sociale et culturelle des petits ruminants au Sénégal
I.4. Les contraintes de l’élevage des petits ruminants au Sénégal
I.4.1. Contraintes environnementales
I.4.2. Contraintes alimentaires
I.4.3. Contraintes socio-économiques et religieuse
I.4.4. Contraintes au bien-être
I.4.5. Contraintes sanitaires
Chapitre II : Dominantes pathologiques des petits ruminants (dans le monde et au Sénégal)
II.1. Maladies d’origine infectieuse
II.1.1. Affections virales
II.1.1.1. La peste des petits ruminants
II.1.1.1.1. Définition et cause
II.1.1.1.2. Caractéristiques cliniques
II.1.1.1.3. Traitement et Moyen de lutte
II.1.1.2. La fièvre aphteuse
II.1.1.2.1. Définition
II.1.1.2.2. Cause et transmission
II.1.1.2.3. Caractéristiques cliniques
II.1.1.2.4. Traitement et mesure de lutte
II.1.1.3. La fièvre catarrhale ovine
II.1.1.3.1. Les manifestations cliniques
II.1.1.3.2. Traitement et moyens de lutte
II.1.1.4. La rage
II.1.1.4.1. Définition
II.1.1.4.2. Caractéristiques Cliniques
II.1.1.5. La variole
II.1.1.6. La fièvre de la Vallée du Rift
II.1.1.6.1. Définition et causes
II.1.1.6.2. Caractéristiques cliniques
II.1.1.6.3. Traitement et prophylaxie
II.1.1.7. L’Adénocarcinome intra-nasal enzootique des petits ruminants.
II.1.1.8. L’adénomatose pulmonaire (ou Jaagsiekte)
II.1.1.8.1. Caractéristiques cliniques
II.1.1.8.2. Traitement
II.1.2. Maladies bactériennes
II.1.2.1. La brucellose
II.1.2.1.1. Définition
II.1.2.1.2. Etiologie et transmission
II.1.2.1.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.1.4. Traitement et moyen de lutte
II.1.2.2. Le charbon bactéridien
II.1.2.2.1. Définition
II.1.2.2.2. Etiologie et transmission
II.1.2.2.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.2.4. Traitement et moyen de lutte
II.1.2.3. La paratuberculose ou maladie de Johne
II.1.2.3.1. Définition
II.1.2.3.2. Cause et transmission
II.1.2.3.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.3.4. Traitement et mesures de lutte
II.1.2.4. Le piétin
II.1.2.4.1. Définition
II.1.2.4.2. Causes et transmission
II.1.2.4.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.4.4. Traitement
II.1.2.5. Les mammites
II.1.2.5.1. Définition
II.1.2.5.2. Causes et transmission
II.1.2.5.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.5.4. Traitement
II.1.2.6. La pasteurellose
II.1.2.6.1. Définition
II.1.2.6.2. Cause et transmission
II.1.2.6.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.6.4. Lésions
II.1.2.6.5.Traitement
II.1.2.7. Le tétanos
II.2.1.7.1. Définition
II.1.2.7.2. Cause et pathogénie
II.1.2.7.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.7.4. Traitement
II.1.2.8. Le botulisme
II.1.2.8.1. Définition
II.1.2.8.2. Origine et Transmission
II.1.2.8.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.8.4. Prévention
II.1.2.9. La listeriose
II.1.2.9.1. Définition
II.1.2.9.2. Caractéristiques cliniques
II.1.2.9.3. Traitement
II.1.2.10. La colibacillose
II.1.2.10.1. Définition
II.1.2.10.2. Caractéristiques cliniques
II.1.2.10.3. Traitement et prophylaxie
II.1.2.11. La salmonellose
II.1.2.11.1.Définition
II.1.2.11.2.Transmission
II.1.2.11.3.Traitement et Prévention
II.1.2.12. La lymphadénite caséeuse
II.1.2.12.1. Définition
II.1.2.12.2. Transmission
II.1.2.12.3. Caractéristiques cliniques
II.1.2.12.4. Traitement
II.1.2.13. Les clostridioses
II.1.2.13.1. Définition
II.1.2.13.2. Classification
II.1.2.13.2.1. Les gangrènes gazeuses
II.1.2.13.2.2. Les paralysies
II.1.2.13.2.3. Les entérotoxémies
II.1.2.13.2.4. Les autres clostridioses
II.1.2.13.3.Traitement et prévention des clostridioses
II.1.2.14. Les diarrhées néonatales des agneaux
II.1.2.14.1. Diarrhées parasitaires d’origine diverse
II.1.2.14.1.1. Cryptosporidies
II.1.2.14.1.2. Coccidies
II.1.2.14.1.3.Strongyloïdes
II.1.2.14.2.Diarrhée alimentaire
II.1.2.14.3. Diarrhée due à l’ingestion de matières non alimentaires (Pica)
II.1.2.14.4. Les entérites colibacillaires de l’agneau
II.1.2.14.5. Caractéristiques cliniques
II.1.2.14.6. Traitement
II.2. Pathologies d’origine parasitaire
II.2.1. Les parasitoses internes
II.2.1.1. Les parasitoses gastro-intestinales et pulmonaires des ovins
II.2.1.1.1. Les helminthoses
II.2.1.1.2. La coccidiose
II.2.1.1.3. L’Oestrose
II.2.1.2. Les hémo-parasites des petits ruminants
II.2.1.2.1. La trypanosomose
II.2.1.2.2. La babésiose
II.2.2. Les parasitoses externes
II.2.2.1. La gales des petits ruminants
II.2.2.2. La phtiriose
II.2.2.3. La teigne ou la dermatophytie
II.3. Les Pathologies d’origine métabolique
II.3.1.L’acidose ruminale
II.3.1.1. Définition
II.3.1.2. Étiologie et pathogénie
II.3.1.3. Caractéristique clinique
II.3.1.4. Traitement
II.3.2. L’alcalose ruminale
II.3.2.1. Définition
II.3.2.2. Étiologie et pathogénie
II.3.2.3. Caractéristique clinique
II.3.2.4. Traitement
II.3.3. La toxémie de gestation
II.3.3.1. Définition
II.3.3.2. Etiologie et pathogénie
II.3.3.3. Caractéristiques cliniques
II.3.3.4. Traitement
II.3.4. L’hypocalcémie
II.3.4.1. Définition
II.3.4.2. Etiologie et pathogénie
II.3.4.3. Caractéristiques cliniques
II.3.4.4. Traitement
II.4. Les affections d’origine toxique
II.4.1. Définition
II.4.2. Etiologie et pathogénie
II.4.3. Caractéristiques cliniques
Chapitre I- Matériel et Méthodes
I.1. Zone et période d’étude
I.2. Les cliniques Vétérinaires
I.2.1. La clinique PRESTAVET
I.2.2. Les cliniques ambulantes
I.3. Matériel et Méthodes
I.3.1. Matériel
I.3.1.1. Animaux
I.3.1.2. Fiche d’enquête
I.3.1.3. Matériel de terrain
I.3.2. Méthodes
I.3.2.1. Collecte des données
I.3.2.2.Examen clinique
I.3.2.3.Traitement des données
I.3.2.4. Prise en charge des cas
Chapitre II. Résultats et Discussion
II.1. Données générales
II.1.1. Alimentation et abreuvement des animaux
II.1.2. Passé médical des animaux et suivi sanitaire
II.1.3. Données recueillies lors des enquêtes
II.1.3.1. Données cliniques en fonction des races
II.1.3.2. Données cliniques en fonction des localités
II.1.3.3. Fréquence globale des pathologies
II.1.3.4. Fréquence des pathologies en fonction de l’appareil atteint
II.2.Les différentes pathologies diagnostiquées
II.2.1. Les pathologies respiratoires
II.2.1.1. Fréquence des pathologies respiratoires en fonction des espèces
II.2.2. Les pathologies digestives
II.2.1.1. Fréquence des pathologies digestives en fonction des espèces
II.2.3. Les pathologies cutanées
II.2.3.1. Fréquence des pathologies cutanées en fonction des espèces
II.2.4. Les pathologies locomotrices
II.2.4.1. Fréquence des pathologies locomotrices en fonction des espèces
II.2.5. Les pathologies de l’appareil reproducteur
II.2.5.1. Fréquence des pathologies de l’appareil reproducteur en fonction des espèces
II.2.6. Les pathologies oculaires
II.2.7. Les affections du système nerveux
II.2.8. Les pathologies de l’appareil urinaire
II.2.9. Les atteintes de l’état général
II.3. Données sur la prise en charge de quelques cas cliniques (traitement, suivi, conseils)
II.3.1. Les Pathologies Respiratoires
II.3.2. Les Pathologies Digestives
II.3.2.1. Les Diarrhées
II.3.2.2. Les Météorisations
II.3.3. Les pathologies cutanées
II.3.3.1. La prise en charge des cas de clavelée
II.3.3.2. La prise en charge des cas de dermatophilose
II.3.3.3. La prise en charge des cas de cénurose musculaire
II.3.3.4. Prise en charge de la gale
II.3.4. Les Pathologies Locomotrices
II.3.4.1. Prise en charge de la fièvre aphteuse
II.3.4.2. Prise en charge des Piétins
II.3.5. Prise en charge des pathologies reproductrices
II.3.5.1. Prise en charge des cas de mammites
II.3.5.2. Prise en charge des rétentions placentaires
II.3.5.3. Prise en charge de la cryptorchidie
II.3.6. Prise en charge des pathologies oculaires
II.3.7. Prise en charge des affections nerveuses
II.4. Discussion
II.4.1. Cadre d’étude
II.4.2. Déroulement de l’enquête
II.4.3. Limites et contraintes
II.4.4. Les résultats
II.4.4.1. Sur les pathologies rencontrées
II.4.4.1.1. Les pathologies respiratoires
II.4.4.1.2. Les pathologies digestives
II.4.4.1.3. L es pathologies cutanées
II.4.4.1.4. Les pathologies locomotrices
II.4.4.1.5. Les pathologies de la reproduction
II.4.4.1.6. Les pathologies oculaires
II.4.4.1.7. Les pathologies du système nerveux
Chapitre III : Recommandations et Conclusion
III.1. Recommandations
III.1.1. Aux autorités publiques
III.1.2. Aux vétérinaires
III.1.3. Aux propriétaires d’animaux
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
Wébographie
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