Diagramme de production des poissons destinés à l’exportation

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Pêche artisanale

Acteurs et conditions de pêche

La pêche artisanale est pratiquée par des pêcheurs artisans le long du littoral sénégalais jusqu’à 20-50 miles de côtes et sur le plateau continental. Ils utilisent le matériel constitué de pirogues souvent motorisées, de lignes, de filets, de sennes de plage, de trémail, des casiers et de palangres. Ils se rattachent principalement à trois groupes ethniques :
– Les Wolofs de Guet Ndar à Saint-Louis ;
– Les Sérères-Nyominkas des Iles Saloum ;
– Les Lébous de la petite côte et de la région de Dakar.
Les lieux de pêches sont en général des fonds durs, rochers ou sables grossiers (72 % à Kayar). On distingue traditionnellement cinq grandes zones de pêches du Nord au Sud : la Grande côte, le Cap vert, la Petite côte, le Sine-Saloum et la Casamance. La pêche artisanale bénéficie d’une législation souple. Elle est exonérée de taxes et de redevances. L’accès des unités artisanales aux ressources halieutiques est libre. Néanmoins, la législation prévoit le respect des dispositions suivantes :
– L’immatriculation des pirogues,
– Le port de gilet de sauvetage pour les pêcheurs,
– Le maillage requis des filets de pêche,
– La taille minimale marchande des espèces débarquées.
La Direction des pêches Maritimes (DPM) a déroulé un important programme de formation en techniques d’utilisation d’appareils d’aide à la pêche et à la navigation. Aujourd’hui, beaucoup de pêcheurs artisans qui ciblent les espèces d’exportation maîtrisent le maniement du GPS. L’instauration d’un certificat d’origine et de salubrité (COS) à la première vente est une formule qui intègre des éléments de traçabilité, le numéro du permis de pêche de la pirogue qui a débarqué le poisson, la zone de pêche entre autres informations. Toutes ces informations sont consignées dans un registre en plus des souches qui sont aussi archivées.

Produits

Ils sont représentés par les produits frais et ceux issus de la transformation artisanale.
Les familles de poissons les plus représentées dans les captures sont : les Aridae, les Clupeidae, les Carangidae, les Sparidae, les Serranidae, les Sepiidae, les Penaeïdae.
La transformation artisanale est une activité présente dans tous les points de pêche artisanale dont elle absorbe environ 40% des débarquements. Loin d’être une activité marginale, simple utilisatrice de surplus, elle a connu au cours des décennies passées une évolution importante.
Elle joue des fonctions de régulation économique, sociale et revêt aussi une importance culturelle. Elle contribue à la réduction des pertes après capture par les surplus de production, les invendus (37).
Les techniques sont diverses et correspondent à différents marchés et sources d’approvisionnement.
– Le Guedj ou poisson fermenté est obtenu à partir d’espèces de grande taille, le plus souvent pêchées au filet dormant. I1 est très prisé des consommateurs sénégalais qui l’utilisent comme, substance de saveur forte destinée à relever le goût des aliments.
– Le Kethiakh ou poisson fumé et séché obtenu à partir des sardinelles rondes a connu une croissance concomitante au développement de la pêche à la senne tournante. C’est une activité qui emploie aujourd’hui plusieurs milliers de femmes dans les grands centres de débarquement de la Petite Côte.
– Le Saly ou poisson salé et séché est produit surtout à partir des raies et des requins ; il est destiné essentiellement à l’exportation vers d’autres pays africains. Il semble qu’il ait perdu de l’importance depuis l’indépendance en raison du déclin des grandes maisons de commerce qui en assuraient l’exportation.
– Le poisson fumé ou métorah est une technique pratiquée par des transformateurs étrangers (guinéens, maliens) qui exportent leurs produits dans leurs pays d’origine…
La transformation joue un rôle régulateur sur les prix au débarquement lorsque la demande en frais est saturée. Elle génère des flux commerciaux qui alimentent les marchés nationaux, urbains et ruraux ainsi que le marché d’exportation africain. Enfin, elle crée un grand nombre d’emplois, surtout féminins (37).

Pêche industrielle

La pêche industrielle est basée à Dakar et implique des armateurs étrangers. Elle ravitaille les usines de transformation et assure une part importante des exportations de produits halieutiques.
La pêche industrielle a connu une croissance importante ces dernières années. En 2016, les débarquements sont estimés à 89 564 tonnes, soit une hausse de 88,8% par rapport à l’année 2015. Ce relèvement est expliqué par l’effort de pêche lié à la présence des thoniers (bateaux senneurs et canneurs) et l’accroissement des sardiniers (6 navires de plus) (3).
Elle se pratique dans la zone économique exclusive (Z.E.E) du Sénégal et se divise en deux groupes selon le site de débarquement. Ainsi, on distingue :
– La pêche étrangère : pratiquée par les navires étrangers qui exploitent les ressources halieutiques sénégalaises dans le cadre des accords de pêche signés entre le gouvernement du Sénégal et les pays tiers (U.E., Japon, Russie…). Les captures ne sont pas débarquées au Sénégal.
– La pêche sénégalaise : effectuée par la flotte basée à Dakar dont les captures sont généralement débarquées au Sénégal.
En fonction du type de bateaux utilisé, la pêche industrielle est subdivisée en trois types : la pêche sardinière, la pêche hauturière et la pêche chalutière.

Pêche chalutière

La pêche chalutière constitue la principale pourvoyeuse de produits mis à terre au niveau de la pêche industrielle en assurant 68,0% des débarquements. Sa production a augmenté de 72,4%, allant même à un niveau qu’elle n’a jamais atteint depuis 2011. Cette augmentation est imputable aux poissons (83,4%) qui constituent sa principale composante et les mollusques (41,9%). Toutefois, les crustacés s’inscrivent en retrait (3).

Pêche hauturière

Toute la filière thonière sénégalaise et la pêche sportive reposent sur les ressources pélagiques hauturières. Les dernières évaluations des stocks de thons tropicaux, effectuées en 2010 montrent que les trois principales espèces de thons (albacore, listao, patudo) sont pleinement exploitées, voire surexploitées. La recommandation faite par la recherche est de réduire de façon significative l’effort de pêche des flottilles ciblant ces espèces surexploitées. Elles supportent l’essentiel des opérations de pêche des chalutiers industriels et des pirogues en raison de leur forte valeur marchande à l’exportation et sont à la base des activités de la plupart des industries de transformation et d’exportation installées au Sénégal.
La pêche thonière a enregistré une évolution notoire en doublant sa production de 2015, exceptionnelle par rapport aux autres années. Elle a fourni 28,1% de la production industrielle avec 25 186 tonnes (3).

Pêche sardinière

Elle concerne la flotte de moyenne dimension pour la capture des sardinelles (Sardinella spp) qui représentent 90% et des chinchards (Trachurus spp).
Les zones de pêche se situent autour de Dakar. La marée est réduite à environ 15 heures et les captures sont les plus faibles.
La pêche sardinière ne pourvoie qu’à peine 3,9% des débarquements de la pêche industrielle (3).

ASPECTS SOCIO-ECONOMIQUES

La forte contribution de la pêche au produit intérieur brut (PIB), l’apport en devises, le nombre d’emplois générés expliquent que la pêche joue un rôle stratégique dans l’économie nationale. Jadis reléguée au second plan, l’activité halieutique occupe aujourd’hui le premier poste du secteur primaire devant les produits phosphatiers et arachidiers. Le secteur de la pêche a réalisé en 2017 un chiffre d’affaires global de 209,57 milliards de F CFA. La valeur des exportations des produits halieutiques est estimée à 207 035,81 tonnes. Elle contribue ainsi à 2,5% du PIB national, ce qui fait du secteur de la pêche le premier secteur d’exportation du pays (14).
Elle occupe aussi une place prépondérante dans la politique publique de création d’emplois. Elle génère aujourd’hui de nombreux emplois connexes et occupe près de 17 % de la population active sénégalaise soit environ 600 000 emplois contribuant ainsi largement à la résorption du chômage. La pêche artisanale et ses activités dérivées représentent une source de revenus pour 200 000 personnes, contre 20 000 pour la pêche industrielle. La transformation artisanale constitue une source de revenus pour de nombreuses femmes qui exercent des petites activités de fumage, de braisage et de séchage près des centres de débarquement de la pêche artisanale, surtout sur la Petite Côte (Mbour, Joal) mais également à Dakar, en Casamance et sur la côte nord (Kayar, Saint-Louis) (37).
Le secteur de la pêche permet de couvrir une part importante des besoins en protéines animales des populations et à des prix relativement bas.
Les apports nutritionnels des produits de la pêche dans l’alimentation sont estimés à 70% avec une consommation per capita (par tête) en produits halieutiques de l’ordre de 28 kg/habitant/an au Sénégal. Au-delà de la valeur nutritionnelle, ce produit peut s’adapter à toutes les bourses (37).

RISQUES LIES AUX PRODUITS DE LA PECHE

Les produits de la pêche que sont les poissons, mollusques et crustacés peuvent être contaminés par les agents biologiques, chimiques ou physiques si leurs conditions de conservation demeurent défaillantes.

Dangers biologiques

Les poissons et les fruits de mer sont souvent incriminés dans certaines toxi-infections alimentaires. En effet, l’ingestion ou la manipulation dans les industries halieutiques de ces produits peut occasionner des maladies parfois graves. Le milieu aquatique est susceptible à tout moment d’être pollué. En conséquence, la bactériologie des produits de la pêche est d’abord le reflet de cette pollution.
Elle est ensuite fonction des conditions d’entreposage et de conservation des produits depuis leur capture jusqu’à leur commercialisation. Selon ROZIER, cette contamination a deux origines :
– Une origine primaire ou endogène
La contamination primaire est celle qui survient du vivant de l’animal. Elle est essentiellement le fait des bactéries propres aux poissons -Une origine secondaire ou exogène
Les sources exogènes de contamination des produits de la pêche sont nombreuses car ces derniers subissent plusieurs manipulations qui sont à l’origine d’un transfert suffisamment élevé de germes de contamination humaine vers le produit.
De manière générale, 4 types de dangers biologiques sont impliqués dans la contamination des produits de la pêche. Ces agents sont : les bactéries, les virus ; les biotoxines marines et les parasites.

Bactéries

Les bactéries sont partout : dans l’eau, l’air, le sol, sur l’homme lui-même (comme porteurs sains) sur tous les êtres vivants (végétaux et animaux)
La chair du poisson au moment de sa capture est stérile. Les bactéries sont présentes au niveau des ouïes et des branchies, sur la peau (mucus) et dans le tube digestif.
La microflore des produits de la pêche est sous l’influence de plusieurs facteurs ; les plus importants sont la température, la teneur en sel, le niveau de pollution des zones de pêche.
Les bactéries les plus dangereuses pour la santé du consommateur sont celles qui proviennent d’animaux à sang chaud (mammifères et oiseaux) et qui sont dispersées dans le milieu de pêche par les rejets d’eaux usées non traitées d’origine domestique, touristique (hôtels), hospitalière, par les rejets d’élevage agricoles (épandages de fumiers, lisier…) et par les matières fécales humaines, et excréments d’animaux excrétés in situ.
Certaines bactéries pathogènes présentes dans l’environnement (Listeria monocytogenes, Vibrio parahaemolyticus, Clostridium perfringens) le sont généralement en faible quantité sur les produits de la pêche au moment de leur capture. C’est au cours des opérations de manipulation et de stockage qu’il y a une multiplication de ces bactéries pathogènes (Tableau III).

Glucides

Les glucides peuvent aussi être divisés en trois groupes : les sucres (mono-et disaccharides), les oligosaccharides (3 à 9 monosaccharides), et les polysaccharides (plus de 9).
La teneur en glucides dans le muscle du poisson est faible (41). Elle est influencée par les conditions de capture, qui peut conduire à l’épuisement des réserves de glycogène et ainsi à une diminution du niveau de glucide. Dans les conditions anoxiques post mortem, le glycogène continu d’être métabolisé entrainant l’augmentation de l’acide lactique avec l’abaissement du pH.

Vitamines et sels minéraux

La teneur en vitamines et sels minéraux est spécifique aux espèces et peut, varier selon la saison. En général, la chair du poisson est une bonne source de vitamines B et également, dans le cas des espèces grasses, de vitamines A et D. Quelques espèces d’eau douce comme la carpe ont une grande activité thiaminase et, de ce fait, leur teneur en thiamine est généralement basse. En ce qui concerne les éléments minéraux, la chair du poisson est considérée comme une source appréciable de calcium et de phosphore mais également de fer, de cuivre et de sélénium. Les poissons d’eau de mer ont une forte teneur en iode. Les tableaux VIII et IX donnent une liste des teneurs en vitamines et en éléments minéraux.

Locaux

Le quai est bâti sur une superficie de 571041 m² et est composé de locaux techniques et administratifs et des annexes.
▪ Les locaux techniques sont constitués par un bâtiment principal qui abrite les zones suivantes :
– La zone réservée pour le débarquement des poissons frais destinés aux marchés municipaux, sa superficie est de 1154 m² ;
– La zone de débarquement de poissons frais destinés aux usines de traitement et d’exportation des produits halieutiques. Sa superficie est de 378 m². Celle-ci abrite en son sein deux (02) vestiaires, d’un laboratoire de contrôle organoleptique et de deux (02) chambres froides positives d’une capacité de stockage de 10 tonnes/jour chacune ;
– La zone de débarquement de mollusques céphalopodes, d’une superficie de 447m² ;
– La zone de débarquement des gastéropodes avec une superficie de 129 m²
– Et un local qui fait office de bureau du service qualité.
▪ Les locaux administratifs sont constitués par :
– Le bureau du comité de gestion du quai de pêche ;
– La mutuelle MEC PRO PEM ;
– Le bureau du chef de poste ;
– Le bureau de la division exploitation ;
– Le bureau du comptable;
– Deux (2) box de contrôle au niveau de l’entrée et de la sortie des véhicules.
▪ Les bâtiments annexes comprennent :
– Un complexe frigorifique pour la production de glace en écaille ;
– Des stations d’essence pour le ravitaillement des pirogues ;
– De salle ou d’ateliers de manutention et de stockage des produits halieutiques destinés aux hôtels
– Trois (3) blocs sanitaires constitués au total de 13 WC et 11 douches connectés aux bassins d’épuration ;
– Une aire de repos des camionneurs ;

Equipements et matériels

Le quai de Mbour dispose des équipements et matériels suivants :
▪ Pour le nettoyage et la désinfection :
– D’une motopompe,
– De tuyaux d’arrosage,
– De balais,
– De racleurs,
– De pelles et râteaux.
▪ Pour le ramassage, la collecte et l’évacuation des ordures :
– De brouettes,
– De charriots et d’un camion de ramassage des ordures.
Signalons que la municipalité est chargée, dans le contrat de sous concession de l’évacuation des ordures hors du site.
▪ Pour la manutention des produits de la pêche :
– De caisses isothermes,
– De bacs ;
– De bassins,
– De pelles à glace,
– De balances,
– De palettes,
– De chariots pour l’acheminement des produits vers les véhicules.
▪ Pour les analyses en laboratoire :
– De plateaux en inox,
– De thermomètres à sondes,
– De thermomètres enregistreurs,
– De trousses de dissection,
– D’une table de mirage,
– D’une loupe,
– De glacières,
– De bacs,
– D’un microscope électronique, et d’un réfrigérateur.
▪ Pour le personnel
– De blouses,
– De bottes, des tabliers,
– De masques,
– De gants,
– D’une boite à pharmacie bien équipée.

Fonctionnent technique du quai de Mbour

La diversité des espèces de poissons, de mollusque et crustacés fait qu’il existe au quai de Mbour plusieurs offres de produits sur différents marchés. Cette spécificité du quai entraine la multiplicité des diagrammes de production.

Diagramme de production des poissons destinés à l’exportation

Ce diagramme de production englobe les démersaux le plus souvent destinés aux marchés d’exportation plus particulièrement vers l’UE. Le déroulement des étapes du diagramme, mentionnées à l’annexe 1est le suivant :
▪ Débarquement
Une fois les pirogues accostées, se déroulent les opérations de ventes, puis de transfert avec des bacs par des porteurs sur la plateforme du quai dédiée. Ici on assiste à un respect minimum des conditions d’hygiène et de salubrité. Les produits débarqués sont sous glace dans des polystyrènes pour la pêche du jour et sous glace dans des bacs pour les lignes glacières. De ce fait, les contaminations microbiennes sont amoindries.
▪ Réception
Les produits destinés aux usines d’exportation sont réceptionnés sur la plateforme dédiée par les mareyeurs. La plateforme est entièrement couverte et clôturée et l’accès est contrôlé. A ces dispositions, s’ajoutent une application certes pas rigoureuse des BPH.
▪ Triage
Après réception, les poissons sont triés par un personnel expérimenté, collaborateur de confiance des mareyeurs. Seules les espèces répondant aux spécifications des industriels seront transportées à l’usine. Le reste sera écoulé au marché local ou à la transformation artisanale comme la sole.
▪ Pesage
On procède ensuite au pesage après triage et le poids obtenu sera communiqué au pêcheur pour règlement.
▪ Conditionnement et glaçage
Les produits sont ensuite mis dans des caisses en polystyrène et sous glace puis fermées minimisant les possibilités de contamination (photo 1).
Il faudra déplorer l’encombrement humain noté souvent en période de forte production, ce qui rend les conditions de travail difficile

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LA PECHE AU SENEGAL
I. DIFFERENTS TYPES DE PECHE AU SENEGAL
I.1 Pêche artisanale
I.1.1 Acteurs et conditions de pêche
I.1.2 Produits
I.2 Pêche industrielle
I.2.1 Pêche chalutière
I.2.2 Pêche hauturière
I.2.3 Pêche sardinière
I.2.4 Conditions de pêche
I.3 Principales espèces débarquées au Sénégal
II. ASPECTS SOCIO-ECONOMIQUES
III. RISQUES LIES AUX PRODUITS DE LA PECHE
III.1 Dangers biologiques
III.1.1 Bactéries
III.1.2 Virus
III.1.3 Parasites
III.2 Dangers chimiques
III.2.1 Histamine
III.2.2 Métaux lourds
IV. COMPOSITION NUTRITIONNELLE DU POISSON
IV.1Lipides
IV.2 Protéines
IV.3 Glucides
IV.4 Vitamines et sels minéraux
DEUXIEME PARTIE
I. OBJECTIFS DE L’ETUDE
I.1 Objectif général
I.2 Objectifs spécifiques
II. PRESENTATION DU QUAI DE MBOUR
II.1 Historique
II.2 Patrimoine
II.2.1 Locaux
II.2.2 Equipements et matériels
II.3 Fonctionnent technique du quai de pêche de Mbour
II.3.1Diagramme de production des poissons destinés à l’exportation
II.3.2 Diagramme de production des céphalopodes (seiche, poulpe, calamar)
II.3.3 Diagramme de production des gastéropodes
III. METHODOLOGIE D’ETUDE
III.1 Exploitation des documents
III.2 Enquête
III.3 Inspection des locaux et des équipements
IV. RESULTATS
IV.1 Données sociodémographiques
IV.1.1 Répartition des personnes enquêtées selon l’âge
IV.1.2 Répartition des personnes enquêtées selon le sexe
IV.1.3Répartition des personnes enquêtées selon leur statut scolaire
IV.1.4 Répartition des personnes enquêtées selon la profession
IV.2 Informations sanitaires sur les personnes enquêtées
IV.3 Informations sur les plateformes de débarquement
IV.4 Informations sur le laboratoire d’analyse
IV.5 Informations sur le marché local
IV.6 Informations sur les saisies des poissons
V. DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES

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