Diagnostic des helminthoses et des protozooses de la volaille

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Contraintes liées à la production

Les coûts élevés des intrants, le non-respect des normes zootechniques et l’utilisation d’aliments ou matières premières alimentaires impropres à l’expression des performances zootechniques ont un impact important sur la production avicole ivoirienne (MBARI, 2000; AHAMET, 2004).
Cette situation favorise l’importation de viande de volaille en Afrique de l’Ouest, car les produits importés sont plus accessibles et de meilleures qualités que les produits locaux (GUEYE, 2001).

Contraintes liées à la commercialisation des produits avicoles

Les contraintes au niveau de la commercialisation découlent des contraintes rencontrées lors de la production. Le circuit de la commercialisation n’étant pas bien maîtrisé, le prix sur le marché ne peut être maîtrisé par le producteur. Cette situation entraine une hausse des prix des produits. Toutes ces variations de prix ont trois niveaux d’impact : d’abord sur le pouvoir d’achat des consommateurs, ensuite sur la prise de décision dans la production et enfin sur la chaîne d’ajustement dans l’économie (WESTLAKE, 1993).
Pour un développement de l’élevage, le niveau des facteurs et produits issus et l’efficacité de la commercialisation doivent constituer un ensemble cohérent (ABBOTT, 1987).

Contraintes zootechniques

Les problèmes d’approvisionnement en intrants, les faibles performances des élevages et les problèmes liés à la qualité et à la normalisation des produits avicoles sont les principales contraintes zootechniques rencontrées dans le milieu avicole en Côte d’Ivoire (MIRAH, 2012). La disponibilité des intrants, notamment les poussins d’un jour est variable sur le marché en fonction de la période de l’année. Elle est tantôt déficiente, tantôt en excès. Cette contrainte s’explique par l’absence de planification de l’offre et de la demande, l’apparition, à certaines périodes de l’année, d’éleveurs occasionnels, l’insuffisance de production des accouveurs industriels et la concentration des couvoirs à Abidjan loin des élevages se trouvant à l’intérieur du pays.
La disponibilité en qualité et en quantité du maïs est problématique. Cela est dû à deux principaux facteurs à savoir la compétition pour sa consommation entre les besoins humains et ceux des animaux et l’insuffisance de silos de stockage. La fabrication d’aliments de qualité pour les volailles nécessite l’importation de certains produits tels que les prémix vitaminés et certains acides aminés car ces derniers sont indisponibles sur le marché national ; de ce fait, le prix de revient de l’aliment de volailles est assez élevé.
Sur le plan national, la fabrication d’aliments industriels est assurée par huit (8) opérateurs. Cinq (5) de ces opérateurs sont situés à Abidjan mais ne font pas des aliments qui respectent les normes internationales, ce qui crée des incompréhensions entre industriels et éleveurs. Certains élevages modernes fabriquent leurs propres aliments compte tenue de la cherté des aliments, d’où leur contre-performance (MIRAH, 2012).

Contraintes liées au financement

L’élevage est confronté à une insuffisance de financement due à une réticence des banques à l’accompagnement, et une inexistence de structures adaptées de financement (MIRAH, 2014). La réticence des banques est due au risque élevé de mortalité des animaux, au sinistre mais surtout à un manque de garantie suffisante. Certains grands exploitants qui ont eu accès au crédit se plaignent du taux d’intérêt qui est trop élevé comparativement à la rentabilité des élevages avec des répercussions sur le coût de production mais aussi sur le prix de vente à la consommation. L’absence d’une structure de financement adaptée au secteur avicole constitue aussi un frein à son développement (MIRAH, 2012).

Contraintes socio-environnementales

La croissance démographique en Côte d’Ivoire était de 2,6% au dernier recensement (RGPH, 2014), d’où une demande croissante en protéines animales (MIRAH, 2012). Les contraintes sociales dans le secteur avicole en Côte d’Ivoire résident dans les inégalités liées au genre, au faible taux d’instruction et d’alphabétisation des éleveurs (NGUESSAN, 2015).
La dégradation de la végétation, le changement climatique sont des facteurs environnementaux qui entravent le développement de l’aviculture en Côte d’Ivoire. La demande en protéines animales dans ce pays croît deux fois plus vite que l’offre, et pour satisfaire cette demande, les moyens mis en œuvre doivent affecter le moins possible l’environnement (MIRAH, 2013).

Contraintes sanitaires

Malgré l’existence de mesures de biosécurité au sein de certaines exploitations du secteur avicole ivoirien, des contraintes sanitaires perdurent à différents niveaux notamment l’insuffisance de ressources humaines qualifiées pour l’encadrement sanitaire, le manque d’hygiène des locaux, l’absence de veille sanitaire et épidémiologique ainsi que le manque de normalisation de la biosécurité dans les élevages et sur les marchés.
Dans les élevages modernes, ces normes de biosécurité ne sont pas toujours optimales, ce qui est l’origine de la survenue de l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène en 2006 en Côte d’Ivoire (MIRAH, 2012).
De nombreuses pathologies sévissent encore dans le milieu avicole ivoirien, ce qui constitue une entrave à son développement. Ces pathologies sont divisées en quatre groupes : pathologie d’origine bactérienne, virale, parasitaire et affections diverses. Les investigations de BITTY (2013) au Laboratoire Central Vétérinaire de Bingerville (LCVB) ont montré que les colibacilles, suivies des streptococcies puis des salmonelles sont les principales espèces bactériennes rencontrées dans les élevages dans les élevages avicoles en Côte d’Ivoire. Quant aux pathologies virales, les pathologies les plus fréquentes sont la maladie du Newcastle, la variole aviaire et faiblement la maladie de Gumboro. Pour les pathologies parasitaires, les parasites continuellement rencontrés sont d’abord les coccidies, ensuite des ascaris et enfin des taenias. Parmi ces agents pathogènes d’origine diverse, les parasites du tube digestif jouent un rôle important et peuvent entraver considérablement la production avicole.

HELMINTHOSES ET PROTOZOOSES DIGESTIVES DES VOLAILLES

Généralités sur les parasites digestifs des volailles

Le tractus digestif des volailles est susceptible d’héberger des vers (parasites) en son sein. Ces parasites pouvant appartenir à la famille des helminthes ou des protozoaires.

Helminthes

Plathelminthes

Trématodes

Les vers trématodes se rencontrent chez les oiseaux mais à une fréquence faible chez nos espèces domestiques car peu exposées (VILLATE, 2001). Au niveau du tube digestif des oiseaux, les Brachylaemidés sont à l’origine de cette infestation (BUSSIERAS et CHERMETTE, 1995), et dans une moindre mesure les Echinostomatidés et les Notocotylidés car il n’y a pas de certitudes dans leur implication (TRONCY ET CHARTIER, 2000).
 Helminthologie descriptive
Brachylaemus commutatus et Prosthogonimus sont des trématodes capables d’infester les galliformes. La transmission se fait respectivement par un mollusque terrestre et une libellule (TRONCY et CHARTIER, 2000) qui sont des hôtes intermédiaires.
 Cycle évolutif
L’œuf, expulsé avec les fèces dans le milieu extérieur, donne un embryon. Si l’éclosion a lieu dans l’eau, le miracidium ou la larve nage pour retrouver un hôte intermédiaire sinon il meurt. Si elle a lieu sur le sol, l’éclosion de l’œuf donne un miracidium après une ingestion de l’œuf par un hôte intermédiaire qui est un annélidé (ver) ou un insecte (mouche). Chez cet hôte intermédiaire, le miracidium se transforme successivement en sporocyste, rédie, cercaire, l’enkystement se fait chez un deuxième hôte intermédiaire représenté par un crustacé (Cyclops, gammarus) donnant la métacercaire, forme infestante du parasite (GUERIN et al., 2011). Cette métacercaire sera ingérée par l’hôte définitif qu’est l’oiseau (poulet) capable d’héberger le stade adulte du parasite et ce sont ces adultes qui pondront les œufs afin de permettre la reprise du cycle.

Cestodes

Ce sont des parasites obligatoires à cycle hétéroxène c’est-à-dire que la présence d’au moins un hôte intermédiaire est nécessaire pour la contamination de l’hôte définitif. Dans l’ordre des cyclophyllidea (BUSSIERAS et CHERMETTE, 1995), il y a trois familles de cestodes qui se rencontrent essentiellement chez les oiseaux (Tableau I). Ce sont les Hyménolépididés, les Davaineidés et les Fimbriariinés (VILLATE, 2001).

Epidémiologie des parasitoses digestives des volailles

Epidémiologie descriptive

Les parasitoses et les protozooses digestives des volailles sont généralement cosmopolites (BUISSIERAS et CHERMETTE, 1995). Avec une fréquence variable en Afrique en général (TRONCY et CHARTIER, 2000) et en Afrique de l’ouest en particulier. Des études réalisées au Bénin par AMOUSSOU (2007) sur les poulets traditionnels ont révélé une prévalence de 68,58%. Au Sénégal, DIOP (1996) a trouvé que 51,4% des poulets industriels et 93,7% de poulets traditionnels sont parasités. Ces études montrent que la fréquence des parasitoses digestives est assez élevée en Afrique de l’ouest.

Epidémiologie analytique

Source des parasites

Les sources de contamination des oiseaux sont soit vivantes, soit inertes. Pour la source vivante, la contamination peut être directe ou indirecte. Quand elle est directe, les oiseaux infestés sont la source des parasites car ceux-ci libèrent dans leurs matières fécales des œufs d’helminthes ou les oocystes de coccidies (YVORE, 1992) tandis que dans le cas où cette contamination est indirecte, les vecteurs mécaniques (matériel d’élevage) ou divers invertébrés (BUISSIERAS et CHERMETTE, 1995) à l’exemple des ténébrions sont à l’origine de la transmission de la coccidiose (GUERIN et CORRAND, 2010). TRONCY et CHARTIER (2000) ont découvert aussi qu’un contact avec des oiseaux sauvages est l’une des potentielles sources de contamination des élevages par certains nématodes à l’exemple de la Syngamus trachea.
Il y a également des sources dites inertes que sont le sol, la litière, l’eau de boisson souillée par les éléments de dissémination et de résistance des parasites à cycle biologique directe qui jouent un rôle dans la transmission des parasites gastro-intestinaux (YVORE, 1992 ; CHERMETTE, 1992).

Mode d’infestation

Les parasites gastro-intestinaux infestent les volailles dans la majeure partie des cas par la voie buccale ; soit par ingestion des œufs embryonnés infestants (contenant la larve L3) sous forme libre dans le milieu extérieur ou en passant par un ver qui est un hôte d’accumulation et de dissémination (hôte paraténiques) facultatif pour les Ascaridia et Heterakis (CHERMETTE, 1992), soit par ingestion des hôtes intermédiaires contenant les larves infestantes (L3) ou d’oocystes sporulés pour la coccidiose (BUISSIERAS et CHERMETTE, 1995).

Causes favorisantes

Les périodes chaudes et humides, la forte densité des poulets, l’absence d’hygiène ou mauvaise désinfection, le manque d’hygiène avec des abreuvoirs qui débordent, le manque de ventilation, l’humidité de la litière, la promiscuité des jeunes poussins avec les plus âgés qui sont porteurs de parasites, les déplacements anarchiques des personnes (visiteurs ou personnels) allant d’un élevage à un autre véhiculant des litières souillées sont autant de facteurs qui favorisent les infestations par les parasites gastro-intestinaux. BUISSIERAS et CHERMETTE (1995) ont mis en évidence le système d’élevage comme facteur favorisant en soulignant que la faible fréquence des parasitoses gastro-intestinales à transmission indirecte dans les élevages industriels est due à une rareté des hôtes intermédiaires. Dans la coccidiose aviaire, d’autres facteurs à savoir l’hôte, le parasite, et les conditions d’élevages influencent le parasitisme (TRONCY et CHARTIER, 2000).

Réceptivité et sensibilité

La réceptivité et la sensibilité des oiseaux varient en fonction de l’espèce, du sexe, de la race, de l’âge et de l’alimentation. Au niveau de l’espèce, les pathologies peuvent se transmettre entre poulets et pigeons et aussi entre poulets et autres galliformes. Une infestation expérimentale réalisée sur plusieurs jours en utilisant Ascaridia galli, a permis de remarqué que l’infestation a été plus considérable chez les mâles que chez les femelles d’où le rôle du sexe dans la sensibilité des animaux. Une autre expérimentation a été réalisée avec Ascaridia galli et Barus cappilaria sur différentes races de volailles à savoir les Leghorns, les Rhode island et les Plymouth rock, montré que la Leghorn a été plus réceptif.
Les carences en certaines vitamines telles que la vitamine A et les vitamines du groupe B augmente la réceptivité à Ascaridia ; les carences en vitamines A, D, E, K, riboflavine, acide pantothénique et en protéine favorisent une infestation mais aussi une forte infestation par Ascaridia galli (BUSSIERAS ET CHERMETTE, 1995). En outre, une forte infestation par Ascaridia et une augmentation du nombre des Heterakis peuvent être favorisées par la carence en phosphore et en calcium (CHERMETTE, 1992).

Pathogénie

Les parasites gastro-intestinaux agissent sur l’organisme hôte par une action mécanique et irritative se traduisant par une pénétration du parasite (Spirures, Davainea) ou de leur extrémité antérieure (scolex de certains cestodes) dans les muqueuses intestinales (BUSSIERAS et CHERMETTE, 1995). La multiplication asexuée (schizogonie) ou sexuée (gametogonie) dans la cellule épithéliale intestinale entraîne un éclatement et une mort de celle-ci, ce qui est à l’origine des diarrhées dans la coccidiose (GUERIN et al., 2011). Une spoliation du sang ou du chyme provoque l’affaiblissement, l’amaigrissement et même l’anémie que nous avons dans ces maladies.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : REVUE DE LA LITTERATURE
CHAPITRE I : FILIERE AVICOLE EN COTE D’IVOIRE
I. Evolution de la filière avicole en Côte d’Ivoire
II. Importance socio-économique de l’aviculture
III. Types de production
III.1. Production de poulets de chair
III.2. Production de poules pondeuses
III.3. Elevage des reproducteurs
IV. Races avicoles exploitées
V. Organisation de la production
V.1. Système de production
V.1.1. Système d’élevage avicole villageois ou secteur 4
V.1.2. Secteur commercial système d’élevage avicole semi-intensif ou secteur 3
V.1.3. Système d’élevage intensif de poulets commerciaux ou secteur 2
V.1.4. Système d’élevage industriel et intégré ou secteur 1
V.2. Circuit de commercialisation
V.2.1. Circuit traditionnel (informel)
V.2.2. Circuit moderne (formel)
V.3. Encadrement de la filière
V.3.1. Encadrement technique
V.3.1.1. Structures publiques
V.3.1.2. Structures privées
V.3.2. Informations et formations
V.4. Financement de l’aviculture ivoirienne
V.4.1. Etat ivoirien
V.4.2. Union Européenne
V.4.3. Agence Française de Développement (AFD)
V.4.4. Etat d’Israël
V.4.5. Financement par les particuliers
VI. Contraintes de l’aviculture en Côte d’Ivoire
VI.1. Contraintes liée à la gouvernance du secteur
VI.2. Contraintes liées à la production
VI.3. Contraintes liées à la commercialisation des produits avicoles
VI.4. Contraintes zootechniques
VI.5. Contraintes liées au financement
VI.6. Contraintes socio-environnementales
VI.7. Contraintes sanitaires
CHAPITRE II : HELMINTHOSES ET PROTOZOOSES DIGESTIVES DES VOLAILLES
I. Généralités sur les parasites digestifs des volailles
I.1. Helminthes
I.1.1. Plathelminthes
I.1.1.1. Trématodes
I.1.1.2. Cestodes
I.1.2. Némathelminthes
I.1.2.1. Nématodes
I.2. Protozoaires
I.2.1. Etiologie
I.2.2. Cycle biologique
II. Epidémiologie des parasitoses digestives des volailles
II.1. Epidémiologie descriptive
II.2. Epidémiologie analytique
II.2.1. Source des parasites
II.2.2. Mode d’infestation
II.2.3. Causes favorisantes
II.2.4. Réceptivité et sensibilité
III. Pathogénie
IV. Etude clinique
IV.1. Symptômes
IV.1.1. Helminthoses
IV.1.2. Protozooses
IV.2. Lésions
IV.2.1. Helminthoses
IV.2.2. Protozoaires
V. Diagnostic des helminthoses et des protozooses de la volaille
V.1. Diagnostic épidémiologique
V.2. Diagnostic clinique
V.3. Diagnostic de laboratoire
V.3.1. Examen coprologique
V.3.1.1. Méthodes qualitatives
V.3.1.2. Méthode quantitative
V.3.2. Coproculture
V.3.3. Technique ELISA
V.4. Diagnostic nécropsique
VI. Méthodes de luttes
VI.1. Traitement
VI.1.1. Anthelminthiques (TRONCY et CHARTIER, 2000)
VI.1.2. Anticoccidiens
VI.2. Prophylaxie
VI.2.1. Prophylaxie sanitaire
VI.2.2. Prophylaxie médicale
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I. Contexte de l’étude
II. Description de la zone d’étude
III. Matériel
III.1. Fiches d’enquêtes
III.2. Matériel biologique
III.3. Matériel de laboratoire
IV.1. Enquête exploratoire
IV.2. Enquête transversale
IV.2.1. Population cible
IV.2.2. Administration du questionnaire
IV.2.3. Echantillonnage et de prélèvement
IV.3. Analyse de laboratoire
IV.3.1. Technique de flottation
IV.3.2. Technique de sédimentation
V. Traitement des données
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
I. Résultats
I.1. Caractéristiques de l’échantillon
I.2. Prévalence Globale
I.2.1. Prévalence globale selon la région
I.2.2. Prévalence globale selon la spéculation
I.2.3. Prévalence globale selon la pratique du vide sanitaire
I.2.4. Prévalence globale par rapport au suivi vétérinaire
I.2.5. Prévalence globale selon l’origine de l’eau
I.2.6. Prévalence globale selon le contact avec des oiseaux sauvages
I.2.7. Prévalence globale selon la présence de rotoluve à l’entrée de l’exploitation
I.2.8. Prévalence globale selon la présence de pédiluve à l’entrée des bâtiments
I.3. Prévalence spécifique
I.3.1. Prévalence spécifique selon la région
I.3.2. Prévalence spécifique selon le type spéculation
I.3.3. Prévalence spécifique selon la pratique du vide sanitaire
I.3.4. Prévalence spécifique selon le suivi vétérinaire
I.3.5. Prévalence spécifique selon l’origine de l’eau
I.3.6. Prévalence spécifique en fonction du contact avec les oiseaux sauvages
I.3.7. Prévalence spécifique en fonction de la présence de rotoluves
I.3.8. Prévalence spécifique en fonction de la présence de pédiluves
II. Discussion, recommandations et perspectives
II.1. Discussion
II.1.1. Zone d’étude d’études et méthodologie
II.1.2. Prévalences globales et spécifiques
II.1.3. Prévalence et facteurs de variation
II.2. Recommandations
II.2.1. Aux autorités des services d’élevage
II.2.2. Aux aviculteurs
II.2.3. Aux vétérinaires
II.3. Perspectives
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAGRIQUES
WEBOGRAPHIE

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