La tuberculose reprรฉsente lโune des maladies infectieuses ร transmission interhumaine la plus meurtriรจre au monde [1-3]. Elle se situe en second plan aprรจs lโinfection au virus immunodรฉficience humaine/syndrome immunodรฉficience acquise (VIH/SIDA) et prรฉsente aujourdโhui encore ร lโรฉchelle mondiale un problรจme majeur de santรฉ publique [4]. Dans le monde, un tiers de la population est infectรฉ dont 95% des cas touchent les pays en voie de dรฉveloppement surtout la population productive de 15 ร 50 ans [2, 3, 5]. Selon lโOrganisation Mondiale de la Santรฉ (OMS) en 2014, 9,6 millions de personnes ont dรฉveloppรฉ la tuberculose et 1,5 millions de dรฉcรจs ont รฉtรฉ enregistrรฉs dont 360.000 sujets vivants avec le VIH et 95% proviennent des pays ร faible revenu et intermรฉdiaire [1, 2]. De 1990 ร 2015, le taux de mortalitรฉ a chutรฉ de 47% [2]. Mettre un terme ร lโรฉpidรฉmie de tuberculose dโici 2030 et รฉliminer la tuberculose en tant que problรจme de santรฉ publique en 2050 figurent parmi les cibles pour la santรฉ dans les objectifs pour le dรฉveloppement durable (ODD), rรฉcemment adoptรฉs aux Nations Unies [2, 4]. Pour ce faire, le diagnostic prรฉcoce et le traitement adรฉquat des cas, y compris, les cas de la tuberculose pulmonaire ร bacilloscopie nรฉgative (TPM-) figurent dans les prioritรฉs mondiales [5-10]. Lโexamen microscopique des frottis de crachats ร la recherche de bacilles acido-alcoolo rรฉsistants (BAAR) reprรฉsente le seul test rapide de diagnostic de la tuberculose disponible dans les contextes ร ressources limitรฉes [2, 7, 11]. Cet examen prรฉsente une sensibilitรฉ faible surtout chez les patients infectรฉs par le VIH comparรฉe au standard de rรฉfรฉrence quโest la culture [11, 12]. La TPM- est frรฉquente chez les patients infectรฉs par le VIH et est difficile ร diagnostiquer [10, 13]. En 2007, lโOMS a revu ses algorithmes de diagnostic des patients ร bacilloscopie nรฉgative et a recommandรฉ la culture quand elle est disponible, ainsi qu’une radiographie pulmonaire prรฉcoce et systรฉmatique [6, 12]. La TPM- reprรฉsente 36% du fardeau mondial de la tuberculose et reprรฉsente un dรฉfi diagnostique, surtout dans les contextes ร ressources limitรฉes. Ceci peut entrainer une rรฉpercussion sur la prise en charge et la dissรฉmination de la maladie [14]. En septembre 2010 une rรฉunion dโun groupe dโexperts par lโOMS a permis dโรฉtayer lโusage gรฉnรฉralisรฉ du systรจme GeneXpert pour la dรฉtection rapide de la tuberculose et a abouti ร des recommandations utilisables depuis Dรฉcembre 2010. Parmi ces donnรฉes, les grandes รฉtudes multicentriques de validation ont objectivรฉ chez les patients ร frottis nรฉgatif et ร culture positive une sensibilitรฉ de 72,5 % et une spรฉcificitรฉ de 99 % [15]. Depuis 1980, lโรฉpidรฉmie VIH/SIDA a entrainรฉ une augmentation relative de cas de la tuberculose, surtout en Afrique Subsaharienne et en Asie du Sud-Est [16, 17]. Parmi les nouveaux cas qui apparaissent chaque annรฉe dans le monde, 30% se trouve en Afrique surtout en Afrique Subsaharienne [18]. Au Bรฉnin, en Afrique de lโOuest, comme dans la plupart des pays ร faibles ressources, la TPM- est gรฉnรฉralement diagnostiquรฉe en faisant appel ร lโalgorithme de lโOMS publiรฉ en 2007. Au Benin, la TPM- est faible (7%) par rapport ร lโensemble des nouveaux cas pulmonaires dans la rรฉgion Afrique [11].
La tuberculose reprรฉsente un grave problรจme de santรฉ publique ร Madagascar [19]. Cette affection sรฉvit encore en mode endรฉmique malgrรฉ la mise en place du programme national de lutte contre la tuberculose (PNLT) [20] avec une prรฉvalence de 413 pour 100.000 habitants en 2013 [17]. Cette lutte est entravรฉe par diffรฉrents handicaps dans ce pays, entre autres, la co-infection avec le VIH. Il serait le sixiรจme pays de la rรฉgion Afrique de lโOMS oรน le taux de dรฉtection des cas tuberculose est le plus lourd alors quโil est les moins frappรฉ par lโรฉpidรฉmie VIH/SIDA. Lโamรฉlioration du dรฉpistage de la TPM- figure parmi les stratรฉgies de lutte [21]. Le programme accuse un dรฉficit marquรฉ de dรฉpistage des formes non bacillifรจres, en lien avec la faible couverture en particulier de la radiographie. Les tests GeneXpert et la culture seront rรฉservรฉs pour ce plan en prioritรฉ au diagnostic de la tuberculose multi-rรฉsistante (TB-MR) [17].
Gรฉnรฉralitรฉs
Historique
La tuberculose est connue depuis des milliers dโannรฉes. Aux รขges obscurs, elle รฉtait pour les hรฉbreux un des chรขtiments divins. Hippocrate (5รจme- 4รจme siรจcle), Galien (2รจme siรจcle) tentaient dรฉjร de donner une explication ร cette maladie mais le plus souvent confondue avec bien dโautres affections pulmonaires. Il faudra attendre les 18รจme et 19รจme siรจcles pour progresser significativement dans la comprรฉhension de cette maladie. Le dรฉbut du19รจme siรจcle, Laennec en donne une description scientifique. En 1882, Robert Koch dรฉcouvre le bacille tuberculeux humain : Mycobacterium tuberculosis et rรฉussi sa culture sur sรฉrum de bลuf coagulรฉ en 1884. En 1895, Roentgen dรฉcouvrit lesย rayons X, et Forlanini (1847-1918) rรฉalisa les premiรจres radiographies pulmonaires en Italie dรจs 1896. En 1885, Ziehl et Neelsen mirent au point une mรฉthode de coloration spรฉcifique aux mycobactรฉries basรฉe sur leur acido-alcoolo-resistance. En 1921, de faรงon circonscrite et ร partir de 1924 sur lโรฉchelle mondiale, la vaccination parle Bacille de Calmette et Guรฉrin (BCG) fut utilisรฉe chez lโhomme et entraรฎna la rรฉgression de lโincidence de la tuberculose dรจs la fin du 19รจme siรจcle. La chimiothรฉrapie antituberculeuse est apparue ร la fin de la deuxiรจme guerre mondiale. En 1944, Waksman dรฉcouvre le premier antibiotique actif contre le bacille tuberculeux : la streptomycine. En 1952, lโisoniazide fut introduit. En 1956 รฉthionamide et prothionamide furent mis sur le marchรฉ. Aprรจs abandon pour multiples effets secondaires, le pyrazinamide fut rรฉintroduit en 1968. En 1969, la rifampicine confรฉra au traitement antituberculeux son profil actuel. Lโรฉthambutol fut commercialisรฉ en 1970 [22, 23]. Le systรจme GeneXpert a รฉtรฉ lancรฉ en 2004 [15].
Etiopathogรฉnieย
Agent pathogรจneย
La tuberculose est une maladie infectieuse due ร la bactรฉrie du genre Mycobacterium. Les mycobactรฉries (famille des Mycobacteriaceae, ordre des actinomycetals, classe schizomycetes) sont des bactรฉries immobiles, non sporulรฉes, ร parois รฉpaisse riche en lipide, aรฉrobies, intra et extracellulaires, ne se colorent pas facilement mais qui, une fois colorรฉes, rรฉsistent ร la dรฉcoloration par lโacide et lโalcool et est de ce fait dit ยซ bacille acido-alcoolo-rรฉsistant ยป. Sur les dizaines dโespรจces de mycobactรฉries, trois sont ร lโorigine de la tuberculose : Mycobacterium Tuberculosis ou Bacille de Koch (BK); Mycobacterium Bovis ; Mycobacterium Africanum. La variรฉtรฉ la plus rรฉpandue est reprรฉsentรฉ par le bacille de type humain, Mycobacterium tuberculosis. Ce bacille est aรฉrobie strict. Il est trรจs sensible ร certains agents physiques (chaleur, lumiรจre solaire, rayon X ou ultra โviolet) et aux antiseptiques habituels (alcool, eau de Javel, formol). Il rรฉsiste bien au froid, ร la dessiccation et peut demeurer vivant plusieurs jours dans les produits contaminรฉs tels que les produits dโexpectoration. Il est peu sensible ร de nombreux agents chimiques tels que les acides et bases diluรฉs. En revanche il est rapidement tuรฉ par lโalcool diluรฉ. Il pousse sur milieu spรฉcial (milieu de Lowenstein par exemple), ne se multiplie pas dans lโenvironnement. Sa croissance est lente dont la division est toutes les vingt heures et ร taux รฉlevรฉ de mutants rรฉsistants aux antibiotiques [24].
Mode de transmission
Le Mycobacterium tuberculosis est un parasite strict de lโespรจce humaine. Les animaux proches de lโhomme (chien, chat) peuvent occasionnellement รชtre contaminรฉs [24]. La source dโinfection est essentiellement reprรฉsentรฉe par le malade porteur dโune tuberculose pulmonaire ยซย bacillifรจreย ยป ร frottis positif non traitรฉe ou ignorant leur maladie, surtout les tousseurs chronique [21]. La transmission est pratiquement toujours directe, interhumaine, de lโhomme malade au sujet rรฉceptif, par voie aรฉrienne, du fait des bacilles contenus dans les gouttelettes de Pflรผgge en suspension dans lโair, รฉmises par le patient lorsquโils toussent, รฉternuent ou simplement parlent ร voix haute [21, 25]. Les objets appartenant aux malades, leurs vรชtements, leur literie, ne jouent pratiquement aucun rรดle dans la transmission du bacille. La promiscuitรฉ, le manque dโaรฉration et dโexposition ร la lumiรจre de lโhabitat favorisent la transmission de cette maladie [21]. La pรฉnรฉtration du bacille dans l’organisme ne conduit ร la maladie que dans 10 % des cas en moyenne. Dans 90% des cas, la multiplication des bacilles s’arrรชte rapidement. C’est la primo-infection simple qui se traduit par le dรฉveloppement de l’hypersensibilitรฉ tuberculinique et de l’immunitรฉ de surinfection. Le sujet n’est pas malade, il est simplement infectรฉ [3]. La survenue de la maladie est favorisรฉe par : une diminution des dรฉfenses de l’organisme consรฉcutive ร la sous-alimentation, l’alcoolisme, aux maladies dรฉprimant le systรจme immunitaire, en particulier le VIH, lโimportance des facteurs favorisant la transmission des bacilles [21]. La maladie tuberculeuse est habituellement provoquรฉe par la multiplication des bacilles de la primo-infection soit immรฉdiatement soit aprรจs un temps de latence, les bacilles ayant survรฉcu dans les lรฉsions primaires ou rรฉinfection endogรจne. Plus rarement, elle l’est par de nouveaux bacilles inhalรฉs d’une nouvelle source de contamination ou rรฉinfection exogรจne. Deux types de localisation peuvent s’observer. Les localisations pulmonaires sont les plus frรฉquentes dont 90% des cas environ et les plus dangereuses รฉpidรฉmiologiquement car ce sont elles, notamment les cavernes, qui permettent la transmission du bacille [3]. Les localisations extra pulmonaires sont gรฉnรฉralement pauvres en bacilles mais invalidantes comme lโostรฉo-arthrite ou gravissimes comme la mรฉningite [23].
Diagnostic de la tuberculose pulmonaire
Pour rompre la chaรฎne de transmission, il faut avant tout dรฉpister et traiter les cas de tuberculose pulmonaire contagieux ร microscopie positive. La mรฉthode de choix retenue pour le diagnostic reste donc l’examen microscopique direct des crachats mais il faut envisager รฉgalement le dรฉpistage des tuberculoses pulmonaires ร microscopie nรฉgative, des tuberculoses extra pulmonaires et de la tuberculose de l’enfant en utilisant dโautres techniques de dรฉpistage comme le GeneXpert. Le dรฉpistage de la Tuberculose passe par une bonne prise en charge et une bonne rรฉfรฉrence des tousseurs chroniques vers un Centre de Diagnostic et de Traitement (CDT) [21]. Le dรฉpistage de la tuberculose est un dรฉpistage passif chez les patients ayant des symptรดmes รฉvocateurs et qui se prรฉsentent d’eux-mรชmes dans les formations sanitaires. Ces symptรดmes sont reprรฉsentรฉs par une toux persistante pendant 2 semaines ou plus, des expectorations parfois sanglantes, des difficultรฉs ร respirer, des douleurs dans la poitrine, une perte de poids, dโรฉnergie et de lโappรฉtit, un sentiment de malaise gรฉnรฉrale et de fatigue, des sueurs et de la fiรจvre [23]. Quant au dรฉpistage actif, il se rรฉsumera le plus souvent en l’examen des sujets qui ont รฉtรฉ en contact avec un tuberculeux pulmonaire ร microscopie positive diagnostiquรฉ. En outre, chez les Personnes Vivant avec le VIH, un dรฉpistage actif pourra รชtre systรฉmatisรฉ notamment par la radiographie pulmonaire. Le dรฉpistage bactรฉriologique se pratique dans les CDT, mais dans tout centre de santรฉ, l’infirmier ou l’agent sanitaire responsable doit รชtre capable d’identifier un sujet dont l’รฉtat de santรฉ nรฉcessite une sรฉrie d’examens bacilloscopiques [21]. Le diagnostic de certitude dโune tuberculose pulmonaire maladie repose toujours sur lโisolement des BAAR ร lโexamen direct des expectorations ou sur lโisolement en culture du Mycobactรฉrium tuberculosis [3, 26].
Examen microscopique
Depuis plus de 125 ans, lโexamen microscopique direct demeure un outil trรจs simple et rapide renseignant sur la prรฉsence de BAAR dans les รฉchantillons biologiques [26]. Dans la dรฉmarche diagnostique de tuberculose pulmonaire associรฉe ร des signes clinico-radiologiques, voire histologiques, lโexamen direct renseigne sur le caractรจre bacillifรจre et donc contagieux du patient, permettant ainsi de conforter voire dโimposer lโisolement respiratoire du patient et de dรฉpister les รฉventuels contacts. Cette รฉtape clรฉ repose le plus souvent sur une coloration fluorescente ร lโauramine, plus sensible que celle de Ziehl-Neelsen (coloration de rรฉfรฉrence) [27]. Les BAAR apparaissent sous forme de bacilles verts fluorescents sur fond rouge pour les frottis colorรฉs ร lโauramine et rosรฉs sur fond bleu aprรจs coloration de Ziehl Neelsen [26]. Le rรฉsultat microscopique est obtenu dans les 24 heures [5]. Ce rรฉsultat est quantitatif dรฉnombrant le nombre de BAAR par frottis ou par champ selon la standardisation du ยซ Centers for Disease Control and prevention, Atlanta, USA ยป. Le seuil de dรฉtection microscopique est de lโordre de 104 BAAR/ml dโรฉchantillon. La sensibilitรฉ est variable en fonction du type de prรฉlรจvement avec 65% pour les pulmonaires [26]. De ce fait, un examen direct nรฉgatif permet dโexclure lโรฉventualitรฉ dโun cas bacillifรจre ou trรจs bacillifรจre mais nโexclut en aucun cas le fait que le patient puisse รชtre pauci-bacillifรจre et donc รฉventuellement contagieux [28], mais beaucoup moins contagieux si seulement positifs ร la culture [21]. En lโabsence de clinique ou dโimagerie thoracique en faveur dโune tuberculose pulmonaire active, ou en lโabsence de contact avec un sujet immunodรฉprimรฉ, ou encore de notion de tuberculose multirรฉsistante, 3 examens microscopiques nรฉgatifs permettent de lever un isolement respiratoire instaurรฉ initialement devant une suspicion de tuberculose pulmonaire. Un examen microscopique nรฉgatif nโรฉlimine pas un diagnostic de tuberculose. De mรชme, il ne prรฉdit pas une guรฉrison dans le cadre dโun suivi de traitement antituberculeux. Lโexamen microscopique positif prรฉsente lui aussi des limites. Bacilles tuberculeux et mycobactรฉries atypiques ne peuvent รชtre diffรฉrenciรฉs. Par ailleurs, ne renseignant pas sur le caractรจre vivant ou mort des bacilles, lโexamen direct positif nโest pas un bon marqueur dโefficacitรฉ thรฉrapeutique, dโรฉchec thรฉrapeutique ou de rechute tuberculeuse [28].
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS
I. Gรฉnรฉralitรฉs
I.1. Historique
I.2. Etiopathogรฉnie
I.2.1. Agent pathogรจne
I.2.2. Mode de transmission
I.3. Diagnostic de la tuberculose pulmonaire
I.3.1. Examen microscopique
I.3.2. Culture
I.3.3. Autres examens complรฉmentaires
I.3.4. Diagnostic de la TPM
I.4. Traitement
I.4.1. Schรฉma thรฉrapeutique
I.4.2. Surveillance et contrรดle
I.4.3. Prรฉventions
II. Test GeneXpert
II.1. Recommandations
II.2. Principes
II.3. Utilisations
DEUXIEME PARTIE : METHODES ET RESULTATS
I. METHODES
I.1. Caractรฉristiques du cadre de lโรฉtude
I.2. Type dโรฉtude
I.3. Durรฉe de lโรฉtude
I.4. Pรฉriode de lโรฉtude
I.5. Population dโรฉtude
I.5.1. Critรจres dโinclusion
I.5.2. Critรจres dโexclusion
I.6. Mode dโรฉchantillonnage
I.7. Taille de lโรฉchantillon
I.8. Variables รฉtudiรฉes
I.9. Mode de collecte des donnรฉes
I.10. Mode dโanalyse des donnรฉes
I.11. Calculs et tests statistiques utilisรฉs avec leurs conditions dโapplication
I.I2. Limites de lโรฉtude
I.13. Considรฉrations รฉthiques
II. RESULTATS
II.1. Caractรฉristiques de la population pour lโรฉtude
II.1.1. Genre
II .1.2. Cas
II.1.3. Nature du prรฉlรจvement
II.2. Performance du GeneXpert face ร la culture
II.2.1. Performance gรฉnรฉrale du GeneXpert face ร la culture
II.2.2. Performance du GeneXpert face ร la culture selon lโรขge
II.2.3. Performance du GeneXpert face ร la culture selon le genre
II.2.4. Performance du GeneXpert face ร la culture selon le cas
II.2.5. Performance du GeneXpert face ร la culture selon la nature de prรฉlรจvement
II.3. Caractรฉristiques des malades tuberculeux
II.4. Caractรฉristiques des patients non-tuberculeux
II.5. Facteurs associรฉs ร la tuberculose
II.6. Facteurs associรฉs au nombre de colonies
II.6.1. Selon lโรขge
II.6.2. Selon le genre
II.6.3. Selon le cas
II.6.4. Selon la nature du prรฉlรจvement
II.7. Rรฉpartition du nombre de colonies moyen selon le profil sociodรฉmographique et รฉpidรฉmio-clinique
II.8. Rรฉgression linรฉaire simple du taux sรฉrique du nombre de colonies en fonction de lโรขge du sujet
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION
DISCUSSION
I. Performance GeneXpert face ร la culture
II. Caractรฉristiques de la population de lโรฉtude
II.1. รge
II.2. Genre
II.3. Cas
II.4. Nature du prรฉlรจvement
III. Facteurs associรฉs ร la tuberculose
III.1. รge
III.2. Genre
III.3. Cas
III.4. Nature du prรฉlรจvement
III.5. Nombre de colonies
CONCLUSION
ANNEXES