Développement rural projet de création d’un lycée privé

Actuellement, plus de 1500 communes sont responsables de la prestation des services administratifs de base de l’entretien des infrastructures sociales et économiques, chaque commune avait leur budget autonome respectif. En outre, la responsabilité des communes à identifier, à coordonner les investissements locaux et c’est de soutenir la mise en ouvre pour la réduction de la pauvreté au niveau local. Ceci est dû par le fait que Madagascar figure parmi les pays qui risquent de ne pas atteindre les objectifs de ce nouveau millénaire et les populations rurales sont les plus touchées.

Parfois, à la campagne, l’insuffisance des systèmes éducatifs (instruction et information) qui sont des outils de base pour lutter serait l’un des problèmes majeurs. Pour mieux atteindre ces objectifs, la réduction en moitié de la pauvreté d’ici 2015 dépend vivement de la nécessité de l’éducation des populations rurales, selon la prospection sur la politique général de l’Etat malagasy..

Ainsi, en milieu rural, le taux d’analphabétisation est très considérable. Selon le dernier Rapport National sur le Développement Humain (RNDH) publié par le PNUD, les paysannes sans instruction sont de 54,4 % contre 49% pour les hommes. Le RNDH souligne : « L’éducation permet aux individus et plus particulièrement aux femmes sociales, d’améliorer leurs performances économiques et de leur faciliter l’accès à l’emploi ou à un revenu supérieur ».

LA PRESENTATION DU PROJET 

La réalité locale existante

Dans les zones urbaines que rurales, des difficultés seront rencontrées éventuellement par les parents d’élèves. Soit par l’éloignement du foyer-école, soit par le problème de nourriture apparaît. Ceux-ci seront dû parfois que les familles ont été assaillies par le renchérissement brutal du prix du riz qui est intervenu à la fin de l’année dernière (Période de collecte de donnée). Aussi, par la hausse généralisée du coût des produits de première nécessité ou PPN (sucre, viande, huile alimentaire,…). Le fait a provoqué des carences au plan nutritionnel chez les élèves, et a beaucoup de ces derniers ont eu du mal à suivre l’enseignement. Les élèves se comportent males pendant les cours que nous avons constaté d’augmenter durant l’année scolaire.

Deuxième originalité, dans les zones urbaines, les délestages de JIRAMA sur toute l’étendue du territoire ont perturbé et même annulé les séances de révision qui se déroulent surtout la nuit. On a signalé que dans certaines localités de province, la ravitaillement en électricité n’a pas eu lieu que pendant un ou deux (02) jours dans une semaine.

Par conséquent, nous élaborons que les épreuves endurées par les élèves pourraient avoir d’impact négatif sur le résultat aux examens. Mais tant bien que mal, les examens officiels se déroulent ultérieurement. Si dans la commune d’Amboasary, les délestages de la « JIRAMA » sur toute l’étendue du territoire ont perturbé et même annulé des séances de révision durant le monde nocturne, l’Etat envisagera la stratégie globale de chaque région surtout d’après le système d’éducation.

La stratégie globale de chaque région

Au moyen de la stratégie trois (03)P ( Partenariat- Public- Privé), les communes reçoivent des transferts du trésor Public. Ce dernier est basé sur leur population et de petits transferts des salaires notamment pour les vacataires ou suppléant, enseignant lesquels sont totalement à sa charge. Pour ce faire, la commune pourra collecter des recettes sous forme d’impôts sur la propriété individuelle et collective comme les redevances des marchés, et des impôts sur la consommation ainsi que sur des droits d’usages des biens publics. Pour l’heure et malgré la décentralisation de l’autonomie politique et fiscale, l’insuffisance de la capacité financière des communes ne permet pas de mieux soutenir la prestation des services locaux.

Or, Madagascar devrait améliorer ses efforts de recouvrement des recettes fiscales avec du faible niveau actuel du PIB de 11 pour cent qui est inférieur à moyenne mondiale des pays pauvres. Face à cette situation, les parents d’élèves devraient participer éventuellement à régler les salaires de ces enseignants au moyen du VRM ou Vondron’ny Ray Aman-dRenin’ny Mpianatra, sous forme d’une collectivité organisée. Ceci a pour but d’assurer le bon déroulement de l’éducation dans chaque commune rurale.

Certes, les communes exercent des fonctions importantes et elles ont une capacité limités de financement de la prestation des services locaux.

L’action de l’Etat

Dans la plupart des zones rurales, il y a ce qu’on appelle « éducation non formelle» pour ceux qui n’ont pas le moyen d’entrer à l’école. Mais elle reste très marginale. Les centres publics et privés concernés sont qu’une poignée et manquent de moyens. Le Pnud suggère à court terme la création d’un centre de Formation mobile par le biais de chaque commune et un centre (école) par Fokontany à moyen terme. Pour le moment, cette suggestion n’a pas encore en d’écho. De son côté, la FAO vient d’exhorter les décideurs à accorder la priorité à l’identification des besoins de base des communautés rurales en matière d’éducation. L’objectif est d’aider les ruraux à améliorer leurs moyens d’existence et d’atteindre les objectifs du millénaire. Ces structures gérées par les communautés rurales sont le fruit de l’initiative des villageois ou des chefs de villages.

Au Sénégal, par exemple, qui a un taux de population rurale semblable à celui de Madagascar, soit 75%, la stratégie de développement rural inclut selon la FAO, des priorités telles que l’amélioration du niveau des enseignements et l’adaptation des programmes pédagogiques aux besoins paysans. Dans la grande Ile, la stratégie de développement rural est essentiellement fondée sur l’accès aux crédits, aux entrants et aux matériels agricoles,… L’instruction n’y a pas sa place et une fois de plus, les paysans vont ratir le coche.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : CADRE GENERAL DE L’ETUDE
CHAPITRE I : DESCRIPTION DE LA SOCIETE BATIFORCE
CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
PARTIE II : MATERIELS ET METHODE DE LA TRANSFORMATION DES GRANITES
CHAPITRE I : GENERALITE SUR L’EXPLOITATION
CHAPITRE II : TRANSFORMATION
PARTIE III: RESULTATS ET DISCUSSION
CHAPITRE I : RESULTATS
CHAPITRE II : DISCUSSIONS
CHAPITRE III : SOLUTIONS PROPOSES
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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