Flores
La biodiversité de la Réserve de biosphère est fortement liée aux habitats naturels. Dans la partie terrestre, quatre principales formations végétales sont distingués : la forêt humide et dense, la forêt littorale en partie déjà dégradée, la végétation des marécages et le savoka, végétation secondaire qui se régénère après la culture sur brûlis. Floristique entre 123 et 209 espèces totales, La forêt littorale qui se trouve logiquement le long du littoral, principalement entre Antanambe et Anove couvre une superficie d’environ 740ha. Elle ne fait pas partie du parc national, il y a 116 plantes par site. En tout, 279 plantes différentes ont été inventoriées dans la forêt littorale. Aucune donnée n’est disponible concernant la biodiversité faunistique des forêts littorales. Marais : Se trouve principalement autour d’Antanambe avec une surface de 505 ha, la biodiversité floristique des marécages. Le nombre d’espèces par site est assez faible, mais très constant, entre 19 et 30 espèces, au total 67 espèces ont été inventoriées. Savoka : C’est la formation végétale dominante, à part la forêt dense. La surface totale de la Savoka, dans la Réserve de biosphère est de 42.900 ha, donc inférieure à la surface forestière ; 2.600 ha de savoka se trouvent à l’intérieur du Parc National Terrestre.1 1200 plantes sont recensées, la famille des palmiers est bien représentée, avec 47 espèces dont la plupart sont endémiques de Madagascar. Il y a le dypsis antanambensis qui est endémique de Mananara. Auto phanérogames et 54 plantes sans fleurs ou ptéridophytes sont recensées dans la réserve. L’unique espèce de gymnosperme est le Cycas thouarsi.
Développement rural
Lors de la phase I, entre les années 1989 et 1992, les activités du Projet se sont d’abord attachées à la délimitation des Aires Protégées, le Parc National Terrestre et le Parc national marin .Ce dernier est très petit, mais il est le premier de ce type à Madagascar. Il est ensuite nécessaire d’améliorer considérablement le rendement de la culture du riz, culture pluviale ou irriguée, tout en essayant de détourner les agriculteurs de la riziculture pluviale. Parallèlement, il y avait lieu de promouvoir des activités permettant aux populations locales d’obtenir, en dehors de la riziculture, des revenus supplémentaires. Il s’avérait également urgent d’améliorer l’état de santé de la population locale, en particulier en ce qui concerne le paludisme. A cette époque, le Projet avait contacté Médecin Sans Frontières et Infirmière Sans Frontières pour s’occuper de cette partie délicate des interventions. Finalement, il fallait installer une politique intégrée de la conservation des ressources naturelles, notamment des Parcs et démarrer les activités du développement rural.1 Dans le Projet RB, le volet développement rural comprend les sous volets suivants :
Agriculture;
Infrastructure rurale;
Elevage;
Femme;
Pêche;
Gestion rurale;
Éducation
Artisanat.
Origine du peuplement
La population compte environ 187 956 en 2008, dans la préfecture de Mananara Nord. La croissance démographique est forte et la population est caractérisée par un grand nombre de jeunes. Elle appartient en majorité au groupe Betsimisaraka. L’origine de la communauté autochtone et des groupes ethniques sont très divers. Les Betsimisaraka forment la population de la zone. Le littoral et l’intérieur sont habités par des groupes de familles ou groupes de typonomie significative : les maromena (les rouge), les Zafindralamana (descendant des sables), les Zafindrahoala (descendant des vagues), les antanjinja (originaire de tavy), et les Zafindrafandrazo (les descendants des coupeurs de forêts). Au cours des siècles, la région de Mananara Nord était soumise à un contact et un métissage important avec d’autres groupes ethniques et nationalités. Ainsi, les Zanamalata sont les descendants métissés des pirates du 17 ème et 18ème siècle. Ils habitent principalement sur la côte, près de Mananara Nord et autour du village principal Soavinarivo. Les Antamahory, d’origine comorienne (Mahorais) et les Makoa, d’origine africaine sont présent dans la plupart des villages de Mananara Nord. Leur présence s’explique par les raids esclavagistes des Betsimisaraka vers les Comores et l’Afrique de l’Est, au 17ème siècle. Des groupes d’origine Merina ou Hova habitent sur la côte et dans la plaine, aux environs de Mananara Nord. Le village Soavinarivo était devenu au 18ème siècle un centre administratif de l’armée Merina, après leur expansion sur la côte Est. A part, les Zanamalata, les Makoa, les descendants Merina, la région de l’embouchure de Mananara Nord est habitée par les descendants de cinq grandes familles dont l’origine est peu connue. D’autres groupes de population expliquent leurs origines par la descendance du Roi Ralambo (Zafindralambo), du pirate Tom Lewis (Zafindratonilevy) et des bandits (Zafindrabanda).
Enregistrement des captures
L’enregistrement de la capture est un outil de suivi important de la durabilité du système de pêche ; il est obligatoire pour chaque pêcheur, suivant la convention. Après leur journée de pêche, généralement vers 14 à 16h, les pirogues accostent sur Nosy Antafana, et l’agent de surveillance MNP procède à l’enregistrement. Il note dans un registre principal la date, l’heure d’arrivée et de départ des pirogues, le numéro de la pirogue, le nom des pêcheurs (généralement 2-3 par pirogue), le nombre et la taille moyenne des poissons par famille. Il vérifie également qu’il n’y a pas d’espèces protégées, ni engins de pêche interdits dans les pirogues. Pour les pêcheurs autorisés, la pêche au parc reste toutefois intéressante, même si le revenu journalier a baissé de 28’000 Ariary en 2006 à 16’000 Ariary en 2009. Comparé aux 3’000 Ariary de revenu journalier pour les tâcherons agricoles, la pêche reste ainsi une activité rentable, grâce notamment à la reproduction de poissons dans les zones interdites.
Parc National Marin
Dans ce Parc, il y a des noyaux durs, caractérisés par une conservation stricte de la biodiversité et ayant le statut d’un Parc National. Un noyau dur englobe les forêts primaires centrales, et l’autre délimite l’Ile de Nosy Antafana et ses récifs coralliens, qui sont ainsi devenus le premier Parc National Marin de Madagascar, en 1989. Le Parc National Marin de Nosy Antafana comprend une superficie de 1000ha au total :
√- l’île principale est sableuse, couverte d’une forêt primaire, abritant une richesse extraordinaire d’épiphytes et de chauve souris,
√- deux îles secondaires rocheuses, sites culturels et sites importants pour les oiseaux marins,
√- un platier corallien, important pour la régénération de la faune marine,
√- des versants coralliens externes, qui plongent parfois verticalement à 25 m de profondeur et qui sont caractérisés par de grandes formations de coraux massifs.
Pour l’écorégion de la Côte Est de Madagascar, le site de Nosy Antafana est l’un, sinon le site le plus important et intact. Le Parc offre des niches écologiques à une très grande diversité de poissons, coraux et invertébrés. La présence de grands prédateurs, comme les mérous, les requins et les dauphins témoignent de la productivité de l’écosystème. Le Parc Marin Nosy Antafana est l’un des sites très remarquables et impressionnants. L’îlot nous offre différentes activités durant le séjour. Des petits circuits pour découvrir la richesse extraordinaire, la beauté naturelle et unique de l’îlot. Diverses espèces terrestres et marines constituent autant de curiosités dans le Parc. C’est aussi un meilleur endroit pour la baignade, avec ses sables fins et la mer très calme, presque tout au long de la journée sur l’îlot. Des promenades en pirogue ou randonnée autour de ces trois îlots pour admirer les mangroves, les oiseaux marins qui font leur colonie sur l’îlot, et faire la plongée pour apprécier les poissons, les algues, les oursins ainsi que les coraux qui rendent l’îlot différent. Il ne faut pas oublier la visite du tombeau de Rangontsy et d’écouter l’histoire très passionnante rencontrée par les guides locaux. C’est également un endroit idéal pour observer le mystérieux «aye-aye» nocturne, et la jungle des roussettes (chauves souris). Ces îlots sont des lieux paradisiaques pour les touristes avides de la nature et de la tranquillité. Pour les touristes en groupes, le bivouac est praticable, car l’endroit est plat, propre et vaste. A Nosy Antafana on peut donc pratiquer plusieurs sortes d’activités pour terminer le séjour. C’est pour ces différentes raisons que l’îlot est l’un des plus beaux et attirants des sites de la région de Mananara Nord, et même de l’Océan Indien.
Les principaux objectifs du Gouvernement
L’objectif principal du Gouvernement est d ‘assurer, dans l’ensemble du pays, un développement ordonné et durable du tourisme de qualité, tout en maîtrisant ses effets. La politique initiée par le Ministère du tourisme, à cet effet, vise à soutenir la croissance du secteur, tout en veillant et en maîtrisant les conséquences et l’évolution dans le moyen et le long terme. Le tourisme joue un rôle important dans la lutte pour la réduction de la pauvreté : il crée des richesses, notamment en créant des infrastructures d’accueil, des emplois, et contribue aux rentrées fiscales de l’État. Il est donc important de favoriser son développement, non seulement du point de vue international, mais aussi national. S’il est vrai que les gros investissements, destinés principalement à l’accueil des touristes étrangers, sont plus intéressants, en termes de création d’emplois par exemple, le tourisme national ne doit pas être négligé pour autant. Outre l’intérêt éducatif qu’il présente, le développement du tourisme national, en multipliant la création de petites unités d’accueil, dans le pays, peut aussi contribuer à la construction de la richesse nationale. C’est pourquoi les objectifs reposent sur les points suivants :
♦ Promouvoir un développement touristique et écotouristique qui protège et sauvegarde l’environnement naturel et l’identité socioculturelle du citoyen malgache ;
♦ Faire du tourisme un levier du développement durable, au bénéfice direct des communautés villageoises ;
♦ Assainir et augmenter les recettes du tourisme, auprès de tous les acteurs concernés.
Par ailleurs, le développement des activités touristiques doit se faire dans le respect des lois, dans le but :
√- de préserver le patrimoine culturel et naturel national ;
√- d’assurer la durabilité de son exploitation à des fins touristiques
La formation professionnelle
Elle a pour épine dorsale l’Institut National du Tourisme et de l’Hôtellerie (INTH). Cet organisme aura pour rôle essentiel :
• de coordonner toutes les actions de formation, tant initiale que continue et en particulier la formation décentralisée dans toute l’île ;
• d’en assurer la tutelle pédagogique (formateurs, programmes).
Le Ministère du Tourisme a pour ambition de voir cet institut devenir, à terme, le centre de formation de référence, non seulement à Madagascar, mais également dans la région de l’Océan Indien. Pour ce faire, les nouveaux statuts l’ont doté d’un conseil d’administration et d’un comité technique et pédagogique où le secteur privé est majoritaire. Le passage vers un INTH plus dynamique, ayant comme ambition d’être le leader dans le domaine de la formation, et comme souci majeur de mettre sur le marché de l’emploi des jeunes techniquement aptes à travailler dans les établissements, nécessite :
√- une restructuration organisationnelle (nouvel organigramme) ;
√- des actions de formation des formateurs ;
√- la réhabilitation des ateliers techniques (remplacement des équipements et matériels devenus désuets et/ou insuffisants) ;
√- La mise en place de programmes adaptés aux besoins des opérateurs.
Pour le cas particulier de la formation décentralisée, des centres de formation seront créés dans les régions, à partir des études de faisabilité qui y ont ou auront été menées, les cinq autres provinces autonomes de Madagascar, plus Nosy-Be et Sainte- Marie éventuellement. Ces centres, placés sous la tutelle pédagogique de l’INTH dans un premier temps :
√- serviront à améliorer le professionnalisme du personnel en activité, par le biais de la formation ;
√- Mettront à la disposition des investisseurs éventuels et des établissements existant un vivier de jeunes qualifiés par la formation initiale. L’INTH assistera ces centres durant la phase de départ, en apportant son expérience (formation de formateurs, élaboration des programmes).Privilégier la formation initiale par rapport à la formation continue ou vice versa,dépendra de la situation dans les régions concernées. Pour 2001 et 2002, le Ministère espère, en collaboration étroite avec les chefs de Région, mettre en place ces centres.
Les stratégies de développement sectoriel
Étant donné l’enjeu du secteur touristique, un pays doit accepter et déployer les efforts nécessaires pour respecter la loi du marché : l’offre doit satisfaire la demande. A cet effet, certaines mesures doivent être préconisées1:
√- réhabiliter et valoriser les sites historiques, ainsi que les infrastructures connexes, en créant des centres de loisirs, des équipements touristiques modernes, conformes aux besoins des touristes ;
√- appuyer le développement des investissements nationaux et des investissements directs de l’étranger, dans le domaine de l’hôtellerie et du tourisme, parce que ces investissements sont faibles et il s’avère donc indispensable de faire appel aux investisseurs susceptibles de s’élancer dans des entreprises hôtelières d’envergure internationale ;
√- créer un office national chargé de la gestion des réserves foncières touristiques ;
√- mise en place d’un dispositif pérenne de renforcement des capacités dans le domaine de l’hôtellerie et du tourisme, à proximité des zones stratégiques d’intervention à grande vocation touristique ;
√- mettre en chantier les études de réactualisation du code du tourisme par le Ministère ;
√- mettre en place des dispositifs régionaux d’encadrement et d’assistance afin de favoriser et de promouvoir le tourisme local, tant au niveau interrégional qu’au niveau des consommateurs locaux ;
√- stimuler les initiatives privées vers la valorisation de l’artisanat touristique et les composantes culturelles d’alternance, puisque les touristes, en venant dans une localité, sont aussi venus, non seulement pour le milieu touristique, mais aussi à la quête de la couleur locale (coutumes, arts et traditions populaires).
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Table des matières
R E M E R C I E M E N T S
RESUME
LISTE DES ABREVIATIONS, SIGLES ET ACRONYMES
METHODOLOGIE DE RECHERCHES
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : LA PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE LA ZONE D’ÉTUDE ET SA PÉRIPHÉRIE
CHAPITRE I : PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU SITE D’ÉTUDE
SECTION I : SITUATION GÉOGRAPHIQUE DU PARC NATIONAL MANANARA NORD
1- Le passé du site
2- L’environnement touristique local/régional
3- Les propriétés physiques particulières du parc
3-1 Topographie
3-2 Climat du parc
3-3 La mer
3-4 La pluviométrie de la localité
SECTION II- LES RÉSEAUX HYDROGRAPHIQUES
1- Les eaux continentales
CHAPITRE II : LA DIVERSITÉ BIOLOGIQUE ET LES RÔLES STRATÉGIQUES DU PARC
SECTION I- DIVERSITÉ BIOLOGIQUE DANS LE PARC
1-Parc terrestre
1-1 Flores
1-2 Faunes
2- Parc marin
2-1 Flore
2-2 Faunes
SECTION II-LES RÔLES STRATÉGIQUES DU PARC
1-Développement rural
2-Protection de l’environnement
CHAPITRE III : LA POPULATION PÉRIPHÉRIQUE DU PARC NATIONAL MANANARA NORD ET SES ACTIVITÉS PRODUCTIVES
SECTION I : ASPECTS DÉMOGRAPHIQUES DU PEUPLEMENT
1- Origine du peuplement
2- Population et démographie
SECTION II : LES ASPECTS SOCIO-CULTURELS DE LA POPULATION LOCALE DE MANANARA NORD
1-Aspects sociaux
1-1 La santé
1-2 La scolarisation
1-3 Traditions et cultures
SECTION III : les activités productives de la population
1- L’agriculture
1-1 Technique culturale
1-2 Analyse du marché
2- Élevage
3- pêche
3-1 Identification des pêcheurs autorisés
3-2 Règlementation de la pêche
3-3 Enregistrement des captures
4-1 Vannerie
4-2 Couture
DEUXIÈME PARTIE : LE SECTEUR TOURISME ET SON OBSTACLES AINSI QUE LES PERSPECTIVES D’AMELIORATION DU DEVELOPPEMENT
CHAPITRE I : L’ECOTOURISME DANS LE PARC NATIONAL MANANARA NORD
SECTION I : LES ATOUTS DU PARC DANS LE DOMAINE DE L’ÉCOTOURISME
1- Une biodiversité exceptionnelle
2- Parc National Terrestre
3- Parc National Marin
4- Hors Parcs
Les circuits touristiques dans le Parc
Attractions
SECTION II : LA VISITE DU PARC ET LES GUIDES TOURISTIQUES
1- La visite du Parc
2- Les guides touristiques
2-1 Les qualités d’un guide
2-2 Technique de guidage
2-2-1 L’Accueil
2-2-2 L’Assistance
2-2-3 L’Animation
2-3 Code de conduite
2-4 La tarification des guides touristiques par jour en Ariary malagasy
SECTION III : LES CATÉGORIES D’HÉBERGEMENT TOURISTIQUE DE CE SECTEUR NORD
1- L’hôtellerie et la restauration
1-2 Tarifs des chambres d’hôtel du LODGE VILLAGEOIS
2- Le gîte du Parc et les chambres d’hôtes
CHAPITRE II : LES OBSTACLES DU TOURISME
SECTION I : LES CONTRAINTES LIÉES AU DÉVELOPPEMENT DU TOURISME
1- L’insuffisance des infrastructures d’accueil conformes aux normes internationales
2- Madagascar, une destination chère
3- Le problème d’insécurité au niveau du public
4- Manque de professionnalisme
SECTION II : LES HANDICAPS DE L’ACTIVITÉ TOURISTIQUE DANS LE PARC MANANARA NORD
1- Les obstacles d’ordre social
1-1 Le niveau d’instruction des villageois et des employés liés au tourisme
1-2 La précarité de la santé de la population
2- Les obstacles liés aux infrastructures de base, liées au tourisme
2-1 L’insuffisance des infrastructures de base
2-2 Le délabrement des infrastructures de base liées au tourisme
2-3 L’insuffisance des équipements touristiques
2-5 Le manque de professionnalisme aux métiers du tourisme
CHAPITRE III : LE DÉVELOPPEMENT DU TOURISME ET LE DÉVELOPPEMENT NATIONAL : DÉVELOPPEMENT SIMULTANÉ
SECTION I : L’HISTORIQUE DES PLANS DE DÉVELOPPEMENT DU TOURISME À MADAGASCAR
1- Les objectifs à atteindre pour les années à venir
2- L’élaboration d’une politique de développement touristique
3- Les buts assignés au ministère du Tourisme
SECTION II : LA POLITIQUE DU TOURISME À MADAGASCAR
1- Les principaux objectifs du Gouvernement
2- Les principes directeurs
3- Les stratégies
3-1 La formation professionnelle
3-2 La promotion des investisseurs
3-3 La promotion de la destination Madagascar
SECTION III : MANANARA NORD FACE AUX PLANS DE DÉVELOPPEMENT
1- L’analyse de la clé de réussite
2- L’évolution du volume de la demande touristique
SECTION I : EXEMPLES DE MESURES POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TOURISME DANS UN PAYS
1- Les stratégies de développement sectoriel
2- Les plans d’actions à suivre
3- Les mesures possibles pour le développement du tourisme local
SECTION II : LES PERSPECTIVES POUR PROMOUVOIR LE TOURISME À MANANARA NORD
1- La nécessité de mettre en place des infrastructures de base
2- La promotion du site, de cultures et de sports traditionnels
3- La réhabilitation, l’extension et l’aménagement du site touristique
4- La spécialisation des paysans dans la production des biens et des services touristiques
5- Une amélioration de la formation professionnelle
6- Sensibiliser les nationaux au tourisme interne
7- La valorisation du milieu humain et du milieu écologique
8- La promotion de la zone d’intérêt touristique
9- Faire augmenter les investissements et multiplier les infrastructures d’accueil
10- Veiller au développement de l’écotourisme et à la préservation de l’environnement
11- Sensibiliser et éduquer la population et les acteurs touristiques au développement du tourisme
12- La mise en place d’un centre de formation et d’apprentissage
13- Inciter les propriétaires des hôtels à payer des taxes
C O N C L U S I O N
B I B L I O G R A P H I E
ANNEXES
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