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MORAXELLA CATARRHALIS [13, 50]
M. catarrhalis est une espรจce classรฉe dans le genre Moraxella au sein de la famille des Neisseriaceae
Habitat-Pouvoir pathogรจne
M. catarrhalis est strictement humain. Il fait partie de la flore commensale du nez et du rhino-pharynx.
M. catarrhalis est responsable dโinfections aiguรซs localisรฉes telles que lโotite moyenne, la sinusite et des broncho-pneumopathies qui peuvent รชtre mortelles, de maladies systรฉmiques incluant endocardites et mรฉningites. Il est aussi responsable de plusieurs cas dโinfections respiratoires basses chez les patients รขgรฉs souffrant dโune obstruction pulmonaire chronique, dโune bronchite chronique ou dโune pneumonie franche.
Caractรจres Bactรฉriologiques
M. catarrhalis se prรฉsente sous la forme de diplocoques Gram nรฉgatif.
La culture se fait sur gรฉlose chocolat supplรฉmentรฉe en facteurs X et V ร 37ยฐC sous une atmosphรจre enrichie en 5% de CO2. Aprรจs 18 ร 24h dโincubation les colonies apparaissent non pigmentรฉes de couleur grise, rosรขtre ou marronne, non hรฉmolytiques sur gรฉlose au sang, avec une surface lisse, des bords nets et une consistance friable.
M. catarrhalis possรจde une oxydase et une catalase. La bactรฉrie est asacharrolytique (contrairement au genre Neisseria) et possรจde peu de caractรจres positifs mis ร part lโhydrolyse du tributyrate de glycรฉrol, la sรฉcrรฉtion dโune DNAse extracellulaire et la rรฉduction des nitrates en nitrites.
LES STREPTOCOQUES [54]
Streptococcus pneumoniae et Streptococcus pyogenes sont des espรจces dans le genre Streptococcus au sein de la famille des Streptococcaceae.
Streptococcus pneumoniae
Habitat-Pouvoir pathogรจne
Les pneumocoques sont des hรดtes normaux des voies respiratoires supรฉrieures de l’homme. Ils se transmettent d’homme ร homme par voie aรฉrienne. On ne les trouve pas dans la nature et trรจs rarement chez l’animal qui est, dans ce cas, contaminรฉ par l’homme.
La pneumonie franche lobaire aiguรซ est la plus classique des pneumococcies ; elle cรจde bien aux traitements antibiotiques mais reste redoutable chez le sujet รขge ou immunodรฉprimรฉ.
Parfois l’infection respiratoire ร pneumocoques est une bronchite catarrhale grave chez le nourrisson (bronchite capillaire), le vieillard ou l’immunodรฉprimรฉ.
Les sรฉreuses peuvent รชtre infectรฉes : pleurรฉsie avec risque d’empyรจme, pรฉricardite, synovite ou pรฉritonite.
Les pneumocoques sont รฉgalement responsables d’infections ORL (otites, mastoรฏdites, sinusites) mais aussi d’angines, pharyngites ou laryngites. Ces infections sont plus frรฉquentes chez l’enfant. La bactรฉrie peut atteindre les mรฉninges par contiguรฏtรฉ ou par voie hรฉmatogรจne provoquant une mรฉningite purulente d’รฉvolution souvent sรฉvรจre ou compliquรฉe par la survenue de cloisonnements de l’espace sous-arachnoรฏdien.
Le pouvoir pathogรจne des pneumocoques dรฉpend de la prรฉsence de la capsule qui les rend rรฉsistants ร la phagocytose. En se fixant ร la capsule, les anticorps protecteurs rendent la phagocytose plus facile (ce sont des opsonines).
Caractรจres bactรฉriologiques
Les pneumocoques sont des diplocoques ร Gram positif en forme de flamme de bougie ou de 8 et parfois associรฉs en courtes chaรฎnes. Les formes virulentes sont capsulรฉes.
La culture exige des milieux riches et sur gรฉlose au sang, ils forment de petites colonies entourรฉes dโune zone dโhรฉmolyse ฮฑ. Une atmosphรจre anaรฉrobie est prรฉfรฉrable mais non indispensable.
Les pneumocoques sont dรฉpourvus de catalase et dโoxydase comme tous les streptocoques. Les colonies ont tendance ร sโautolyser et cette tendance est accรฉlรฉrรฉe par la prรฉsence dโagents tensioactifs comme les sels biliaires. La culture est inhibรฉe par lโoptochine qui est un antiseptique.
Streptococcus pyogenes
Habitat-Pouvoir pathogรจne
Les streptocoques hรฉmolytiques du groupe A sont la principale cause d’infections ร streptocoques chez l’homme mais on peut en trouver dans la gorge des sujets bien portants.
Les streptococcies aiguรซs sont bรฉnignes ou sรฉvรจres mais sont susceptibles d’occasionner des affections non suppuratives redoutables ร pathogรฉnie auto-immune regroupรฉes sous l’appellation de syndromes post-streptococciques telles que le rhumatisme articulaire aigu (RAA), la glomรฉrulonรฉphrite aiguรซ post-streptococcique (GNA) entre autres.
Caractรจres bactรฉriologiques
S. pyogenes se prรฉsente sous la forme de cocci ร Gram positif,disposรฉes en chaรฎnettes, immobiles, non sporulรฉes, apparaissant parfois capsulรฉes.
Sur gรฉlose au sang ordinaire, les colonies sont moyennes et entourรฉes dโune zone dโhรฉmolyse franche et complรจte (cโest une ฮฒ hรฉmolyse). La tempรฉrature optimale de croissance se situe entre 35ยฐ et 37ยฐC.
Lโabsence de catalase et dโoxydase confirme le genre Streptococcus et lโรฉtude antigรฉnique caractรฉrise le groupe A. Les Streptocoques du groupe A se distinguent parmi les Streptocoques ร hรฉmolytiques par leur sensibilitรฉ ร la bacitracine.
LES AUTRES GERMES BACTERIENS [2]
Dโautres bactรฉries peuvent รชtre responsables dโIRA. On rencontre ainsi les Staphylocoques en lโoccurrence Staphylococcus aureus qui reprรฉsente 4% des OMA et 8% des sinusites aiguรซs ; les Streptocoques dรฉficients responsables de pharyngites et de 9% des sinusites aiguรซs ; les Entรฉrobactรฉries responsables de 5% des OMA. Chlamydia pneumoniae et Mycoplasma pneumoniae sont rarement ร lโorigine des IRA.
RESISTANCE BACTERIENNE
La rรฉsistance bactรฉrienne aux antibiotiques est apparue rapidement aprรจs leur introduction dans le traitement des maladies infectieuses. Cette rรฉsistance est un facteur majeur compliquant le traitement des infections bactรฉriennes et la dissรฉmination des souches multi rรฉsistantes.
La rรฉsistance bactรฉrienne aux antibiotiques se caractรฉrise par son caractรจre naturel ou acquis, son mรฉcanisme et son support gรฉnรฉtique [57].
DEFINITION [25]
La rรฉsistance bactรฉrienne aux antibiotiques a deux dรฉfinitions :
– une souche est dite ยซ rรฉsistante ยป lorsque la concentration dโantibiotique quโelle est capable de supporter est notamment plus รฉlevรฉe que la concentration atteignable in vivo ;
– une souche est dite ยซ rรฉsistanteยป lorsquโelle supporte une concentration dโantibiotique notamment plus รฉlevรฉe que celle qui inhibe le dรฉveloppement de la majoritรฉ des autres souches de la mรชme espรจce (rapport technique numรฉro 210 de lโorganisation mondiale de la santรฉ 1961).
LES DIFFERENTS TYPES DE RESISTANCE [12]
Dโune maniรจre gรฉnรฉrale, la rรฉsistance des bactรฉries aux antibiotiques est de dรฉterminisme gรฉnรฉtique. Elle est soit naturelle, soit acquise. Elle peut aussi รชtre clinique.
La rรฉsistance naturelle
La rรฉsistance naturelle dโune espรจce ou dโun genre est :
– Une caractรฉristique propre, concernant lโensemble des souches de lโespรจce ou du genre ;
– Portรฉe par un chromosome donc toujours transmissible ร la descendance : transmission verticale
– Un caractรจre permettant de dรฉfinir le phรฉnotype sauvage de lโespรจce ;
– Une aide ร lโidentification dโune espรจce.
La rรฉsistance acquise
La rรฉsistance acquise, pour sa part :
– ne concerne quโune proportion plus ou moins importante des souches dโune espรจce ;
– rรฉsulte dโune modification gรฉnรฉtique par mutation ou par acquisition de plasmides ou transposons, (rรฉsistance extra chromosomique) transmissible horizontalement, parfois entre espรจces diffรฉrentes ;
– dรฉfinit des phรฉnotypes ยซrรฉsistantsยป.
Les rรฉsistances croisรฉes sโexpriment au sein dโune mรชme classe dโantibiotiques et sont dues au mรชme mรฉcanisme de rรฉsistance.
La rรฉsistance clinique
Elle se traduit par lโรฉchec thรฉrapeutique. Plusieurs facteurs entrent en cause dans ce type de rรฉsistance :
– des facteurs environnementaux (cations, protรฉines inhibitrices etc.)
– la pharmacocinรฉtique
– le choix judicieux de lโantibiotique
– les mรฉcanismes dรฉveloppรฉs par les bactรฉries.
SUPPORT GENETIQUE [33]
Au plan gรฉnรฉtique, la rรฉsistance acquise peut survenir par mutation ponctuelle, par remaniement du gรฉnome ou par acquisition de matรฉriel gรฉnรฉtique รฉtranger.
Rรฉsistance chromosomique
ย Rรฉsistance chromosomique par mutation
Il peut sโagir dโune mutation ponctuelle dans un gรจne de rรฉsistance entraรฎnant par exemple une hypersรฉcrรฉtion dโenzymes inactivant les antibiotiques ou dans un gรจne de structure qui modifie le spectre dโune enzyme.
Une mutation se caractรฉrise par :
– la raretรฉ,
– la spontanรฉitรฉ,
– la discontinuitรฉ,
– la spรฉcificitรฉ et lโindรฉpendance,
– la stabilitรฉ
ย Rรฉsistance chromosomique par remaniement
Il peut sโagir dโun remaniement du gรฉnome. A titre dโexemple, il peut sโagir de lโinsertion de sรฉquences apportant un promoteur permettant dโexprimer des gรจnes silencieux ou alors de lโacquisition de fragments de chromosomes รฉtrangers par transformation.
Rรฉsistance extra chromosomique
Lโinformation gรฉnรฉtique est portรฉe par des plasmides transfรฉrables ร dโautres bactรฉries par conjugaison, par transduction ou par transformation.
Lโensemble de ces gรจnes peut รชtre sur des fragments dโADN appelรฉs <<transposons>> qui peuvent sโintรฉgrer soit dans des plasmides, soit dans le chromosome en allant de lโun ร lโautre.
PHENOTYPES DE RESISTANCE
Cโest un groupe, un ensemble dโantibiotiques permettant au mieux, avec le plus de prรฉcision possible de prรฉjuger des mรฉcanismes de rรฉsistance dont dispose une bactรฉrie donnรฉe et notamment mais pas exclusivement de son รฉquipement enzymatique [39].
Au sein de chaque espรจce, on distingue le phรฉnotype sauvage, dรฉterminรฉ par les mรฉcanismes naturels de rรฉsistance, et les phรฉnotypes rรฉsistants dรฉterminรฉs par des mรฉcanismes acquis de rรฉsistance [27].
LES MECANISMES DE RESISTANCE [37]
Trois mรฉcanismes permettent dโexpliquer la rรฉsistance aux antibiotiques :
โข Modification de la cible des antibiotiques ; il peut sโagir :
– de la substitution de la cible au profit dโune autre cible
– de la diminution de lโaffinitรฉ de la cible pour lโantibiotique
โข Synthรจse dโenzymes inactivant les antibiotiques;
โข Diminution de la quantitรฉ dโantibiotique ร lโintรฉrieur de la bactรฉrie. Elle peut รชtre due ร :
– Une diminution de la permรฉabilitรฉ bactรฉrienne vis ร vis de lโantibiotique ;
– Un efflux actif de lโantibiotique de lโintรฉrieur vers lโextรฉrieur de la bactรฉrie.
Plusieurs de ces mรฉcanismes peuvent coexister chez une mรชme bactรฉrie et agir ยซen synergieยป, confรฉrant une rรฉsistance plus รฉlevรฉe non seulement aux antibiotiques dโune mรชme famille, mais รฉgalement ร des antibiotiques de familles diffรฉrentes, surtout en cas de modification de la permรฉabilitรฉ.
PROFIL DE RESISTANCE DES BACTERIES
HAEMOPHILUS INFLUENZAE
H. influenzae est une espรจce naturellement sensible ร de nombreux antibiotiques : ร-lactamines, phรฉnicolรฉs, tรฉtracyclines, sulfamides, fluoroquinolones. La rรฉsistance naturelle concerne les macrolides comportant un cycle de 16 atomes, les lincosamines, lโoxacilline et les glycopeptides [16].
Rรฉsistance aux ร-lactamines [22, 23]
Le mรฉcanisme le plus frรฉquent est la production de ร-lactamase de type TEM.
Lโactivitรฉ des aminopรฉnicillines est restaurรฉe en prรฉsence dโun inhibiteur de ร-lactamase.
Un mรฉcanisme non enzymatique est aussi observรฉ reposant sur une modification de la cible des ร-lactamines, les PLP ou protรฉines de liaison ร la pรฉnicilline, ayant subi des mutations ponctuelles entraรฎnant des substitutions dโacides aminรฉs et une diminution dโaffinitรฉ pour les ร-lactamines. Par contre quelque soit le mรฉcanisme, toutes les souches sont sensibles aux cรฉphalosporines de troisiรจme gรฉnรฉration.
Des rรฉsistances aux tรฉtracyclines, chloramphรฉnicol et kanamycine sont souvent associรฉes.
Rรฉsistance ร la tรฉtracycline
Il sโagit dโune rรฉsistance plasmidique liรฉe ร lโinsuffisance de concentration intracellulaire dโantibiotique, due ร un efflux excessif de lโantibiotique hors de la membrane cytoplasmique du germe [31].
MORAXELLA CATARRHALIS [50]
La majoritรฉ des souches est sensible aux cรฉphalosporines, aux tรฉtracyclines et au trimรฉthoprime-sulfamรฉthoxazole, mais rรฉsistant au trimรฉthoprime.
On estime que 90% des souches sont productrices de ร-lactamase plasmidique TEM1, sensibilitรฉ restaurรฉe par lโacide clavulanique.
Il est indispensable de rechercher la production de ร-lactamase pour toutes les souches isolรฉes en situation pathologique. Si la ร-lactamase est positive, les cรฉphalosporines de 1รจre gรฉnรฉration sont inefficaces.
STREPTOCOCCUS PNEUMONIAE
Les pneumocoques รฉtaient encore rรฉcemment rรฉputรฉs sensibles ร tous les antibiotiques sauf les aminosides et on recommandait la pรฉnicilline, lโampicilline et le cotrimoxazole pour traiter les pneumococcies. Toutefois des pneumocoques rรฉsistants ร la pรฉnicilline ont รฉtรฉ isolรฉs [17].
Rรฉsistance aux ร-lactamines
La premiรจre description de pneumocoque ร sensibilitรฉ diminuรฉe ร la PรฉnicillineG a รฉtรฉ faite par HANSMAN en 1967 ร Sydney en Australie [21]. En 1977, des souches possรฉdant un haut niveau de rรฉsistance ร la Pรฉnicilline G et des souches multirรฉsistantes sont dรฉcrites en Afrique du Sud [14].
La rรฉsistance aux Cรฉphalosporines de troisiรจme gรฉnรฉration est beaucoup plus rรฉcente [9].
En effet elle est signalรฉe dans de nombreux pays avec une frรฉquence croissante.
Ces rรฉsistances, dโorigine chromosomique, ne sont pas dues ร une production de bรชta-lactamases ; elles rรฉsultent de modifications dans les protรฉines cibles de la bactรฉrie : les protรฉines liant la Pรฉnicilline (PLP).
Le pneumocoque possรจde six PLP dont cinq de haut poids molรฉculaire (PLP1a, PLP1b, PLP2x, PLP2a, PLP2b) et une de bas poids molรฉculaire (PLP3). Chaque bรชta-lactamine semble agir par lโintermรฉdiaire de plusieurs PLP prรฉfรฉrentielles, qui sont diffรฉrentes selon les molรฉcules.
La rรฉsistance de bas niveau ร la Pรฉnicilline semble รชtre due ร la diminution de lโaffinitรฉ de la PLP2x et 2b. Le haut niveau de rรฉsistance requiert une diminution de lโaffinitรฉ de PLP supplรฉmentaires : les PLP2b, 1a et 2x. La rรฉsistance aux Cรฉphalosporines de troisiรจme gรฉnรฉration est liรฉe ร des modifications de deux PLP : les PLP2x et 1a [41].
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES
I- INFECTIONS BACTERIENNES
II- GERMES BACTERIENS EN CAUSE
II-1- HAEMOPHILUS INFLUENZAE
II-1-1- Habitat-Pouvoir pathogรจne
II-1-2-Caractรจres bactรฉriologiques
. II-2- MORAXELLA CATARRHALIS
II-2-1 Habitat-Pouvoir pathogรจne
II-2-2- Caractรจres Bactรฉriologiques
II-3- LES STREPTOCOQUES
II-3-1- Streptococcus pneumoniae
II-3-1-1- Habitat-Pouvoir pathogรจne
II-3-1-2- Caractรจres bactรฉriologiques
II-3-2- Streptococcus pyogenes
II-3-2-1- Habitat-Pouvoir pathogรจne
II-3-2-2- Caractรจres bactรฉriologiques
II-4- LES AUTRES GERMES BACTERIENS
III- RESISTANCE BACTERIENNE
III-1- DEFINITION
III-2 LES DIFFERENTS TYPES DE RESISTANCE
III-2-1- La rรฉsistance naturelle
III-2-2- La rรฉsistance acquise
III-2-3- La rรฉsistance clinique
III-3- SUPPORT GENETIQUE
III-3-1- Rรฉsistance chromosomique
III-3-2- Rรฉsistance extra chromosomique
III-4- PHENOTYPES DE RESISTANCE
III-5- LES MECANISMES DE RESISTANCE
IV- PROFIL DE RESISTANCE DES BACTERIES
IV-I- HAEMOPHILUS INFLUENZAE
IV-1-1- Rรฉsistance aux ร-lactamines
IV-1-2- Rรฉsistance au chloramphรฉnicol
IV-1-3- Rรฉsistance ร la tรฉtracycline
IV-2- MORAXELLA CATARRHALIS
IV-3 STREPTOCOCCUS PNEUMONIAE
IV-3-1- Rรฉsistance aux ร-lactamines
IV-3-2- Rรฉsistance aux MLSB
IV-3-3- Rรฉsistance aux Kรฉtolides
IV-3-4- Rรฉsistance aux autres antibiotiques
IV-4 STREPTOCOCCUS PYOGENES
IV-4-1- Rรฉsistance aux MLSB
IV-4-2- Rรฉsistance aux autres antibiotiques
DEUXIEME PARTIE : MATERIELS ET METHODES IMATERIEL
I-1- CADRE DโETUDE
I-2- ORIGINE DES SOUCHES
I-3- SOUCHES DE REFERENCE
I-4- MATERIEL DโETUDE
II- METHODES
II-1- ISOLEMENT ET IDENTIFICATION DES SOUCHES
II-1-1 Contrรดle de qualitรฉ
II-1-1-1- Stรฉrilitรฉ
II-1-1-2- Efficacitรฉ
II-1-2- Haemophilus influenzรฆ
II-1-3- Moraxella catarrhalis
II-1-4- Streptococcus pneumoniae
II-1-5- Streptococcus pyogenes
II-2- DETERMINATION DE LA SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES
II-2-1- Contrรดle de qualitรฉ
II-2-2- Dรฉtermination des diamรจtres dโinhibition : Antibiogramme standard par la mรฉthode des disques
II-2-2-1- Principe
II-2-2-2- Mรฉthode de rรฉalisation
II-2-3- Dรฉtermination de la CMI par E-testยฎ
II-2-3-1- Principe
II-2-3-2- Mรฉthodes de rรฉalisation
II-2-3-3- Stockage des bandes E-testยฎ
II-2-3-4- Critรจres dโinterprรฉtation
II-3- RECHERCHE DE LA PRODUCTION DโUNE ร โ LACTAMASE : METHODE A LA CEFINASE ( POUR LES SOUCHES DE HAEMOPHILUS INFLUENZAE ET MORAXELLA CATARRHALIS)
II-3-1-Principe
II-3-2- Mode Opรฉratoire
II-3-3- Lecture
II-4- CONSERVATION DES SOUCHES BACTERIENNES
II-5- EXPLOITATION DES RESULTATS
TROISIEME PARTIE : RESULTATS
I- PRELEVEMENTS
II- SOUCHES BACTERIENNES
III- RESULTATS DE LA SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES
III-1- RESULTATS DU CONTROLE DES METHODES DโETUDE DE LA SENSIBILITE
III-2- SENSIBILITE DE HAEMOPHILUS INFLUENZAE
III-2-1- Antibiogramme standard
III-2-2- Dรฉtermination de la CMI
III-3- SENSIBILITE DE MORAXELLA CATARRHALIS
III-3-1- Antibiogramme standard
III-3-2- Dรฉtermination de la CMI
III-4- SENSIBILITE DE STREPTOCOCCUS PNEUMONIAE
III-4-1- Antibiogramme standard
III-4-2- Dรฉtermination de la CMI
III-4-3- Multirรฉsistance
III-5-RESULTATS DE LA SENSIBILITE DE STREPTOCOCCUS PYOGENES
III-5-1- Rรฉsultats de lโantibiogramme standard
III-5-2- Rรฉsultats de la dรฉtermination de la CMI
QUATRIEME PARTIE : DISCUSSION
I- APPROCHE METHODOLOGIQUE
I-1- PRELEVEMENTS
I-2-EXAMEN MICROSCOPIQUE APRES COLORATION
I-3-ISOLEMENT
I-4- IDENTIFICATION
I-4-1- Haemophilus influenzae
I-4-2- Moraxella catarrhalis
I-4-3- Streptococcus pneumoniae
I-4-4- Streptococcus pyogenes
I-5-CONSERVATION
I-6- TESTS DE SENSIBILITE
I-6-1- Antibiotiques
I-6-2- Milieux
I-6-3- Techniques
I-6-3-1- Antibiogramme standard
I-6-3-2- Dรฉtermination de la CMI
II- SOUCHES BACTERIENNES
II- I- Souches identifiรฉes
II-2- Profil de sensibilitรฉ des souches
II-2-1- Haemophilus influenzae
II-2-1-1- Sรฉcrรฉtion de ฮฒ-lactamase
II-2-1-2- Sensibiltรฉ aux ฮฒ-lactamines
II-2-1-3- Sensibilitรฉ aux Macrolides
II-2-1-4- Sensibilitรฉ aux autres antibiotiques
II-2-2- Moraxella catarrhalis
II-2-2-1- Sรฉcrรฉtion de ฮฒ-lactamase
II-2-2-2- Sensibilitรฉ aux ฮฒ-lactamines
II-2-2-3- Sensibilitรฉ aux Macrolides-Streptogramines B
II-2-2-4- Sensibilitรฉ aux autres antibiotiques
II-2-3- Streptococcus pneumoniae
II-2-3-1- Sensibilitรฉ aux ฮฒ-lactamines
II-2-3-2- Sensibilitรฉ aux M.L.SB.K
II-2-3-3- Sensibilitรฉ aux autres antibiotiques
II-2-3-4- Multirรฉsistance
II-2-4- Streptococcus pyogenes
II-2-4-1- Sensibilitรฉ ร la Pรฉnicilline G
II-2-4-2- Sensibilitรฉ aux M.L.SB.K
II-2-4-3- Sensibilitรฉ aux autres antibiotiques
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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