DESCRIPTION ET TYPOLOGIE DES ELEVAGES D’AULACODES DU DEPARTEMENT DU MFOUNDI

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Biologie

Eco-éthologie

Dans la nature, l’aulacode est réputé nocturne mais cette assertion n’est pas tout à fait vraie. En effet, l’aulacode a plutôt une activité intense la nuit et à l’aube. Il n’est ni fossoyeur, ni cavernicole et ne creuse pas de terrier.
C’est un animal craintif qui a une forte tendance à fuir ; en cas de danger il se réfugie dans des abris de fortune.
C’est un excellent nageur. Il a une bonne vue, un odorat et une ouïe sensibles et reconnaît facilement son environnement. Il vit généralement en petits groupes d’un aulacodin, d’une ou de plusieurs femelles et des aulacodeaux. Seuls les mâles vivent en solitaire.
C’est un phytophage par excellence et il complète son alimentation en sels minéraux en consommant de la terre, surtout celle imbibée d’urine de mammifères. Quelque soit le fourrage, l’aulacode consomme les tiges, l’écorce des troncs et finalement quelques feuilles. Cette habitude est pour lui une aide utile pour l’auto usure de ses incisives mais fait de lui un gros gaspilleur d’aliments. Il pratique la coprophagie.
Il existerait une tendance au cannibalisme chez l’aulacode qui se manifeste toujours dans des cas bien précis. Il n’a pas le réflexe de mordre quand il est attrapé, il cherche plutôt à s’évader en se débattant. Cependant, il peut lui arriver de mordre (MENSAH et EKUE, 2003).

Comportement sexuel

Chez l’aulacode, le comportement sexuel ne devient très net qu’à la puberté. Il se traduit alors par une intolérance réciproque chez les mâles et un cycle sexuel à deux périodes chez les femelles.

Période de repos ou anoestrus

Elle peut durer de quelques jours à plusieurs mois. La vulve de la femelle pendant cette période est fermée par une membrane fortement innervée mais peu vascularisée. Le vagin contient un mucus jaune translucide, compact et peu élastique : la gelée vaginale. Par la suite ce mucus va se fluidifier, s’enrichir en cellules et la membrane vaginale va être remplacée par une croûte. Ceci annonce la phase d’activité sexuelle (MENSAH et EKUE, 2003).

Période d’activité sexuelle

Variant de quelques jours à quelques mois, la période d’activité sexuelle est très bruyante et se divise en deux phases (ADJANOHOUN, 1988).
¾ Une phase bruyante durant plusieurs jours : c’est le pro-oestrus pendant lequel le mâle fait une cour assidue à la femelle qui devient alors nerveuse et le fuit. Le pro-oestrus peut être suivi par l’oestrus où la femelle accepte le mâle en adoptant une position de copulation.
La figure 5 illustre les différentes phases de la cour de l’aulacodin et la saillie.
(1) L’aulacodin s’approche lentement de l’aulacodine et renifle sa vulve, puis elle s’immobilise.
(2) L’aulacodin effectue un mouvement de rotation sur place en dandinant de droite à gauche.
(3) L’aulacodin recule jusqu’aux flancs de l’aulacodine.
(4) L’aulacodin essaie de monter l’aulacodine.
(5) L’aulacodine non consentante adopte une position de refus.
(6) L’aulacodine consentante prend une position d’acceptation.
(7) La saillie marque la fin de la cour.
La phase bruyante ne conduit pas toujours à l’oestrus mais peut faire place à une phase d’accalmie.
¾ Une phase d’accalmie de 24 à 78 h à la suite de laquelle soit la femelle retourne en pro-oestrus, soit elle retourne vers l’anoestrus. Cependant, si la saillie a été fécondante elle évolue vers la gestation.
De façon générale, les activités sexuelles sont plus intenses et commencent plus tôt en groupe polygame qu’en groupe monogame. La saillie est brève et ne dure que 20 secondes et a lieu généralement entre 6 heures du soir et 3 heures du matin. Le mâle peut saillir plusieurs fois par jour.

TECHNIQUE D’ELEVAGE DE L’AULACODE

Infrastructures et équipements d’élevage

L’aulacode apprivoisé est élevé en captivité suivant un système au sol ou un système hors-sol. Les reproducteurs sont regroupés en famille de quatre femelles et un mâle, les jeunes en bandes unisexuées ou bisexuées quand les mâles sont castrés. Les autres adultes vivent en cage individuelle.
Le bâtiment d’élevage ou aulacoderie peut être construit en matériaux locaux (terre de barre, bois, paille, bambou, liane…) ou en matériaux modernes (ciment, tôle, grillage…). Toutes les formes géométriques sont acceptées : circulaire, parallélépipédique, polygonale…Mais les formes les plus fréquemment rencontrées sont des formes carrées ou triangulaires.
Pour la forme parallélépipédique, la petite face doit être opposée aux vents dominants. Dans tous les cas une bonne ventilation doit être assurée. Le toit peut être en une ou double pente avec ou non un lanterneau.
Des cages servent à un élevage individuel, tandis que des enclos sont utilisés pour les groupes de reproducteurs ou les aulacodes en bande. Un groupe de reproducteurs polygame (un mâle et quatre femelles) a besoin de 1,6 m2 de surface et 0,64 à 0,80 m3 de volume. Dans le modèle vulgarisé actuellement aussi bien au Bénin qu’au Cameroun, les cages individuelles et les enclos à double compartiment sont construits en même temps que le bâtiment, en ciment.
Les équipements et matériel d’élevage sont constitués d’abreuvoirs et de mangeoires, de cages de contention, de cages de pesée et de cages de transport (MENSAH et EKUE, 2003).

Alimentation

Trois éléments sont à considérer : l’eau, les fourrages et les ingrédients alimentaires concentrés et compléments minéraux et vitaminés.

Eau

L’eau étant importante pour la vie et le développement des animaux, il convient de mettre chaque jour et en permanence de l’eau propre à la disposition des aulacodes.

Fourrages verts

Selon les travaux de MENSAH et EKUE (2003), il faut donner à l’aulacode chaque jour trois sortes de fourrages verts de bonne qualité, ni trop jeunes et ni trop vieux. Ces fourrages doivent être cueillis la veille dans des endroits propres, séchés pendant au moins 6 h au soleil, puis étalés et mis en stock dans l’aulacoderie à des endroits prévus à cet effet.
Plusieurs espèces peuvent être utilisées : des tiges de graminées sauvages (Panicum maximum, Andropogon gayanus, Paspalum vaginatum, Pennisetum purpureum, Cynodon dactylon,…) ou vivrières (maïs, mil, sorgho,…) ; les feuilles sèches de légumineuses (Leucaena leucocephala, Moringa oleifera,…) ; les feuilles et la moelle de palmier à huile, de cocotier, de bananier, de papayer,…

Ingrédients alimentaires concentrés et compléments minéraux et vitaminés

Les concentrés et compléments minéraux et vitaminés habituellement servis sont composés de :
¾ son et grains de maïs, sorgho, blé ou petit mil bien secs ;
¾ cossettes et épluchures de manioc, d’igname ou de patate douce ;
¾ feuilles bien séchées de Moringa, de Gliricidia et/ou de Leucaena ;
¾ poudre de cendre de coquille d’huître, d’escargot ou d’œufs d’oiseaux et/ou poudre de cendre d’os d’animaux ;
¾ sel de cuisine ;
¾ tourteaux de palmiste, d’arachide, de coton ou de soja.
Il est déconseillé de distribuer aux aulacodes les aliments concentrés avant les fourrages, car cela entraîne des troubles digestifs pouvant conduire à la mort des animaux. (MENSAH et EKUE, 2003).
Les transitions alimentaires dans le cas de l’ajout d’un nouvel aliment à un ancien doivent se faire de manière progressive.

Gestion de la reproduction

Mode d’élevage

De la naissance à l’âge de 4 mois, les aulacodeaux peuvent être élevés ensemble indépendamment du sexe. Cependant un élevage avec séparation des sexes est conseillé.
A partir de 4 mois, MENSAH et EKUE (2003) conseillent:
¾ l’élevage des aulacodinettes en groupe ;
¾ l’élevage d’un aulacodinet avec une ou plusieurs aulacodinettes ;
¾ l’élevage de chaque aulacodinet entier en cage individuelle ;
¾ l’élevage en groupe des aulacodinets castrés ou aulacodrons.

Test de gestation

La gestation chez l’aulacode femelle dure 152 jours en moyenne (5 mois). Les modifications morphologiques et physiologiques liées à cet état ont servi à mettre au point plusieurs tests de gestation chez l’aulacodine (SCHRAGE et YEWADAN, 1995):
¾ l’appréciation visuelle du volume de l’abdomen ;
¾ la palpation abdominale ;
¾ l’inspection du mucus vaginal ;
¾ le dosage des hormones.
L’inspection du mucus vaginal (ADJANOHOUN, 1992) permet de faire un diagnostic de certitude à deux reprises :
¾ un diagnostic très précoce dès 30-35 jours jusqu’à 60 jours en se basant sur la couleur du mucus vaginal ;
¾ un diagnostic plus tardif dès 60 jours et jusqu’à la naissance en se basant sur la couleur du mucus vaginal et la présence d’une membrane vaginale, tous deux spécifiques de la gestation.
Ce test de gestation est le plus pratiqué actuellement au niveau des élevages. Il se fait 4 à 6 semaines après la mise au mâle. Le matériel utilisé est constitué de coton-tige, d’alcool, de polyvidone iodée (BétadineND) ou autre désinfectant et d’une cage de contention.
Le mode opératoire est le suivant : un premier opérateur garde l’aulacodine contenue dans la cage, tandis qu’un second procède comme suit :
¾ ouvrir délicatement la vulve en déchirant doucement la peau fine fermant la vulve ;
¾ introduire le coton-tige lentement, sans forcer jusqu’au 2/3 de sa longueur et en le faisant tourner toujours dans le même sens entre les doigts ;
¾ faire ressortir le coton-tige, badigeonner la zone uro-génitale avec de la polyvidone iodée (BétadineND) pour prévenir une éventuelle infection de l’aulacodine ; ensuite observer la couleur et tirer les conclusions ci-après :
¾ couleur du mucus vaginal blanche et transparente : test négatif, remettre au mâle l’aulacodine ;
¾ tout autre aspect et couleur : test positif, l’aulacodine est gestante :
9 jaune, 2 à 3 semaines de gestation ;
9 rouge, 30 jours de gestation ;
9 rouge virant au noir, 40 jours de gestation ;
9 noir virant au bleu clair, plus de 45 jours ;
9 au-delà de 60 jours de gestation, on observe la présence d’un « bouchon vaginal » mais le mucus est blanc et transparent comme si le test était négatif.
Quand il est bien pratiqué, ce test permet d’améliorer les performances de production des élevages par réduction de l’intervalle entre deux mises bas des aulacodines.

Mise bas – Allaitement – Sevrage des aulacodeaux

L’aulacodine met bas en moyenne 4 petits (1 à 12). Les aulacodeaux naissent entièrement couverts de poils (figure 7). On a autant de mâles que de femelles. Le poids à la naissance est de 129 g en moyenne tous sexes confondus. Les nouveaux-nés tètent aussi bien leur mère que les autres aulacodines-mères dans le groupe de reproducteurs; ceci rend facile l’adoption des aulacodeaux orphelins. Le sevrage des aulacodeaux intervient vers l’âge de 4 semaines.
Il convient toutefois de noter que, pour ce qui est de la taille de la portée, la plupart des auteurs (HEYMANS, 1996 ; MENSAH et EKUE, 2003 ; HOUBEN, EDDERAI et NZEGO, 2004) signalent des portées de 1 à 12 petits avec une moyenne de 4 à 5 aulacodeaux par portée. Mais des portées exceptionnelles ont été observées dans divers pays. Ainsi, on signale des portées de :
¾ 13 aulacodeaux dans la station d’aulacodiculture du projet Développement au Gabon de l’Elevage de Gibier (DGEG) (MENSAH et EKUE, 2003) ;
¾ 14 aulacodeaux dans la station d’aulacodiculture du programme Elevage des espèces Animales Non Conventionnelles de l’Institut National des recherches Agricoles du Bénin (MENSAH et EKUE, 2003) ;
¾ 17 aulacodeaux chez un éleveur camerounais (Source : Observation personnelle).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE SUR L’ELEVAGE AU CAMEROUN ET L’AULACODICULTURE
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’ELEVAGE AU CAMEROUN
1. PRESENTATION GENERALE DU CAMEROUN
1.1. GEOGRAPHIE PHYSIQUE
1.1.1. Situation géographique et superficie
1.1.2. Relief et hydrographie
1.1.3. Le climat
1.1.4. La végétation
1.2.GEOGRAPHIE HUMAINE
1.2.1. Démographie
1.2.2. Répartition de la population par province
1.3.ORGANISATION ADMINISTRATIVE
2. L’ELEVAGE AU CAMEROUN
2.1 IMPORTANCE DE L’ELEVAGE AU CAMEROUN
2.1.1. Importance sociale
2.1.2. Importance économique
2.2. ELEVAGE CONVENTIONNEL
2.2.1. Elevage bovin
2.2.2. Elevage des petits ruminants
2.2.3. Elevage porcin
2.2.4. Elevage de la volaille
2.2.5. Elevage des équidés
2.3. ELEVAGE NON CONVENTIONNEL
CHAPITRE II : GENERALITES SUR L’AULACODICULTURE
1. ETAT DES CONNAISSANCES EN AULACODICULTURE
1.1. L’AULACODE
1.1.1. Taxonomie
1.1.2. Répartition géographique
1.1.3. Description
1.1.4. Biologie
1.1.4.1. Eco-éthologie
1.1.4.2. Comportement sexuel
1.1.4.2.1. Période de repos ou anoestrus
1.1.4.2.2. Période d’activité sexuelle
1.1.4.3. Valeurs biologiques
1.2.1. Infrastructures et équipements d’élevage
1.2.2. Alimentation
1.2.2.1. Eau
1.2.2.2. Fourrages verts
1.2.2.3. Ingrédients alimentaires concentrés et compléments minéraux et vitaminés
1.2.3. Gestion de la reproduction
1.2.3.1. Mode d’élevage
1.2.3.2. Test de gestation
1.2.3.3. Mise bas – Allaitement – Sevrage des aulacodeaux
1.2.4. Conduite de l’élevage
1.2.4.1. Sexage
1.2.4.2. Calendrier des opérations journalières et périodiques en aulacodiculture
1.2.4.2.1 Activités journalières
1.2.4.2.2. Activités périodiques
1.2.4.3. Evènements importants à noter en aulacodiculture
2. L’AULACODICULTURE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE
2.1. HISTORIQUE ET ETAT DES LIEUX.
2.1.1. En Afrique de l’ouest
2.1.1.1. Cas du Bénin
2.1.1.1.1. Historique
2.1.1.1.2. Etat des lieux
2.1.1.2. Cas du Sénégal
2.1.2. En Afrique centrale
2.1.2.1. Cas du Gabon
2.1.2.1.1. Historique
2.1.2.1.2. Etat des lieux
2.1.2.2. Cas du Cameroun
2.1.2.2.1. Historique
2.1.2.2.2. Etat des lieux
2.2. PERFORMANCES DE PRODUCTION ET DOMINANTES PATHOLOGIQUES
2.2.1. Performances zootechniques
2.2.2. Pathologie de l’aulacode
2.2.2.1. Signes à rechercher lors d’un examen clinique
2.2.2.2. Principales maladies et leurs traitements
DEUXIEME PARTIE : DESCRIPTION ET TYPOLOGIE DES ELEVAGES D’AULACODES DU DEPARTEMENT DU MFOUNDI
CHAPITRE I : MILIEU D’ETUDE, MATERIEL ET METHODES
1. PRESENTATION GENERALE DE LA ZONE D’ETUDE
2. MATERIEL
2.1. QUESTIONNAIRE D’ENQUETE AUPRES DES ELEVEURS
3. METHODES DE TRAVAIL
3.1. OBJECTIFS DE L’ETUDE
3.2. L’ENQUETE
3.2.1. Pré enquête.
3.2.2. Enquête proprement dite
3.3. TRAITEMENT DES DONNEES
3.3.1. Analyse statistique descriptive
3.3.2. Analyse typologique
3.3.2.1. Méthode d’analyse
3.3.2.1.1. Analyse des Correspondances Multiples (ACM)
3.3.2.1.2. Classification Ascendante Hiérarchique
3.3.2.2. Logiciel utilisé
CHAPITRE II : RESULTATS, DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS.
A. RESULTATS ET DISCUSSION
1. LIMITES DE L’ETUDE
2.1. CARACTERISTIQUES GENERALES DES ELEVAGES DU DEPARTEMENT DU MFOUNDI
2.1.1. Statut socioprofessionnel des éleveurs
2.1.1.1. Sexe et âge des éleveurs enquêtés
2.1.1.2. Activité principale et statut du chef de l’exploitation
2.1.1.3. Scolarisation des éleveurs, formation technique et tenue de fiches techniques de l’élevage.
2.1.1.4. Nombre d’années d’expérience des aulacodiculteurs et ancienneté des exploitations
2.1.2. Caractéristiques générales des exploitations
2.2. ELEVAGE ET CONDUITE DE L’ELEVAGE
2.2.1. Espèces animales présentes sur l’exploitation et effectifs des élevages d’aulacodes
2.2.1.1. Espèces animales présentes sur l’exploitation
2.2.1.2. Effectifs des cheptels dans les élevages d’aulacodes
2.2.2. Relation entre unicité de l’aulacodiculture et activité principale de l’aulacodiculteur
2.2.3. Conduite de l’élevage
2.2.3.1. Logement des animaux
2.2.3.2. Alimentation des aulacodes
2.2.3.2.1. Aliments distribués aux aulacodes
2.2.3.2.2. Provenance des fourrages distribués aux animaux
2.2.3.2.3. Période de distribution des aliments
2.2.3.2.4. Abreuvement des animaux
2.2.3.2.5. Apport minéral
2.2.3.3. Aspect zootechnique
2.2.3.3.1. Mode d’accouplement
2.2.3.3.2. Age au sevrage
2.2.3.3.3. Prolificité moyenne
2.2.3.4. Aspect sanitaire
2.2.3.4.1. Mortalité et causes présumées
2.2.3.4.1.1. Taux de mortalité globale moyen
2.2.3.4.1.2. Causes présumées de mortalité
2.2.3.4.2. Intervention médicale au sein des élevages enquêtés
2.2.3.4.3. Relation entre mortalité globale et intervention médicale au sein des élevages enquêtés
2.2.3.4.4. Entités pathologiques rencontrées dans les exploitations enquêtées
2.2.3.4.5. Hygiène des exploitations
2.2.3.4.5.1. Nettoyage
2.2.3.4.5.2. Désinfection
2.2.3.4.5.3. Désinfectants utilisés dans les élevages enquêtés
2.2.4. Facteurs limitants
2.2.5. Aspect économique
2.2.5.1. Nature de la clientèle
2.2.5.2. Rentabilité des exploitations enquêtées
2.2.5.3. Spéculation la plus satisfaisante dans les élevages mixtes
2.2.5.4. Prix de vente des animaux
3. ANALYSE TYPOLOGIQUE
3.1. IDENTIFICATION DES VARIABLES RETENUES POUR L’ANALYSE
3.2. ANALYSE DE L’HISTOGRAMME DES VALEURS PROPRES
3.3. PRESENTATION ET DESCRIPTION DES AXES FACTORIELS
3.3.1. Premier axe factoriel
3.3.2. Deuxième axe factoriel
3.3.3. Troisième axe factoriel
3.4. CLASSIFICATION ASCENDANTE HIERARCHIQUE
3.5. DESCRIPTION DES DIFFERENTS TYPES D’ELEVAGE D’AULACODES DU DEPARTEMENT DU MFOUNDI
3.5.1. Type I
3.5.2. Type II
3.5.3. Type III
3.5.4. Type IV
B. RECOMMANDATIONS
1. ETAT ET DIFFERENTES STRUCTURES DE DEVELOPPEMENT
2. ELEVEURS D’AULACODES
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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