Soutenance mémoire
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Activités et objectifs de l’Akany Solofo
Il est tout d’abord à noter que l’Akany Solofo a pour but de contribuer à l’Objectif National dans la lutte contre la pauvreté dans la Commune de Bongatsara, District d’Antananarivo Antsimondrano.Une œuvre pour que les enfants pauvres et déshérités de cette Commune aient une bonne santé et une éducation de qualité. Pour ce faire, le centre a comme objectifs d’aider physiquement, psychologiquement, intellectuellement et spirituellementles orphelins ; il veille à leur santé physique et morale, et les éduquer, leur apprend à affronter la vie et à se tenir toujours fermes quoi qu’il arrive. Le centre accueille 200 enfants vulnérables et orphelins au maximum. L’ONG veille à ce que chaque enfant à sa charge puisse ,d’une part recevoir des soins de santé de qualité et une alimentation saine et suffisante et d’autre part, suivre convenablement le cursus scolaire de la maternelle ,passant par le primaire ,le collège et le lycée jusqu’à l’Université et pour d’autres enseignement technique .
L’ONG dispose d’une Classe préscolaire pour les enfants de 3 à 5 ans, et des classes primaires (12ème, 10ème, 9ème, 8ème, 7ème). Après le primaire, l’ONG donne aux enfants toutes les possibilités afin qu’ils puissent poursuivre leurs études le plus loin possible (collège, lycée, université, Ecole technique, formations artisanales). Le centre prend en main les charges suivantes pour réduire au minimum la contribution financière des parents : frais de scolarité, frais de déplacement, fournitures scolaires complètes, effets vestimentaires dont le tablier, vêtement d’été, vêtement d’hiver avec sandale ou tennis…, les restaurations (cantine scolaire : 2 repas matin et midi, goûter à 16h),les frais et soins médicaux (visites médicales, achat de médicament et frais d’hospitalisation), les vacances en province pour ceux qui ont une moyenne de 14 au minimum à la fin d’année scolaire .
En ce qui concerne l’apprentissage, les enfants du centre reçoit beaucoup plus une éducation que les autres enfantsn’en reçoivent dans les autres établissements .Apart l’école qui commence de 8h à 16H, ils reçoivent aussi de l’éducation spirituelle qui est incluse dans l’emploi du temps du centre, il y a un culte tous les jours dans la Chapelle de 7h : 30 à 8h, chaque Samedi de 7h : 30mn à 11h.
L’éducation Scolaire de l’Akany Solofo:
Il est à noter que les élèves dans le centre sont tous des enfants vulnérables et orphelins, il y a 200 enfants dont les 172 sont des enfants vulnérables qui y étudient mais ont leurs parents ou un de leurs parents.Ils n’habitent pas dans le centre mais chez leurs parents ; 28 orphelins sont logés dans le centre. Ces enfants là ne font qu’un dans le centre, obtiennent la même chose. L’Akany Solofo a sa place dans le domaine de l’éducation dans la Commune Rurale de Bongatsara, les résultats scolaires sont toujours meilleurs, à ne pas nier qu’au début dans la classe de 12ème les enseignants subissent quelques problèmes, pour preuve le résultat du CEPE de l’AS est toujours à 100% en trois années scolaires successives. Beaucoup de parents demandent l’adhésion de leurs enfants dans le centre chaque année grâce aux résultats de l’Akany Solofo et le contenu de son éducation mais le centre respecte la limite des listes des enfants sauf dans des cas particuliers.
Education religieuse et morale:
De nos jours, nombreux sont les parents qui souhaitent intégrer une dimension spirituelle à l’éducation de leurs enfants. Cette éducation est un des besoins des enfants de nos jours, on peut même dire que c’est ce qui manque chez les enfants ainsi que les jeunes d’aujourd’hui. La spiritualité peuvent jouer un rôle important dans l’éducation des enfants, c’est l’un des contenu de l’éducation en général pour éclairé le chemin des enfants. Elle contribue au bon comportement de l’enfant. La spiritualité fait partie du contenu de l’éducation dans l’Akany Solofo même si les enfants accueillis n’ont pas la même religion. C’est un guide pour ces enfants pour qu’ils puissent suivre le bon chemin et surtout leur permettre de discerner le bien et le mal.
Dispositif du Fonctionnement dans le Centre
Le centre Akany Solofo est une structure d’accueil pour les enfants vulnérables ou orphelins. Le centre a pour mission de lutter contre la pauvreté en aidant ces enfants dans la commune de Bongatsara. Le centre a été créé en 1987 par des membres fondateurs Malgache et étrangers, une fondatrice qui réside dans le centre assure aujourd’hui le contrôle du centre.
DESCRIPTION D’UN CENTRE D’ACCUEIL ET METHODOLOGIE DE TRAVAIL
Définitions
Il est primordial de définir les mots clés de cetteétude.
Le Centre d’accueil pour les Orphelins et les enfants vulnérables
Les centres d’accueil pour orphelins a chacun ses manières de gérer leurs activités et comment atteindre ses objectifs. Mais particulièrement ils ont pour vocation de préserver l’intérêt supérieur de l’enfant, apportent une aide salutaire dans le cadre de la protection de l’enfant .Le nombre des associations et organisations non gouvernementales,selon les chiffres du MAPS s’élève environ à 256 a peu près,tous types confondus, répartis dans toute l’ile. Apart les objectifs de chaque centre, ils ont aussi « différents voies et moyens préconisés par le centre soit pour permettre le maintien ou la réintégration de l’enfant dans son environnement familial d’origine ou de remplacement,soit pour assurer l’avenir social et /ou professionnel de l’enfant qui n’a pas la possibilité d’avoir une famille » selon l’art 18 du Décret n° 2006-0596 du 10 Août 2006 fixant les modalités d’application de la loi n° 2005-014 du 07 Septembre 2005 relative à l’adoption.
L’Orphelin
L’Orphelin est un terme populaire au niveau mondial. Actuellementà Madagascar, on relève un nombre d’enfants démunis qui n’ont pas la chance d’étudier à cause de leur situation familiale. Certains enfants ne vont pas à l’école à cause de la pauvreté qui sévit dans le pays d’un coté, mais il y a les orphelins ou demi-orphelins. D’autre part, le fait d’être orphelin entrave l’obtentiondes diplômes et l’accès à une profession dans l’avenir. Le terme orphelin a plusieurs définitions et dépend du pays, d’après le dictionnaire Larousse, il se définit comme « Enfant qui a perdu son père et sa mère ou l’un d’eux », un enfant qui n’a plus de mère ou orphelin de mère et qui n’a plus de père ou orphelin de père est appelé demi-orphelin, un enfant qui a perdu ses deux parents est appelé orphelin. La conception communautaire de l’orphelin à Madagascar est plurielle .Toutefois, la plus populaire est celle qui reconnait l’existence de deux types d’orphelins : les orphelins dit « partiels » et les orphelins dits « complets » .ces appellations se fondent sur le critère de la perte d’un ou des deux géniteurs.
Cette vision s’accompagne souvent de croyances ou de mythes populaires différents des autres et qui suscitent méfiance, peur et répulsion, ce qui accentue la vulnérabilité des orphelins et leur marginalisation.
La conception institutionnelle de l’orphelin quant à elle, définit l’orphelin à partir de deux variables relatives à la survie de la mère et du père, ainsi :
• L’orphelin complet est l’enfant ayant perdu son père et sa mère ;
• L’orphelin partiel est l’enfant qui a perdu l’un de ses géniteurs
• Par extension, l’enfant de père et/ou mère inconnu(e) est considéré comme un orphelin du fait de l’incertitude qui prévaut sur la vie de l’un ou de l’autre des deux parents.
Dans le cadre de la présente étude, serait considéré comme orphelin tout enfant qui aurait perdu soit l’un de ses deux parents, soit tous les deux. Ce qui montre qu’il y a plusieurs notions du mot orphelin. A noter que les statuts de l’orphelin est très vaste. Vu qu’un enfant peut être orphelin mais ne subit pas l’exclusion sociale et a encore les besoins essentiels dans sa vie. Alors que de l’autre coté, il y a des enfants qui ne bénéficient pas des besoins essentiels comme l’éducation, la santé, la nutrition et effets vestimentaires mais surtout le soutient familial.
Enfant Vulnérable
La vulnérabilité est un phénomène social complexe et incertain, façonné par l’interaction de facteurs économiques, sociaux et culturels et qui se manifeste tant au niveau individuel, que communautaire et global. Malgré sa définition, le concept de vulnérabilité présente toutefois deux facettes claires : d’une part, il contient une notion d’exposition des personnes à des risques économiques et sociaux divers préjudiciables au bien être. Et d’autre part, il fait référence à une notion de faiblesse des personnes à faire face à ces risques. Par définition la vulnérabilité peut être définie comme un degré élevé d’exposition de la personne au risque de perdre ou de ne pas atteindre une situation de bien être en combinaison avec une capacité réduite de se protéger et de se défendre des adversités. : Pour le petit Larousse (1972), la vulnérabilité vient du radical vulnérable qui veut dire susceptible d’être atteint, blessé. Dans la conception populaire, on dit quelqu’un qu’il est vulnérable quand cette personne, de par sa position sociale, n’est pas à l’abri d’un risque précis ou est exposée à un danger particulier.
Il peut être handicapé, sans éducation, de père inconnu, de parents malades, etc. C’est par excellence l’enfant exposé à toutes sortes de risques et à tous les maux de la société (violence, maladies, délinquance, prostitution).
Dans le milieu populaire et communautaire, la notion de vulnérabilité de l’enfant est centrée sur l’idée d’enfant à problèmes et généralement liée à l’indigence des géniteurs ou de la famille au sens large. Mais le lien est vite établi entre ces enfants victimes ou exposées à des risques sur le plans : alimentaire, sanitaire, éducatif, moral, psychologique, matériel, juridique, de logement, etc. nécessitant une protection sociale ponctuelle ou permanente. L’enfant vulnérable a encore des parents mais qui n’ont pas les besoins essentiels pour diverses raisons.
Education
L’éducation joue un rôle très important aujourd’hui. Etymologiquement le mot « éducation » est du latin ex-ducere, guider, conduire hors. L’éducation est l’action de développer un ensemble de connaissances et de valeurs morales, physique, intellectuelles, scientifiques, considérées comme essentielles pour atteindre le niveau de culture souhaitée. L’éducation permet de transmettre d’une génération à l’autre la culture nécessaire au développement de la personnalité et à l’intégration sociale de l’individu.
Tout enfant doit étudier et apprendre, de plus cela fait partie de ses droits, l’éducation de l’enfant et de l’adolescent repose sur la famille, l’école, la société. L’Education est un terme vaste vu qu’il peut apparaitre sous différentes formes.
Réinsertion Sociale
C’est un processus visant à permettre aux catégories défavorisées de la population de s’intégrer ou de se réintégrer à la vie sociale ou professionnelle selon le dictionnaire Encarta. D’après le Ministère de la population, la réinsertion sociale est une entreprise de rétablissement économique des groupes vulnérables, ou familles et personnes dans l’extrême pauvreté, à faire d’eux de nouveaux acteurs de développement .Mais on parle ici de réinsertion sociale des familles en difficulté en prenant en charge leurs enfants et surtout en leur offrant le besoins essentiels.
Education dans un centre d’accueil
L’éducation dans des centres d’accueil est une œuvre sociale de bienfaisance pour des personnes qui ont des cas différents et spécialisés. Par cas différents, il en faut donc plusieurs composantes de l’éducation qui dépendent du cas. L’éducation dans ce lieu a plusieurs contenus qu’on ne voit pas dans les autres écoles, le centre a ses propres manières pédagogiques pour ses membres afin d’arriver à ses objectifs.
L’Education et la Sociologie de Durkheim
« L’éducation est l’action exercée par les générations adultes sur celles qui ne sont pas encore mûres pour la vie sociale. Elle a pour objet de susciter et de développer chez l’enfant un certain nombre d’états physiques, intellectuels et mentaux que réclament de lui et la société politique dans son ensemble et le milieu social auquel il est particulièrement destiné. »
Cette définition est la toute première définition sociologique de l’éducation. L’éducation est chose sociale, pratique sociale, travail de la société sur elle-même. Toute société façonne toujours par son système d’éducation les hommes dont elle a besoin.Le monde moderne est le monde des sciences et des techniques.
Que doit être l’éducation dans ce monde là ?
Durkheim ne se demande pas seulement comment enseigner les sciences ou quelle place faire aux sciences dans l’éducation, mais que doit être l’éducation au temps des sciences ?
Il n’y a pas d’éducation authentique sans éducation morale.
Comment fonder un enseignement moral sur la culture scientifique (et non plus sur un fondement religieux) ? Comment construire le « vivre ensemble » ?
Ces deux questions sont au fondement de l’idée de laïcité et du projet de l’école laïque. Durkheim voit dans l’idée laïque une garantie de la solidarité sociale et une forme de respect mutuel. Il estime que la République doit formuler un idéal commun de croyances et de valeurs, de savoirs qui unissent (une culture commune). D’oùl’éducation scientifique, qui ne peut devenir le modèle éducatif du monde moderne, qu’à la condition d’être pleinement formatrice. Elle doit être à la fois :
• Éducation intellectuelle : formation de l’esprit ; éducation morale: formation de la volonté ; éducation esthétique : formation du goût et de la sensibilité ; éducation politique : formation du citoyen.
La morale est à la fois de l’ordre de la raison et de l’affectivité. L’éducation morale à l’école, notamment à l’école primaire passe par une double perspective : un enseignement rationnel de la morale, de ses lois, de leurs fondements, de leurs « raisons » de leur bien-fondé ; une éducation socio-affective.
Par «milieu scolaire», Durkheim entend aussi bien la salle de classe que l’établissement dans lequel elle est située. Il s’agit d’une «association» plus étendue que la famille, moins abstraite que la société politique. Là peut se former «l’habitude de la vie commune dans la classe, l’attachement à cette classe, et même à l’école dont la classe n’est qu’une partie» (L’éducation morale, p.195). L’école n’est pas seulement un lieu d’«éducation», en particulier d’éducation «morale», mais aussi et en même temps un lieu d’«instruction», d’acquisition de savoirs. Dans la perspective des moyens de «socialisation» qui était la sienne, Durkheim s’est essentiellement intéressé au sens que pouvaient revêtir à l’école primaire et secondaire les enseignements de la littérature, des arts, des mathématiques et des sciences de la nature
Méthodologie de travail
Dans ce chapitre, nous allons faire état de la démarche que nous avons suivie lors de notre descente sur terrain, puis nous donnons des définitions de quelques mots pour clarifier les différents concepts utilisés dans ce mémoire.
La visite de lieu
Elle constitue la première étape de notre processus de recherche. Cette visite a pour objet de vérifier les différents problèmes énoncés dans la problématique afin de ressortir les éléments clés qui justifient la pertinence du sujet.
L’entretien exploratoire
Sur ce,nous avons pu rencontrer, Le Directeur du centre, l’Assistante sociale, quelques personnels de l’orphelinat, CSB et Fokontany et quelques agents publics mais également des discussions avec les enfants. En tout, les informations recueillies nous ont permis de mieux examiner notre recherche malgré le fait que certaines informations sont restéesconfidentielles.
La revue documentaire
Cette phase est le second processus de notre recherche et qui a été une pièce très importante dans le déroulement du cadre de référence. Tout en commençant par fréquenter les bibliothèques, la bibliothèque de l’Alliance Française Andavamamba, le centre de recherche du département sociologie Ankatso, sans oublier le site internet.
L’échantillonnage
Dans la réalisation du mémoire, nous avons mené une enquête base sur l’échantillonnage. Nous avons beaucoup travaillé avec le personnel du centre pour accomplir leur tâches comme Assistante sociale, enseignant, responsable sanitaire et de la bibliothèque et de les servir au moment du repas mais aussi d’être parmi eux afin de mieux connaitre ce que les enfants reçoivent et ressentent. On a pu constater au fur et à mesure que le travail avance, les problèmes de chacun dans le centre. Avec un nombre très intéressant des enfants du centre et de leur différenciation,il est nécessaire de faire une détermination et une précision de l’échantillon concernant la population – mère, mais également c’est inclus dans la méthodologie de recherche quantitative et qualitative.
Par ailleurs, afin d’effectuer des enquêtes par sondage et apprécier les données détaillées, pour la précision et la représentativité, il convient de sélectionner soigneusement l’échantillon d’étude. Nous avons utilisé « la méthode aléatoire simple ».
Cet échantillonnage aléatoire indique que chaque élément de cet échantillon a la même probabilité d’être choisi ainsi que tous les autres éléments de la population visée.
La collecte des données
Afin de recueillir amplement des informations et des données, nous avons utilisé les outils suivants:
La méthode
Cette technique occupe une place très importante au moment de la quête des données, on a privilégié dans cette étude l’approche individualisme.
L’approche individualisterelève les relations interpersonnelles entre les différents acteurs du centre pour déterminer le degré d’intégration des individus au sein du groupe dans le centre. Cette méthode sera employée au niveau des parents afin de déterminer le degré de leur implication envers le soutien du centre. Cette approche requiert l’emploi de la psychologie comme discipline d’investigation car il recueille les ressenti de chaque individu.
Les approches qualitative et quantitative sont utilisées pour approfondir les entretiens auxquels s’ajoutent les constations par l’observation participantes.
Le questionnaire
Les questionnaires sont déjà préparés au préalable, adressésà la direction et au personnel du centre, aux enfants et aux parents, au président du Fokotany et au responsable du CSB II d’Anjomakely, sans oublier les populations neutres qui sont en dehors du centre.
Le guide d’entretien
Avec ce guide d’entretien, nous avons mené notre discussion envers les personne cibles. Les données ont relevé que l’orphelinat Akany Solofo accueille 213 enfants dont 9 orphelins complet ,19 monoparentale et 185 qui ont des encore des parents. On a élaboré un questionnaire pour chaque classe dès le 12ème jusqu’au Terminale et ceux qui font d’autre activité. Les enseignants ont été interviewées et certain individu en dehors du centre ainsi que tout les parents présent lors d’un culte.
CONCLUSION PARTIELLE :
On a vu ainsi ce qu’on doit d’abord savoir sur le travail pour pouvoir ensuite entrer dans les résultats sur terrain.On a présenté des mots clé qui sont essentiels sur ce travail et l’histoire du centre et surtout les objectifs d’un centre d’accueil et les contenus de son éducation.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERAL
PREMIERE PARTIE : REINSERTION SOCIAL
Chapitre 01 : PRESENTATION DU CENTRE AKANY SOLOFO
1-1 Description de l’Akany Solofo
1-1-1 Situation Géographique
1-1-2 Historique du centre
1-2 Activités et objectifs de l’Akany Solofo
1-2-1 Education Scolaire du centre
1-2-2 Education religieuse et morale du centre
1-2-3 Dispositif du fonctionnementdu centre.
Chapitre 02 : DESCRIPTION D’UN CENTRE D’ACCUEIL ET METHODOLOGE DE TRAVAIL
2-1 Définitions
2-1.1 Centre d’accueil pour orphelins et enfants vulnérables
2-1.2 Orphelins
2-1.3 Enfants Vulnérables
2-1.4 Education
2-1.5 Insertion sociale
2-1.6 Education dans un centre d’accueil
2-2L’Education et la Sociologie de Durkheim
2-3 Méthodologie de travail
2-3-1 Visite de lieu
2-3-2 Entretien exploratoire
2-3-3 La Revue documentaire
2-3-4L’échantillonnage
2-3-5 Collecte des données
3-4 La méthode
3-4-1 Le questionnaire
3-4-2 Le guide d’entretient
DEUXIEME PARTIE : CAUSES ET IMPACTS DE L’EMPLACEMENT DES ENFANTS DANS UN CENTRE D’ACCUEIL
Chapitre 04 : CAUSE DE L’EMPLACEMENT DES ENFANTS ET LES PROPOS DE L’EDUCATION DANS UN CENTRE
4-1 Les raisons de la manifestation des orphelins et enfants vulnérables
4-1-1 La pauvreté
4-1-2 La grossesse prématurée des jeunes filles
4-1-3 Les problèmes familiaux
4-1-4 Séparation des parents
4-2 Les Orphelins et enfants vulnérables de l’Akany Solofo
4-2-1 Les enfants placés dans le Centre
4-2-2 Profil de la famille
4-3 Les activités et l’envergure de l’éducation dans le Centre
4-3-1 L’éducation scolaire
4-3-2 L’éducation religieuse
4-3-3 Les internats
4-3-4 Les enfants non résidents du centre (Kilasy Mody)
Chapitre 05 : IMPACTS DU PLACEMENT DES ENFANTS DANS LE CENTRE
5-1Impacts de l’apport du centre selon les enfants
5-1-1 Impacts éducatifs
5-1-2 Impacts religieux
5-1-3 Impacts vestimentaires
5-1-4 Impacts alimentaires
5-2 Image des enfants insérés dans un centre d’accueil
5-2-1 Le fait d’être orphelin selon l’enfant
5-2-2 Le fait d’être insérés dans un centre d’accueil
5-2-3 Vis-à-vis du public
5-3 Images du Centre
TROISIEME PARTIE : APPROCHE PROSPECTIVE ET SUGGESTION
CHAPITRE 06 : Analyse et bilan
6-1 Vérification des hypothèses
6-1-1 Les enfants vulnérables et les orphelins subissent divers problèmes qui ont un impact dans leur vie quotidienne
6-1-2 L’éducation dans un centre, une éducation complète et les enfants y accueillis ont une bonne motivation de réussir dans la vie
6-1-2 Le centre pour orphelins et enfants vulnérables est une œuvre de Bienfaisance
6-2 Cotés positif et négatif d’un centre d’accueil
6-2-1 Contribution de l’orphelinat à l’ODD
6-2-2 FFOM de l’orphelinat Akany Solofo
6-2-3 FFOM des enfants de l’orphelinat
CHAPITRE 7 : SUGGESTION E RECOMMENDATION
7-1 Résolution de la problématique
7-2 Relation de cause à effet
7-2-1 Education
7-2-2 Besoins des enfants
7-2-3 Enfants
7-2-4 Personnalité
7-2-5 Parents
7-2-6Insertion réinsertion et sociale
7-3 Proposition de suggestion des activités pour le centre
7-3-1 Formation des enseignants
7-3-2 Insertions des activités dans le Centre
7-3-3 Insertions des activités pour les internats
7-3-4 Création des activités participatives à des compétitions.
7-3-5 Adhésion au Scoutisme
7-3-6 Formation des sortants
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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