DESCRIPTION DES PRATIQUES AGRICOLES ET ANALYSE DE LA VARIABILITE PLUVIOMETRIQUE

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La strate arborée

Faiblement représentée et disposée de façon clairsemées, la strate arborée est en état de recul dans la zone. Elle est composée actuellement d’espèces qui ont su résister aux changements environnementaux avec la prédominance du «Saas» ou Acacia albida, du Baobab ou Adansonia digitata, Khaya senegalensis ou « ngarigne » en sérère, « ngodiil » ou Anogeissus leiocarpus, Tamarindus indica (Dakhar). Et au-delà de ces espèces, on a recensé la présence de quelques arbres fruitiers sauvages tel que : le Dyospiros Mespiliformis « Neen » et le sew. Aujourd’hui, du fait des conditions péjoratives du climat, des actions anthropiques (défrichements à des fins agricoles), de l’évolution démographique, on note une régression du niveau de la strate arborée. Ce recul est plus accentuée durant la sécheresse des années 70-80.
Ce que confirme André Léricollais1 : pour qui, à l’échelle du village de Sob, on constate qu’au cours des deux dernières décennies les effectifs de la strate arborée ont nettementdiminué sur une période de vingt ans de 1965 à 1985. Une régression qui est devenue de plus en plus inquiétante. Toutefois, le paysan sérère donne une importance à l’arbre à cause de ses avantages socio-économiques. Les plantes sont utilisées dans le domaine de la médecine traditionnelle et l’alimentation.
Ces différentes espèces sont dominées par la présence du sass, espèce riche en azote très importante pour la fertilisation du sol.

La strate arbustive

C’est une strate qui offre d’énormes potentialités fourragères aux animaux durant la période de soudure et elle contribue aussi à la restauration de la fertilité des sols. Les arbres sont essentiellement composée de : Guiera sénégalensis ou «Ngoud» Combretum glutinosum ou «ndag». Ces espèces précitées sont bien prisées dans la médecine traditionnelle et on les rencontre partout à travers la collectivité locale.

La strate herbacée

Elle est saisonnière et est fonction de la pluviométrie qui s’étale de juin à octobre. Ainsi pendant la période hivernale le tapis herbacé est bien fourni et très varié. Cette strate est d’une grande utilité pour la localité, car elle constitue une source d’alimentation pour le bétail dont la survie est étroitement liée à son abondance.
Malgré ces différentes formations végétales, la communauté rurale est dépourvue de formation forestière.

La faune

La faune est peu riche dans la communauté rurale de Ngayokhéme. Les espèces rencontrées sont : les varans, les hérissons, les belettes, les lièvres, les chacals, les lézards, les pythons, les scorpions et une grande variété d’oiseaux : corbeaux, tourtereaux. Ceci est la conséquence directe de la faible végétation qui a son tour résulte de faible de la pluviométrie de la zone.
Cependant, la végétation est très menacée. Hormis les activités humaines comme le déboisement et le surpâturage, les causes naturelles constituent un facteur essentiel dans la disparition de la flore. Toutefois, la végétation est non négligeable à cause de la diversité des ressources végétales.

L’HYDROLOGIE

La communauté dispose d’un faible potentiel hydrique formé par les eaux souterraines et les eaux de surface. Cependant, on note l’absence de cours d’eau.

Les eaux de surfaces :

Elles constituent les eaux de bas-fonds, les mares temporaires et les petites dépressions alimentées par les eaux pluviales. Ces derniers s’assèchent dès la fin de l’hivernage. En effet, les mares, servent de lieu d’abreuvoir du bétail pendant l’hivernage. Mais aussi elles servent des réserves pastorales pour le bétail au milieu des terroirs agricoles de plus en plus saturés.
Alimentées par les eaux de pluies, les mares et toutes les zones dépressionnaires sont de nos jours sous l’emprise d’un ensablement dû des vents.

Les eaux souterraines :

Les eaux souterraines de la communauté rurale sont captées à travers différentes nappes dont :

Le paléocène :

Constitué par une alternance de marne, argile, marno-calcaire et calcaire karstique, il a une épaisseur moyenne de 70m. Le paléocène alimente la quasi-totalité des puits villageois. La profondeur de la nappe se situe à 10 mètres des zones de bas-fonds et entre 15 et 35 mètres dans la zone du plateau. La qualité des eaux est comparable à celle du maestrichtien, elle est presque partout saumâtre et salée. Cette eau présente un taux de fluor assez important dépassant les normes recommandées par l’OMS.

Le maestrichtien :

Le maestrichtien est une série puissante, monotone d’environ 250 m d’épaisseur, constitué de sables blanc, de sables argileux, de grés à ciment calcaires et d’intercalation argileux. Il est recouverte par les étages de l’Éocène, constitue la source d’alimentation des différents forages. C’est aussi l’aquifère la plus importante de la zone et se situe à des profondeurs variantes de 150 à 300 mètres selon les localités. Ces eaux sont saumâtres et salées.

LE CLIMAT

Les grands traits climatiques sont le résultat de la conjonction de facteurs géographiques et aérologiques. Les premiers s’expliquent par la latitude qui confère au territoire des caractères tropicaux et par la position de Finistère ouest-africain qui détermine des conditions climatiques dans la région littorale et dans l’intérieur du pays. Les seconds s’expriment par l’alternance sur le pays de trois flux (alizé maritime, harmattan ou alizé continental et mousson)2 dont les déplacements sont rendus plus faciles par la platitude du relief. La zone d’étude se situe en milieu tropicale sèche avec le climat sahélo-soudanien continental caractérisé par l’existence de deux saisons : saison sèche et une saison pluvieuse. La saison sèche plus longue s’étale de novembre au mois de mai. Quant à la saison humide d’une durée de cinq mois (juin-octobre) concentre toutes les activités de la communauté rurale.
En effet, étudier le climat renvoie à comprendre et expliquer les facteurs thermiques : la pluviométrie, la température, l’insolation, l’humidité relative, le vent. Pour l’étude au niveau communal, nous allons procéder par extrapolation des données reçues. Hormis les données pluviométriques, les autres sont acquises à partir.

L’humidité relative

Elle est le rapport entre la qualité de la vapeur d’eau contenue dans l’air et la quantité maximale que peut contenir l’air à la même température. Sa connaissance au niveau d’un lieu donné est fondamentale. En effet, elle renseigne bien sur l’éloignement de l’air de son point de rosée. De façon globale, on considère qu’un air est sec lorsque son humidité relative est inférieure à 35% et qu’il est humide lorsque son humidité relative est supérieure à 70%. Une humidité relative de 100% correspond à la saturation. Elle varie en fonction des saisons, et est plus importante en période hivernale.
Le tableau ci-dessous, nous montre la faiblesse de l’humidité relative durant la saison sèche (39% en janvier). Cette faiblesse est due à la manifestation de l’alizé maritime et continental, en d’autres termes au retrait de la mousson vers le sud depuis le mois d’octobre ou s’annonce la régression de l’humidité relative. Par contre, à l’arrivée de la mousson on constate une élévation du pourcentage d’humidité plus important en août-septembre, considérés comme les mois les plus pluvieuses. Ils ont respectivement enregistrés 79.5% et 80.5%.
Cependant, lors des dix (10) dernières années, la moyenne mensuelle minimale du total hygrométrique observé dans la région est sensiblement égale à 31%, tandis que la moyenne mensuelle est de 80%. D’une manière générale, vue les conséquences des effets climatiques, les scenarios montraient que l’air deviendra de plus en plus sec, surtout dans les zones du Nord-est et du Sud-Est du pays, entrainant des diminutions moyennes oscillant entre -3,5 à -5,0 % (RNDH 2010)3 ce qui soustrait des changements l’humidité relative entre les régions et au niveau national.

Evaporation et évapotranspiration potentielle de 1991 à 2012

L’évaporation se définit comme étant le passage de l’eau de l’état liquide à la vapeur. Les facteurs qui la conditionnent sont nombreux et variés dont le principal est le rayonnement solaire. Par conséquence, les fluctuations de l’évaporation correspondent à celles de l’insolation. De manière générale, l’évaporation est importante durant la saison sèche tandis qu’elle reste faible pendant la période hivernale. Pourtant l’évaporation varie durant toute l’année, d’un mois à l’autre. La figure ci-dessous montre une évolution unimodale dont le maximum se situe au mois de mars, tant disque le mois septembre couvre le minimum. En ce qui concerne, son évolution la moyenne journalière est environ égale à : 8mm par jour soit 240mm par mois. Quant à l’évapotranspiration potentielle, elle représente l’évaporation et la transpiration des arbres. Comme l’évaporation, elle est faible en période humide et sensiblement forte en saison non pluvieuse.

LE CADRE HUMAIN ET SOCIO-ECONOMIQUE :

LE CADRE HUMAIN

Situé au coeur du bassin arachidier, la communauté rurale présente des caractéristiques démographiques particulières. En effet, grâce au suivi démographique effectué par l’IRD dans la zone nous avons une connaissance de la population dans tous ces paramètres. D’une manière générale, l’occupation de cet espace est similaire à celle de l’ethnie sérère dont les principales activités sont liées à la terre. C’est ainsi que nous allons dans ce chapitre faire un bref aperçu de l’historique du peuplement tout en étudiant certains paramètres démographiques et le cadre socio-économique de la communauté rurale de Ngayokhéme.

HISTORIQUE DU PEUPLEMENT

A l’instar du reste de la population sérère du bassin arachidier, l’histoire du peuplement de la communauté rurale de Ngayokhéme peut être vue comme celle tracée par le révérant Henry GRAVRAND. Selon ce dernier, beaucoup d’hypothèse ont été émise sur l’origine sérère.
Pour Pinet Laparde, les sérère viendraient du Gabou suite à l’éclatement du royaume. Il note que les sérères défait avec le fils du roi Soliman Koli traversèrent les pays du sud vers le centre (actuel bassin arachidier).
Par contre, selon le Docteur Vernau cité par Gravrand, les sérères seraient le fruit d’un métissage biologique wolof et manding. Ils seraient développés sur place. Au sens strict, les sérères sont des autochtones.
Enfin, le révérend, cite Maurice Delafosse pour qui les sérères ont longtemps vécu au nord du fleuve sénégal. Ils ont ensuite passé sur la rive gauche après une période plus ou moins longue dans le Fouta. Ensuite, ils en émigrent direction du sud vers le terroir sérère actuel. Ce que semble confirmer, Pélissier (1966) lorsqu’il dit : « la masse paysanne sérère a pour origine la vallée du fleuve Sénégal quand les ancêtres ont quitté vers le XI ou le XII e siècle probablement à la suite de leur refus d’accepter l’islam…».
Pour conclure le père Henry Gravrand schématise la formation de l’ethnie en trois phases :
– Une première colonisation de Socé, venus du sud et installés dans le sine avant le XII siècle.
– Une migration en masse des sérères proprement dites venu du nord et qui vont fusionner avec les Socé la période du XIIème et XIIIème siècle.
– Une invasion de guelwar, aristocratie guerrière Socé qui va achever l’unification de l’ethnie sérère et la gouverner pendant cinq siècles.
Ce tracé de l’historique du peuplement sérère de Gravrand, ressort aussi des traditions orales des différents villages qui composent la communauté rurale de Ngayokheme.
Toutefois, il faut noter que chaque entité de la CR détient sa propre légende relative à l’occupation de son espace. D’où le caractère ambigüe et la contrainte de pouvoir tracer une histoire commune à notre zone d’étude.

CARACTERISTIQUES DEMOGRAPHIQUES :

L’étude des caractéristiques démographiques porte essentiellement sur la composition ethnique, la répartition dans l’espace, la répartition selon l’âge le sexe et la religion.

Composition ethnique :

La communauté rurale est majoritairement composée de sérères qui occupent 94% de la population totale dominée par les Sin Sin. Elle est suivie des hal-puulars (toucouleur et peul) avec un taux de 4% et les wolofs 2%. La langue dominante est le sérère, le wolof constitue une langue commerciale.

Répartition spatiale de la population :

D’une une superficie de 112km2, la population de Ngayokhéme, 211hbts/km2 compte 23639 âmes réparties dans dix-huit villages. Cette répartition spatiale de la communauté rurale peut être scindée en deux zones de neuf villages chacune.
C’est ainsi que nous avons une zone dite administrative ou zone de Ngayokhéme qui couvre la totalité de la partie Est de la communauté. Cette partie du terroir est constitué par les villages : Ngayokhéme, Darou, Diokhoul, Kalom, Mbinondar, Ngalagne koop, Ngane Fissel, Sass Ndiafadji et Sob. Cet appellation est du fait que le village de Ngayokhéme a été pendant la colonisation le chef-lieu de résidence du canton, il incarne actuellement le chef-lieu de la communauté rurale. Cette zone occupe les 39% de la population de la communauté rurale. Soit 9264 habitants (CALD 2012). Enfin le pôle économique ou zone de Toucar qui dans le passée était un lieu incontournable dans le commerce avec l’installation de comptoirs par les libanais. Aujourd’hui, la zone de Toucar abrite le seul marché hebdomadaire de la communauté rurale dans le village de Toucar. Composée des villages de Toucar, Datel, Bari Sine, Lambanème, Mboyène, Ndokh, Ngangarlam, Ngonine, Poudaye, le pôle économique de Ngayokhème se situe à l’ouest de la Communauté Rurale avec une population plus élevée que celle de la zone Est (14365 hbts).

Les constructions modernes :

Il s’agit des bâtiments de luxe qu’on rencontre un peu partout dans la communauté rurale, sont plus présent dans le village centre de Toucar. Aujourd’hui la construction de bâtiments qui gagne du terrain et est facilitée par l’apport des migrants et l’argent gagné de la commercialisation des spéculations de rentes et de l’élevage. A côté de ces deux type de constructions dominantes, on peut avoir des édifices en matériaux mixes. Ce sont des bâtiments en banco recouverts par une mince couche de ciment ou des cases construites en ciments avec une toiture en paille.

La santé :

Au plan sanitaire, la communauté rurale bénéficié d’importants investissements consentis par l’Etat, les partenaires comme l’IRD dans le but de faciliter aux populations l’accès à des soins de santé de qualité. De ce fait, on note deux postes de santé dont l’une construite à Toucar et l’autre dans le village centre Ngayokhéme. A cela s’ajoute deux maternités et sept cases de santé gérée par un comité de gestion. Ces infrastructures sanitaires souffrent de manque de personnel, d’équipement, d’un dépôt de médicament. En plus de cela, la population est confrontée à la cherté des médicaments du fait de la précarité des conditions de vie en milieu rural. La population bénéficie aussi des interventions sanitaires de l’IRD dans le cadre du suivi démographique effectué dans la zone Niakhar. C’est ainsi qu’on note une baisse de la mortalité dans la zone du fait de l’éradication de certaines maladies notamment la rougeole, la méningite. Par contre les habitants du village de Sob, Mbinondar et Sass ndiafadji se rendent au district sanitaire de Niakhar du fait de leur éloignement du poste de santé de Toucar et Ngayokhéme. Le paludisme reste à nos jours la maladie la plus fréquente en période hivernale et constitue le taux de consultation le plus élevé.

L’éducation

Parmi les neuf compétences transférées, figure l’éducation. Ainsi la communauté rurale dispose d’un potentiel d’infrastructures scolaires dominé par l’école occidentale. En 2011, la communauté rurale comptait quinze écoles primaires dont les sept sont dans les villages de la zone Est et les huit autres dans la partie Ouest (dont 7 dans la zone Est et 8 dans la zone ouest). Nous y rencontrons deux CEM dont l’une à Toucar accueille des élèves du secondaire.
Il faut ajouter l’existence d’écoles franco-arabes, les daaras, aussi l’alphabétisation.
Malgré les efforts consentis par la communauté rurale et ces partenaires pour faire passer le taux de scolarité de 28,85 à 57% entre 99 et 2005, (PLD, 2011) et une hausse de la scolarité 49 des filles, l’éducation reste confrontée à un certain nombre de difficultés notamment l’insuffisance du matériel didactique et des fournitures scolaires, le manque de clôture pour les écoles, absentéisme ou abandon, le faible niveau de qualification du corps enseignants dénoncé par l’Association des Parents d’Elèves.
D’une manière générale, la communauté rurale connait une importante croissance de sa population ces dix dernières années. Elle est composée en majorité de jeunes qui de plus en plus regagnent les centres urbains au détriment de la campagne. Cependant, ce déplacement de jeune vers la ville combiné à la dégradation de l’environnement, constitue une contrainte majeure pour l’agriculture et la dynamique économique du terroir.

ACTIVITES ECONOMIQUES :

L’économie de la communauté rurale repose essentiellement sur l’agriculture et l’élevage le commerce et l’artisanat. Les autres secteurs d’activités présentent un intérêt certain pour le développement économique de la communauté rurale. Ces activités socio-économiques jouent un rôle très important dans les conditions de vie des populations.

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Table des matières

REMERCIEMENTS ET DEDICACES
INTRODUCTION GENERALE
I.PROBLEMATIQUE
I.1. Contexte et justification
I.2. OBJECTIF GENERAL
I.2.1 Objectifs spécifiques
I.3. HYPOTHESES
I.4. CADRE CONCEPTUEL
1.5. REVUE LITTERAIRE
I.6. METHODOLOGIE
I.6.1. La collecte de données
I.6.2. La recherche documentaire
I.6.3. L’enquête de terrain
I.6.4. TRAITEMENT DES DONNEES
I.6.5. PLAN
PREMIERE PARTIE Présentation PHYSIQUE ET HUMAINE DE LA Communauté RURALE DE Ngayokhéme
CHAPITRE I MILIEU PHYSIQUE DE LA ZONE D’ETUDE
I. LA GEOLOGIE
I.1. Le Paléocène et l’Éocène
I.2. Le Continental terminal
I.3. Le Quaternaire
II. LES RELIEFS ET LES SOLS
II.1. Le Relief
II.2. Les Sols
II.2.1-Les sols Dior
II.2.2-Les sols Deck-Dior
II.2.3-Les sols Deck
III.LA VEGETATION
III.1. La strate arborée
III.2. La strate arbustive
III.3. La strate herbacée
III.4. La faune
IV.L’HYDROLOGIE
IV.1. Les eaux de surfaces
IV.2. Les eaux souterraines
V. LE CLIMAT
V.1. Les flux
V.1.1. Alizé continentale
V.1.2. La mousson
V.2. Les températures
V.3. L’humidité relative
V.4. L’insolation
V.5. Evaporation et évapotranspiration potentielle de 1991 à 2012
V.6. Les précipitations
CHAPITRE II LE CADRE HUMAIN ET SOCIO-ECONOMIQUE
I- LE CADRE HUMAIN
I.1 HISTORIQUE DU PEUPLEMENT
II- CARACTERISTIQUES DEMOGRAPHIQUES
II.1. Composition ethnique
II.2. Répartition spatiale de la population
II.3. Répartition par âge
II.4. Evolution de la population Ngayokhéme de 1984 à 2013
II.5. Les groupes religieux
II.6. Migration
II.7. L’habitat
II.7.1. l’habitat groupé
II.7.2. l’habitat dispersé
II.8. Les types de constructions
II.8.1. Les constructions traditionnelles
II.8.2. Les constructions modernes
II.9. La santé
II.9. L’éducation
III- ACTIVITES ECONOMIQUES
III.1. Agriculture
III.1.1. Les cultures vivrières
III.1.2. Les cultures de rentes
III.2. Elevage
III.3. Artisanat
III.4. Le commerce
CHAPITRE III DESCRIPTION DES PRATIQUES AGRICOLES
DEUXIEME PARTIE DESCRIPTION DES PRATIQUES AGRICOLES ET ANALYSE DE LA VARIABILITE PLUVIOMETRIQUE
I.1.La préparation du sol
I.2. Le semis
I.3. Le binage et démariage
I.4.La récolte
I.5. Le battage et le vannage
II. Le calendrier agricole
II.1. Le djiid
II.2. Sarandam
II.3. La période du ndiig
II.4. Séék
CHAPITRE IV ANALYSE DE LA VARIABILITE PLUVIOMETRIQUE DE 2003-2012 DANS LA COMMUNAUTE RURALE DE NGAYOKHEME
I.1. Evolution interannuelle de la pluviométrie de Ngayokhéme de 2003 à 2012
I.2. Répartition mensuelle des pluies de Ngayokhéme de 2003 à 2012
I.3. Evolution moyenne décadaire de la pluie de Ngayokhéme de 2003 à 2012
I.4. Evolution moyenne du nombre de jours de pluies de Ngayokhéme de 2003 à 2012
I.5. Analyse de la hauteur des pluies de Ngayokhéme de 2003 à 2012
I.6. Etude des séquences sèches de Ngayokhéme de 2003 à 2012
II. DUREE DE LA SAISON HUMIDE DE NGAYOKHEME 2003 à 2012
II.1 Début et fin de l’hivernage
II.2. LONGUEUR DE LA SAISON CULTURALE DE NGAYOKHEME 2003 à 2012
Conclusion partielle
CHAPITRE V PERCEPTION PAYSANNE DU CHANGEMENT CLIMATIQUE
TROISIEME PARTIE PERCEPTIONS PAYSANNES DE LA VARIABILITE CLIMATIQUE ET STRATEGIES D’ADAPTATION
I- PERCEPTION DE LA PLUVIOMETRIE
I.1. Perception des poches de sécheresse
I.2. Perception du début hivernal
I.3. Perception des fins hivernales
I.4. Perception du volume pluviométrique
I.5. Perception des inondations
I.6. Perception de la durée des risques pluviométriques
II- Perception du vent
III- Perception de la température
IV- Perception des mutations environnementales
IV.1. Dégradation de la végétation
IV.2. Absence de la jachère
IV.3. Perception des mares temporaires
IV.4. Perception de l’infertilité des terres de culture
IV.5. Perception de l’apparition du striga
IV.6. Perception de la conséquence des mutations environnementales
CHAPITRE VI LES STRATEGIES D’ADAPTATIONS PAYSANNES, ET LES PARTENAIRES AU DEVELOPPEMENT
I- LES STRATEGIES D’ADAPTATION ENDOGENES
I.1. Les Techniques de culture
I.1.1 Méthode de Fertilisation du sol
I.1.2 Adoption de nouvelles variétés
I.1.2.1 Les variétés de Mil
I.1.2.2. La culture de la Pastèque
I.1.2.3. Les variétés d’arachide
I.1.3. L’Association de culture
I.1.4 La pratique de la Régénération Naturelle Assisté (RNA)
I.1.5. La lutte contre la prolifération du striga
I.2.La Migration
I.3. La pratique de la Transhumance
I.4. La pratique de l’embouche bovine
II- PARTENAIRES AU DEVELOPPEMENT ET ROLE DE L’ETAT
II.1. Le conseil rural
II.2. Le PRODDEL
III- LES SERVICES TECHNIQUES DE L’ETAT
III.1. Le Centre d’Appui au Développement Local
III.2. Le Conseil Agricole et Rural (CAR)
III.3. Le Conseil Régional (CR)
III.4. La DRDR
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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