DESCRIPTION DES PARCELLES D’ETUDES SUIVANT LEURS POSITIONS TOPOGRAPHIQUES

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MILIEU BIOTIQUE

Flore et Végétation

La flore des Comores a une grande similitude avec celle de Madagascar. Elle ne connaît qu’une faible influence du continent africa in. On compte environ 900 espèces composant la flore de la forêt du Karthala.
La forêt de Hantsongoma constitue une forêt dense umideh sempervirente de montagne caractérisée par une composition floristique très variée suivant l’altitude, l’exposition, le microclimat et l’altitude ainsi qu e le degré d’ancienneté de la coulée de lave.
Andilyat, en 2007 a actualisé la typologie de la forêt du Karthala, en distinguant 6 formations végétales en fonction du microclimat, del’altitude, et la richesse floristique, de la pédologie, du degré d’anthropisation et la topographie de la forêt. On distingue : Au-dessus de 2200m : Végétation pionnière sur sablet vestige de formation calcinée ;
2000- 2200 m : Mosaïque savane prairie culture et brousse éricoïde ;
1500 – 2000 m : Fourré à Erica comoriensis ;
1300 – 1500 m : Forêt Dense Humide Sempervirente de haute altitude ;
1000 – 1300 m : Forêt Dense Humide Sempervirente demoyenne altitude dégradée, culture et de Bananeraie sous forêt ;
500 – 900 m : Mosaïque de forêt dégradée de basse ltitude,a culture et taillis à Psidium cattleianum ;
Au-dessous de 490 m: cultures vivrières au-dessus des villages.

Faune

La faune des îles Comores est en équilibre bien qu’elle soit pauvre en grands mammifères; mais tous les groupes zoologiques sont représentés et certaines espèces ont disparu il y a deux siècles à Ngazidja (cas des Langoustes ; Andilyat, 2007).
Dans le cas du massif du Karthala en général : lesespèces endémiques et menacées qui se trouvent dans la forêt du Karthala sont :Otus pauliani, Zosterops moroniensis, Humblotia flavirostri, Foudia sp., Hypsipetes sp., Arvirostris mwaliensis, Thitrea mutata, Lepsotomus discolor, Nectarinia humblotii, Mulvus aegyptii. D’autres oiseaux peuvent être reconnus à cet étage tel que des cailles Coturnix sp., des traquets Saxicola torcata, des bulbus Hypsipetes madagascariensis. Dans la forêt de Hantsongoma, on rencontre plusieurs espèces spécifiques de la zone comme des papillons et insectes lacustres.

Population aux environs du Lac Hantsongoma

Les villages situés à côté du lac (BWENI, IROHE et DZAHADJOU dans la région de OICHILI comptent : (Service Statistique de la Direction Gêné du plan Moroni).
BWENI 700 habitants
IROHE 800 habitants
DZAHADJU 760 habitants
BAHANI 1946 habitants
Ce nombre représente seulement la population qui ale droit de voter ce qui nous laisse penser que la population totale peut dépasser les 4206 habitants pour les quatre villages. Dont 80% ont leurs champs de culture aux alentours du lac.

Utilisation et exploitation des ressources forestières

Année 1887- 1987
La Scierie qui occupait la forêt du Nord au Sud-ouest du Karthala a été inaugurée le 28 Mai 1887 ayant pour raison sociale ‘’ Humblot et CI E ‘’ Son siège était d’abord à Paris ; puis transféré à Moroni après avoir été immatriculée à zaoudziD (Mayotte) par le registre du commerce et des Sociétés de Paris sous le N°B 572 055 895, en Société Anonyme de Bambao (SAB) après avoir été une Société Coloniale de Bambao (SCB) jusqu’au 24 Mars 1915. Elle est régie par la loi n° 66 – 537 du 24 juillet 1966 .
La SCB est la société mère de la SAGC (Société Anonyme de la Grande Comores) depuis le 19- Novembre – 1958.
La société avait pour objet : l’exploitation agricole, commerciale et industrielle de toutes richesses existantes naturellement et de tout ce qui a été ou sera créé par la société aux Comores. (Statut de la SAGC, 1966).
La durée de la Société devait expirée le 31 Mars 67,19 elle a été prolongée de 99 années et expirera le 31 Mars 2066. Il comportait 6300 actions. La société n’est plus en activité depuis 1987 ; par un décret voté en 1988qui visait l’interdiction de l’abattage massif des arbres à des fins commerciaux. Elle fournissait du bois d’œuvre à raison de 5200m 3 en moyenne par année. (Source archives SAGC). Année 1987-2010
La hache du bucheron a continué de façon maladroite par rapport à la scierie. Mais l’arrivée de scie électrique vulgarisée en 2000 commencéa à concurrencer la scierie.
Le lac Hantsongoma est un des deux lacs permanents de cratère de l’île de Ngazidja. Il constitue avec le lac Salé, les deux seuls et uniques écosystèmes lacustres de l’île (Andilyat, 2012). Situé au pied nord du Karthala, à 1060 m d’altitude, il est constitué d’un fond de cratère podzolanique de 50 m de diamètre et de 3,5 m de profondeur, aux cendres imperméabilisées par une rapide pédogenèse. Son volume d’eau est évalué entre 4500 m3 et 6000 m3.
Ce lac Hantsogoma est menacé par l’ensablement et / ou l’alluvionnement suite à la déforestation des zones environnantes, les coupes de bois d’œuvre et de chauffe ainsi que le développement de la culture sous-bois. Il est en efet alimenté par les eaux de ruissellement et le couvert végétal dont il bénéficie. Or depuis, usieurspl années, on continue à couper les arbres sans en replanter. La forêt disparait petit à petit. Cependant, une campagne de sensibilisation et de restauration écologique est ndispensable. La population humaine de cette zone est estimée à 4206 habitants (Service Statistique de la Direction Gêné du plan Moroni).

MATERIELS ET METHODES

ETUDES PRELIMINAIRES

Etudes bibliographiques

La connaissance du site d’étude est une information très importante avant tous les travaux de terrain. Ainsi, il convient de faire des recherches bibliographiques et webo-graphiques relatives au lac Hantsongoma et ses environs. Il s’agit de consulter :
des cartes topographiques, pédologiques et les cartes de la végétation ;
des ouvrages ou des publications générales ou spécialisés concernant les travaux déjà effectués dans la forêt d’Hantsongoma ou sesnvirons;e des ouvrages donnant des renseignements sur la typologie et la cartographie des écosystèmes.

Prospection du terrain

Une prospection de la zone d’étude a été effectuéeavec les habitants des villages riverains, pendant quatre jours avant l’installation des Parcelles Permanentes de Suivi (PPS).
Elle consistait surtout à localiser les sites d’em placement de ces PPS et de voir les types de forêts sur ces sites, ainsi que les espèces floristiques y présentes. Des entretiens et des visites guidées ont été effectués.

COLLECTE DE DONNEES

Enquête ethnobotanique et Socioéconomique

Les enquêtes ont pour but d’inventorier les espècesvégétales utiles et prélevées par les populations riveraines aux environs du lac Hantsongoma. Ces enquêtes ont été menées pour connaître les modes d’utilisations, la valeur de ce s espèces et leur importance écologique dans la forêt.
– Modes d’enquête
Les enquêtes sont effectuées sous forme des questions fermées, semi-ouvertes, et ouvertes (Martin, 1995). Les questions et les réponses sont retenues sous forme de fiche d’enquête (Annexe II).au fur et à mesure de l’interview.
– Catégorie des personnes interviewées
Les différentes personnes interviewées sont les agriculteurs, les menuisiers, les responsables administratifs, les utilisateurs des ressources, les maçons, les garagistes et les vendeuses de plantes médicinales au marché.
– Indice d’utilisation
La valeur de l’indice d’utilisation permet de conna ître les espèces les plus utilisées et les moins utilisées par la population locale. Elle est estimée grâce aux informations obtenues lors des enquêtes. Elle est calculée par la formule de anceL et al. (1994) : I(%) = n / N x 100
Avec n : nombre de personnes citant l’espèce cible
N : nombre total de personnes enquêtées

Choix du site d’étude par cartographie.

Traitement d’images satellitaires

Cette étude permet d’établir une carte d’occupationdu sol et une carte des différentes unités écologiques pour la prospection et le choixdu site à partir d’image satellitaire prise au niveau du lac Hantsongoma soit SPOT (1999), soit LANDSAT ( 1999), soit Google earth. La méthode adoptée est la photo-interprétation combinée avec l’utilisation des logiciels SIG : ArcView, MapGide, Mapinfo, Openlayers, …

Photo-interprétation

La photo-interprétation est une approche déductivebasée sur l’identification des différents objets sur le sol par leur caractéristique dans la photographie aérienne. Le but est de rechercher les informations sur un sujet défini. En l’occurrence, les composantes de la végétation réalisée à partir de l’examen stéréoscopique des photographiesaériennes ont permis d’établir une carte de l’ensemble des différentes entités du milieu. L’identification des entités repose sur l’observation de certains paramètres:
– relief stéréoscopiquematérialisé par l’apparition des pentes et de hauteur d’éléments.
– couleur ou teinte ou tonalité, elle dépend de la réflectancde l’objet, c’est –à-dire, plus l’objet possède une forte réflectance, plus il paraît clair ; si la végétation est dense elle paraitra plus foncée.
– texture : c’est l’arrangement des plus petites tâches disce rnables à l’intérieur desquelles on ne peut plus déceler aucune variation de tonalité de forme ou de dimension. Elle varie en fonction de l’état de la formation végétale.

Méthodes d’étude de la végétation

Il s’agit de la méthode de relevés écologiques. Unrelevé est un ensemble d’observations effectuées sur un lieu déterminé (Godron, 1968). Deux méthodes ont été adoptées :
– méthode de Parcelle Permanente de Suivi (PPS) ;
– étude structurale par la méthode de Gautier (1994).

Méthode de parcelles permanentes de suivi (PPS) ou plots de suivi

Choix des parcelles

Les sites d’études ont été choisis après une prospection de terrain en tenant compte des types de forêts et des unités topographiques. Ainsi, les trois (3) critères d’homogénéité ont été pris en compte (Gounot, 1969) :
uniformité des conditions écologiques apparentes ; homogénéité physionomique ;
homogénéité de la composition floristique.
Trois sites ont été sélectionnés pour le montage sdeParcelles Permanentes de suivi (PPS).

Montage de la parcelle permanente de suivi (PPS)

Principe :
La méthode de Parcelles Permanentes de Suivi ou PPS a été utilisée pour le suivi de la végétation, en particulier, pour avoir des idées sur la composition floristique et la structure de la forêt. Elle permet aussi d’étudier la régénérationd’une formation végétale. Ces parcelles permanentes constituent les unités d’échantillonnage, définies comme les plus petites sections dans lesquelles les plantes ou les animaux sont réellement comptés. La surface totale, à laquelle la densité finale s’appliquera, s’appelle la surface échantillonnée (White et Edwards, 2001).
Le montage des PPS est une méthode universelle de relevé écologique (Dallmeier, 1992), lancée pour la première fois à Madagascar par MBG en 1991 (Malcomber, 1993). Cette technique, combinant à la fois les rel evés linéaires et les relevés de surface (Birkinshaw et al., 1998), est basée sur l’étude des espèces ligneuses dont le diamètre à1,30 m du sol est supérieur ou égal à 10 cm (DHP≥ 10cm). Selon Rollet (1979), à partir de 10 cm de DHP, la plupart des espèces d’arbres ou arbustes sont capables de se reproduire (fleurir et fructifier).
Dispositif et installation
Trois Parcelles Permanentes de Suivi (PPS) ont étémontées, avec une surface de 0,1 ha
qui s’étend sur 50 m x 20 m couvrant différentes unités topographiques, dont :
– 1 Parcelle Permanente de Suivi sur bas versant : PPS 1 ;
– 1 Parcelle Permanente de Suivi sur mi versant : PPS 2 ;
– 1 Parcelle Permanente de Suivi sur haut versant : PPS 3 ;
Chaque parcelle est subdivisée en 20 carrés élémentaires ou placettes de 10 m x 10 m.
Pour chaque parcelle, le point de référence a étéotén et les points cardinaux sont marqués.
Les relevés ont été effectués à l’intérieur de chaque unité de surface (50 m x 20 m).
Cette dernière a été matérialisée grâce à des peintures de couleur blanche sur ses bordures et des rubans plastiques (flag) à chaque coin.
Matériels
Pour pouvoir réaliser les études floristiques et structurales de la forêt aux alentours du lac Hantsongoma, des matériels ont été utilisées, comme:
GPS : Un appareil servant à géo référencier un milieu donné ;
Boussole : Un appareil servant pour les orientations ;
Altimètre : Un appareil servant à mesurer l’altitud e ;
Clinomètre : Un appareil servant à mesurer les inclinaisons sur l’horizontale ;
Clisimètre : Un appareil servant à mesurer les pentes ;
Chevillière : Un appareil servant à mesurer la distance en longueur ;
DBH- mètre : Un appareil servant à mesurer le DHP d’un individu (arbre ou arbuste)
Gaule graduée : Un appareil servant à mesurer la distance en hauteur ;
Clous en aluminium, plaquettes en aluminium, peintures blanche (sans plomb), marteau et pinceaux : des matériaux servant pour le marquage des arbres ;
Cordes plastiques, flag : des matériaux servant à délimiter et à subdiviser en placettes les parcelles d’étude ;
Gaule, sacs à herbier, presses à herbier, papiers j ournaux usés, alcool 90° : des matériaux utilisés
pour conserver les plantes dans les relevés ;
Cahiers, stylos, crayons, gommes, carnet de récolte.
Mesures et marquage des individus ligneux : arbres/arbustes
Toutes les espèces d’arbres et arbustes vivants dont le diamètre à hauteur de poitrine (DHP) à 1,30 m du sol est supérieur ou égal à 10 cm sont marquées avec des plaquettes en aluminium pré numérotées. La plaquette a été clouéeà20 cm au-dessus du niveau où le DHP a été mesuré, ce dernier a été déjà marqué avec uneeinturep blanche. Dans un écosystème forestier donné, la mesure du DHP des individus ligneux (arbres, arbustes) varie selon l’inclinaison par rapport au sol (White et Edwards, 2001), (figure 2). Pour faciliter le suivi de chaque individu d’arbre et/ou arbuste dans le futur, le marquage des individus dans une placette a été fait suivant le sens d’une aiguille d’une montre. Les données sont soigneusement notées et enregistrées sur une fiche de relevés (Annexe IV). Ces références uméros)(n serviront plus tard à repérer chaque individu d’arbre et d’arbuste, lors des recensement s ou évaluations ultérieures, pour le suivi écologique.
Paramètres observés
Deux sortes de paramètres ont été considérées : lesparamètres physiques et les paramètres floristiques.

Paramètres physiques

Coordonnées géographiques : relevées par GPS donnant la latitude et la longitude ;
Altitude : niveau d’un point donné par rapport au niveau de la mer ;
Orientation : sens du relevé par rapport aux quatrepoints cardinaux ;
Exposition : orientation de la ligne de plus grande pente par rapport aux points cardinaux ;
Pente : inclinaison(en degré) d’une surface donnéepar rapport à l’horizontale.
(A. Figuier étrangleur : estimer le diamètre du tronc orsqu’il se sépare de l’hôte ; B. Arbre mort tombé avec rejet enraciné : mesurer le rejet ;C. Arbre tombé vivant avec des branches non enracinées : mesurer l’arbre.)

Paramètres floristiques

Noms vernaculaires : noms utilisés par la population locale pour désigner chaque espèce végétale ; Hauteur maximale (Hmax) : hauteur maximale atteinte par l’individu (arbre ou arbuste) ;
Hauteur du fût (Hf) : hauteur du tronc jusqu’à la première ramificati on de branches ;
Diamètre à hauteur de poitrine (DHP) : diamètre évalué en cm de chaque individu à 1,30 m du sol.

Caractéristiques des parcelles permanentes de suivi

La structure d’une végétation est définie comme étant le mode d’arrangement et de distribution des espèces les unes par rapport aux autres dans le plan vertical et horizontal (Dajoz, 1975).
L’étude structurale fait apparaître les interactions entre les individus d’une communauté végétale (Ramangason, 1986). Elle permet de comprendre les rapports entre les espèces végétales d’une part, et leurs corrélations suivantles différents paramètres établis d’autre part.

Structure horizontale

La structure horizontale d’une formation végétale ste la répartition des espèces végétales sur le plan horizontal. Dans cette étude, les individus des espèces végétales qui ont un DHP≥
10cm ont été considérés. Pour pouvoir décrire laructurest horizontale, on tient compte des analyses dendrométriques.

Distribution des individus par classe de diamètre

Les classes de diamètre peuvent être définies en nctionfo de la répartition de diamètres des individus supérieurs à 10cm de la PPS à étudier (Rakotondravony et Roger, 2006). Les classes de diamètres suivantes ont été suggérées : d0 : < 10 ; d1 : [10 – 15 [cm ; d2 : [15 – 20 [cm ; d3 : ≥20 cm
L’allure des histogrammes de chaque structure permet de connaître la santé de la population: si l’allure est en J inversé, cela implique une croissance régulière, normale et un équilibre du peuplement, si elle est en J ou en forme irrégulière, la formation étudiée présente une croissance irrégulière et un déséquilibre écologique.
Au fil des années de suivi écologique, ces mêmesassescl doivent être maintenues.

Distribution des individus par classe de hauteur

Pour les individus à DHP < 10cm, les classes des ha uteurs suivantes ont été adoptées :
h1 : < 8m h3 : [12 – 15 [m h5 : > 20 m
h2 : [8 – 12 [m h4 : [15 – 20 [m
Si l’allure des histogrammes obtenue présente deux ou plusieurs pics, cela signifie une dynamique de population déséquilibrée. Au fil des nnéesa de suivi écologique, ces mêmes classes doivent être maintenues.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : MILIEU D’ETUDE
I-MILIEU ABIOTIQUE
I.1 Situation géographique
I.2 Pédologie du site:
I.3 Climat
I.3.1 Température et vent
I.3.2 Précipitation
II-MILIEU BIOTIQUE
II-1 Flore et Végétation
II-2 Faune
II.3 Population aux environs du Lac Hantsongoma
II.4 Utilisation et exploitation des ressources forestières
DEUXIEME PARTIE : MATERIELS ET METHODES
I-ETUDES PRELIMINAIRES
I.1 Etudes bibliographiques
I.2 Prospection du terrain
II COLLECTE DE DONNEES
II.1 Enquête ethnobotanique et Socioéconomique
– Modes d’enquête
– Catégorie des personnes interviewées
– Indice d’utilisation
II.2 Choix du site d’étude par cartographie
II.2.1 Traitement d’images satellitaires
II.2.2 Photo-interprétation
II.3 Méthodes d’étude de la végétation
II.3.1 Méthode de parcelles permanentes de suivi (PPS) ou plots de suivi
II.3.2 Caractéristiques des parcelles permanentes de suivi
II.3.2.2 Structure verticale
III TRAITEMENT DES DONNEES
TROISIEME PARTIE : RESULTATS ET INTERPRETATIONS
I-UTILISATION ET EXPLOITATION DES RESSOURCES NATURELLES
I.1 Espèces à usages multiples couramment utilisées
I.2 Bois d’œuvre
I.3 Bois de chauffe
I.4 Plantes médicinales
II CARTES D’OCCUPATION DE SOL DU SITE D’ETUDE
III .CARACTERISTIQUES STATIONNELLES DES 3 PARCELLES PERMANENTES DE SUIVI (PPS) :
IV. DESCRIPTION DES PARCELLES D’ETUDES SUIVANT LEURS POSITIONS TOPOGRAPHIQUES
IV.1 Parcelle permanente de suivi sur bas versant (PPS1)
IV.1.1 Richesse floristique globale
IV.1.2 Caractéristiques dendrométriques et structurales de la végétation
IV.1.2.1) Structure horizontale
IV.1.2.2) Structure verticale
IV.2 Parcelle permanente de suivi sur mi versant (PPS2)
IV.2.1 Richesse floristique globale
IV.2.2 Caractéristiques dendrométriques et structurales de la végétation
IV.2.2.1) Structure horizontale
IV.1.2.2) Structure verticale
IV.3 Parcelle permanente de suivi sur haut versant (PPS3)
IV.3.1 Richesse floristique globale
IV.3.2 Caractéristiques dendrométriques et structurales de la végétation
IV.3.2.1) Structure horizontale
IV.3.2.2) Structure verticale
V. RECAPITULATION DES DONNEES AU TEMPS ZERO (TO)
VI. RELATIONS ENTRE FACTEURS ECOLOGIQUES ET FORMATION VEGETALE DES TROIS (3) PARCELLES PERMANENTES
VII VALORISATION DES PARAMETRES ETUDIES EN PPS POUR LE SUIVI ECOLOGIQUE
VII.1 suivi de croissance
VII.2 suivi de régénération
QUATRIEME PARTIE : DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS
I DISCUSSIONS SUR LES METHODES D’ETUDES
I.1 Avantages et fiabilités des méthodes
I.2 Problèmes et difficultés sur terrain
II.DISCUSSIONS SUR LES RESULTATS
II.1 Sur le plan floristique
II.2 Comparaison avec ceux des autres parcelles permanentes établies dans le même type de végétation à Madagascar
II.3 Aspect environnemental
II.3.1 Principaux problèmes
II.3.1.1 Gestion durable et la dégradation des terres
II. 3.1.2 Surexploitation des forêts
II. 3.1.3 Déforestation
II.3.2 RECOMMANDATIONS :
CONCLUSION GENERALE
REFFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIES

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