Matrices employées seules
Matrices laissées à demeure
Elles sont uniquement annulaires et n’impliquent pas de porte-matrice.
Ce sont des bagues minces de 5 à 7/100 de millimètre en maillechort, cuivre et en acier inoxydable soudé.
On peut citer les matrices en T de LEWETT cylindriques ou galbées.
L’avantage de ces matrices est la sécurité de l’emploi, mais il y a un ajustage cervical parfois long, une difficulté, voire une impossibilité pour assurer un bon point de contact et une bonne finition après prise s’il y a un surplomb d’obturation.
Un peu plus récentes, les matrices MORPHIDENT commercialisées par la maison HAWE en 16 formes et grandeurs différentes, sont choisies en fonction du périmètre de la dent à reconstituer.
Leur forme spéciale devrait permettre une reconstitution correcte du point de contact. Après ouverture, les matrices MORPHIDENT doivent être déposées verticalement.
Ces matrices trouvent leur bonne indication pour les dents isolées.
Il faut signaler que les matériaux utilisés aujourd’hui, notamment les Ciments Verre Ionomère (CVI), les composites et l’amalgame à prise rapide ont fait perdre beaucoup d’intérêt à ces matrices à demeure.
Demi-matrices employées seules
-Les matrices CERVIX ou KEIL matrices : Elles sont composées d’une lame en acier flexible sur laquelle sont fixées, de part et d’autre, des griffes destinées à prendre appui contre la dent voisine. La mise en place en est très aisée par simple pression verticale des doigts.
-Les matrices « APPROXIMALES » de FUST : elles sont posées dans la direction de la mastication contre les cavités à traiter à l’aide d’une pression desdoigts.
Elles sont fixées à l’aide d’ouate ou de coins.
Ces deux matrices, pour être mises en place, demandent toujours la présence d’une dent contigüe. [27]
-Les matrices de WALZER : certaines sont des adaptations des matrices de HERBST-MILLER et CRENSHAW.
Matrices placées à l’aide d’un porte-matrice
Demi-matrices placées à l’aide d’un porte-matrice
Porte-matrice IVORY n°1
Le porte-matrice présente deux bras formant des ressorts activés par un bouton moleté que l’on visseprogressivement. Ces bras se terminent par deux ergots dont l’un est complété par une plaquette verticale destinée à bien maintenir la bande contre la dent. Ces ergots doivent appuyer sur la partie déclive de la dent, sous la ligne de plus grand contour, mais ne doivent jamais venir s’engager dans l’espace inter-proximale opposé à la restauration pour ne pas provoquer un écartement contraire.
Les demi-matrices employées avec ce porte-matrice, en acier mince, présentent des perforations latérales où se logent les ergots du porte-matrice. De formes anatomiques très étudiées, elles épousent parfaitement le galbe des dents quelles que soient leurs tailles.
Selon le nombre de points de contacts à reconstituer
La restauration d’une cavité de classe II consiste essentiellement dans le rétablissement physiologique du ou des points de contact manquants.
Le choix de l’ensemble matrice et porte-matrice et la technique de pose seront donc différents selon que nous aurons à reconstituer un, deux, ou pas de points de contact.
Un point de contact à reconstituer
C’est le cas le plus fréquent, il s’agit d’une cavité mésio ou disto -occlusale sur molaire ou prémolaire.
Nous retiendrons en premier lieu pour ce cas : IVORY n° 14 et le séparateur de MAC KEAN. Ces deux porte-matrices qui assurent l’écartement immédiat utilisent des demi-matrices.
Toutes les fois où cela sera possible on utilisera l’IVORY n°14, surtout si l’on a affaire à une dent globuleuse.
Cependant si la dent est massive, de forme cylindrique présentant une cavité principale de faible ouverture vestibulo-linguale, ou très haute du point de vuecoronaire on utilisera le séparateur de MAC KEAN.
S’il se révèle une impossibilité d’emploi de ces deux ensembles, on peut utiliser les porte-matrices de TOFFLEMIRE, MULLER, NYSTRÖM, avec bandes matrices anatomiques.
Dans ce cas, pour obtenir l’écartement on ajoutera un clamp de MAC KEAN oudans certains cas un porte-matrice séparateur d’IVORY n°14.
Reconstitution de deux points de contact
Il s’agit d’une cavité mésio-occluso-distale et la réalisation de l’obturation est parfois délicate.
Rarement, on peut utiliser deux lamelles genre DICKINSON et deux clamps de MAC KEAN.
Souvent on utilisera une bande anatomique galbée avec un porte-matrice genre IVORY n°8 placé vestibulairement, voire même lingualement s’il s’agit du porte-matrice de NYSTRÖM.
On peut aussi utiliser le porte-matrice universel de MULLER qui est choisi en fonction de la morphologie et de la position de la dent sur l’arcade.
La bande matrice est sélectionnée et fixée sur le porte-matrice choisi et maintenue en place pendant le serrage sur la dent, par pression verticale de l’index gauche.
Ces ensembles : IVORY n°8, MULLER, NYSTRÖM n’assurent pas l’écartement des dents. Aussi, pour compenser la double interposition de bande matrice, il faut leur adjoindre un dispositif assurant l’écartement immédiat compensateur (IVORY n°14, MAC KEAN).
Quand tout le dispositif est en place, le galbe des bombés proximaux est parachevé au brunissoire à tête ronde.
Reconstitution sans point de contact
L’absence de dent collatérale permet pratiquement l’emploi de tous les ensembles matrices et porte-matrices.
C’est principalement l’accessibilité de la dent en bouche qui conditionne le choix du porte-matrice.
L’ensemble demi-matrice perforée et porte-matrice IVORY n°1 trouve là sa principale indication.
Pour les cavités de collet classe V ou les cavités simples de faces mésiales ou distales, les porte-matrices NYSTRÖM avec leurs six bandes sont vraiment appropriées.
Selon le type de matériau utilisé
Matrices pour les obturations à l’amalgame
L’anatomie du point de contact conditionne son fonctionnement physiologique et réduit le risque de récidive de carie, sur la dent déjà lésée ou la dent adjacente.
Le problème de sa reconstitution se pose donc lorsqu’il a été détruit par carie ou par extension préventive qui en a été la conséquence.
L’insertion d’un matériau plastique: amalgame, nécessite un foulage exécuté, avec un fouloir qui permet d’assurer une bonne adaptation dans le s fines rugosités de la cavité. Le produit à fouler a une certaine rigidité compatible avec la plasticité, mais il faut un effort appréciable pour faire obéir la matière, et sous la pression une partie va effectivement garnir le fond, tandis qu’une autre est orientée vers l’intervalle amorçant un débordement.
Le remplissage de toute la cavité ne sera obtenu qu’en foulant en se retenant d’appuyer, faute de quoi tout passe dans l’intervalle. Si néanmoins on persiste dans cette erreur, on aura un amalgame avec failles, peu dense, et un débordement qu’on s’efforcera de modeler à la spatule et que l’on réussira assez mal à évacuer sans altérer le reste de l’obturation. Le plus habile réussira à libérer l’intervalle proximal, mais le point de contact se trouvera moulé sur la convexité de la dent voisine et sera donc concave, ce qui est à l’opposé de notre volonté.
Les premières matrices ont été utilisées vers 1880, l’idée venant de DWINELLE. Elles furent d’abord employées pour résoudre le problème trèsdifficile de l’aurification proximale.
On peut dire qu’à cette époque la réalisation même de l’obturation était conditionnée par l’emploi de la matrice. Il était en somme impossible de s’en passer, car elle consacrait peu de temps pour un énorme bénéfice. Elle était, non pas une complication, mais une simplification. Selon ANDRIEU [2] : « c’est un moyen de simplifier certaines opérations parfois fort difficiles ».
Les matrices utilisées pour l’aurification étaient retirées aussitôt la reconstitution exécutée, nul besoin de s’inquiéter du durcissement ; elles étaient donc toutes des matrices d’emploi extemporané.
Avec les amalgames, les praticiens eurent à leur disposition des produits plastiques faciles à insérer, faciles à sculpter, mais dont le durcissement total demandait plusieurs heures. Ils ont dû imaginer d’installer des matrices pendant toute la phase de cristallisation (24 heures par exemple).
Aujourd’hui l’emploi d’amalgames à prise très rapide permet à nouveau d’utiliser des matrices que l’on retire avant le départ du patient.
Demi-matrices placées avec un séparateur porte-matrice
Elles ne nécessitent pas d’écartement préalable des dents et permettent néanmoins un excellent point de contact.
Elles nécessitent l’emploi d’un amalgame à prise rapide (riche en argent).
Le séparateur porte-matrice est un instrument à deux fins : il écarte les deux dents contiguës et en même temps maintient fermement la matrice en bonne position.
L’idée du séparateur porte-matrice n’est pas nouvelle (Woodward screw).
Les séparateurs porte-matrices d’Ivory® n°4 et n°14[38,51,60]
Les deux séparateurs portent les noms d’Ivory Matrix retainer® n° 4 et Ivory Matrix retainer® n° 14 ; leur utilisation est identique et le numéro 14 est préféré.
Il s’agit soit d’un séparateur d’ELLIOT (n°4), soit de l’ancien porte -matrice Ivory n° 1(pour le n°14), qui ont été modifiés, et dont les extrémités ont été remplacées par des pointes pyramidales à faces légèrement concaves, et cellesci sont montéesavec une double articulation qui joue le rôle de cardan.
Dépose des matrices
Il ne peut être tenté qu’après une prise initiale de l’amalgame. Avec les amalgames riches (65% à 70% d’Ag), si la condensation a été bien faite une attente de deux à cinq minute est suffisante (consulter le prospectus de l’amalgame utilisé).
L’écarteur est enlevé, et si un coin de bois a été utilisé, il est conseillé de prendre avec une pince plate à la fois le coin et la matrice, et de les tirerhorizontalement par la face linguale ou palatine.
Il y a toujours moins de danger à enlever la matrice horizontalement que verticalement, d’autant plus quelle force nettement.
Les matrices Ivory perforées ne peuvent pas être enlevées horizontalement.
Sous le prétexte de ne pas courir de risque, on peut être tenté de sectionner la matrice d’un coup de ciseau pour qu’elle soit plus rapidement sortie. C’est une mauvaise pratique. Le coup de ciseau laisse sur le métal une « bavure » qui au passage contre l’amalgame, rabotera celle -ci.
On a même intérêt au moment où on place la matrice, qu’elle qu’elle soit, à penser à l’instant où elle devra être retirée et à marteler l’extrémité qui sortira de la dernière, avec la grosse pince de PEESO® pa r exemple, pour l’amincir un peu et enlever toute « rebarbe ».
Nous avons, avant de prendre cette précaution, eu de temps en temps des déboires à l’enlèvement, qui n’avaient pas d’autre cause que la présence de cet« bavure » de coupe.
Les retouches
On distingue deux types de retouches :
-Les retouches à l’obturation : un amalgame de prise récente (quelques minutes) supporte bien les retouches par grattage et section. Ces retouches sont beaucoup plus vite faites immédiatement que si on attend la séance suivante. Il est conseillé de les exécuter immédiatement. C’est l’avantage essentiel des matrices placées extemporanément, et il est sérieux. La présence du portematrice, la présence du séparateur empêchent de vérifier l’occlusion pendant que la matrice est présente ; c’est un inconvénient commun à tous les procédés extemporanés.
-Les retouches d’occlusion: On ne doit jamais oublier que la dent obturée, même avec le plus grand soin, est affaiblie par la perte de substance qu’elle a subie, et que retoucher des cuspides antagonistes aigus, c’est éviter l’éclatement de la dent traitée.
Le premier contact avec un amalgame frais d’une cuspide non émoussée, provoque une fracture de l’amalgame.
Il est conseillé, avant de faire l’obturation, d’exa miner les cuspides antagonistes et de les émousser avant de faire l’obturation.
Les coins de bois
Nous avons vu que certains porte-matrices : Muller®, Ivory ® n° 1, Ivory ®n° 8, Ivory ® n° 14 avec lesquels on emploie des bandes anatomiques, appliquent intimement la matrice au collet, tandis que les matrices individuelles et le séparateur de McKean® nécessitent l’usage d’un coin de bois pour assurer le contact intime. Nous utilisons deux types de coins de bois :
-Le coin de bois tendre : Les cure-dents américains « Stim-U-Dents » de section triangulaire et terminés en pointe sont adaptés par fonction à la forme de l’intervalle proximal. Le bois tendre dont ils sont faits est susceptible de s’écraser et en somme de se modeler à la forme particulière de l’intervalle sous la seule pression qui les enfonce. Ils conviennent parfaitement pour les intervalles étroits. Ils sont mis en place lorsque la matrice est déjà installée, et sont coupés presque au ras avec des ciseaux à couronnes. Il est utilisé avec « McKean separator ®». Le coin est toujours inséré de la face interne vers la face vestibulaire, car l’embrasure linguale est toujours plus ouverte.
Matrices pour les obturations au composite
Il est utile d’émettre quelques considérations concernant les indications générales du composite en tant que matériau d’obturation.
Jusqu’à maintenant, les matériaux d’obturation esthétiques étaient essentiellement destinés à la restauration des cavités visibles des dents antérieures. Par le passé, la cavité de classe III parmi les six dents du groupe incisivo-canin, était la plus concernée. Elle était suivie de prés par la cavité du collet des dents antéro-supérieures (classe V), atteignant parfois la première prémolaire supérieure. Toutes les autres cavités étaient obturées à l’aide d’amalgame ou d’inlay en or. En ce qui concerne la cavité de la classe IV, elle a, jusqu’à l’avènement du composite, toujours posé de sérieux problèmes.
Lorsque la résine composite apparut sur le marché, la taille des cavités d’obturation au silicate d’alumine ne changea guère. Les choses commencèrentà évoluer. Assez lentement au cours de la première décennie, car ce nouveau matériau esthétique s’attacha aux mêmes indications que son prédécesseur. La première tentative un peu plus audacieuse de la part du composite fut la restauration de la classe IV. Lorsqu’on constata que ce matériau résistait à l’impact des forces incisives, on tenta d’élargir son champ d’action auxmolaires et prémolaires. Simultanément, les fabricants améliorèrent certaines propriétés physiques du composite pour les rendre aptes à remplir ce nouveau rôle.
A l’heure actuelle, nous avons un très large éventail d’indications pour ce matériau esthétique qui sont :
-L’obturation de la classe III (site 2), c’est le seul matériau valable et il est employé dans tout les cas, sans une seule exception.
-La restauration de la classe IV (site 2), l’indication est également devenue générale.
-L’obturation de la classe V (site3), les avis sont partagés, car deux autres matériaux entrent également en ligne de compte. Pour les collets visibles le composite remporte l’unanimité. Pour les collets semi-visibles, en particulier pour les atteintes non carieuses du type érosion, le ciment verre ionomère, surtout depuis l’amélioration de certaines de ses qualités, trouve beaucoup d’adeptes. Pour les collets totalement soustraits à la vue, l’amalgame d’argent reste toujours un matériau très fiable, apprécié par de nombreux praticiens.
-Les obturations des cavités de classe I et II (site1 et site 2), malgré le fait que des composites spécialement adaptés ont été mis sur le marché, les controverses sont encore nombreuses. Il y a des adversaires inconditionnels mais, mal inspirés, car le composite a effectivement conquis un créneau valable dans les restaurations des dents postérieures. Il y a des adeptes inconditionnels qui ont tendance à dire que l’amalgame a vécu. Cependant, les restaurations au composite ne devraient être exécutées que pour des patients et par despraticiens sérieusement motivés.
Description des matrices et portematrices
Les moules pour restauration au composite
La restauration extemporanée des « angles incisifs » n’est actuellement concevable qu’avec les résines composites collées. La création d’un moule est absolument nécessaire pour donner d’emblée à la reconstitution sa forme etpermettre une condensation suffisante du matériau.
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Table des matières
INTRODUCTION
I. Généralités
1. Définitions des matrices
2. Historique des matrices
3. Les qualités requises des matrices
II. CLASSIFICATION DES MATRICES
1. Matrices employées seules
1.1. Matrices laissées à demeure
1.2. Demi-matrices employées seules
1.3. Matrices circulaires employées seules
2. Matrices placées à l’aide d’un porte-matrice
2.1. Demi-matrices placées à l’aide d’un porte-matrice
2.2. Matrices enserrant la dent
3. Selon le nombre de points de contacts à reconstituer
3.1. Un point de contact à reconstituer
3.2 Reconstitution de deux points de contact
3.3. Reconstitution sans point de contact
4. Selon le type de matériau utilisé
4.1. Matrices pour les obturations à l’amalgame
4.1.1. Matrices et demi-matrices laissées à demeure
4.1.1.1. Matrices annulaires
4.1.1.2. Demi-matrice laissée à demeure
4.1.1.3. Avantages et inconvénients
4.1.1.4. Utilisation
4.1.2. Demi-matrice non laissée à demeure
4.1.3. Matrices et demi-matrices placées avec un porte-matrice
4.1.3.1. Le porte-matrice Ivory®n° 1
4.1.3.2. Le porte matrice Ivory® n° 2 ou n° 8
4.1.4. Demi-matrices placées avec un séparateur porte-matrice
4.1.4.1. Le « McKean master separator ®»
4.1.4.2. Les séparateurs porte-matrices d’Ivory® n°4 et n°14
4.1.5. Dépose des matrices
4.1.6. Les retouches
4.1.7. Les coins de bois
4.2. Matrices pour les obturations au composite
4.2.1. Description des matrices et porte-matrices
4.2.1.1. Les moules pour restauration au composite
4.2.1.1. Les matrices et porte-matrices pour composite
4.2.2. Les techniques d’obturation pour composite selon la classification de Black
4.2.2.1. La cavité de classe III
4.2.2.1.1. Protocole opératoire
4.2.2.1.2. Cas particuliers
4.2.2.2. La cavité de classe IV
4.2.2.3. La cavité de classe V
4.2.2.4. La cavité de classe II
III. JUSTIFICATION, OBJECTIFS, ET METHODOLOGIE DE L’ETUDE
1. Justification et objectifs de l’étude
2. Cadre de l’étude
3. Matériel et Méthodologie
3.1. Matériel
3.1.1. LA fiche d’enquête
3.1.2. Outil informatique
3.2. Méthodologie
3.2.1. Type d’étude et période d’étude
3.2.2. La population d’étude
3.2.3. Critères d’inclusion
3.2.4. Critères de non inclusion
3.2.5. Validation de la fiche d’enquête
3.2.6. Collecte de données
4. Résultats
4.1. Caractéristiques de la population d’étude
4.1.1. Répartition des étudiants selon l’année d’étude
4.2. Types de disciplines concernées par l’utilisation des matrices
4.3. Utilisation des matrices en fonction de la classification S.I.S.T.A
4.4. Intérêt de l’utilisation des matrices et porte-matrices
4.5. Utilisation des différents types de matrices et porte-matrices
4.6. Utilisation des matrices et porte-matrices au niveau des secteurs postérieurs
4.7. Utilisation des matrices et porte-matrices au niveau du secteur Antérieur
4.8. Difficultés rencontrées lors de la pose des matrices et porte-matrices
4.9. Utilisation des coins sur les restaurations antérieures
4.10. Conséquences observées en cas de non utilisation des coins
4.11. Accidents rencontrés lors de la dépose des matrices et porte-matrices
4.12. Utilisation des moules transparents pour restaurations antérieures
4.13. Difficultés rencontrées lors de l’utilisation des moules transparents
5. Discussion
5.1. Caractéristiques de la population d’étude
5.2. Types de disciplines concernées par l’utilisation des matrices
5.3. Utilisation des matrices en fonction de la classification S.I.S.T.A
5.4. Intérêt de l’utilisation des matrices et porte-matrices
5.5. Utilisation des différents types de matrices et porte-matrices
5.6. Utilisation des matrices et porte-matrices au niveau des secteurs postérieurs
5.7. Utilisation des matrices et porte-matrices au niveau des secteurs Antérieurs
5.8. Difficultés rencontrées lors de la pose des matrices et porte-matrices
5.9. Utilisation des coins sur les restaurations antérieures
5.10. Conséquences observées en cas de non utilisation de coins
5.11. Accidents rencontrés lors de la dépose des matrices et porte-matrices
5.12. Utilisation des moules transparents pour restaurations antérieures
5.13. Difficultés rencontrées lors de l’utilisation des moules transparents
Conclusion
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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