Description botanique et répartition géographique

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Detarium senegalensis G. F. Gmel

Noms vernaculaires

. Peul : mbodéy, mobodéy, bodo, dakékei, dolé
. Sérère : ndoy, ndogoy, ndoroy (ndali = variété à fruits toxiques)
. Socé : tali, talo (tali kougna, talèm baro = variété à fruits toxiques)

Description botanique et répartition géographique

Description botanique

Detarium senegalense, illustré par la figure 1, est un grand arbre atteignant 10 à 20 m de haut, à cime dense hémisphérique et à branches trapues et étalées. Le fût est droit et l’écorce est finement crevassée.
Les feuilles sont composées, imparipennées avec 5 à 6 paires de folioles elliptiques, longues de 4 à 6 cm et larges de 3 à 4 cm.
Les fruits subglobuleux sont aplatis et mesurent 4 à 8 cm de diamètre. Il existe deux variétés : l’une à fruits comestibles, l’autre à fruits toxiques. Jusqu’à présent, aucune différenciation morphologique n’a pu être faite pour distinguer les deux variétés. Seule la présence de nombreux fruits tombés au pied de l’arbre et donc non consommés par les singes suffit à prévenir du danger.

Répartition géographique

C’est un arbre rencontré le long de la façade atlantique du Sénégal. Il recherche les lieux frais des savanes humides et le bord des galeries forestières. Il est très commun en Casamance maritime ainsi que dans le Saloum et se plait dans les sols légèrement salins. Il se retrouve aussi à proximité de Dakar et persiste encore dans les Niayes.

Travaux réalisés sur la Chimie

L’analyse des fruits a permis d’établir la présence des composés suivants: eau, protéines, lipides, glucides, cellulose, matières minérales, calcium, phosphore, fer, vitamine C, thiamine, riboflavine et niacine.
L’étude détaillée de Paris cité par Kerharo (1974) a porté sur le péricarpe, les graines et les écorces ayant subi un temps de conservation de quatre ans environ
A partir des fruits, PARIS isola l’acide détarique qui est un acide-alcool, lévogyre, non saturé, probablement cétonique et dérivant des sucres.
D’autre part, l’auteur y décèle des traces d’alcaloïdes et caractérise l’acide acétique et l’acide gallique.
Les écorces contiennent des tanins, des traces d’alcaloïdes et un saponoside qui semble combiné à un tanin.

Travaux réalisés sur la pharmacologie

Emplois

A propos des fruits de Detarium senegalense, il convient de noter que certains arbres produisent des fruits comestibles et d’autres des fruits toxiques.
Les Diolas de Basse Casamance utilisent l’écorce de tronc de la variété à fruits comestibles comme boisson dans toutes les entéralgies graves (coliques, obstructions intestinales, etc.), les doses étant calculées en cuillerées à soupe de décocté. En moyenne Casamance, les Balantes emploient l’écorce de la variété à fruits toxiques, prise en macération dans du vin de palme, pour soigner les bronchites, les pneumonies, mais surtout pour les maux de ventre et la lèpre.
Les guérisseurs Wolofs et Sérères reconnaissent également aux racines, écorces et feuilles du Detarium senegalense une excellente action sur l’intestin et prescrivent en outre différentes préparations de ces organes dans l’anorexie et l’anémie.
Il a été indiqué un traitement wolof de la maladie appelée « ngal » (cancer) avec la poudre d’écorce de la variété non toxique, par voie interne et externe.
Les Sérères Niominkas recommandent en outre les bains oculaires avec le macéré de feuilles pour les conjonctivites (Kerharo , 1974)

Pharmacologie

Heckel (1890) prétendait que les fruits perdent leurs activités après un mois de conservation. PARIS (1939) signala que, chez le chien, l’injection intraveineuse d’un extrait alcoolique correspondant à 0,10 g/kg provoque une hypotension passagère avec vasoconstriction rénale et apnée transitoire. Dans un cas, la mort par asphyxie est constatée avec une dose de 0,30 g/kg. Chez le cobaye, l’injection sous-cutanée d’une dose équivalent à 1 g/kg entraine , après une courte phase d’excitation, de l’incoordination motrice et de la somnolence. Avec une dose double apparaissent des phénomènes de paralysie du train postérieur gagnant, ensuite tout l’animal, avec diminution de la sensibilité et ralentissement de la respiration. Le retour à la normale s’effectue progressivement en une heure ou deux.
L’animal le plus sensible est le poisson : dans une solution aqueuse correspondant à une teneur de 2%0 de fruits amers, les Ides mélanoles d’un poids de 1,50g montrent une forte agitation, cherchant à sauter hors de l’aquarium. Au bout de deux minutes ils se laissent entraîner par le courant. Une minute après il y a perte de l’équilibre et les poissons flottent le ventre en l’air. Les animaux remis dans l’eau courante reprennent en dix ou quinze minutes leurs mouvements normaux. Une dilution deux fois moindre ne produit qu’une excitation passagère.
Des effets analogues ont été obtenus avec le principe amer dont l’effet est particulièrement marqué chez le poisson et le cobaye. En définitive pour Paris, la drogue parait agir sur le système nerveux central qu’elle déprime après l’avoir excité transitoirement.
Des cas d’intoxication aiguë suite à l’ingestion de fruits de la variété toxique ont été signalés par Imbert et Teyssier (1986)

Travaux réalisés sur la chimie

La pulpe du mésocarpe contient principalement de l’acide tartrique (8 %), des sucres réducteurs (25 à 41%), de la pectine (2 à 3,5%), des protéines (2 à 3%), des fibres et de la cellulose.
Les teneurs en acide tartrique et en sucres sont très variables selon les échantillons. L’acide tartrique se trouve en partie sous forme libre dextrogyre, et l’autre partie sous forme de tartrates et principalement de bitartrate de potassium avec un peu de tartrate de calcium.
La composition en acides organiques est la suivante : acides tartrique, malique, insaturés, succinique, citrique, oxalique, lactique.
Les sucres réducteurs sont représentés par 70 % de glucose et 30% de fructose. Lewis (1956) y a en outre décelé du saccharose, mais à l’état de traces.
La pectine pure est constituée par 81,3% d’acide galacturonique. La pectine brute en contient 56,2%.
Les fruits renferment en outre des pigments anthocyaniques : chrysanthémine (ou 3-glycoside cyanidine) dans la variété à fruits rouges et une leucocyanidine dans la variété commune.
Imam et al. (2007) ont isolé à partir des feuilles deux dérivés triterpéniques : le lupanone et le lupéol.

Travaux réalisés sur la pharmacologie

L’extrait de la pulpe, à la dose de 15 mg/kg, diminue la cholestérolémie totale ainsi que le taux de LDL-cholestérol. Il n’a aucun effet sur le poids corporel ainsi que sur la pression systolique. Cependant il entraîne une diminution de la pression diastolique (Iftekhar et al., 2006).
Voravuthikunchai et Limsuwan (2006), en recherchant l’activité antibactérienne, montrèrent que l’extrait éthanolique de T. indica avait une très faible activité bactéricide et bactériostatique.
Al-Fatimi et al. (2007), lors du screening de l’activité antimicrobienne de 90 extraits de plantes médicinales du Yémen, relatèrent que l’extrait de fleurs de T. indica présenta la meilleure activité sur les bactéries Gram (+) et Gram (-) testées.
Lamien-Meda et al. (2008), ont révélé lors de leurs études, que l’extrait du fruit contient une forte teneur en polyphénols et possède une bonne activité anti-oxydante.
Enfin, Silva et al (2008) ont montré que l’extrait de la pulpe administré par gavage aux doses de 1000, 1500 et 2000 mg/kg de poids corporel n’entraîne pas d’effet génotoxique.

Répartition géographique

C’est un arbre commun à toutes les savanes boisées ou arbustives soudaniennes. Au Sénégal, on le retrouve jusqu’aux lisières de la forêt guinéenne en Casamance. Il est très rarement rencontré dans le sud du Sahel où il persiste encore dans les galeries sèches et les sols sablonneux du Cayor.
C’est une espèce très rustique se contentant des sols arides mais préfère toutefois les sols humides des galeries forestières bien drainées sous une pluviométrie de 500 mm.
Cassia sieberiana est retrouvé au Sénégal, en Guinée, au Mali, en Gambie, en Cote d’Ivoire, au Ghana, au Nigeria, au Cameroun, au Tchad et au Soudan. II forme parfois des peuplements homogènes à proximité des villages ainsi que le long des routes et pistes (Fane, 2002).

travaux réalisés sur la chimie

D’après les travaux menés par Vignoli (1940), les racines de Cassia sieberiana renferment des anthraquinones et des tanins.
Paris (1939), avait signalé la présence de dérivés anthracéniques, de tanins condensés (12,6 à 16,5%), des leucoanthocyanes et notamment des leucopélargonidols, de l’épicatéchol et des flavonols.
Dans les feuilles, Duquenois (1967) avait décelé des flavonoïdes tels que le quercétol 3-glucoside et le quercétol 3-rhamnoside, mais également des dérivés anthraquinoniques.
Au niveau des écorces de tiges, ont été retrouvés des tanins catéchiques, de l’oxalate de calcium et de l’acide cyanhydrique (Balansard et al., 1974).

Travaux réalisés sur la pharmacologie

Usages empiriques

La racine est utilisée comme analgésique, antiasthénique, diurétique, purgative, antiparasitaire, antifongique et antitussive. Elle est utilisée sous forme de décocté en boisson en bain ou en massage et parfois en association avec d’autres plantes. Elle intervient également dans les douleurs abdominales, constipation et dans le traitement de l’asthénie sexuelle. Dans ce cas, on utilise le décoté ou le macéré de racine salé en boisson. (Adjanohoun, 1968).
Les feuilles ont une activité purgative, diurétique, antispasmodique, cicatrisante et anti inflammatoire. Elles sont utilisées sous forme d’infusion ou de décocté en boisson dans le traitement du paludisme (Gueye, 2001).
Les rameaux feuillis sont réservés à la médecine infantile en qualité de dépuratives, fébrifuges, antianémiques et anti kwashiorkor (Diatta, 2006).
Les écorces ont une activité laxative et antiblénnorragique (Fall, 1989).
Le macéré du mélange sommités fleuries plus les racines de Piliostigma reticulatum, est utilisé comme antivénérien (Bassène, 1990).
La pulpe jaune qui entoure la graine est utilisée dans le traitement de la constipation. En basse Casamance, le traitement des conjonctivites se fait par instillation oculaire d’un décocté concentré des graines.

Pharmacologie

●Activité spasmolytique
L’extrait de racine, à la concentration de 0,075mg/ml, entraîne une inhibition de 53,6 % des contractions provoquées par 10mg/ml d’acétylcholine sur l’intestin isolé de rat (Gueye, 2001).
FALL (2004) a montré que les fractions butanoliques et d’acétate d’éthyle de l’extrait hydro-éthanolique des racines ont une activité inhibitrice significative sur les contractions cholinergiques.
● Effet myorelaxant sur le tonus de base
Selon Fall (2004), l’extrait total des racines à la dose de 75µg/ml provoque une inhibition du tonus de base de l’ordre de 10,18%.
La même dose de la fraction d’acétate d’éthyle a montré l’activité inhibitrice la plus importante sur le tonus de base.
● Activité antiparasitaire
L’administration de l’extrait hydro-alcoolique des racines à deux lots de chiens errants et domestiques aux doses de 500 mg et 1g permet de déceler une activité anticoccidienne aux 5eme et 10eme jours après l’administration (Guèye, 2001).
Sow (2004) a montré que l’administration de la fraction butanolique à une dose de 7,5mg/ml à des lapins entraîne une disparition totale des ookystes de coccidies dans les fèces au 9eme jour.
● Activité antivirale
Silva et al. (1997) ont montré une activité significative des extraits de racines sur HSV 1 (Herpes Simplex Virus type I).
● Activité antibactérienne
Des études in vitro menées par Silva et al. (1997), ont montré que l’extrait de Cassia sieberiana est actif sur 9 souches de Neisseria gonorrheae y compris les souches résistantes à la pénicilline et à la tétracycline. Ceci explique l’utilisation de cette plante par la population Bissau Guinéenne pour le traitement des maladies vénériennes.
● Action antalgique
Selon Gueye (2008), l’extrait aqueux de racines de Cassia sieberiana prévient de façon dose dépendante l’apparition de contorsions chez la souris après administration d’acide acétique.
A la dose de 900mg/kg l’extrait aqueux de racines de Cassia sieberiana prévient l’apparition de la douleur de façon identique à l’aspirine administrée à la dose de 100mg/kg.
● Action anti-inflammatoire
L’administration préalable d’extrait aqueux de racines de Cassia sieberiana prévient l’œdème inflammatoire de la patte de rat induit par la carraghénine de façon dose dépendante à 30, 100 et 300mg ∕ kg d’après les travaux de Gueye
(2008).

Travaux réalisés sur la pharmacologie

Usages empiriques

Azadirachta indica a été signalé dans le Ferlo par un guérisseur mandingue comme diurétique et antiblé nnorragique (feuilles et écorces) en association avec Acacia nilotica var adansonii (Kerharo et Adam,1974).
Les feuilles sont recommandées en décocté pour le paludisme, les œdèmes, les rhumatismes et les écorces pour le diabète.

Pharmacologie

L’extrait des fruits de A. indica testé in vivo chez le mouton a montré une activité anthelminthique. Après 15 jours de traitement des moutons infectés, une diminution de 40,2% des œufs par gramme de féces des Haemonchus et Trichostrongylus a été observée (Iqbal et al., 2009).
A. indica est un remède réputé pour les affections de la peau et les sels de l’acide margosique ont des propriétés antiparasitaires reconnues.
L’ extrait de feuilles ainsi que celui des fruits possèdent une activité inhibitrice sur la croissance de souches fongiques pathogènes telles que Fusarium oxysporum, Rhizoctonia solani, Alternaria solani et Sclerotinia sclerotiorum (Moslem et El-Kholie, 2009).
L’huile de Neem a un effet larvicide sur les insectes suivants: Anopheles stephensi, Culex quinquefasciatus et Aedes aegypti (Dua et al., 2009). Elle est aussi douée de propriété répelante vis-à-vis des phlébotomes (Kabede et al., 2009).
Les composes triterpéniques contenus dans les fruits de la plante ont une activité anti-inflammatoire et sont aussi capables de réduire la mélanogenèse des cellules Melanoma B16 (Akihisa et al., 2009).

RAPPELS SUR LES RADICAUX LIBRES (RL)

Toxicité des radicaux libres

Les effets destructeurs des radicaux libres au niveau cellulaire s’expliquent par la présence d’électron(s) célibataire(s) très réactif(s) sur une de leurs orbitales, susceptible(s) de s’apparier aux électrons des composés environnants. Ces composés, ainsi spoliés, deviennent à leur tour des radicaux et amorcent une réaction en chaîne. Les molécules cibles sont :
. Les protéines,
. Les acides nucléiques,
. Les acides gras polyinsaturés, en particulier ceux des membranes cellulaires et des lipoprotéines.

Action sur les protéines

Les protéines cellulaires sont une cible idéale de l’attaque radicalaire qui se situe à différents niveaux.
Les groupements sulfhydryles, présents dans de nombreuses enzymes, subissent, sous l’action des RL, une déshydrogénation avec création de ponts disulfures et inactivation de ces enzymes (Chio et Tappel, 1969 ; Logani et Davies, 1980). On peut aussi rencontrer des cas d’activation enzymatique, lors de l’inactivation d’un inhibiteur spécifique.
Les protéines de structure sont dépolymérisées (acide hyaluronique) sous l’action des RL ou polymérisées de façon anarchique. Ainsi, le collagène est dégradé avec une malformation des fibres et une fragilisation des vaisseaux sanguins (Halliwall et Gutteridge, 1989).
Les acides aminés peuvent être modifiés. Par exemple, l’action de l’oxygène singulet sur la méthionine donne la méthionine sulfoxyde (Halliwall et Gutteridge, 1989). NH3+ 1 O2 O- NH3+ CH3-S-CH2-CH CH3- S-CH2-CH  COO- + COO-
Le radical hydroxyde réagit avec la phénylalanine (PHE) et donne l’ortho-tyrosine (o – TYR), la méta-tyrosine (m – TYR) ou le para –Tyrosine (p – TYR)

Action sur les acides nucléiques

Les acides nucléiques sont particulièrement sensibles à l’action des RL qui créent des sites radicalaires au sein de la molécule et peuvent ainsi induire des effets mutagènes ou l’arrêt des réplications (Logani et Davies, 1980). La toxicité des carcinogènes et des radiations ionisantes est, entre autres, due à l’action des radicaux libres au niveau de l’ADN cellulaire.
Outre cette action directe sur l’ADN, les radicaux libres altèrent la synthèse et la transcription de l’ARN (Hoff et O’Neil, 1991). Cette attaque provoque une baisse de concentration intracellulaire de la coenzyme NAD+, secondaire à son clivage par l’enzyme poly (ADP-ribose) synthétase, avec transfert de l’ADP-ribose sur la protéine nucléaire.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : ETUDE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : PRESENTATION DES ESPECES
I.1. LES CAESALPINIACEAE
I.1.1. DETARIUM SENEGALENSIS G. F.Gmel
I.1.1.1. Noms vernaculaires
I.1.1.2 Description botanique et répartition géographique
a) Description botanique
b) Répartition géographique
I.1.1.3. Travaux réalisés sur la Chimie
I.1.1.4. Travaux réalisés sur la pharmacologie
a) Emplois
b) Pharmacologie
I.1.2. TAMARINDUS INDICA
I.1.2.1. Noms vernaculaires
I.1.2.2. Description botanique et répartition géographique
a) Description botanique
b) Répartitions géographique :
I.1.2.3. Travaux réalisés sur la Chimie
I.1.2.4. Travaux réalisées sur la pharmacologie
I.1.3. PILOSTIGMA RETICULATUM (D.C.) HOSCHST
I.1.3.1. Noms vernaculaires
I.1.3.1. Description botanique et répartition géographique
a) Description botanique
b) Répartition géographique
I.1.3.2. Travaux réalisés sur la chimie
I.1.3.3. Travaux sur la pharmacologie
a) Usages empiriques
b) Pharmacologie
I.1.4. CASSIA SIEBERIANA DC
I.1.4.1. Synonymes ou noms vernaculaires
I.1.4.2. Description botanique et répartition géographique
a) Description botanique :
b) Répartition géographique
I.1.4.3. Travaux réalisés sur la chimie
I.1.4.4. Travaux réalisés sur la pharmacologie
a) Usages empiriques
b) Pharmacologie
I.2. FAMILLE DES MELIACES
I.2.1. CARAPA PROCERA DG
I.2.1.1. Dénomination vernaculaire
I.2.1.2. Description botanique et répartition géographique
a) Description botanique
b) Répartition géographique
I.2.1.3. Travaux réalisés sur la chimie
I.2.1.4. Travaux réalisés sur la Pharmacologie
a) Usages empiriques
b) Pharmacologie
I.2.2. KHAYA SENEGALENSIS (Desr) A. Jules
I.2.2.1. Noms vernaculaires
I.2.2.2. Description botanique et répartition géographique
a) Description botanique :
b) Répartition géographique
I.2.2.3. Travaux réalisés sur la chimie
I.2.2.4. Travaux réalisés sur la pharmacologie
I.2.3. MELIA AZEDARACH
I.2.3.1. Description botanique et répartition géographique
a) Description botanique :
b) Répartition géographique :
I.2.3.2. Travaux réalisés sur la chimie
I.2.3.3. Travaux réalisés sur la pharmacologie :
a) Usages empiriques
b) Pharmacologie
I.2.4. AZADIRACHTA INDICA
I.2.4.1.Noms vernaculaires
I.2.4.2. Description botanique et description géographique
a) Description botanique
b) Répartition géographique
I.2.4.3. Travaux réalisés sur la chimie :
I.2.4.4 Travaux réalisés sur la pharmacologie
a) Usages empiriques
b) Pharmacologie
CHAPITRE II : RAPPELS SUR LES RADICAUX LIBRES (RL)
II-1- TOXICITE DES RADICAUX LIBRES
II-1-1- ACTION SUR LES PROTEINES
II-1-2- ACTION SUR LES ACIDES NUCLEIQUES
II-1-3- ACTION SUR LES LIPIDES
II-2- SYSTEME DE PROTECTION CONTRE LES RADICAUX LIBRES
II-2-1 LES MOYENS DE DEFENSE ENDOGENES
II-2-1-1- Les systèmes enzymatiques
II-2-1-2 Les systèmes non enzymatiques
II-2-2- Les moyens de défense exogènes
CHAPITRE III : LES METHODES D’ETUDE DE L’ACTIVITE ANTI-OXYDANTE (Blois M.S., 1958)
III-1- LE TEST TEAC (TROLOX ANTIOXYDANT CAPACITY)…
III-2- LE TEST DPPH (1, 1, DIPHENYL-2-PICRYL-HYDRAZYL)
III-3- LE TEST ORAC (OXYGEN RADICAL ABSORBANCE CAPACITY)
DEUXIEME PARTIE :
CHAPITRE I. MATERIELS ET METHODES
I .1- MATERIEL ET REACTIFS
I.1.1. MATERIEL VEGETAL
I.1.2. AUTRES MATERIELS ET REACTIFS
I.2- METHODES
I.2.1- SCREENING PHYTOCHIMIQUE
I.2.1.1- Recherche des alcaloïdes
I.2.1.2- Recherche des hétérosides anthracéniques
I.2.1.3- Recherche des hétérosides cardiotoniques
I.2.1.4- Recherche des hétérosides flavoniques
I.2.1.5- Recherche des saponosides
I.2.1.6- Recherche des tanins
I.2.2- ETUDE BIO-AUTOGRAPHIQUE DE L’ACTIVITE ANTIOXYDANTE
I.2.2.1- Préparation des extraits
I.2.2.2- Méthode au DPPH
CHAPITRE II : RESULTATS
II.1 SCREENING PHYTOCHIMIQUE
II.2- Recherche de l’activité antioxydante
III – DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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