Des médiations corporelles à l’expression corporelle

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Pistes thérapeutiques

Les thérapies médicamenteuses ne seront pas abordées dans ce chapitre ; il s’agit plutôt de faire le tour de ce qui est proposé en parallèle des traitements comme accompagnement paramédical. Pour faire rapide retour sur les théories psychanalytiques, P. Federn avance l’idée que « traiter un psychotique, c’est l’aider à ne pas gaspiller son énergie mentale, mais à la conserver […] c’est amener le malade à utiliser correctement l’épreuve de la réalité […] c’est l’amener à se rendre compte du triple statut de son corps, comme partie du Moi, comme partie du monde extérieur et comme frontière entre le Moi et le monde ». [7]
Selon la Haute Autorité de Santé (HAS) , les accompagnés autre que pharmacologiques recommandés sont : les psychothérapies, les méthodes de réhabilitation psychosociale et de remédiation cognitive, ainsi que les programmes d’éducation thérapeutique.
Ces accompagnements sont cités comme ayant pour but « d’améliorer la qualité de vie, contribuer à leur autonomie en réduisant ou éliminant les symptômes de la maladie ». [13]
Le suivi en ergothérapie est recommandé dans la rubrique « traitements et suivi », de même que la psychomotricité.

Modèles/approches théoriques

Nous avons pu voir auparavant que l’approche corporelle en thérapie, de par son intrication avec le psychisme, se rapproche plutôt des théories psychanalytiques. Du côté des modèles modèles conceptuels en ergothérapie, nous allons donc aborder le modèle psycho-dynamique.
Nous avons pu aussi aborder l’importance d’une approche centrée sur la personne et ses besoins, sur l’importance d’une relation de confiance entre le thérapeute et la personne accompagnée. Nous aborderons donc l’approche humaniste.
Et enfin, puisque nous sommes dans un registre corporel, et donc dans ce qui ce passe dans l’ici et maintenant, l’approche phénoménologique semble importante à présenter.

Le modèle psycho-dynamique

Le modèle psycho-dynamique part du principe que les comportements humains sont soustendus par des processus inconscients : il met donc l’accent sur les émotions et les éléments relationnels.
En utilisant ce modèle, l’objectif principal est d’aider la personne à découvrir les causes inconscientes de son mal-être.
Pour ce faire, le processus thérapeutique doit s’appuyer sur une relation de confiance, des techniques projectives, et des activités créatrices : en somme, il doit proposer un lieu d’expression. En effet l’activité est alors utilisée pour permettre à la personne de s’exprimer de façon nonverbale : peu importe la forme de l’expression du moment qu’elle est adaptée à la personne, et qu’elle lui permet, à l’instant T, d’exprimer ses conflits internes, ses angoisses, ses désirs,etc.
Si la qualité de la relation est très importante, elle s’inscrit aussi dans un contexte, un cadre.
Le cadre thérapeutique a ainsi toute son importance. « Le cadre thérapeutique doit laisser un espace potentiel de créativité » [17] : notion en lien avec « l’espace potentiel » de Winnicott.
Dans le modèle psycho-dynamique, l’évaluation est qualitative : il s’agit d’observer la personne et de recueillir ses propos, la vision qu’elle a d’elle-même, de sa progression en terme d’état affectif, de fonctionnement psycho-social et de manifestation des symptômes.
L’utilisation de ce modèle a pour avantage de mettre en avant le vécu de la personne. Pour autant, en étant centré sur son psychisme et son passé, il reste réductionniste et éloigné des courants actuels qui tendant à s’intéresser à l’instant présent ainsi qu’au futur.

L’approche phénoménologique

L’approche phénoménologique a été développée par E. Husserl au début du 20e siècle. Selon lui, il s’agit d’une « méthode scientifique qui cherche à revenir aux choses mêmes, à les décrire telles qu’elles apparaissent à la conscience, indépendamment de tout savoir constitué ». [6]
Un peu plus tard, c’est M. Merleau-Ponty qui développera cette approche, avec notamment la « phénoménologie de la perception ».
La phénoménologie s’inscrit entre réalisme (ou empirisme) et subjectivisme5.
En combinant ces deux approches, la phénoménologie considère le monde comme « une donnée réelle, concrète, palpable, et indépendante de notre volonté mais appréhendé de manière différente par chacun en fonction de notre culture, nos expériences de vie ».[18]
La phénoménologie se centre donc sur le vécu, et notamment le vécu corporel, avec le corps comme lien et élément de relation entre le dedans et le dehors, entre ce qui est moi et nonmoi, et donc entre le sujet et le monde. Le corps est alors considéré comme « l’instrument de l’appréhension du monde ».
Ceci n’est pas sans rappeler la notion « d’espace transitionnel » de Winnicott, ou encore l’approche empirique de Kant : « toute connaissance du corps commence avec l’expérience ».
Outre le corps comme outil de compréhension, comme objet d’être et de relation au monde, c’est aussi et bien sûr le phénomène qui a toute son importance dans cette approche. Le phénomène étant le rapport immédiat de l’individu au monde : « c’est à dire tout ce qui est vécu par l’individu dans l’instant présent, tout ce qui est expérimenté dans l’ici et maintenant »
Avec ces trois approches, nous avons vu voir l’importance du cadre dans la thérapie, l’importance de la relation dans un positionnement « facilitateur », contenant, et permettant l’expressivité. Cette accès à l’expressivité et à la créativité se joue dans l’instant présent, dans le temps de l’entretien, de l’activité. D’où l’importance d’être attentif à la personne, à ses besoins, et notamment à son langage. Par langage nous entendrons à la fois langage verbal, mais aussi langage corporel, qui prend ici toute son importance.
Le suite de ce travail se portera plutôt sur cet aspect de la communication, cette communication non-verbale ayant le corps comme outil privilégié.

Rappel sur les aspects psycho – pathologiques

Dans le champ de la psychose, nous avons déjà pu voir combien les problématiques corporelles tiennent une place importante dans la vie de la personne souffrante.
La personne ne sent pas son corps ou les différents éléments qui le composent, elle ne le vit pas et ne vit pas avec. Sous l’emprise d’hallucinations, elle peut en avoir une vision déformée. Du fait de sa pathologie et des traitements, son corps peut être ralenti, ses mouvements pauvres, ses gestes limités, dans une expression de souffrance. A l’inverse, ce corps peut aussi être hyperactif, les gestes précipités, sans précision, débordé (à l’image du débordement psychique).
Les limites du corps sont floues, et ainsi le corps n’est pas « ancré » dans l’environnement.
Ceci est en lien à une (ou des) faille(s) au niveau du schéma corporel, de l’image du corps, et donc de la conscience du corps, survenues lors du développement de la personne. Les expériences vécues ne lui ont pas permis de développer cette conscience, ou bien des événements traumatiques sont venues la perturber.
« L’ancrage précoce des possibilité corporelles du sujet dans la vie relationnelle impacte le psychisme et le corps, puisque les deux se développent de pair. Ce sont alors autant les capacités productives et expressives qui seront altérées que la manière dont le sujet vit son corps de l’intérieur » J. Merkling [18]
La psychose peut ainsi totalement modifier le vécu corporel de la personne : perte de l’intégrité corporelle, altération des limites, modification du vécu des perceptions.
Comment alors permettre à ce corps de s’exprimer ? Comment lui permettre d’être en activité, d’être lui-même objet principal de l’activité, et ceci de façon bénéfique, thérapeutique pour la personne ?
Abordons tout d’abord ce concept fondamental de l’ergothérapie : l’activité thérapeutique.

Des médiations corporelles à l’expression corporelle

La notion de médiation

« Tous les dispositifs cliniques sont des dispositifs à médiation, et toutes les médiations visent à rendre possible la création ou la mise en oeuvre d’un langage par le transfert de l’expérience vécue en une forme sensible donnée par la médiation choisie au sein du dispositif » R. Roussillon [24] Le concept de médiation a pour origine la notion de triangulation : triangulation de la relation mère-enfant par le père, triangulation de la relation soignant-soigné par un objet externe.
C’est donc l’objet extérieur qui viendrait faire cette triangulation, et selon I. Pibarot l’ergothérapie, en proposant « un espace créatif, ou la relation duelle devient triangulation, deviendrait alors une psychothérapie médiatisée ». [27]
La médiation permettrait alors de transférer les mouvements projectifs de la personne vers l’objet plutôt que vers le thérapeute, ou en tout cas, lui permettrait de les exprimer.
Au delà de l’objet lui-même, l’intérêt pour le thérapeute serait donc d’observer la façon dont il est utilisé, les sensations qu’il procure à la personne et ce qu’il lui permet d’exprimer.
Selon F. Klein, « c’est peut-être là aussi toute l’importance de la médiation, du travail autour de l’objet, de son élaboration, de son émergence, puisque cela permet de se reposer sur un support sur lequel toute une dynamique psychique et relationnelle vient se focaliser ». [22]
R. Kaës propose quand à lui cette idée : « les médiations sont des moyens pour restaurer la capacité de rêver, elles en proposent des équivalents, des embrayeurs. Elles ont pour fonction de créer des symptômes qui peuvent alors être nommés, pour autant que la parole accompagne l’expérience de médiation ». [28]

Les thérapies à médiation corporelle

Les médiations corporelles, ou « techniques du corps », selon M. Mauss et E. Allouch « modifient le mouvement et la sensation en les rendant signifiants, c’est à dire en leur donnant un sens partageable, transformant le mouvement en geste […], le corps en moi-corps […]. » [24]
Cette notion de « moi-corps » rappelle la théorie du moi-peau de D. Anzieu, et renvoie aussi au développement de l’enfant. Selon J. Merkling, la découverte du monde par le nourrissson (et plus tard l’enfant) se fait grâce au corps et à ses mouvements : le corps est son premier mode de relation, les aspects psychiques, cognitifs et affectifs se développeront par la suite.
C’est par les sensations et l’expérimentation corporelle que le sujet est en mesure de percevoir son environnement, et de s’en différencier.
En médiation corporelle, le corps va donc être l’objet médiateur, et c’est à travers lui que les échanges et la relation vont se créer. Le thérapeute doit donc créer l’espace permettant à la personne de s’exprimer avec son corps, d’échanger avec, voire même tout simplement de le « rencontrer ».
Ce type d’accompagnement est donc axé sur la présence, et sur l’éprouvé corporel. Par la sollicitation de l’ensemble du corps, il permet « d’interroger le patient sur la problématique de la segmentarisation du corps […] et offre l’occasion de stimuler le patient dans la globalité de son vécu corporel, renforçant ainsi sa cohésion interne ». T. Bénavidès [6]
En lien avec l’approche phénoménologique, les thérapies à médiation corporelles ne visent pas à remobiliser et retravailler le passé : il s’agit plutôt d’être dans l’instant présent, dans le vécu, l’éprouvé, l’expression, et surtout de relier corps et psyché.
Ainsi les mots ne sont pas forcément à encourager place dans ce type d’accompagnement : il faut laisser le corps communiquer. Andréoli avance même que cela permet d’accompagner la personne dans un mode d’expression peut-être plus accessible, « moins sophistiqué », notamment quand on sait que les personnes psychotiques ont des difficultés à élaborer verbalement. [6]
Les thérapies à médiation corporelle peuvent être proposées soit en séance individuelle (permet de « renforcer l’identité » et met l’accent sur l’aspect relationnel), soit en séance groupale (identité est alors renforcée par « l’individualité dans l’action »). [6]

Présentation de l’atelier « mouvements dansés »

Cet atelier est proposé depuis février 2015 (il était auparavant couplé avec la relaxation). Il est animé par une IDE (ex-danseuse) et l’ergothérapeute (formée à l’art-thérapie).
Il s’agit d’un atelier fermé (les participants s’engagent pour le semestre ou l’année) qui a lieu une fois par semaine pendant environ 1h30.
En fin d’année 2016 a eu lieu une représentation, réalisée à partir des temps d’improvisation, qui ne se fera pas cette année.
Éléments du cadre :
– respect de la confidentialité.
– non jugement.
– pas de souci de performance.
– esprit de solidarité.
– respect dans la relation avec autrui.
Différentes temps sont proposés durant la séance (notion de rituel, important pour le cadre) :
– échauffement : mobilisation du corps, prise de conscience du corps dans l’espace proche et par rapport à l’autre.
– bulle : exercice en individuel, rapport à soi.
– danse de groupe : bouger dans l’espace, s’organiser par rapport à l’espace et aux autres, sentiment d’appartenance (origines de la danse).
– déplacements : exercice de confiance en l’autre, de représentation de l’espace.
– improvisation : espace de libre expression.
– temps de parole : échange autour des ressentis, de ce qui a plu ou déplu, pistes pour les prochaines séances.
L’ergothérapeute et l’IDE participent tout au long de la séance, y compris pendant les temps d’improvisation.
Cet atelier n’est pas effectué dans un souci de performance ; il s’agit de trouver son mouvement propre, de s’exprimer, d’expérimenter avec soi et les autres, être dans l’échange et le partage, être dans le ressenti, le lâcher-prise

Présentation des personnes rencontrées

Le choix de mon lieu de stage a été fait en raison de la présence de l’atelier « mouvements dansés » au sein de la structure. Je voulais pouvoir participer à cet atelier avec les personnes que je pensais interroger.
Le choix des personnes rencontrées dépendait donc des personnes participant à l’atelier à cette période.
Trois personnes souffrant de schizophrénie participent actuellement à cet atelier, ce sont donc elles que je suis allée interroger.
Au final je n’ai pu faire mon enquête qu’avec 2 de ces personnes, la 3e ayant été hospitalisée peu de temps après mon arrivée.
Les critères d’inclusion pour faire partie de cette enquête sont donc : être un adulte, être diagnostiqué schizophrène, participer à l’atelier « mouvements dansés » de façon continue.
→ Mme R a 61 ans. Elle a été diagnostiquée schizophrène avec des troubles dépressifs et une forte auto-dévalorisation, ainsi qu’un sentiment de persécution.
Motif de l’hospitalisation : aide à l’autonomie (logement individuel) et prévention d’une rechute psychotique.
Le thème récurrent dans son discours porte sur des difficultés relationnelles avec sa famille. Comportement à l’HDJ : changements d’humeur fréquents, parfois très susceptible, mais des progrès ont été remarqués depuis son arrivée.
Parmi les activités à médiation corporelle proposées, elle participe à « mouvements dansés » et « relaxation ».
→ Mme C a 56 ans, elle a été diagnostiquée schizophrène avec début des troubles délirants vers l’âge de 22 ans.
Elle souffre d’une hémiparésie gauche néonatale : elle se déplace en marchant et utilise son membre supérieur gauche.

Déroulement de l’enquête

L’enquête se déroulera sur le lieu de stage présenté précédemment.
Le dispositif de terrain, tel que décrit par Eymard, Thuillier et Vial [36], comprend toutes les « organisations, dispositions prises pour aménager les conditions d’observation et de recueil des informations ».
De nombreux éléments de ce dispositif ont déjà été présentés : cadre et organisation de la structure, choix de la population, choix de l’outil,etc.
Il reste à décrire les étapes de la démarche, la façon dont s’est déroulée cette enquête.

Les grilles d’observations

Sur les 8 ateliers « mouvements dansés » auxquels j’ai participé, les 5 derniers ont été filmés, avec le consentement des participants.
J’ai volontairement attendu que les participants s’habituent à ma présence lors de l’atelier, et ai pris le temps de leur expliquer ma démarche.
Il leur a été expliqué que les films ne seraient vu que par moi, dans le cadre de mon travail.
Lors des ateliers filmés, la caméra était installée en début de séance, quand tout le monde était dans la salle. Elle était posée en hauteur, dans un coin de la salle, de façon à avoir une vue d’ensemble. Sauf souci technique, la caméra n’a jamais été manipulée pendant l’atelier.
Tout comme l’IDE et l’ergothérapeute, j’ai moi-même participé à l’ensemble des activités proposées durant tous les ateliers.
Les grilles d’observations ont donc été remplies a posteriori, en visionnant les séquences filmées.

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Table des matières

1. INTRODUCTION
1.1. Contexte, thème général
1.2. Utilité sociale, enjeux et intérêts pour la pratique professionnelle
1.3. Problématique pratique
1.3.1. La schizophrénie
1.3.1.1. Définitions
1.3.1.2. Diagnostic
1.3.1.3. Tableau clinique – principaux symptômes
1.3.1.4. La personne schizophrène et son corps
1.3.1.5. Quelques mots sur le moi-peau
1.3.1.6. La dissociation
1.3.1.7. La dépersonnalisation
1.3.2. Schizophrénie et qualité de vie
1.3.2.1. Répercussions de la maladie
1.3.2.2. Evolution
1.3.3. Pistes thérapeutiques
1.3.3.1. En ergothérapie
1.4. Pré-enquête exploratoire
1.4.1. Construction du questionnaire de pré-enquête
1.4.2. Résultats
1.5. Cadre conceptuel
1.5.1. Modèles/approches théoriques
1.5.1.1. Le modèle psycho-dynamique
1.5.1.2. Le modèle humaniste
1.5.1.3. L’approche phénoménologique
1.5.2. Le corps : conscience du corps, conscience de soi
1.5.2.1. Le corps
1.5.2.2. L’identité corporelle
5.2.3. Conscience et connaissance du corps
1.5.2.4. Le schéma corporel
1.5.2.5. L’image du corps
1.5.2.6. Rappel sur les aspects psycho – pathologiques
1.5.3. L’activité thérapeutique
1.5.3.1. Aspects signifiants et significatifs
1.5.3.2. Le cadre thérapeutique
1.5.3.3. Relation thérapeutique
1.5.4. Des médiations corporelles à l’expression corporelle
1.5.4.1. La notion de médiation
1.5.4.2. L’objet médiateur
1.5.4.3. Les thérapies à médiation corporelle
1.5.4.4. Danse et expression corporelle
1.5.5. Qualité de vie et bien-être
1.5.5.1. La qualité de vie
2. MATERIEL ET METHODE
2.1. Choix de la méthode
2.2. Population
2.2.1. Présentation de l’Hôpital de jour (HDJ)
2.2.2. Présentation de l’atelier « mouvements dansés »
2.2.3. Présentation des personnes rencontrées
2.3. Choix et construction de l’outil de recueil des données
2.3.1. Trame d’entretien
2.3.1.1. Construction de la trame d’entretien
2.3.2. Grille d’observation
2.3.2.1. Construction de la grille d’observation
2.4. Déroulement de l’enquête
2.4.1. Les grilles d’observations
2.4.2. Les entretiens
2.5. Choix des outils de traitement des données
2.5.1. Traitement des entretiens
2.5.2. Traitement des grilles d’observations
3. RESULTATS
3.1. Présentation des résultats
3.1.1. Résultats des entretiens
3.1.2. Résultat des grilles d’observation
3.2. Analyse des résultats
3.2.1. Portrait de Mme R
3.2.2. Portrait de Mme G
3.2.3. Synthèse
4. DISCUSSION DES RESULTATS
4.1. Interprétation en lien avec le cadre théorique et la problématique pratique
4.2. Réponse à l’objet de recherche
4.3. Discussion autour des résultats
4.4. Critiques du dispositif de recherche
4.4.1. Les entretiens
4.4.2. Les observations
4.4.3. Remarques générales
4.5. Propositions et transférabilité pour la pratique professionnelle
4.6. Perspectives pour la pratique professionnelle
BIBLIOGRAPHIE

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