DES LA COLLECTE, TRANSFORMATION A L’USINE ET EXPORTATION DE LANGOUSTE

Définition de l’unité d’effort

               La pêche traditionnelle est définie par voie de décret comme étant l’ensemble de toutes les pêches marchandes ne faisant pas intervenir des embarcations motorisées. Ainsi, la pêche à pirogue de tout genre (monoxyle, à balancier, à voile, en planche ou métallique) quels que soient les engins utilisés, font partie de cette catégorie. D’autre part, la pêche à pied (sans aucune embarcation) fait aussi partie de la catégorie bien que « la puissance » de pêche effective n’est pas toujours pareille à celle de la pirogue. Cette situation nous oblige à définir l’unité d’effort par association embarcation/engin dénommée « UNITE DE PECHE » ou UP. Particulièrement pour la pêche langoustière, deux types d’UP se distinguent :
-Pirogue/Casier (Pir/Casier) ;
-A pied/Casier (Api/Casier).
D’autres techniques telles que la plongée, le filet maillant, etc., peuvent aussi capturer la langouste mais ce type de techniques ne prend pas pour cible principale et spécifique la langouste. Les produits ainsi obtenus restent minimes par rapport à celui des casiers ? Ceci nous amène à considérer la langouste comme une capture accidentelle de ces engins bien que « l’accident » soit fort appréciée. Pour les deux types d’UP cités plus haut, l’unité d’effort est définie comme étant une sortie pour la levée d’une UP. A titre d’information, une UP pirogue/casier est composée en moyenne de :
– deux à trois pêcheurs ;
– vingt à trente casiers ;
– deux jours de mouillage, l’état de la mer étant le facteur principal de cette durée.
Une UP à pieds/casier se compose en moyenne de :
– un pêcheur ;
– cinq casiers ;
– un jour de mouillage.

Particularités importantes de la pêcherie pour son aménagement 

                     Dans le sud de Madagascar (région de Tolagnaro) la pêche de langoustes se pratique sur une longue bande littorale de 450 Kilomètres de long. Les langoustes capturées dans cette région sont acheminées vers la ville de Tolagnaro située à la pointe sud-est de l’île. Cette ville draine donc les produits venant du Nord (jusqu’à 150 Km) et de l’Ouest (jusqu’à 250 Km). D’un point de vue écologique on distingue deux régions, le Nord caractérisé par un biotope rocheux et le Sud-ouest constitué de récifs gréseux et également de récifs coralliens. Taolagnaro se situe presque à la limite des deux régions. Elle occupe donc une position relativement centrale par rapport aux deux zones de pêche. Dans chacune d’elles, on distingue un stock de langoustes différent disponible à la pêcherie traditionnelle :
– Dans la région Nord, le stock se compose de P . homarus ( 84% des captures) ; P. longipes (15%) et P . penicillatus (1%).La pêche se pratique de façon traditionnelle au casier à partir de pirogues monoxyles.
– Dans la zone Sud, la pêche se pratique surtout en plongée, mais également au flambeau et au casier. Le stock se compose de P . homarus (43%) des captures) ; P . penicillatus (32,6%) ; P . longipes (17%) ; P . ornatus (5,4%) et P . versicolor (1,5%).
Au total sur les deux régions P . homarus rubellus contribue à elle seule pour 65% des captures . Panulirus homarus est une langouste d’eau peu profonde (1-90 mètres) mais elle est essentiellement localisée entre 1 à 5 mètres. Elle est grégaire et nocturne. L’exploitation de la langouste à Madagascar remonte aux années 40 ; cependant elle existait bien auparavant. En effet, en 1911 Gruvel mentionnait « P . homarus se prête à une exploitation industrielle intéressante dans le Sud Est de Madagascar ». Certaines caractéristiques de la pêcherie de langouste méritent d’être soulignées de par leur importance pour l’aménagement :
• La pêche dans la région Nord de Tolagnaro est limitée par les conditions de mer : l’effort de pêche se situe à 15,4 jours par mois en moyenne sur la saison. En effet, en période cyclonique de janvier en mars, les conditions de mer n’autorisent que peu de sorties.
• Il existe actuellement un problème d’approvisionnement en Vahipiky (plante grimpante) utilisée pour la fabrication de casiers. Un nombre important de casiers est utilisé durant une saison de pêche (350.000 casier-jour ). Par ailleurs la durée de vie du casier est faible : en moyenne 15 jours. Le nombre élevé de casiers et leur taux de remplacement, implique un prélèvement important de la liane (Vahipiky) en forêt. Il devient urgent de connaître l’abondance de lianes en forêt et de calculer leur taux d’exploitation soutenable, de sorte à eviter un épuisement soudain de celles-ci. Il faut savoir qu’une liane met environ trente ans pour atteindre la longueur nécessaire à la fabrication d’un casier (20 à 30 mètres). Dans cette étude, il convient d’envisager les matériaux alternatifs au Vahipiky pour la fabrication des casiers.
• Après la capture des langoustes, et avant la transformation des produits en usine, il existe un long transport routier. Ceci engendre une mortalité qui atteignait 15% dans la région Nord. Cette mortalité semble s’être quelque peu réduite ces dernières années, due principalement à un changement du mode de transport (évacuation des produits par voie aérienne). Sur les longues distances routières du sud, les mortalités de langoustes demeurent un facteur de perte significatif. Il convient ici d’étudier le niveau point de viviers de stockage auprès des pêcheurs et de viviers de transport qui réduiraient la mortalité. Par ailleurs, le conditionnement en vivant, comme signalé plus haut, a l’avantage de répondre aux normes de qualité les plus strictes et répond aussi à une forte demande sur le marché.
• Il convient de signaler ici, les difficultés que connaît la pêcherie en approvisionnement d’appâts préférentiels (moules, burgo, . . . ). En particulier, l’approvisionnement en moule, se réduit suite à l’exploitation intensive des bancs accessibles.

Politique de produit

                    L’objectif de l’entreprise sur cette politique de produit c’est de donner une satisfaction aux consommateurs ou à ses clients. Pour ce faire, elle va améliorer la qualité de leurs produits. Ainsi, elle va améliorer sa position sur le marché par rapport à ses concurrents. Ainsi, l’entreprisse va produire en qualité comme en quantité. La qualité du produit : comme l’entreprise a plusieurs concurrents ; alors, il est nécessaire de présenter des produits de bonne qualité ; et de l’améliorer. Souvent, cela est important afin de rendre compétitive l’entreprise, et aussi de battre ses concurrents. Ainsi, le plus essentiel est de respecter les normes demandées. Nous avons déjà mentionné qu’il y a des normes à respecter surtout sur le marché international (sur le marché Européen) comme la taille du produit par exemple. D’autre part, l’entreprisse doit tenir compte l’importance de l’hygiène et de la salubrité pour la production. Et puisque ce produit est fragile, périssable, alors on doit respecter les conditions de conservation : la congélation de ces produits. En un mot, la satisfaction du client dépend de la qualité du produit. Alors, il faut respecter les normes demandées par le marché, et tout en gardant les produits bien frais, sans avoir de défaut. Donc, il doit adapter et répondre aux besoins du client ou des consommateurs. Les quantités du produit : voir la satisfaction du client, c’est considérer non seulement la qualité du produit mais aussi voir la quantité à offrir. Ainsi, il faut savoir si les volumes offerts répondent bien aux besoins des clients (les clients sur le marché international et national). En outre, il faut éviter un excès de production, afin d’éviter une perte .De ce fait, satisfaire les clients du point de vue « quantité » est d’offrir un volume qui sont proportionnel aux demandes ou aux besoins des clients. Alors, l’entreprise doit produire en qualité et aussi en quantité pour satisfaire ses clients et pour les profits de l’entreprise, elle-même.

L’exportation et l’Economie

Au niveau de l’entreprise : L’entreprise doit faire la transformation et le conditionnement car il y a :
-une grande différence entre le produit brut qui vient du pêcheur et le produit conditionné. Donc la Valeur Ajoutée sera crée lors de la transformation.
-une grosse différence si l’entreprise vend sur le marché local et le vend sur le marché international (exportation). Madagascar est encore un pays pauvre, voir même le niveau monétaire est très bas. Et de l’autre côté, les étrangers sont des pays riches, ont de niveau monétaire très haut ( le dollar, l’euro face à l’ariary). Donc les malgaches n’arrivent pas à acheter les produits à un bon prix, alors vaux mieux exporter. Une hausse de l’exportation entraine une hausse du Chiffre d’Affaire, une hausse de l’EBE (Excedent Brut de l’Exploitation), c’est l’augmentation de la valeur ajoutée.
EBE = CA – Consommation Intermédiaire (tout les coûts)
En économie, la consommation intermédiaire se nomme LK
L : Labor c’est-à-dire Travail : main d’œuvre (salaire)
K : Capital (matériel de pêche, l’électricité, la transformation, l’essence et gasoil)
Au niveau National : Nous résumons dans ce schéma ce qui se passe dans l’exportation au niveau national. Donc, ça va augmenter l’Activité économique, Hausse du PIB(Produit Intérieur Brut), C’est LE DEVELOPPEMENT De plus, lors de la création de la VA, les gens vont avoir plus d’argent. Ils peuvent consommer plus donc hausse de la consommation, de main d’œuvre alors :
-une hausse de revenu
-une hausse de l’investissement
-une hausse de recette fiscale
C’est LE FACTEUR DE CROISSANCE ECONOMIQUE.

EXPORTATION

              En utilisant les stratégies marketing (marketing MIX) et stratégie de communication (Push et Pull) : l’exportation qui est une partie du commerce international vu l’utilisation des incoterms, de transit et la douane est un facteur de développement. Les contributions à l’amélioration de l’exportation sont très utiles pour la société LE MARTIN PECHEUR pour son développement et pour l’avenir de la société en tant qu’exportateur.

CONCLUSION GENERALE

                 Notre mémoire intitulé « Dès la collecte, transformation à l’usine et exportation de langouste Cas : MARTIN PECHEUR FORT-DAUPHIN » est une activité avantageuse car c’est intéressant pour la région. La situation démographique (importance des ressources humaines) et la position géographique de la région (qui est au bord de l’océan indien) nous explique que l’activité de pêche y est intéressante, surtout elle a une ressource importante du point de vue qualité que du point de vue quantité quand on parle de la langouste, car la grande partie de produits exportés vers l’extérieur vient de Fort-dauphin. Dans cette étude, on doit suivre une certaine méthodologie : La descente sur terrain pour voir et consulter la réalité nous semble la plus importante. Ainsi, de stage de 6 mois avait été faite auprès de la société exportatrice pour bien cerner et appliquer ce qu’on avait étudié à l’Université. Diverses enquêtes ont été menées auprès des villagoies, administration de pêche, dirigeants d’entreprise. On a consulté aussi des documents, des ouvrages et revues ainsi que des sites internet. L’étude de ce cas se passe par trois(03) grandes parties d’analyses qui sont :- les données sur la société le Martin pécheur – la pêche et la collecte de langouste et en fin – la transformation à l’usine et l’exportation de langouste. Concernant la première partie : données sur la société le Martin pêcheur, nous avions fait la présentation de la société c’est-à-dire l’identité de l’entreprise, son historique, son organigramme, son fonctionnement (les tâches et rôles de chaque division), ses activités et produits et l’environnement de la société. Dans cette dernière nous avons environnement interne, ce qui concerne les chiffres d’affaires, les résultats réalisés chaque année, l’effectif des employés, la communication interne, le système de motivation (pensions des retraites, congés ,. . .), l’ambiance et l’horaire de travail. L’environnement externe indique la communication externe, les relations de l’entreprise avec les fournisseurs, la concurrence et sa part de marché. La pêche et la collecte de langouste est l’objet de notre étude dans la deuxième partie. En effet, nous avons identifié ce que c’est les pêcheurs, ses mœurs et coutumes, les matériels qu’ils utilisent pour pêcher, l’association de pêcheurs et la saison de pêche, la communauté des pêcheurs traditionnelles, la structure de la pêcherie, l’évaluation de l’effort et de la capture, le problème d’approvisionnement en « Vahipiky »(plante utilisée pour la fabrication des casiers), le problème d’effectif des pêcheurs, la réduction notable des captures liée à la tarification de « Vahipiky » et la disparation progressive des moules pour appâts et les dépenses des pêcheurs (cérémonies rituelles, zébus, nourritures, dépenses luxurieuses). De plus, nous avions étudié la collecte de langouste, c’est-à-dire essayer de définir la langouste, les collecteurs, les rabatteurs, le système de collecte et les matériels de collecte utilisés. Ainsi la contribution à l’amélioration de la collecte comme l’amélioration des moyens de transport, le partage de viviers aux rabatteurs et le recours à l’Etat de réhabiliter la route sur les côtes terminerons cette seconde partie. La troisième et dernière partie aborde sur la transformation à l’usine et l’exportation de langouste. Pour la transformation à l’usine, nous avions détaillé ce que c’est la chambre positive, le pesage et nettoyage, le triage étêtage, la cuisson de langouste, leur conditionnement ou emballage des produits. La congélation et le stockage des produits se fait dans la chambre froide et au magasin de stock frigorifique. Le personnel de la chambre froide utilisent des matériels comme : les balances, tables, brosses, cuves, bacs, couteaux, gants, paires de bottes et des blouses. Pour l’exportation de langouste, nous avions : exporter c’est vendre à l’étranger (un produit, des marchandises, un service . . . ). Exporter parce qu’il y a de rôles bénéfiques qui sont le soutien de l’activité nationale, l’économie d’échelle, l’harmonisation de la valeur ajoutée, la rentrée de devise et la création d’emploi. Pour exporter, il faut une stratégie marketing à faire pour affronter la concurrence sur le marché, pour satisfaire les besoins et désirs des clients et pour l’intérêt réciproque de consommateur et l’entreprise. Donc le marketing MIX est là pour cela : c’est la politique de produit, la politique de prix, la politique de distribution et la politique de promotion. Il ne faut pas oublier aussi la stratégie de communication qui est la stratégie Push et la stratégie Pull. Ainsi dès qu’on a la commande des clients, on passe à la préparation des documents nécessaires pour l’exportation. L’exportation est parmi le commerce international en savoir plus sur les incoterms utilisés, le transit ainsi que la douane. Pour clore cette dernière partie, nous montrons la contribution à l’amélioration de l’exportation comme : le renforcement de matériel de transport, l’amélioration de packaging, l’éco-friendly, l’étude de marché, la réactivité, l’amélioration de mode de conservation, l’amélioration des infrastructures portuaires, la sécurisation de paiement à l’international, la participation aux foires internationales et l’utilisation de bateau. La création de la valeur ajoutée lors de la transformation, voir même son augmentation due à une hausse de l’exportation qui entraine la hausse du CA, l’EBE est un signe de l’amélioration de l’exportation au niveau de l’entreprise. La hausse du PIB, la consommation, les main d’œuvres (une hausse de revenu, de l’investissement, de recette fiscale) est un Facteur de croissance économique provoqué par l’augmentation de l’exportation au niveau national.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : DONNEES SUR LA SOCIETE LE MARTIN PECHEUR
CHAPITRE I : Présentation de la société
Section 1 : Identité de l’entreprise
Section 2 : Historique
Section 3 : Organigramme de la société
Section 4 : Fonctionnement de la société
4-1-Tâche et rôle de chaque division
4-1-1-Direction générale
4-1-2-Le Directeur Administratif et financier
4-1-3-Le Secrétariat de direction
4-1-4-Le Chef Comptable
4-1-5-Le Service technique
4-1-6-Service production et contrôle qualité
4-1-7-La caisse
4-1-8-L’Acceuil
Section 5 : Activités et Produits
5-1-Tableau de l’Activité et Produits
5-2-Tableau de volume d’activités
5-3-La saison
CHAPITRE II : Environnement de la société
Section 1 : Environnement Interne
1-1-Les Chiffres d’Affaires
1-2-Prix de vente de leur produit (export)
1-3-Résultats réalisés chaque année
1-4-Effectifs des employés
1-5-Communication interne
1-6-Système de motivation
1-7-Ambiance
1-8-Horaire de travail
Section 2 : Environnement Externe
2-1-Communication externe
2-2-Relations de l’entreprise avec les fournisseurs
2-3-Concurrence
2-4-Part de marché
PARTIE II : LA PECHE ET LA COLLECTE DE LANGOUSTE
CHAPITRE I : La pêche
Section 1 : Les pêcheurs
1-1-Les pêcheurs du Nord
1-2-Les pêcheurs aux alentours de Fort-dauphin
1-3-Les pêcheurs du Sud
1-4-Les mœurs et coutumes des pêcheurs
Section 2 : Les matériels de pêches
2-1-Les pirogues
2-2-Les vovo
2-3-Les filets
2-4-Les masques de plongé
Section 3 : Le groupement ou association de pêcheurs
Section 4 : La saison de pêche
Section 5 : La pêche traditionnelle de Tolagnaro
5-1-La communauté des pêcheurs
5-2-Structure de la pêcherie
Section 6 : Evaluation de l’effort et de la capture de la pêche langoustière à Tolagnaro
6-1-Définition de l’unité d’effort
6-2-Evaluation de l’effort et de la capture
Section 7 : La pêcherie de langoustes à épines du Sud de Madagascar
Section 8 : Caractéristiques socio-économiques de la pêche traditionnelle langoustière dans la région de Fort-dauphin
Section 9 : Les dépenses des pêcheurs
9-1-Cérémonies rituelles
9-2-Achat des zébus
9-3-Dépenses en nourritures
CHAPITRE II : La collecte de langouste
Section 1 : La langouste et le système de collecte
1-1-La langouste
1-1-1-Morphologie
1-1-2-Etymologie
1-1-3-Genres et espèces
1-1-4-Préparation culinaire
1-2-Les collecteurs
1-3-Les rabatteurs
1-4-Le système de collecte
Section 2 : Les matériels de collectes
2-1-L’Avion
2-2-Les voitures 4X4
2-3-La Radio (BLU)
2-4-Les Balances
2-4-1-Balance « Kiringa »
2-4-2-Balance à aiguille
2-5- Les « VAHA »
2-6-Les « LASAKA »
CHAPITRE III : Contribution à l’amélioration de la Collecte
Section 1 : Amélioration des moyens de transports
1-1-Utilisation de l’avion en bon état
1-2-Utilisation de camionnette frigorifique
Section 2 : Partage de viviers aux rabatteurs
Section 3 : Augmentation de la commission donnée aux collecteurs
Section 4 : Recours à l’Etat de réhabiliter la route sur les côtes
PARTIE III : LA TRANSFORMATION A L’USINE ET L’EXPORTATION DE LANGOUSTE
CHAPITRE I : La transformation à l’usine
Section 1 : la chambre positive
Section 2 : Le pesage et nettoyage
Section 3 : Le triage- étêtage-cuissons des langoustes
Section 4 : Emballage ou conditionnement
Section 5 : Congélation et stockage
Section 6 : Les matériels de traitement et de transport
Section 7 : Le personnel de la chambre froide
CHAPITRE II : L’exportation de langouste
Section 1 : Situation de l’Exportation
1-1-Situation de l’exportation à Madagascar
1-1-1-Qu’est-ce qu’Exporter ?
1-1-2-Pourquoi Exporter ?
Section 2 : Rappel théorique sur la stratégie Marketing
2-1-Définition
2-2-Programme d’action
2-3-Le Budget
2-4-Le Contrôle
2-5-Le Marketing MIX
2-5-1-La politique de produit
2-5-2-La politique de prix
2-5-3-La politique de la distribution
2-5-4-La politique de la promotion
2-6-La stratégie de communication
2-6-1-La stratégie Push
2-6-2-La stratégie Pull
2-7-Les documents nécessaires à l’exportation
2-7-1-Le note de Colisage
2-7-2-Demande de visite auprès Vétérinaire officiel
2-7-3-Demande de travaux supplémentaires, Visite et Pesage
2-7-4-Demande de travaux supplémentaires Recevabilité et Enregistrement de la Déclaration
2-7-5-Déclaration Douanière
2-7-6-Facture
2-7-7-Décompte de valeur
2-7-8-Imprimé de Visa de Conformité
2-7-9-Certificat Sanitaire délivré par le Vétérinaire
2-7-10-Système Généralisé de préférence SGP
2-7-11-Attestation d’embarquement
2-7-12-Expédition des produits marins
2-7-13-Avis de paiement au Bureau de Douanes
2-7-14-Etablissement Connaissement
Section 3 : Le Commerce International
3-1-Définition du commerce international
3-1-1-Indicateurs
3-1-2-Eurreurs fréquentes
3-1-3-La logistique internationale
3-1-4-Les Incoterms
3-1-4-1-Généralités
3-1-4-2-Définitions
3-1-4-3-Les incoterms
a-Les 13 incoterms
b-Les incoterms par groupe
3-2-Le Transit
3-2-1-Définition du transit
3-2-2-Les obligations d’un commissionnaire agrée
3-2-2-1-Les contraintes juridiques
3-2-2-2-Les contraintes professionnelles
3-2-2-3-Les contraintes sociales
3-2-3-Les transitaires locaux
3-2-4-Les obstacles possibles
3-3-La douane
3-3-1-Principes généraux du régime des douanes
3-3-1-1-Définition de la législation et de la Réglementation Douanière
3-3-1-2-Généralités
3-3-2-Loi Tarifaire
3-3-2-1-Tarif des Droits de douanes
3-3-2-2-Tarif des droits et des taxes fiscaux
3-3-2-3-Dispositions communes
Section 4 : Contribution à l’Amélioration de l’Exportation
4-1-Renforcement de matériel de transport
4-2-Amélioration de Packaging
4-3-Valeur environnementale
4-3-1-Eco-friendly
4-4-Etude de marché
4-5-Valeur Développement
4-6-Réactivité
4-7-Amélioration de mode de conservation
4-8-Amélioration des infrastructures portuaires
4-9-Amélioration et sécurisation des paiements à l’international
4-9-1-L’encaissement (ou remise) libre
4-9-2-L’encaissement (ou remise) documentaire
4-9-3-La lettre de crédit stand-by commerciale ou commercial stand-by letter of credit (SBLC)
4-9-4-Le crédit documentaire
4-10-Présentation du produit au monde
4-11-Utilisation de Bateau
4-12-L’exportation et l’économie
4-12-1-Au niveau de l’Entreprise
4-12-2-Au niveau National
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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