Définition du concept d’orientation durable
Nous pouvons dire qu’une personne ayant une 00 élevée est un individu qui a des valeurs et des croyances de DD. Ce sont des individus inquiets de la détérioration de l’environnement ou des problèmes sociaux et qui seraient prêts à s’engager volontairement dans des projets qui visent deux ou trois des dimensions du DD. Le fait de s’engager envers le DD leur permet de donner un sens à leurs valeurs. Cela s’ inscrit en continuité avec leur personnalité et leur permet donc d’ être fidèles à leurs origines et aux valeurs qu’ ils ont développées (Barré, 2009, p. 28).
Selon Becker et Félonneau (20 Il), l’ orientation envers le DD découlerait des valeurs de l’ individu. D’après Rokeach (1973), les valeurs ont généralement été considérées comme les objectifs qui guident les principes de la vie. Elles représentent des objectifs importants et servent de principe directeur dans la vie d’une personne. Elles sont considérées comme des déterminants des attitudes et des comportements tels que les comportements pro-environnementaux et pro-sociaux.
L’ attitude envers un comportement est l’ expression des croyances profondes de chaque individu (Ajzen, 1991). Elle découle de ses motivations et de ses valeurs.
L’ attitude reflète donc ses convictions et opinions sur un comportement donné. Par conséquent, un individu qui a des valeurs de DD a également une attitude favorable envers le DD, d’où notre pensée qu’une orientation durable est une attitude favorable envers le DD.
Une personne ayant une OD est celle qui est orientée vers le DD. De ce fait, la définition du concept d’OD se fera suivant chacune des trois dimensions du DD. Par définition, et par historicisme, la préoccupation pour les volets économiques des entreprises n’est plus à expliquer. Que ce soit pour maximiser ce volet ou pour simplement assurer la survie de l’ entreprise (profit minimal ou satisfaisant), la dimension économique a toujours été au coeur des préoccupations des divers acteurs qui forment l’entreprise et son écosystème (ex. banque, fournisseurs, employés, etc.) Par conséquent, comme l’ont fait Lawrence, Collins, Pavlovich, et Arunachalam (2006), nous allons surtout centrer notre attention sur les deux autres dimensions du DD, qui elles, nécessitent une explication plus approfondie. Ainsi, nous avons trois types d’OD : l’ orientation pro-environnementale, l’ orientation pro-sociale et l’OD qui marie les dimensions sociales ‘et environnementales.
Orientation pro-environnementale
L’ orientation pro-environnementale est une dimension affective et émotionnelle qui implique des sentiments positifs envers l’environnement et la prédisposition de s’opposer fermement à des comportements anti-environnementaux (Victor CorralVerdugo et al., 2009). Par exemple, un individu qui choisit d’ utiliser le transport en commun pour se déplacer ou de réduire sa consommation d’eau chaude adopte un comportement qui illustre son orientation pro-environnementale. Cependant, les personnes préoccupées par l’ état de l’environnement pourraient l’ être pour des raisons fondamentalement différentes (Wesley Schultz et Zelezny, 1999).
Dans ce sens, Stern et Dietz (1994) proposent trois bases distinctes pour les attitudes pro-environnementales basées sur les croyances de l’ individu. Le premier type d’ individu pense, par exemple, que l’environnement doit être protégé parce qu’ il ne veut pas respirer de l’ air pollué. Le deuxième type d’ individu pense que l’environnement doit être protégé à cause des conséquences qu’ il peut y avoir sur les autres personnes à long terme, tandis que le troisième type d’ individu pense que les êtres humains ne doivent pas nuire à la nature parce que les humains ne sont qu’une partie d’un tout qui l’enchâsse.
Orientation pro-sociale
L’orientation pro-sociale consiste à soutenir ou à être sensible à un ensemble d’enjeux sociaux. Cette orientation est associée à des situations durables dans la vie quotidienne (Victor Corral-Verdugo et al., 2009). Par exemple, cela peut-être la sensibilité à la pauvreté, la sensibilité à la discrimination raciale, la sensibilité à la violence conjugale, etc. La diversité et le nombre d’enjeux sociaux sont apparents. Il ne suffit que de consulter les quotidiens nationaux et internationaux pour le constater.
Tout comme pour l’ orientation pro-environnementale, diverses raIsons peuvent soutenir l’ orientation pro-sociale. Certains individus peuvent être stimulés par leurs propres intérêts. Par exemple Penner, Fritzsche, Craiger, et Freifeld (1995) suggèrent que les individus font des actions pro-sociales non pas en raison de ce qu ‘ ils font pour les autres, mais plutôt à cause de ce qu’ ils font pour eux-mêmes. D’ autres le font pour maximiser des résultats collectifs (Kaiser et Byrka, 2011). Ainsi, selon Bédard, Lamarche, et Déziel (2012, p. 303), « le comportement pro-social peut se définir comme étant un acte effectué dans l’ intention d’ aider autrui, sans égard aux motivations ou aux récompenses attendues ».
D’ autres facteurs semblent animer les individus avec une orientation pro-sociale: Certains chercheurs pensent que les individus ayant une orientation pro-sociale ont des traits de personnalité qui les prédisposent en quelque sorte à cette orientation. En ce sens, la tendance à montrer de la gratitude ou encore le fait d’ être reconnaissant démontrent une orientation pro-sociale. De ce fait, ces personnes sont également empathiques, indulgentes et serviables (McCullough, Emmons, et Tsang, 2002).
L’ amabilité a également été montrée comme un trait de personnalité qui caractérise les personnes ayant une orientation pro-sociale (Graziano, Habashi, Sheese, et Tobin, 2007).
Vers une orientation pro-environnementale et sociale
Selon les résultats d’une méta-analyse effectuée par Bamberg et Moser (2007), les orientations pro-environnementales et pro-sociales sont liées, car elles découlent toutes deux des intérêts personnels (par exemple, le fait d’adopter des pratiques qui minimisent les risques sur notre propre santé) et des préoccupations pour les autres personnes : pour les générations futures, pour les autres espèces et pour les écosystèmes tels que la prévention de la pollution de l’ air, qui pourrait causer des risques de santé pour les autres et pour le climat mondial. Dans le même sens, les résultats de l’étude de Kaiser et Byrka (2011) révèlent que 90% des personnes ayant une orientation proenvironnementale ont aussi une orientation sociale. Une raison de plus qui justifie que nous nous dirigions doucement vers une orientation pro-environnementale et sociale.
En somme, nous pouvons dire qu’ une personne ayant une OD est un individu qui a une orientation pro-environnementale, une orientation pro-sociale, une combinaison des deux, sans oublier un souci pour le volet économique. Dans le cadre de cette étude, nous considérons qu’ une personne ayant une OD doit jumeler deux dimensions, soit le volet économique et l’un ou l’ autre des autres volets. Après avoir défini le concept d’OD, il nous parait nécessaire de nous attarder sur les déterminants de cette orientation durable.
Quelques déterminants de 1’00
Il ressort de notre revue de littérature que l’OD est influencée par certains déterminants individuels. Selon Becker et Félonneau (2011), l’ orientation envers le DD découlerait des valeurs de l’ individu. D’après Rokeach (1973), les valeurs ont généralement été considérées comme les objectifs qui guident les principes de la vie. Ils représentent des objectifs importants et servent de principe directeur dans la vie d’une personne. Ils sont considérés comme déterminants des attitudes et des comportements tels que les comportements pro-environnementaux et pro-sociaux.
Les valeurs peuvent jouer un rôle important concernant les problèmes de durabilité (Poortinga, Steg, et Vlek, 2004). Plusieurs études ont montré que les valeurs contribuent à la définition et à la compréhension de diverses attitudes et comportements environnementaux. Wesley Schultz et Zelezny (1999) ont effectué une étude internationale qui étudie la relation entre les valeurs et les attitudes. Cette recherche a été effectuée auprès d’ étudiants universitaires dans 14 pays. Dans l’ensemble, les résultats de l’étude soutiennent la croyance selon laquelle les valeurs sont à la base des attitudes environnementales. Le Portrait Value Questionnaire (PVQ) de Schwartz a été utilisé par Becker et Félonneau (2011), pour expliquer le lien possible entre les valeurs d’une part, et les attitudes et comportements environnementaux d’ autre part. Les résultats de l’étude appuient effectivement l’ existence de ce lien.
L’ orientation future est un trait psychologique qui conduit les individus à anticiper les conséquences de leurs actes. Cette dernière intègre une dimension temporelle importante, qui devrait être incluse dans la définition d’ une orientation durable. Comme la définition du DD le stipule, le DD est un développement qui répond aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs (Commission mondiale sur l’environnement et le développement et Brundtland, 1987). Cette définition inclut une dimension temporelle, car elle souligne l’importance de l’ avenir des générations futures. Par conséquent, nous pourrions penser qu’une personne orientée vers le futur se soucie des objectifs de long terme.
En effet, être orienté vers le futur pourrait impliquer l’adoption de pratiques respectueuses des systèmes socioécologiques. V. Corral-Verdugo et Pinheiro (2006) ont effectué une étude qui a pour objectif de déterminer si l’ orientation future est un facteur prédicatif significatif du comportement durable. Les résultats de l’ étude indiquent que l’ orientation future est une dimension psychologique importante du comportement durable. En fait, les personnes orientées vers l’avenir sont plus engagées dans des pratiques de durabilité. Les chercheurs concluent que ce résultat renforce l’idée selon laquelle l’ orientation durable a une composante temporelle dans laquelle l’ individu anticipe l’effet de ses propres actions. Ainsi, il établit et réalise des objectifs qui visent à préserver l’environnement pour les générations futures (V. Corral-Verdugo et Pinheiro, 2006). Dès lors, nous pouvons dire que l’ orientation future affecte significativement et positivement le comportement durable (Victor Corral-Verdugo et al., 2009).
Finalement, l’ altruisme est une dimension très importante de l’OD, car elle implique de produire des effets positifs sur les besoins des autres personnes (Victor CorralVerdugo et al., 2009). Kaiser et Byrka (20 Il) affirment que 90% des personnes ayant une orientation pro-environnementale ont aussi une orientation sociale. Cela pourrait être expliqué par le fait que l’altruisme est justement une composante importante de 1’00. L’altruisme peut être défini comme un état de motivation qui vise à accroitre le bien-être des autres sans toutefois avoir un gain pour soi-même (Tapia-Fonllem, Corral Verdugo, Fraijo-Sing, et Duron-Ramos, 2013).
En effet, l’ altruisme est une composante qui influe sur l’ orientation pro environnementale et sur l’ orientation pro-sociale. Dans une étude de Stem (2000), l’ altruisme a été reconnu comme l’un des principaux moteurs de la conservation de l’environnement (Stem, 2000) et c’est aussi une composante importante de l’ orientation pro-sociale. Dès lors, nous pouvons affirmer que l’altruisme est une composante importante qui influe sur le comportement durable.
Cette section nous a permIS de présenter les déterminants individuels qUi semblent influer sur l’OD. Il est à présent nécessaire d’expliquer comment nous poumons identifier ces individus qui ont une OD, et c’est l’ objectif de la section suivante.
Identification du degré d’DO des individus
À travers la recension des écrits, nous avons constaté que la manière d’ établir le niveau d’OD des personnes se fait essentiellement par deux moyens :
À travers les actions et les pratiques pro-sociales et/ou pro-environnementales des individus;
Ou encore à travers leurs visions et objectifs.
Pour ce faire, nous allons présenter quelques modèles de mesure utilisés par d’ autres chercheurs dans le cadre de leur étude. Ces derniers nous permettront de comprendre comment nous pourrions distinguer les niveaux d’OD des personnes.
Les attitudes pro-environnementales ont été mesurées par Heyl, Diaz, et Cifuentes (2014) à travers une recension des écrits scientifiques. Ils ont regroupé les articles en six catégories, à savoir ceux traitant du recyclage, de la consommation d’ énergie, de la consommation d’ eau, du transport (utilisation des transports publics ou à vélo), de la consommation responsable des produits et de la participation à des actions (utilisation de matériaux recyclés papier, l’achat d’aliments biologiques ou produits responsables) gouvernementales. Leur but était de vérifier lesquelles de ces catégories étaient les plus significatives et pouvant donc être qualifiées d’ attitudes pro-environnementales. Les résultats de l’étude révèlent que le recyclage, la consommation d’eau et d’ énergie sont les plus significatifs, tandis que la consommation responsable des produits et la participation à des actions sont les moins significatives.
Dans une autre étude (dont l’ objectif était de déterminer si les individus, qui avaient une orientation pro-environnementale avaient aussi une orientation pro-sociale), Kaiser et Byrka (2011) ont évalué le comportement pro-environnemental par un ensemble d ‘éléments tels que la consommation, le recyclage, l’ utilisation de l’ énergie et l’appartenance à un système de covoiturage, tandis que le comportement pro-social a été mesuré en fonction de neuf questions qui ont pour but de déterminer si l’ individu a une orientation pro-sociale ou non. Les résultats de l’étude révèlent que 90% des personnes ayant une forte orientation pro-environnementale avaient aussi une orientation prosociale, tandis que seulement 65% des personnes étant moins engagées envers l’environnement avaient aussi une orientation pro-sociale.
Une étude sur la consommation d ‘énergie des ménages a été effectuée par Poortinga et al. (2004) dans le but d’évaluer les valeurs, les préoccupations et le comportement environnemental des participants. Pour mesurer les valeurs, les répondants devaient indiquer, sur une échelle de 1 à 5, leur degré d’accord avec des énoncés comme: « nous n’avons pas besoin de nous inquiéter sur le réchauffement climatique », « pour résoudre les problèmes environnementaux le gouvernement devrait donner des règles claires ». Pour évaluer les comportements, les questions portaient sur des éléments tels que le fait d’ éteindre les lumières dans les pièces inutilisées, le fait de prendre une douche courte ou encore le fait d’ utiliser un réfrigérateur éco énergétique.
Les résultats de l’étude suggèrent que J’ utilisation des variables d’ attitude uniquement, telle que les valeurs, peut être très limitée pour expliquer tous les types de comportement environnemental.
Plus près de notre thématique de recherche, il existe une étude qUI porte spécifiquement sur l’ orientation durable des entrepreneurs potentiels. Les auteurs de cette recherche, Kuckertz et Wagner (2010) établissent un lien entre les attitudes et les convictions et l’ intention entrepreneuriale axée sur le DD. Les auteurs ont effectué une synthèse de la littérature dans les domaines de la psychologie environnementale, l’ entrepreneuriat social et environnemental et la gestion du développement durable.
Dans cette étude, les auteurs mesurent l’orientation durable à travers les affirmations suivantes:
• Les entreprises nationales devraient aVOIr un rôle leader au niveau international dans la protection de l’environnement.
• Les entreprises orientées vers l’ environnement ont des avantages dans le recrutement et la rétention des employés qualifiés.
• La performance environnementale d’une entreprise sera considérée de plus en plus par les institutions financières.
• La responsabilité sociale des entreprises devrait être à la fondation de chaque entreprise.
Toutes ces affirmations sont issues d’ une traduction libre.
• Je crois que les problèmes environnementaux sont l’un des plus grands défis de notre société.
• Je crois que les entrepreneurs et les entreprises doivent prendre en charge de plus grandes responsabilités sociales.
Leur mesure de l’OD a généré un Alpha de Cronbach de 64, qui témoigne d’un niveau de consistance interne assez peu élevé, mais qui respecte néanmoins les niveaux d’ acceptabilité édictés par Nunnally (1978).
Dans cette section, nous avons présenté et expliqué le concept d’OD. Pour ce faire, nous avons défini l’ orientation durable, présenté ses déterminants ainsi que les moyens qui nous permettent d’ identifier les personnes ayant une OD. Il est à présent nécessaire de présenter le processus d’ orientation durable des individus, c’ est-à-dire, comment un individu passe d’une OD à un entrepreneur ayant une orientation durable.
Le processus d’orientation durable des individus
Pour approfondir notre explication du concept d’OD des individus, nous allons nous baser sur le travail de Belz et Binder (2013). Pour ces auteurs, l’entrepreneuriat est un moyen efficace pour résoudre les problèmes environnementaux et sociaux tout en ayant une viabilité économique. Le modèle proposé comporte six phases qui sont présentées ci-dessous dans la figure 2.
Traduit dans le contexte qui nous intéresse, c’est un processus qui explique comment l’individu passe d’une OD et d’une intention de faire quelque chose pour avoir une société durable à un entrepreneur créant une entreprise durable. La première phase est la reconnaissance des problèmes environnementaux et sociaux. Quand un individu a une OD, cela a une influence considérable sur sa capacité à reconnaitre les problèmes sociaux et environnementaux (Kuckertz et Wagner, 2010).
La deuxième phase est l’ identification d’une opportunité entrepreneuriale. Patzelt et Shepherd (2011) soutiennent que la connaissance préalable des problèmes présents dans l’environnement naturel et une société joue un rôle très important dans l’ identification d’opportunités visant la résolution de ces problèmes, car une personne qui est engagée envers le DD a une connaIssance des problèmes qUI menacent l’environnement et la société.
La troisième phase est l’alignement des problèmes sociaux et environnementaux aux opportunités entrepreneuriales. La reconnaissance d’une opportunité résulte de la vision de la personne d’un avenir durable et motivé par son désir d’apporter un changement pour le mieux, mais pour transformer cette opportunité en un projet entrepreneurial, cela dépend de la personnalité de l’individu: ses caractéristiques, sa . vision, sa motivation et sa capacité entrepreneuriale (Belz et Binder, 2013) . Dans le même sens, Patzelt et Shepherd (20 Il) soutiennent que la connaissance entrepreneuriale est essentielle pour concrétiser son projet. Cette troisième étape est d’autant plus importante pour nous, car c’est ce que nous cherchons à savoir avec cette étude. C’est-àdire, si un individu a une connaissance des problèmes environnementaux et sociaux et une volonté de résoudre ces derniers, sera-t-il capable de déceler une opportunité entrepreneuriale et, par conséquent, d’ avoir une intention d’entreprendre? Est-ce que cette forte volonté d’ apporter des solutions aux problèmes environnementaux et sociaux contribuera à augmenter son intention de créer une entreprise durable?
La quatrième phase est le développement d’une solution intégrale d’un marché durable. Lors de cette phase, il faut une innovation, non nécessairement radicale, mais du moins des améliorations ou des combinaisons de ressources existantes qui peuvent conduire à des changements en matière de DD (Belz et Binder, 2013). C’est durant cette phase que l’entrepreneur doit faire preuve de créativité et d’ innovation, car dans un système de marché, le DD passe par l’innovation des entrepreneurs qui ne peuvent atteindre les objectifs environnementaux ou sociaux qu’avec des produits de qualité supérieure ou des procédés qui ont du succès sur le marché (Schaltegger et Wagner, 2011).
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Table des matières
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 : LA PROBLÉMATIQUE DE RECHERCHE
1.1 LA PROBLÉMATIQUE GÉNÉRALE
1.1.1 L’ état de la situation du développement durable
l.l.2 L’adoption de pratiques durables par les entreprises
1.2 LA PROBLÉMATIQUE MANAGÉRIALE
l.2.1 Les entrepreneurs: des acteurs incontournables pour un dd
1.2.2 L’ orientation durable
1.2.3 L’ intention entrepreneuriale
1.3. LA PROBLÉMATIQUE SCIENTIFIQUE
1.3.1 Les écrits récents
1.3.2 Objectif de l’étude
CHAPITRE 2 : RECENSION DES ÉCRITS
2.1 DÉFINITION DU CONCEPT D’ORIENTATION DURABLE
2.1.1 Orientation pro-environnementale
2.1.2 Orientation pro-sociale
2.l.3 Vers une orientation pro-environnementale et sociale
2.1.4 Quelques déterminants de 1’00
2.1.5 Identification du degré d’OD des individus
2.1.6 Le processus d’ orientation durable des individus
2.2 INTENTION D’ENTREPRENDRE
2.2.1 Le modèle de l’ évènement entrepreneurial
2.2.2 La théorie du comportement planifié d’ajzen
2.2.3 Le choix de la théorie
2.3 LE CADRE CONCEPTUEL
2.3.1 Le modèle de recherche
2.3 .2 Les questions spécifiques de recherche
2.3.3 Les hypothèses de recherche
CHAPITRE 3: LA MÉTHODOLOGIE
3.1. LA STRATÉGIE DE RECHERCHE
3.2 LA POPULATION VISÉE
3.3 LA COLLECTE DE DONNÉES
3.4 LA DESCRIPTION DE L’ÉCHANTILLONNAGE
3.5 L’INSTRUMENT DE MESURE ET SA PERTINENCE
3.5.1 La variable dépendante
3.5.2 Les variables indépendantes
3.5.3 Les variables de contrôle
3.6 LA MÉTHODE D’ANALYSE
3.7 CONSIDÉRATION ÉTHIQUE
CHAPITRE 4: RÉSULTATS
4.1 ANALYSES DES CORRÉLATIONS
4.2 ANALYSES DE RÉGRESSIONS HIÉRARCHIQUES
4.3 VALIDATION DES HYPOTHÈSES
CHAPITRE 5: DISCUSSION
5.1 DISCUSSION DES DIFFÉRENTES HYPOTHÈSES
5.2 LES LIMITES DE LA RECHERCHE
5.3 LES AVENUES DES RECHERCHES FUTURES
CONCLUSION
RÉFÉRENCES
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