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Imprimante
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Présentation de l’entreprise
L’INSTAT est l’institution sur laquelle nous avons effectué nos recherches en vue de la réalisation de ce mémoire de fin d’étude. Nous présenterons cette structure de façon générale et ensuite, ses prestations.
Identité de l’entreprise
Cette sous-section montre l’environnements de l’INSTAT.
Situation juridique
L’INSTAT sont établissement public national à caractère industriel et commercial doté de la personnalité et jouissant de l’autonomie administrative et financière. Le siège de l’INSTAT avec ses démembrements est fixé à Antananarivo. Il est interface entre l’Etats et la privée. Il est situé en face du 5etage à BP 446-Immeuble PMU Mahabibokely-Mahajanga–Madagascar, Adresse e-mail : instatmahajanga@gmail.com et site web : instat.mg.
Des Institut National des Statistique peuvent être crées au niveau des provinces à Madagascar comme : Antananarivo-Mahajanga-Toamasina-Fianarantsoa-Toliara-Antsiranana.
L’INSTAT est la seule entité ayant la capacité de produire des statistiques et des rapports sur la vie économique et sociale à Madagascar. Il est chargé d’établir les indicateurs nationaux suivants : le produit intérieur et le produit national, le taux de croissance économique, le taux d’inflation, le taux d’investissement dans le cadre des comptes de la Nation ; les indices de prix à la production et à la consommation ; les indices de Développement Humain ; la situation démographique nationale ; la gestion du répertoire national des entreprises exerçant des activités économiques et/ou sociales à but et/ou non lucratif.
En conséquence, l’INSTAT joue un rôle de tableau de bord économique et social sur la santé de la Nation, les fruits de son travail permettent d’orienter la stratégie politique et économique de l’Administration Malagasy.
Des INSTAT peuvent être crées au niveau des Région nom encore dotées.
Historique de l’INSTAT Mahajanga
On y va montrer l’historique de l’INSTAT Mahajanga.
Coordonnées (fiche descriptif)
Siege Social
L’INSTAT Mahajanga est situé en face du 5etage à BP 446-Immeuble PMU-Mahabibokely- Mahajanga –Madagascar.
Ressource de l’INSTAT
Il y a donc trois (03) types ressources tels que ressources humaines, ressources financières et ressources matériels.
Ressources humaines
Le Conseil d’Administration : est l’organe délibératif de l’INSTAT, il a pour fonction :
• Examiner et approuver les programmes d’activités .
• Examiner et arrêter le projet de budget et le compte financier à soumettre à l’approbation des autorités de tutelle .
• Examiner et proposer, à l’approbation des autorités de tutelle, l’organisation de la Direction Générale de l’INSTAT ainsi que le statut du personnel .
• Approuver les propositions du Directeurs Général sur les nominations des Directeurs ;
• Approuver le système de tarification des services rendus par l’INSTAT.
Le Directeur Général est chargé de diriger et d’administrer l’INSTAT, d’en coordonner l’ensemble des activités en conformité avec les directives du CA. Entre autres, le DG :
• Assure l’exécution de l’ensemble du programme d’activités de l’INSTAT et assure la bonne gestion des moyens mis à la disposition de celui-ci ;
• Assure la gestion du personnel et a l’autorité sur l’ensemble de celui-ci ;
• Elabore et met en oeuvre les règlements nécessaires au bon fonctionnement de l’INSTAT ;
• Soumet au CA, pour examen et adoption, le programme d’activité et le budget de l’INSTAT
• Soumet à l’examen du CA les rapports d’activités, y compris un rapport financier complet sur l’exécution du budget de chaque année écoulée ;
• Assure le secrétariat du CA.
• L’INSTAT dispose d’un budget autonome dont la gestion est confiée au Directeur Général. La comptabilité est tenue par un Agent Comptable qui est chargé de :
– La prise en charge et du recouvrement des recettes,
– Le contrôle et du paiement des dépenses,
– Le maniement des fonds,
Démarche de vérification des hypothèses
La vérification est une procédure qui consiste à examiner en confrontant à l’expérience la validité d’une hypothèse. La confirmation ou l’infirmation des hypothèses nécessite l’adoption des procédés scientifiques pour orienter l’étude vers le fond de la problématique. Nous allons aborder successivement la recherche documentaire, l’entretien et l’observation directe, l’analyse SWOT.
Recherche documentaire
La finalité d’une recherche documentaire est de faciliter la production de travail universitaire alliant richesse documentaire et rigueur scientifique. Le type de ressources va dépendre de la nature du sujet et le type de document recherché. Le choix de ces ressources est donc lié au contexte thématique système comptable. Mais avant d’entamer la recherche, il importe d’analyser et délimiter le sujet pour avoir les meilleures informations. La mise en oeuvre de cette procédure nous oblige à consulter :
• Les bases de données bibliographiques :
Elles sont constituées d’un ensemble structuré de référence bibliographiques concernant la comptabilité, le système comptable, l’organisation du système comptable. Ces sources sont des références incontournables dans la réalisation de ce travail car la plupart d’entre elles sont reconnues à travers le monde.
• Les ressources WEB :
Ce type de documentation est la plus en vogue actuellement mais leur qualité est extrêmement variable et l’information y est volatile. Le choix de cette méthode nous facilite la tâche du fait de son efficacité.
Analyse SWOT
L’analyse SWOT sert à examiner la situation d’une entreprise selon deux axes et quatre dimensions.
D’une part, elle analyse la situation interne de l’organisation en soulignant particulièrement ses forces (ou Strenghts) et ses faiblesses (ou Weaknesses), par une analyse exhaustive de ses principaux aspects, par exemple : sa santé financière, ses produits et services, ses ressources humaines (formation, expérience, motivation, etc.), ses ressources physiques (âge, technologie, etc.), ses capacités de recherche et de développement, sa structure, sa culture, sa gestion et sa capacité de changement.
D’autre part, elle analyse son environnement externe afin de déterminer la position de l’entreprise et ses options stratégiques et cela en termes d’opportunités (ou Opportunités) et de menaces (ou Threats). Pour ce faire, elle prend notamment en compte les concurrents actuels et potentiels de l’organisation ainsi que leurs forces et faiblesses, le segment et la part de marché de l’entreprise, le cycle de vie de ses produits, les tendances du marché incluant les produits substituts, les nouveaux marchés, les nouvelles technologies…
Usages de l’entretien individuel
L’entretien individuel permet de recueillir différents types d’informations en évaluation :
• Des faits et des vérifications de faits.
• Des opinions et des points de vue.
• Des analyses.
• Des propositions.
• Des réactions aux premières hypothèses et conclusions des évaluateurs.
L’entretien individuel permet de collecter des informations quantitatives mais surtout qualitatives. Il est nécessaire clairement de distinguer les informations, qui sont des faits vérifiables, des points de vue, analyses et opinions.
Types d’entretien
Il existe trois types d’entretien :
• L’entretien non directif :
La personne interrogée s’exprime librement sur des questions dont le champ est assez large. Elle peut aborder des sujets que l’évaluateur n’a pas prévus. Celui-ci n’intervient que pour faciliter l’expression de la personne interrogée ou pour l’amener à approfondir certaines questions.
Ces entretiens conviennent particulièrement en début d’évaluation, à un niveau très global pour « défricher » le sujet.
• L’entretien semi-directif :
Ce type d’entretien est centré sur le recueil de l’expression des acteurs par rapport à une trame générale souple, construite à partir du questionnement de l’évaluation – le guide d’entretien. Le guide peut être complété par des questions visant à éclairer ou préciser les réponses faites par la personne interrogée. L’entretien semi-directif consiste à fixer au départ toutes les consignes, et les divers thèmes du « guide entretien » seront introduits en fonction du déroulement de celui-ci, et s’ils ne sont pas abordés spontanément par le sujet.
C’est la forme la plus employée en évaluation, dès que l’évaluateur dispose d’une information suffisante sur les enjeux et les questions prioritaires à traiter au cours de l’évaluation.
• L’entretien directif :
Le guide d’entretien est appliqué, ici, de façon stricte. L’évaluateur décline les questions les unes après les autres, sans laisser la possibilité à la personne interrogée de développer d’autres points. Lui-même s’abstient d’effectuer des relances ou de développer des questions non prévues dans la grille d’entretien. Les réponses à chaque question sont en général assez brèves. Ce type d’entretien est utile lorsque l’on veut réaliser un grand nombre d’entretiens, et minimiser les risques de subjectivité de la part de l’enquêteur.
Dans notre cas, nous avons choisi l’entretien semi-directif. Le choix repose sur la souplesse de cette méthode par rapport aux deux autres car il permet d’orienter, tout au long de l’entrevue, le sujet vers l’objet de l’étude tout en évitant d’aborder le discours inutile.
Ressources nécessaires
La réalisation de cet outil de collecte de données consomme aussi bien des ressources matérielles que des financières ou temporelles.
Grand livre
Le grand livre comprend tous les comptes de l’entreprise. Il est utilisé pour classer et synthétiser les transactions et pour contrôler la fiabilité et la validité des comptes.
C’est grâce au grand livre qu’on obtient les informations agrégées qui vont servir à établir la balance et les états financiers (exemples : total des ventes, total des achats ou des achats consommés, etc.…).
Les comptes du grand livre peuvent être des comptes de bilan (permanents) ou des comptes de gestion (temporaires).
Les comptes de bilan comprennent les comptes des classes 1 à 5 : Les comptes d’actifs, les comptes de passifs et les comptes de capitaux propres qui apparaissent au bilan. Ces comptes ne sont pas soldés à la fin de l’exercice comptable. Les soldes de fin de période des comptes de bilan sont repris à la réouverture de l’exercice suivant.
En revanche, les comptes de gestion qui sont les comptes de charges et de produits sont soldés après avoir servi à déterminer le résultat. Ils sont transférés pour solde en fin d’exercice dans le compte «13 Résultat de l’exercice ».
Plusieurs présentations des comptes du grand livre sont possibles :
Balance
L’ensemble des comptes du grand livre sont regroupés dans un document appelé balance dans l’ordre des codes du plan des comptes de l’entreprise. La sous-totalisation des comptes de bilan ainsi que la sous-totalisation des comptes de gestion rendent le résultat immédiatement lisible sur la balance.
Justification et le contrôle des comptes
L’établissement de la balance à partir des comptes du grand livre permet d’avoir l’assurance de l’exactitude arithmétique du travail comptable.
Fort de cette présomption2 d’exactitude arithmétique, le comptable va pouvoir procéder à la vérification des comptes un à un. Cette vérification va l’amener à corriger les erreurs éventuellement identifiées et à ajuster certains comptes pour assurer un bon rattachement de toutes les opérations à leur période comptable ou exercice.
Les écritures complémentaires de rectification et d’ajustement viennent compléter le journal. Elles sont reportées dans le grand livre et une nouvelle balance vérifiée ou après inventaire est établie. Cette nouvelle balance va servir de document de base à partir duquel on va construire les états financiers.
États financiers
Les états financiers constituent le principal produit fini, la principale finalité de tout travail comptable.
Le système comptable de l’INSTAT est un système de divulgation qui met le cap sur les instruments de communication c’est-à-dire les états financiers.
Ainsi, alors que ce système autorise une certaine liberté d’action et de jugement pour tout ce qui permet de réaliser les travaux permettant de produire les états financiers, il normalise de façon précise les caractéristiques qualitatives et informatives des états financiers à produire et à publier.
Les états financiers sont construits à partir d’une balance vérifiée dite aussi balance après inventaire. Ils sont destinés à faciliter la prise de décisions économiques des utilisateurs et tout particulièrement les actionnaires actuels ou potentiels et bailleurs de fonds dits investisseurs à risque.
Les investisseurs prennent des risques parce qu’ils acceptent d’investir dans l’entreprise un capital déterminé et certain contre une espérance (promesse) de retour sur capital sous la forme de flux futurs de trésorerie incertains.
Utilisateurs privilégiés des états financiers et leurs besoins
L’entreprise est une entité faite en partie par celui qui l’observe. Ainsi, on peut admettre qu’il y ait autant de valeurs attribuées à l’entreprise que d’observateurs ou d’utilisateurs de l’information comptable. L’investisseur boursier ne voit pas l’entreprise comme ses managers ni comme son banquier ou ses salariés ou encore le fisc.
Référentiel de normes comptables
Selon Robert Reix : « La notion de pertinence est directement liée à l’utilisateur de l’information : est pertinent ce « qui convient », ce qui est approprié à une action ».
Une présentation sera donc pertinente si elle répond aux desseins de son utilisateur, si elle le satisfait.
Qualité relative
Les normes comptables américaines, les normes comptables internationales et les normes comptables de l’INSTAT font de l’intérêt et de la valeur de l’information pour l’utilisateur le critère de sa pertinence.
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Table des matières
PARTIE I MATÉRIELS ET MÉTHODES
Chapitre I Matériels
Secction1 Revue de la littérature et matériels utilisés
1.1- Revue de la littérature
1.1.1 Organisation de la comptabilité
1.1.2 Obligation du plan comptable
1.2- Matériels utilisés
1.2.1- Les différents matériels utilisés
1.2.1.1- Documentation
1.2.1.2- Internet
1.2.1.3- Cours
1.2.1.4- Matériels informatiques
1.2.1.4.1- Ordinateur
1.2.1.4.2- Logiciel
1.2.1.4.3- Flash disc
1.2.1.4.4- Imprimante
Section2 Présentation de l’entreprise
2.1- Identité de l’entreprise
2.1.1- Situation juridique
2.1.2- Historique de l’INSTAT Mahajanga
2.1.2.1-Coordonnées (fiche descriptif)
2.1.2.2-Siege Social
2.1.2.3-Ressource de l’INSTAT
2.1.2.3.1- Ressources humaines
2.1.2.3.2- Ressources financières
2.1.2.3.3- Ressources matériels
2.1.2.4-Missions de l’INSTAT
2.1.2.4.1- Déroulement de la mission
2.2- Activités, Objectives et l’organisation de l’INSTAT Mahajanga
2.2.1- Activités de l’INSTAT
2.2.2- Objective
2.2.2.1- Objectifs spécifiques
2.2.2.2- Produits attendus
2.2.3- SNDS et la stratégie nationale de la lutte contre la pauvreté
2.2.4- Organisation de l’INSTA
2.2.4.1- Organigramme DIR et sous-programme
2.2.4.2- Organigramme général des établissements
Chapitre II Méthodes
Section 1 Démarche de vérification des hypothèses
1.1- Recherche documentaire
1.2- Analyse SWOT
1.3- Observation directe
1.4- Questionnaire
1.5- Entretien
1.5.1- Usages de l’entretien individuel
1.5.2- Types d’entretien
1.6- Ressources nécessaires
1.7- Rédaction finale de l’ouvrage
Section 2 Démarche de vérifications
2.1- Organisation du travail
2.2- Chronogramme du travail
PARTIE II RÉSULTATS
Chapitre III Étapes du système comptable
Section 1 Processus comptable élémentaire
1.1- Journal
1.1.1- Présentation du journal
1.1.2- Fonctions comptables et juridiques du journal
1.2- Grand livre
1.3- Balance
1.4- Justification et le contrôle des comptes
1.5- États financiers
1.5.1- Utilisateurs privilégiés des états financiers et leurs besoins
1.5.1.1- Référentiel de normes comptables
1.5.1.2- Qualité relative.
1.5.1.2.1- Investisseurs à risque, utilisateurs privilégiés
1.5.1.2.2- Besoins des utilisateurs privilégiés
1.5.2- Objectifs et la composition des états financiers
Section 2 Système comptable général
2.1- Définition du système comptable
2.2 – Différents systèmes comptables généraux
2.3- États financiers
2.3 .1- Compte de résultat (unité monétaire en Ariary)
2.3-1. Bilan (unité monétaire en Ariary)
Chapitre IV Défaillances du système comptable de l’INSTAT Mahajanga
Section 1. Considérations relatives à l’organisation comptable
1.1- Comptabilité, un élément important de l’organisation de l’entreprise
1.2- Comptabilité, un élément directement affecté par l’organisation de l’entreprise
1.3- Responsabilité de l’organisation et de la tenue de la comptabilité
1.4- Chemin de révision
1.5- Procédure comptable adoptée
1.5.1- Système comptable adoptée par l’INSTAT
1.5.2- Système centralisateur
Section 2 Analyse du système comptable proprement dite
2.1- Étude descriptive à la mise en oeuvre des procédures comptables
2.1.1- Organisation du traitement comptable
2.1.2- Opérations comptables courantes de l’INSTAT
2.2- Grand livre
2.2.1- Balance de compte
2.2.2- États financier
2 .3- Documentation de la fonction comptable
2.3.1- Manuel comptable de l’entreprise
2.3.2- Document décrivant l’organisation comptable
2.3.3- Document décrivant les supports comptables
PARTIE III DISCUSSION ET RECOMMANDATION
Chapitre V Discussion
Section 1 Point fort et point faible
1.1- Point fort
1.2- Point faible
1.2.1- Devant les problèmes concernant les ressources humaines
1.2.1.1- Contrat de travail
1.2.1.2- Données RH
Section 2 Opportunité et menace
2.1- Opportunité
2.2- Menace
Chapitre VI Recommandation
Section1 Suggestion devant les problèmes à l’INSTAT
1.1- Suggestion devant la crise financière
1.2- Solution du l’établissement devant le problème
1.3- Solution Du La Gestion Des Ressources Humaines
1.3.1- Règlement intérieur
1.3.2- Convention collective
1.3.3- Évaluation du personnel
1.3.4- Bilan social
Section 2 Amélioration de saisie systématique de l’information.
2.1- Assainissement des matériels
2.1.1- Inventaires Spéciaux
2.1.2 – Création de base de données fiable
2.2- Solution devant l’employeur
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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