DECENTRALISATION ET DEVELOPPEMENT

Le taux d’autonomie financière

                C’est une des plus importantes mesures de la décentralisation, il donne une indication sur le degré de l’indépendance budgétaire des collectivités locales par rapport à l’Etat. Le pourcentage représente les ressources prélevées à l’échelon local par rapport au total des dépenses locales. Ce taux peut être supérieur à 100, si les recettes dépassent largement les dépenses totales. A Madagascar, si on prend en compte les recettes proprement prélevés directement par les collectivités locales, les communes en l’occurrence, le taux d’autonomie financière tombe à moins de 2% pour Madagascar, or dans les pays développés, ce taux peut aller de 33% à 122,3%. On peut dire que les recettes locales propres des communes sont très faibles. Le niveau de la décentralisation à Madagascar est encore minime pour permettre un réel développement local.

La dynamique de vie des ménages

                  Parmi les différentes formes d’inégalités sexuées qui pourraient être analyses, nous en avons retenu deux qui nous semblent être les plus discriminantes, à savoir celle relative à l’allocation du temps et celle concernant la répartition du capital humain. L’allocation de temps entre tâches domestiques et activités productives est la forme d’inégalité la plus marquée dans les relations de genre. Elle affecte ce que l’on peut définir comme le « capital temps » des femmes, c’est à dire la façon dont la globalité du temps disponible est allouée à travers le cycle de vie. Cette allocation est retracée sur le court terme par les budgets-temps qui montrent comment le temps est alloué entre différentes activités. Il est certain qu’en raison des obligations naturelles (fécondité) ou sociales (travaux domestiques, obligations collectives, etc.) hommes et femmes ne rencontrent pas les mêmes contraintes au même moment pendant leur cycle de vie. Les revenus procurés par la commercialisation des produits agricoles ne peuvent servir qu’à résoudre les problèmes de l’autosubsistance, tels que l’approvisionnement en produits de première nécessité, financement des soins de santé et de scolarisation des enfants. Tandis qu’une majeure partie des productions agricoles est destinée à l’autoconsommation. Et elle constitue une valeur monétaire importante si les paysans arrivent à l’écouler sur le marché.

Problématiques au niveau de la socialisation

               Au sein de la commune d’Ambilobe, les problèmes ne sont pas en reste si l’on veut aborder les problèmes de paix et de la sécurité qui terrorisent la population dans la commune elle-même. Ceci est donc reparti en deux niveaux ; l’une est au niveau de la population et l’autre au niveau des collectivités décentralisées.
Au niveau de la population Avec les fléaux des maladies et problèmes sociaux multiples amplifiés par les conséquences de la crise politique, économique, et le terrorisme des dahalo et des tueurs à gage (une chose nouvelle à la population de la région Diana), la population est craintive et l’économie de la ville s’est dégradée de plus en plus puisque les gens de la localité qui ont tendance à sortir la nuit, d’où une débouchée pour les marchands de brochettes et des frites.
Les jeunes, acteurs dans l’éducation Les jeunes sont les participants à la fois actifs et passifs à son éducation, ils subissent et assimilent au fil du temps la socialisation et témoignent de ses résultats. Chacun possède son avis quant à l’utilité d’être éduqué et sa conception de l’intérêt que lui procure l’éducation. Comme les parents figurent dans le processus de socialisation des enfants puisqu’ils font l’objet d’imitation pour les enfants, nous avons voulu ce que pense les jeunes enquêtés de la place qu’occupent les parents dans leur éducation. La connaissance des autres formes de socialisation permet dans le cadre de la recherche d’analyser l’implication des jeunes à propos notre thème qu’est l’éducation et ses limites, suite à cela les jeunes argumentent et donnent leur avis sur les lacunes à combler pour améliorer l’éducation, les problèmes rencontrés par les jeunes et les conséquences qu’ils entrainent dans la vie courante.
Intérêts porté à l’éducation Nous avons posé des questions qui se rapportent aux rôles tenus par l’éducation aux groupes de population jeune dans la commune urbaine d’Antsiranana pour connaitre leurs idées sur ce sujet. Nous voulons savoir à partir de cette enquête les intérêts que portent les jeunes actuellement sur les questions d’éducation, la plupart de ces jeunes ont répondus que l’éducation permet aux individus d’être un bon citoyen, de les former aux savoirs vivres et aux savoirs faire ainsi qu’à se respecter les uns envers les autres. A ce propos, un des enquêté a dit :« Les rôles de l’éducation sont d’élever une personne d’une bonne manière pour vivre et elle nous guide parfois le chemin vers le bonheur et la richesse. Elle nous fait comprendre à se respecter les uns envers les autres et d’être courtois envers un ami(e), ou des proches et surtout au membre de la famille ». Ainsi, l’éducation aide à devenir un citoyen responsable d’après eux mais également à assurer l’avenir des jeunes, d’assurer leur futur. Le développement du pays serait aussi le rôle des jeunes par l’intermédiaire de l’éducation parce qu’elle assure en quelque sorte le développement intellectuel de ces jeunes. Un enquêté a affirmé : « L’intérêt de l’éducation près tout c’est d’orienter l’enfant à son avenir, sans oublier bien sur les connaissances qu’il va acquérir. Ensuite, l’éducation joue aussi un rôle d’intégrer l’enfant dans la société (…). Enfin, il contribue au développement de son pays par le biais des connaissances qu’il a acquis et le plus important, l’éducation est un moyen primordial pour faire échapper l’enfant au délinquance juvénile ». A partir d’une autre question du même genre, nous avons sondé les jeunes afin d’avoir une idée de ce qu’ils savent à propos des différentes formes de socialisation à part l’éducation scolaire. Dans ce tableau les enquêtés ont tous affirmé qu’il existe bien d’autres formes de socialisation autre que les établissements scolaires, la majorité des jeunes a dit que c’est la société qui constitue en premier le lieu de socialisation. Nous pouvons vérifier cette affirmation dans le tableau où 30% des enquêtés reconnaissent l’éducation sociale et sans oublier les 50% qui optent pour l’éducation parentale (25%) et l’éducation sportive comme (25%) autres formes de socialisation.
La place des parents dans la socialisation : Suite aux réponses précédentes qui sont centrées sur les rôles de l’éducation d’une part et sur les connaissances des jeunes des autres formes de socialisation d’autre part, il s’est avéré que les jeunes ont mentionnés que les parents contribuaient effectivement à l’éducation des enfants. Il est évident qu’à partir de ce tableau, tous les jeunes sont convaincus de la place importante tenue par les parents face à l’éducation des jeunes avec 100% pour la réponse « Oui ». Ils ont également émis quelques commentaires à propos de cette question comme quoi les parents tiennent des responsabilités dans le parcours scolaire et universitaire de l’enfant, ils ont des devoirs dans l’éducation et le développement des jeunes jusqu’à leur maturité. Un des enquêté a cité : « Premièrement, les parents jouent un rôle très important car ils financent l’étude de leurs enfants, ils encouragent leurs enfants à finir ses études jusqu’au bout. On peut dire que les parents sont les moteurs qui poussent les enfants à étudier, grâce à leurs encouragements, à leurs soutient morales et financiers. De plus, ils représentent l’exemple pour leurs enfants ». Nous pouvons tirer à partir de cette citation que les parents sont les premiers responsabilités quant à l’éducation de leur enfant, ils permettent aux enfants de poursuivre ses études à l’aide des financements appropriés, ils apportent les soutient psychologique de toute sorte tout au long du cursus de l’enfant jusqu’à son autonomie. Les parents sont à ce niveau les piliers que ce soit dans l’encadrement, dans l’orientation, ou dans la protection de leurs enfants. Enfin, il n’est pas abusé de dire que les parents sont très importants dans le processus de socialisation de l’enfant, ils sont par ailleurs des modèles auxquels les jeunes prennent pour exemples et imitent les premiers dans les étapes d’apprentissage dont ils sont sujets.
La formation scolaire : limites et lacunes Nous voulons ensuite savoir ce qui concerne la formation scolaire en général c’est-à-dire l’impression des jeunes face aux qualités d’éducation qu’on leur offre. Les jeunes sont les premiers à se rendre compte des lacunes qui s’appliquent à son éducation, ils ont aussi leurs propres idées des domaines dont il faut améliorer. Nous allons présenter un tableau qui montre les perceptions des élèves ou des jeunes par rapport aux qualités d’éducation à l’école. Face à ce résultat fourni par l’enquête sur terrain, nombreux sont les lacunes observés au niveau de l’éducation, avec quelques échantillon  seulement nous avons pu déceler que l’enseignement scolaire présente des vides que ce soit au niveau des qualités d’enseignement, des moyens financiers ou bien des matériels éducatifs. La moitié des jeunes enquêtés argumentent que le système scolaire convient un peu mais pas tout à fait puisqu’il existe des facettes à perfectionnés et des parties manquantes à combler. Un de ces jeunes enquêté a précisé : « Pas tout à fait, l’état de l’établissement sont parfois pas favorable à l’éducation (les tables, le tableau, même les toits de l’école sont parfois inacceptables). De plus, les matériaux sont archaïques, ne suit pas les normes. Au lycée, pas de laboratoire pour les expériences scientifiques, pas de cours d’informatique. On n’est pas vraiment épanoui pour le développement de notre connaissance come il le faut vraiment ». Certes, l’enquêté fait beaucoup plus allusion au manque de matériel donc à l’insuffisance des infrastructures scolaires qui attire son attention et qui d’après lui constitue un obstacle au bon épanouissement (développement intellectuel) de l’individu. Nous pouvons constater qu’à partir de ces enquêtes, les jeunes véhiculent un message comme quoi l’école ne suffit pas à elle seule la socialisation d’un individu mais qu’il existe les autres instances éducatives qui jouent un rôle complémentaire à celui de l’enseignement scolaire. Pour cela, un autre enquêté a dit : « L’éducation à l’école manque de religion ». Dans le but de connaitre l’importance portée par l’école à l’attention des élèves ainsi que les motivations des jeunes actuellement dans la commune urbaine d’Antsiranana, nous avons interrogé lors de notre investigation les jeunes collégiens, lycéens et universitaires du niveau d’étude qu’ils veulent franchir ou que les jeunes doivent franchir. Ainsi, les jeunes veulent poursuivre leurs études le plus loin possibles dans le but d’avoir un travail convenable à l’avenir. Certains enquêtés insistent sur la finalité des études qui est pour eux le chemin à parcourir afin d’avoir du travail. Ils disent que peu importe le parcours scolaire, l’important est que cela procure du travail pour l’individu. Un enquêté nous a dit : « Vu la situation politique de l’Etat actuel, les jeunes sont obligés d’étudier jusqu’à ce qu’ils trouvent du travail. Ma théorie sur l’éducation est qu’une fois la classe primaire voire secondaire terminer, je pense que c’est suffisant pour franchir un autre seuil plus professionnel ». Un autre enquêté appui cette idée en disant : « Les jeunes doivent étudier jusqu’à ce qu’ils trouvent un travail bien adapté à son niveau d’étude(…). » D’autres enquêtés incluent la situation financière des parents comme facteur primordial à la poursuite des études des jeunes c’est-à-dire que même si les enfants veulent étudier si leur parents n’ont pas les moyens ils sont obligés d’arrêter. Plus de 30% des jeunes veulent étudier jusqu’à l’université si les moyens leur permet, il n’y en a aucun qui souhaite arrêter au niveau primaire.
Les comportements des jeunes : Dans le cadre de l’étude, nous avons cherché à savoir ce que les jeunes pensent des comportements des adolescents dans la localité, ainsi nous avons questionnés des jeunes à ce propos pour nous donner leur avis sur ce sujet. La plupart a répondu qu’ils trouvent les jeunes violent, brutal, insolent, insouciant, paresseux, et délinquant. Comme nous pouvons en témoigner sur le tableau, les jeunes sont conscients qu’il y un dérèglement dans le système éducatif puisque les données statistiques montrent que la majorité des enquêtés (80%) affirme que les jeunes se comportent anormalement. Nous avons ensuite voulu préciser ce que les jeunes qualifient comme comportement anormal au sein de la société, et chacun a sa propre définition. Pour cela nous cité quelques échantillons pour mieux cerner ce sujet.
Echantillon 1 : « Les jeunes de nos jours ont des comportements violents et rebelles. La ville de Diego Suarez est devenue l’une des villes les plus craints à Madagascar à cause des actes de barbaries perpétrées par ces jeunes ».
Echantillon 2 : « Actuellement les jeunes ne s’intéressent plus à l’école. Ils deviennent de plus en plus irrespectueux, violent et agressif du côté des garçons. Par contre, les filles s’intéressent aux étrangers et par conséquent elles ne peuvent pas aller loin dans leurs études ».
Echantillon 3 : « Les jeunes actuels sont devenus paresseux et des délinquants ».
Echantillon 4 : « Les jeunes d’aujourd’hui sont parfois brutales, inconscient, rêveur. Ils n’ont pas les pieds sur terre. N’attachent pas beaucoup d’importance à l’étude(…) ils préfèrent faire des business par ci par là, ou chercher à faire de l’argent facile en volant, en se prostituant ou à sortir avec des étrangers pour le cas de certaines jeunes filles de Diego Suarez ». Si nous comparons ces quatre échantillons, nous avons des définitions personnelles du comportement jugé anormal des jeunes d’Antsiranana qui ne s’oppose mais pour certains échantillons elle est accompagnée de quelques précisions. Mais nous pouvons souligner la répétition des mots « violent, ne s’intéressent pas à l’étude et sortent avec des étrangers ». De surcroît, toujours dans cette analyse des comportements de ces jeunes, il est de ressort de notre étude d’approcher les sources probables de ce changement de comportement qui tend à s’orienter dans un sens totalement négatif. De ce fait, nous allons citer les sources qui ont entraîné les jeunes à se désintéresser aux études, à sortir avec les étrangers ou à se comporter en délinquants. Ce sont des résultats récoltés lors de l’enquête, d’après eux ce serait d’une part à cause des parents qui ne tiennent pas assez au sérieux leurs parts de responsabilité, qui n’encadrent pas comme il faut leurs enfants, ce qui entraîne par la suite les mauvaises fréquentations et les consommations des drogues, alcools, khat,… d’autre part la technologie, la société, les médias qui acculturent les jeunes générations et enfin L’Etat et les responsables au sein du gouvernement par sa politique éducationnelle, par ses crises politiques incessantes , les difficultés financières ressenties par la population locale.
Au niveau des structures
 Manque de moyen humain, et problème de prise de décision ;
 La concentration des pouvoirs de décision ;
 Enclavement du district face à l’ampleur du problème ;
 Nombre insuffisant du personnel de sécurité dans la commune.

Contrôle de l’entrée des ristournes et des impôts

                   Les responsables de la commune doivent chercher des moyens pour améliorer l’entrée des ristournes et des impôts afin de subvenir au moins à quelques uns des projets non réalisés. D’après les données de la mairie, la quantité de produit de rente issue de la commune ne correspond pas à celle enregistrée à la mairie. Les sorties clandestines des récoltes sont importantes et les agents de la commune ne trouvent pas des moyens efficaces pour les contrôler. De même, nombreux sont les collecteurs informels qui travaillent dans la commune et n’ont pas l’autorisation de faire la collecte dans cette zone. Le changement de mentalité et de comportement nécessite un effort considérable au niveau de la population entière. Les collecteurs échappent autant que possible au paiement des ristournes. Il faut alors renforcer la compétence des responsables de la commune pour dans la gestion des affaires locales. Le travail de collecte des impôts ou de ristourne exige un minimum de transparence, vu que c’est le service fondamental d’entrée de revenu pour les communes. La seule solution pour mettre chaque citoyen sur le droit chemin est l’application de la loi…

Diversification des écoles éducatives

                 L’étude en soi n’est pas mauvaise. L’éducation à Madagascar privilégie l’enseignement général. Cela conduit à la formation des jeunes qui ingurgitent tout une classe pour ne savoir quoi en faire plus tard. Rendre les enfants illettrés et vaincre l’analphabétisme, c’était le but de la scolarisation de la grande île au lendemain de l’indépendance et durant l’ère socialiste. Maintenant qu’on est libre, ce serait mieux que l’Etat se penche sur ce cas. L’envol de Madagascar dépend de sa jeunesse et celle-ci doit savoir appréhender son contexte immédiat avec le moins du risque possible. L’erreur a été de croire qu’on peut traiter tous les cas de même manière. Chaque région a ses propres particuliers auxquels il faut trouver des solutions précises. Cela répondre aux attentes dictées par la décentralisation. Ce projet ne peut être pris au niveau de la commune. Il doit être décidé au niveau de l’Etat Central car jusqu’à preuve du contraire, l’éducation est du ressort de ce dernier. La spécification est la première issue vers le développement durable, ainsi il n’est plus besoin de travailler pendant longtemps (années) pour un résultat que l’on pourrait avoir en un court délai. Cela ne veut pas dire qu’on doit abandonner le système de l’éducation actuel, il faut le réactualiser en tenant compte des spécificités de chaque région (AMBILOBE) est encore un monde agricole, or les enfants en classe n’étudient guère cet aspect. On les apprend à devenir des « singes savants » et cela nuit considérablement les problèmes spécifiques pour que plus tard, ils soient résolus.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Contexte
Choix du thème et du terrain
Problématique
Hypothèses
Objectif
Méthodologie
Approches
Technique documentaire
Techniques vivantes
Technique d’échantillonnage
Problèmes rencontrés et limites de l’étude
CHAPITRE 1 : CADRE GENERAL DE L’ETUDE 
1- Définition et Objectifs de la décentralisation
2- Notion de la décentralisation
3- Objectifs de la décentralisation 
4- L’importance du savoir et de l’éducation dans le processus de développement 
5- La décentralisation au service du développement
6- Les développements attendus
1.1. Action avec l’Etat
1.2. Action propre de la commune
CHAPITRE 2 : NIVEAU D’EFFECTIVITE DE LA DECENTRALISATION A MADAGASCAR
2.- Histoire de la décentralisation
2.1.- Au cours de l’époque royale
2.1.2.- Pendant la période de Colonisation
2.1.3.- Après l’indépendance
2.2- Le degré de l’effectivité de la décentralisation à Madagascar
2.2.1- Le niveau de la décentralisation
2.2.2- Le taux de la décentralisation des dépenses sociales
2.2.3- Le taux d’autonomie financière
CHAPITRE 3 : ETATS DES LIEUX
3.1.- Présentation de la commune
3.1.1- Une fonction résidentielle
3.1.2.- Une fonction commerciale
3.1.3- Une fonction éducative
3.2.- HISTORIQUE
3.3.- Milieu naturel
3.4.- Caractéristiques socio-politiques
3.5.- Adduction d’eau
3.6.- Electricité
3.7.- Communication et échanges
3.8.- RESSOURCES ET ACTIVITES ECONOMIQUES
3.8.1.- Agriculture
3.8.2.- Elevage
3.8.3.- Voie de communication
3.8.4.- Commerce
3.8.5.- Artisanat
3.8.6.- SECURITE
3.8.7.- FINANCES
3.8.8.- IDENTIFICATION ADMINISTRATIVE ET JURIDIQUE
CHAPITRE 4 : IMPACTS DU DEVELOPPEMENT SUR LA VIE DES MENAGES
4.1.- Le niveau général de développement
4.2.- La dynamique de vie des ménages
4.3.- Accès à la scolarité et aux infrastructures sanitaires
4.5.- Les problèmes fonciers
4.6.- Problématiques au niveau de la socialisation
4.6.1.- Au niveau de la population
4.6.2.- Les jeunes, acteurs dans l’éducation
4.6.3.- Intérêts porté à l’éducation
4.6.4.- La place des parents dans la socialisation
4.6.5.- La formation scolaire : limites et lacunes
4.6.6.- Les comportements des jeunes
4.6.7.- Au niveau des structures
Chapitre 5 : LES ATOUTS DE LA COMMUNE POUR LA REUSSITE DE LA DECENTRALISATION
5.1.- Sur le plan administratif
5.1.2.- sur le plan de différents acteurs
5.1.3.- Sur le plan sociologique
5.1.4.- Du coté des responsables locaux
CHAPITRE 6 : LES BLOCAGES DE LA COMMUNE DANS LE CADRE DE LA DECENTRALISATION 
6.1.- Blocage sur le plan économique
6.1.1.- Insuffisance du Budget de la Commune
6.1.2.- Trop de secteurs informels
6.1.3.- Non-paiement des divers impôts par les contribuantes
6.2.- Blocage social
6.3.- Blocage sur le plan politique
6.3.1.- Insuffisance de capacité des dirigeants en matière d’organisation
6.3.2.- Problème de Communication
CHAPITRE 7 : PROPOSITIONS DE PISTES DE REFLEXIONS
7.1.- Etablissement des tableaux de commission au niveau de la commune
7.2.- Solution personnelle
7.2.1.- Renforcer la formation des élus locaux
7.2.2.- Une formation adéquate au niveau intellectuel des responsables à former
7.2.3.- Une formation périodique et permanente
7.2.4.- Augmenter la capacité de la commune en autonomie financière
1.- Contrôle de l’entrée des ristournes et des impôts
2.- Développer les activités touristiques
7.2.5.- Création d’emploi pour les jeunes, diversification des écoles éducatives et la formation aux paysans
1.- Création d’emploi pour la jeunesse
2.- Diversification des écoles éducatives
3.- Formation des paysans
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DES TABLEAUX
ANNEXES
Annexe 1 : Questionnaires
Annexe 2 : Texte sur la décentralisation
RESUME

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