De l’encadrement et de soutien pédagogique reçus en formation continue

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Le choix et la définition de recherche

Le choix de l’objet de notre recherche est loin d’être le fait du hasard. Plutôt il résulte des réalités constatées à travers des échanges, des observations, des études comparatives et des vécus durant l’exercice de nos tâches professionnelles.
· Le constat: Durant les multiples visites que nous effectuées dans les classes et l’observation de la réussite scolaire au niveau du savoir et du savoir faire des élèves, la divergence perçue entre les notes des différentes disciplines frappait beaucoup notre attention. Ce qui nous pousse à la relever ci-après un constat qui mérite d’être étudié.

Le pourquoi du thème et de la localité d’Ikalamavony

Le choix de l’intitulé et celui de la localitéde notre recherche relève de deux raison principales qui nous semblent complémentaires dans la mesure où la réussite du premier garantit le développement du deuxième.
· . Le choix du thème: Dans la présentation des réalités économiques nousavons souligné que les sources de revenus de la commune reposent en particulier des cultures et de la vente du riz, de bovidés et des volailles. En effet si le riz se récolte deux fois par an et occupe la première place de Décembre à juillet, les bovidés et les volaillesquant à ils se vendent toutes l’année.
Et l’usage de la mathématique surtout l’arithmétique par le calcul des différents frais d’entretien jusqu’à la vente des produits s’avère i ndispensable. De ce fait « Optimisation de la l’enseignement de l’arithmétique » Nous semble plus qu’objectif de façon à ce que l a maitrise de la discipline revient à positiver le développement économique et sociale de la population comme la déjà fait remarquer Michel MALDAGUE «Le développement de tout l’homme et de l’homme implique par vois de conséquence, l’intervention et la concertation d’un grand nombre des disciplines scientifiques ».
D’ailleurs, accès la recherche dans l’améliorationde l’enseignement de l’arithmétique nous serer un grand plaisir dans le sens où notre entreprise contribue à résoudre les inquiétudes des parents et crainte des enseignants face à leurs soi -disant faiblesse des élèves à cette discipline.

Pourquoi Ikalamavony

La commune d’Ikalamavony n’est pas choisie pour une quelconque préférence particulière. Des raisons professionnelles devraient être étudiées pour assurer non seulement la faisabilité mais aussi la fiabilité de la recherche. La faisabilité car la proximité de la localité ainsi que l’accessibilité aux divers points de ressources d’informations facilitent à la fois la collecte des données et leurs vérifications éventuelles .La fiabilité car l’échantillonnage en effectif des élèves et des enseignants ainsi que l’existence des classes parallèles y sont assez suffisants pour être exploités Mais également, pour des raisons personnelles, nos contraintes d’ordre matériel et financier semblent allégées parce que nous nos habitons nous-mêmes Ikalamavony.

La délimitation des champs de recherche Du lieu et du choix de la classe de CM1

Délimitation le lieu ou l’EPP de recherche n’est autre que la suite logique du choix de la localité pour les multiples raisons que nous avons avancées auparavant .De ce fait l’école d’Ikalamavony est prise d’abord par la pluralité et la diversité statutaire de ses enseignants, ensuite par l’effectif élevé .En effet l’EPP compteau total 17 enseignants pour 648 élèves.
En ce qui concerne la classe, notre recherche est focalisée au Cours Moyen, plus précisément à celui de la première année. Cela estdû premièrement dans le souci de préparer et de doter au préalable ce futur candidat au CEPE uneannée à l’avance, des outils nécessaires et efficaces et d’en rassurer les parents et les enseignants. Deuxièmement, étant donné que les élèves de cette classe s’activent déjà la vie socio-économique de leur famille, renforcer leur connaissances en résolution des problèmes mathématiques nous semble opportun .Car sans viser seulement leur passage en deuxième année ou la passation des épreuves du CEPE prévoir leur éventuel abandon exige qu’on leur dispense au bon moment des compétences nécessaires.
Précisions qu’au Cours Moyen 1ère année, l’école compte 79 élèves repartis dans sesdeux sections parallèles.

Problématique et hypothèses

Partant de ce que nous venons de dire ci-dessus, nous savons que l’EPP d’Ikalamavony a un nombre assez suffisant d’enseignants. De plus, elle se trouve tout à proximité du bureau de la Circonscription Scolaire et de son équipe pédagogie.En outre les deux sections du CM1 sont l’un académiquement titulaires du baccalauréat et ’autrel est titulaire du CAP/EP.
Toutefois les notes en arithmétique que l’on a relevées semblent contredire cet avantage. Ce qui nous pousse à réfléchir sur cet adage français « l’habit ne fait toujours pas le moine » et à nous assurer que d’autres facteurs sont certainement à l a source de ce phénomène. Pourquoi donc ? C’est seulement à la suite de nos constatations sur terrain que nous nous permettions d’avancer trois hypothèses possibles comme facteurs déterminants de ce problème.
De premier abord, il est constaté que les renseignements relatifs au cursus professionnel de ces enseignants montrent le marque remarquable de la formation initiale et l’insuffisance de la formation continue. Ce qui entraîne évidement une incompétence professionnelle dans l’exercice effectif de leur fonction. En deuxième lieu, les quelques jours des visites de classe que nous avions fait dans la circonscription nous a permis de présenter l’insuffisance pour ne pas dire le manque d’encadrement et de suivi comme second facteur non négligeable de cette faiblesse des élèves. Enfin une certaine négligence était perçuechez les enseignants quant à l’existence ou à l’utilisation rationnelle des matériels didactiques. Certes les facteurs de blocage de la maîtrise de l’arithmétique sont de tout ordre.
Mais eu égard à l’apprentissage routinier dont usent les enseignants dans leur pratique de classe et en mathématique surtout, il est clair pour nous que l’incompétence professionnelle, l’insuffisance de l’encadrement et de suivi et pour finir le défaut de matériels didactiques constituent les sources incontournables de la situation des élèves du CM1 d’Ikalamavony.

Méthodologie de la recherche et problèmes rencontrés

On ne peut rien entreprendre sans y prévoir un pland’action, des moyens et des instruments de travail. C’est dans cette vision que nous avons prévu une méthodologie d’approche que nous pensons indispensable dans l’élaboration de notre présente recherche, de façon à ce que lui fruits de leur utilisation rendre à notre travail des résultats fiables et pertinent .
En ce qui touche la présente recherche, des instruments ainsi que des outils ont été préalablement choisis afin de lui permettre d’atteindre ses objectifs et le but de chacune des utilisations de ces instruments et de ces outils.

Les objectifs de la méthodologie

Suivant le titre de la recherche, les objectifs de cette recherche résident d’une part à prouver qu’effectivement les élèves sont faible en mathématiques surtout sa sous-discipline « arithmétique » par rapport aux autres disciplinesscolaires ; D’autres part, il vise à rechercher le causes de ce phénomène et à en déduire les solution utiles.
De ces objectifs principaux naissent les objectifs spécifiques et opérationnels qui stipulent l’utilisation des instruments suivants.

ANALYSE DIAGNOSTIQUE, INTERPRETATION JUSTIFICATIVE DES DONNEES ET PROPOSITION DES SOLUTIONS

Nous avons souligne sans ambages dans le corps de nos hypothèses que si le résultat observé en mathématique plus particulièrement en arithmétiqueparaît insatisfaisant et parfois décevant, c’est que trois causes ne devraient être négligéescomme déterminant de phénomène.
Pour être précis et direct, cette insatisfaction visa vis du résultat en arithmétique n’est que le corollaire indéniable de l’incompétence professionnelle de la quasi-totalité des enseignants, attisée ensuite par l’insuffisance de la formation continue et amplifiée par le manque ou la mauvaise utilisation des matériels didactiques. D’ailleurs ces affirmations n’auraient des raisons d’être resteraient gratuites et non fiables dépourvues des données y afférentes collectées.
Ainsi pour nous assurer de la véracité de nos diresen ce qui concerne ces propos, cette seconde partie se fixera comme objet l’analyse systématique de chacun de ces données, suivie par l’interprétation de ce qu’on déduira afin de justifier les hypothèses offertes. Venons en donc au fait dans la décortication de ces données de manière à ce que la conclusion qui en découle confirme ou non la fiabilité de nos opinions et cela par l’étude minutieuse et respective des informations recueillies. Signalons en passant que cette analyse sera orientée vers la vérification impartiale de chacune des hypothèses telle que nous les avons présentées.

Le mauvais résultat provient des incompétences de aseb Des enseignants

Comme toute profession, exercer le métier d’enseignant requiert du concerné certaines aptitude et capacité et capacité relatives à ce qu’il entreprend ou pense entreprendre. Comme le souligne d’ailleurs ce concept connu de tout artisan de l’e nseignement « Pour enseigner peu, il faut savoir beaucoup », assurer une meilleure acquisition du savoir qu’on dispense exige du dispensateur la maîtrise de tous les paramètres requis du processus d’apprentissage. Mais les enseignants qui en ont le devoir d’assumer cette tâche sont-ils vraime nt à la hauteur de ce qu’on entend d’eux ? Sont-ils d’une part au moins titulaires des diplôme s académique nécessaires et proportionnels à ce qui enseigne et à ce lui qu’il enseigne ? Jusqu’ en quel niveau d’études ont-ils quitté l’école pour prétendre être à la hauteur de ce qu’il fait ?Ont-ils également reçu une formation initiale le préparant préalablement à son métier ? Les enquêtes menées au niveau de la Circonscription scolaire et / ou au niveau du Chef ZAP ou directeur d’école, ont permis à la recherche de figurer dans les tableaux ci-après les réalités en ce qui oncerne le niveau du potentiel académique et professionnel du personnel enseignant, ainsi que les années et le centre de formation duquel il est sortie pour mesurer jusqu’ou ses connaissances lui seraient assez suffisantes pour cette fonction.

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Table des matières

Liste de tableaux
Liste de photos
Dédicace
Remerciements
Sommaire
INTRODUCTION GENERALE
PREMIER PARTIE
DU CADRE GENERAL DE LA RECHERCHE
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 1 . 1- Localisation et réalités géographiques.
1.2-Les réalités culturelles
1.3- Objectifs et intérêts de la recherche
CHAPITRA 2 2-Le choix et la définition de recherche
2.1 Le pourquoi du thème et de la localité d’Ikalamavony
2.2-Pourquoi Ikalamavony
2 .3- La délimitation des champs de recherche
DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE 3
3.1- Problématique et hypothèses
-3.2 Des concepts-clés
-3.3 Du cadre théorique
CHAPITREE 4 Méthodologie de la recherche et problèmes rencontrés
4.1- Les objectifs de la méthodologie
4.2- Les outils et instrument de la recherche
4.3-Les problèmes rencontrés
TROISIEME PARTIE ANALYSE DIAGNOSTIQUE, INTERPRETATION
INTRODUCTION
CHAPITRE 5
5.1- Du test d’évaluation de maitrise des contenus
5-2 De la pratique de classe
5-3 du niveau académique
CHAPITRE 6
6.1- De l’encadrement et de soutien pédagogique reçus en formation continue
6.2-De la particularité sur l’arithmétique
6.3-Etat d’activités du conseil des maîtres effectué durant L’année scolaire 2009-2010
CONCLUSION GENERALE
Annexe I
Annexe II
BIBLIOGRAPHIE

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