DE LA SOCIOLOGIE DE LA RELIGION A LA SOCIOLOGIE RELIGIEUSE

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ECHANTILLONNAGE

Malgrรฉ lโ€™ambition de faire un travail exhaustif sur la totalitรฉ de la population formant lโ€™รฉglise, force est dโ€™รฉlaborer un รฉchantillon sur lequel la echerche va รชtre effectuรฉe.
Par faute de donnรฉes statistiques concernant la population ร  รฉtudier cโ€™est-ร -dire les fidรจles de lโ€™รฉglise ; pour former notre รฉchantillon, on a dรป irert nos unitรฉs statistiques de faรงon raisonnรฉe et probabiliste. La population de rรฉfรฉrence(les simple fidรจles), est difficile ร  dรฉnombrer car on ne connait pas prรฉcisรฉment le nombre des adeptes parranchet dโ€™รขge, de mรชme la population nโ€™est pas toujours accessible. Ces difficultรฉs font que notre รฉtude sera rรฉalisรฉe sur un รฉchantillon de commoditรฉ tout en sรฉlectionnant les membres de la opulation qui sont les plus facilement accessibles mais de faรงon raisonnรฉe ร  ce que les en quรชtรฉs reprรฉsentent chaque sexe, les diffรฉrentes tranches dโ€™รขge, dans lesquels se rassemblent des pe rsonnes issues de tous les milieux sociaux et professionnels(les diffรฉrentes classes sociales et catรฉgories socioprofessionnelles), les diffรฉrentes niveaux scolaires. En ce qui concerne les individus membres des sampana, on a effectuรฉ un tirage alรฉatoire pour former lโ€™รฉchantillon vu que chaque ampanas possรจde une liste de ses membres.
De ce fait, notre population dโ€™enquรชte est composรฉede soixante individus dont 26 de sexe masculin et 34 de sexe fรฉminin.
La population des enquรชtรฉs appartient aux deux sexeet sont rรฉpartis selon leur รขge qui varie entre 14 ans et plus de 56 ans. Le tableau ci-dessus montre leur rรฉpartition dans chaque tranche dโ€™รขge avec un intervalle รฉgal ร  07 ans.

TYPE DE DEMARCHE

Afin de mener ร  bien notre recherche et pour avoir un plus de degrรฉ en scientificitรฉ, nous optons pour une dรฉmarche hypothรฉtico-dรฉductive parlaquelle nous avons prรฉalablement posรฉ la question de dรฉpart, puis formuler des dรฉductions enfonction des travaux de recherche antรฉrieure et des connaissances empiriques que nous avons possรฉdรฉes sur le sujet. Viennent ensuite lโ€™adoption des thรฉories ainsi que la formulation des hypothรจses de recherche constituant des rรฉponses provisoires ร  la question rรฉcemment posรฉeau dรฉpart et en rapport avec les rรฉgularitรฉs รฉmises. Tout cet agencement est suivi la vรฉrification des hypothรจses par le travail de terrain et lโ€™analyse des rรฉsultats. Et pour en finir, la communication des rรฉsultats et les interprรฉtations.

TYPE Dโ€™ANALYSE

Pour mener ร  terme notre recherche, nous sommes da ns lโ€™obligation de cadrer notre analyse. Lโ€™analyse permet notamment de faire apparaรฎtre lโ€™influence de certaines variables ou de certains facteurs sur le phรฉnomรจne รฉtudiรฉ. ร‰tant donnรฉ les objectifs fixรฉs ร  travers la recherche, deux types dโ€™analyse ont รฉtรฉ effectuรฉs. Une analysede type qualitatif qui entend se situer au niveau de la subjectivitรฉ des acteurs et de leurs nteractions microsociales. On sโ€™opรจre par diffรฉrentes techniques : lโ€™enquรชte qui tend ร  comprendre et accรฉder ร  la subjectivitรฉ de lโ€™auteur : ses sentiments et les significations subjectives que les individus attachent ร  leurs compartiments. En lโ€™espรจce :lโ€™entretien semi-directif qui consiste ร  poser des questions permettant dโ€™obtenir plus prรฉcisรฉment les informations quโ€™on cherche ร  connaรฎtre ; lโ€™entretien individuel qui est menรฉ au prรจs dโ€™une seule personne, puis les rรฉcits biographiques ou rรฉcits de vie qui visent ร  reconstituer lโ€™expรฉrience subjective du sujet autour dโ€™une identitรฉ narrative ; ensuite lโ€™analyse de discours et รฉtude documentaire et enfin lโ€™observation ethnographique quโ€™elle correspond ร  une observation non participante et participante. Sans oublier lโ€™utilisation de lโ€™image telle la photographie.
Une analyse de type quantitatif pour produire des informations chiffrรฉes dans le but dโ€™รฉtayer les raisonnements, pour expliquer ou identifier des faits et de saisir des rรฉgularitรฉs dans les comportements. Elle sโ€™agit donc dโ€™une รฉlaboration dโ€™un questionnaire pour la collecte de donnรฉes quantitatives, de sondage et statistiques par lโ€™intermรฉdiaire des entretiens avec questions fermรฉes ou semi-fermรฉes.

TYPE Dโ€™APPROCHE

Lโ€™approche ยซ est un รฉtat dโ€™esprit, une sorte de disposition gรฉnรฉrale qui situe lโ€™arriรจre fond philosophique ou mรฉtathรฉorique du chercheur ยป. Pour apprรฉhender le phรฉnomรจne รฉducatif au sein de lโ€™รฉglise รฉvangรฉlique MRE, notre choix sโ€™est tombรฉ sur deux courants de penser ร  titre : lโ€™interactionnisme symbolique et le fonctionnalisme .

INTERACTIONNISME SYMBOLIQUE

Crรฉรฉe en 1937 par H Blumer, lโ€™expression ยซ interactionnisme symbolique ยป dรฉsigne un courant de pensรฉe qui fait des relations rรฉciproques entre les individus et des signes de ces รฉchanges lโ€™objet dโ€™รฉtude de la sociologie. Pour cessociologues, les institutions sociales dโ€™une part et la personnalitรฉ des individus dโ€™autre part sont constamment crรฉรฉes et renouvelรฉes aucours des interactions individuelles. Conformรฉment ร  ce quโ€™affirmait Weber, le sociologue doit donc se mettre ร  la place de chacun des acteurs afin de com prendre ce quโ€™il a perรงu de lโ€™attitude des autres et les raisons de son action. Le sociologue doit รฉtudier les relations rรฉciproques des individus.
ร€ partir de lโ€™hypothรจse selon laquelle les indivi dus sont des sujets conscients, il est nรฉcessaire dโ€™expliquer le social par les actions individuelles. Lโ€™action a un sens (une signification) pour les individus et les interactionnistes ajoutent quโ€™il nโ€™y a pas dโ€™autre sens ร  chercher que celui donnรฉ par lโ€™individu lui-mรชme. Le travail du socioguel consiste donc ร  reproduire le discours des individus. Lโ€™action dโ€™un individu et le sens quโ€™il lui donne dรฉpendant de ses relations avec les autres. Les phรฉnomรจnes sociaux et les personnalitรฉsindividuelles sont le fruit des interactions. Lโ€™interaction est la relation sociale de base. La vie sociale se rรฉsume en une multitude dโ€™analyse de comportement des autres, dโ€™action et finalement dโ€™influence rรฉciproque. Les normes et les rรดles sociaux ne sont pas des donnรฉes qui sโ€™imposent aux individus, mais des constructions qui apparaissent, perdurent ou se transforment au cours des multiples interactions. Bien souvent, les comportements sont stรฉrรฉotypรฉs et semblent obรฉir desร  rรจgles sociales mais pour subsister, ces rรจgles ont besoin dโ€™รชtre confirmรฉes par les individus. Au cours des multiples relations, les acteurs crรฉent, confirment et transforment les rรจgles sociales.
Les individus, de leur cรดtรฉ, sont รฉgalement le fruit des multiples actions rรฉciproques qui forment la trame de la vie sociale. Le sociologue de lโ€™รฉcole de Chicago G. H. Mead avait dรฉjร  montrรฉ comment la socialisation de lโ€™enfant supposait sa participation active ร  ce processus. Les interactionnistes poursuivent cette rรฉflexion et estiment que la personnalitรฉ dโ€™un individu nโ€™est jamais donnรฉe une fois pour toute. Elle est confortรฉe ou modifiรฉe par chacune des relations quโ€™entretient cet individu avec les autres. Ainsi, lโ€™interactionnisme symbolique permet de mettre en lumiรจre les faces cachรฉes des interactions, des relations rรฉciproques et la dynamique symbolique qui se produisent au sein de lโ€™Eglise des adeptes et durant les cultes.

FONCTIONNALISME

La thรฉorie fonctionnaliste part du constat que chaque รฉlรฉment de la sociรฉtรฉ possรจde sa fonction particuliรจre et ces รฉlรฉments sont indispensables lโ€™รฉquilibreร  dโ€™un ensemble cohรฉrent.
Deux auteurs sont ร  signaler : dโ€™une part T. Pars ons, sโ€™inspirant des travaux de Weber, pour lui lโ€™action sociale rรฉsulte donc de choix individuels qui ont un sens pour leurs auteurs. Les individus sont des acteurs sociaux qui cherchent ร  optimiser leur satisfaction. Les individus ont des choix sous-contraintes qui orientent les actions. Ces derniรจres remplissent des fonctions au sein dโ€™un systรจme social. Cela signifie quโ€™elles servent ร  quelque chose et sont utiles au sein de la sociรฉtรฉ. Leurs fonctions essentielles consistent dโ€™intรฉgrer lโ€™individu dans la sociรฉtรฉ et de contribuer au maintien de cette sociรฉtรฉ. La sociรฉtรฉest ici considรฉrรฉe comme un systรจme dont la fonction principale est lโ€™intรฉgration des individus.
De lโ€™autre part, R. H. Merton constitue un pilier au courant fonctionnalisme. Merton quant ร  lui, reproche T. Parsons dโ€™avoir surestimรฉ la fonction sociale intรฉgratrice des actions individuelles ยซ normales ยป. Ainsi, certaines pratiques religieuses peuvent รชtre source de conflits et non pas dโ€™intรฉgration. Cโ€™est ร  partir de Merton que se sont apparus les concepts de fonctions manifestes et fonctions latentes. La fonction manifeste dโ€™une action est ce qui est visible et souhaitรฉe par les individus alors que la fonction latente รฉchappe ร  leur perception immรฉdiate du social. De ce fait lโ€™apport de ce courant dans notre recherche est dโ€™une grande importance ร  savoir les fonctions et lโ€™importance accordรฉes par les fidรจles ร  lโ€™รฉducation quโ€™on leur dispense.
Le fonctionnalisme selon Durkheim en quoi la religion totรฉmique des aborigรจnes australiens avait pour fonction dโ€™entretenir le sentiment collectif de la tribu et de maintenir sa cohรฉsion sociale, va mettre en lumiรจre les fonctions sociales quโ€™individuelles remplies par les pratiques, croyances religieuses.

PRESENTATION DU TERRAIN Dโ€™ENQUETE

HISTORIQUE

Le sigle MRE indique bien auparavant Messagers Radio Evangรฉlique et fut la premiรจre radio de vocation รฉvangรฉlique de Madagascar, FM 95.0 crรฉรฉe ersv 1995. Le pasteur Jocelyn RANJARISON fut le fondateur. La radio รฉmette chaquejour ร  partir de 04heures du matin. Vient aprรจs, la crรฉation de lโ€™รฉglise sous le mรชme siglesl ยซ Messagers du Rรฉveil Evangรฉlique ยป, crรฉรฉe par le mรชme pasteur dans les annรฉes 1996โ€“1997.
Lโ€™รฉglise est passรฉe de groupe informelle cโ€™est-ร -dire de cellule ou fraternitรฉ de priรจre en organisation structurรฉe. Les cultes se font ร  ces รฉpoques ร  lโ€™EPP Behoririka le jour du Samedi et du Dimanche. Le nombre dโ€™adeptes a commencรฉ de quatre ร  une dizaine de personnes jusquโ€™ร  en arriver ร  lโ€™environ de deux cent personnes. Vers lโ€™ annรฉe 2000, lโ€™รฉglise sโ€™est dรฉlocalisรฉe et a pris la salle de cinรฉma REX avec les adeptes qui comptaient environ mille individus. Quelques annรฉes plus tard la salle de cinรฉma ROXY oรน demeure jusquโ€™ actuellement le lieu de rencontre et de culte. Cโ€™est vers lโ€™annรฉe 2005 que lโ€™รฉglise eut la reconnaissance officielle du Ministรจre de lโ€™Intรฉrieur et de la Dรฉcentralisation รฉtant la ยซ 99รจme associationcultuelle ยป9 ayant acquis la reconnaissance de la personnalitรฉ morale sous lโ€™arrรชtรฉ nยฐ13252/2005udpremier septembre 2005.
Aujourdโ€™hui lโ€™รฉglise ne cesse dโ€™attirer des fidรจles qui comptent dans les 3000 personnes. Lโ€™รฉglise a son bureau siรฉgรฉ ร  Tsiazotafo.

ORGANIGRAMME

Comme toute association cultuelle et bien dโ€™autre, la MRE est une organisation qui se gouverne elle-mรชme, seule qualifiรฉe pour interprรฉter et faire appliquer ses propres rรจgles dโ€™organisation. Ainsi lโ€™association รฉtant une organisation possรจdeun organigramme bien dรฉfini que la loi rรฉgit.
La constitution de lโ€™association cultuelle sโ€™est fa it au cours dโ€™une assemblรฉe gรฉnรฉrale des fidรจles qui est dans lโ€™obligation dโ€™รฉlire un conseil dโ€™administration obligatoirement composรฉ dโ€™une Assemblรฉe Gรฉnรฉrale et dโ€™un Comitรฉ Directeur.
Lโ€™Assemblรฉe Gรฉnรฉrale est lโ€™organe suprรชme regroupant tous les membres adhรฉrents. Elle a pour attribution notamment : dโ€™adopter ou de modifier les statuts et le rรจglement intรฉrieur รฉlaborรฉs par le Comitรฉ Directeur, dโ€™approuver les rapports dโ€™activitรฉ conformes aux objectifs.
Quant au Comitรฉ Directeur, cโ€™est lโ€™organe exรฉcutifde lโ€™association. Il est composรฉ dโ€™un prรฉsident qui est le pasteur en personne. Il est le responsable de la bonne marche de lโ€™association, il reprรฉsente lโ€™association dans tous les actes de la vie civile ainsi que les rรฉunions, il convoque les relations ordinaire et extraordinaire des membres. Puis un vice-prรฉsident, qui reรงoit la dรฉlรฉgation de pouvoir de la part du prรฉsident et remplace ce dernier dans lโ€™exรฉcution de sa tรขche au cas oรน il y a empรชchement ou absence temporaire. Vient ensuite le secrรฉtaire qui exerce les travaux de secrรฉtariat au sein de lโ€™association aprรจs chaque รฉunionr. Le secrรฉtaire dresse le procรจs-verbal quโ€™il retient dans un registre collรฉ et paraphรฉ parle prรฉsident. Puis le trรฉsorier qui est responsabl de la comptabilitรฉ de lโ€™association, enregistre en jour le jour les divers mouvements des recettes et des dรฉpenses dans un registre comptable collรฉ et paraphรฉ par le prรฉsident. La signature de chรจque bancaire visรฉ par le prรฉsident de lโ€™association ร  chaque retrait de fond, responsable des rapports financiers si les membres les exigent nรฉcessaires.Enfin, les conseillers qui donnent conseil pour le bon fonctionnement de lโ€™association ร  partir du niv eau contrรดle. Des rรฉunions extraordinaires peuvent รชtre tenues en cas de nรฉcessitรฉ. Toute dรฉlibรฉration pour รชtre valable doit avoir la majoritรฉ des deux tiers des membres adhรฉrents.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION GENERALE
ยท GENERALITE
ยท CHOIX DU THEME ET DU TERRAIN
ยท QUESTION DE DEPART
ยท OBJECTIFS
ยท APERCU METHODOLOGIQUE
ยท DOMAINE ET LIMITES DE LA RECHERCHE
ยท ANNONCE DU PLAN
PARTIE I – AUX ABORDS DE Lโ€™OBJET Dโ€™ETUDE
INTRODUCTION PARTIELLE
CHAPITRE I – BALISE METHODOLOGIQUE
o SECTION I : METHODES
I – TYPE DE RECHERCHE
II – ECHANTILLONNAGE
III – TYPE DE DEMARCHE
V – TYPE Dโ€™ANALYSE
o SECTION II – TYPE Dโ€™APPROCHE
I – INTERACTIONNISME SYMBOLIQUE
II – FONCTIONNALISME
CHAPITRE II – PRESENTATION DU TERRAIN Dโ€™ENQUETE
o SECTION III – HISTORIQUE
o SECTION IV – ORGANIGRAMME
o SECTIONV – STRUCTURE INTERNE DE Lโ€™EGLISE
CHAPITRE III โ€“ REPERES THEORICO-CONCEPTUELLES
o SECTION VI – OUTILS CONCEPTUELS
I – TOURNANT
II – EDUCATION DE MASSE
IIIโ€“ PROLIFERATION
IV- EGLISE DE REVEIL ET SECTE
a – APPROCHE HISTORIQUE
b- APPROCHE BIBLIQUE
c- APPROCHE JURIDIQUE
d – APPROCHE SOCIOLOGIQUE
o SECTION VII- CADRAGE THEORIQUE
I – LA RELIGION
1- REGARD HISTORIQUE SUR LA RELIGION ร€ MADAGASCAR
2- CONSIDERATION DURKHEIMIENNE DE LA RELIGION
3 – CONSIDERATION MARXISTE DE LA RELIGION
4- CONSIDERATION WEBERIENNE DE LA RELIGION
5 – CONSIDERATION LEBRASIENNE DE LA RELIGION
6 – DE LA SOCIOLOGIE DE LA RELIGION A LA SOCIOLOGIE RELIGIEUSE
o SECTION VIII – FORMULATION DE LA PROBLEMATIQUE
o SECTION IX – HYPOTHESES
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE II – CONSTATS EMPIRIQUES SUR LE TERRAIN
INTRODUCTION PARTIELLE
CHAPITRE IV- DONNEES ELEMENTAIRES SUR LA MICRO-POPULATION STATISTIQUE
ยท IDENTIFICATION DE Lโ€™AGE ET SEXE DES ENQUETES
ยท IDENTIFICATION GEOGRAPHIQUE DES ENQUETES
ยท IDENTIFICATION DES ENQUETES SELON LE NIVEAU Dโ€™INSTRUCTION
ยท IDENTIFICATION SELON LA SITUATION MATRIMONIALE
ยท IDENTIFICATION DES ENQUETES SELON LEUR CATEGORIE SOCIO-PROFESSIONNELLE
CHAPITRE V-ANALYSE DES RESULTATS
ยท EDUCATION AU SEIN DE Lโ€™EGLISE MRE
ยท EDUCATION SECULIERE
ยท EVANGELISATION ET PASTORAT
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE III- DISCUSSIONS
INTRODUCTION PARTIELLE
CHAPITRE VI- ANALYSE DE CADRAGE
o SECTION X – FORCES
1ยฐ- RESSOURCES ECCLESIASTIQUES
o SECTION XI – FAIBLESSES
1ยฐ- LE SCHISME ET HERESIE
o SECTION XII – OPPORTUNITES
1ยฐ- LA SITUATION DE PAUVRETE
2ยฐ- LE LIBERALISME RELIGIEUX
3ยฐ- LIBERALISME MEDIATIQUE
4ยฐ- PERTE Dโ€™INFLUENCE DES GRANDES EGLISES ET DE LA RELIGION TRADITIONNELLE
5ยฐ- LE RENOUVEAU RELIGIEUX
o SECTION XIII- MENACES
1ยฐ- LA SECULARISATION ET LAICISATION
CHAPITRE VII- ANALYSE PROSPECTIVE
o SECTION XIV – PERSPECTIVES ETATIQUES NATIONALES
o SECTION XV – PERSPECTIVES DES INSTITUTIONS ETATIQUES INTERNATIONAUX
o SECTION XVI – RECOMMANDATIONS PERSONNELLES
VERIFICATION DES HYPOTHESES
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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