DE LA FORMATION DES FIGURES DES REPRESENTATIONS DE L’HOMME

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DE L’ESTHETIQUE VERS LE MODELE

Nous adoptons une démarche consistant à représenter l’homme dans le cadre de critère d’esthétique de PLATON (v. 428-347 av. J.-C.), afin de donner une conception du réel à la cette figure. Notre intention est de montrer insidieusement que la force qui lie les humains entre eux, la force faisant « l »’homme de l’humanité, est l’attraction du beau ou des effets du beau. En philosophie platonicienne, une des bases de la philosophie des peuples de la Méditerranée et des peuples qui leur sont influencés, le beau ou le modèle du parfait, en l’occurrence l’homo œconomicus en économie, est une des archétypes de la réalité. Il a une existence en-soi, et il donne aux choses de ce monde un semblant de stabilité19.
Si l’homo œconomicus est le beau et le parfait dans le domaine de l’économie, alors sans aucun doute, il existe, et il assure un semblant de stabilité à la science économique. Il appartient alors au chercheur (le philosophe, ou l’admirateur de l’économie) de parvenir jusqu’à lui par l’expérience de la sensation : un homme qui s’habitue à regarder la beauté ou à chercher la beauté, finira par la retrouver à force d’éduquer ses propres sens et perceptions. Le chercheur ne peut pas cependant l’atteindre ; le peu qu’il peut faire, c’est de l’imiter. Dans ce sens alors la découverte de l’homo œconomicus revient aux économistes, parce que ces derniers ont suffisamment émoussé leur sens avec les débats sur l’homo œconomicus (qui est le modèle ou le « beau » de l’agent économique), et comme conséquence de cette découverte, le chercheur doit conseiller ou faire des harangues aux praticiens d’imiter le comportement de ce modèle, car il lui serait impossible d’agir tout à fait comme lui.
La philosophie aristotélicienne, tout en reconnaissant l’existence de la chose en soi, et donc de la réalité de l’homo œconomicus, considère ce dernier, dans la mesure où il a été rencontré, non pas comme un idéal à imiter, mais comme une nature quelconque. Cet idéal influence l’artiste et le chercheur, mais ce dernier reste maître de lui-même. Devant le beau alors, le chercheur modifie sa propre vision de la nature et la complète (approche systémique de la construction du savoir). L’esthétique implique donc que le beau existe et que ses admirateurs changent de comportement devant lui. En l’occurrence, l’idée d’homo œconomicus en tant que parangon de la perfection devait modifier le comportement de l’homme réel, non pas pour atteindre la « perfection » de l’homme idéal, mais pour compléter l’homme réel ou idéal, en vue de se rapprocher de cet idéal, comme l’affirme la philosophie aristotélicienne. C’est parce que l’homo œconomicus est attribué de qualité de perfection, que happé par les discours sur l’esthétique, son devenir est le réel ; l’homo œconomicus est le véhicule du réel. L’homo œconomicus n’est pas le réel, mais il contient le réel. Nous raisonnons donc dans une hypothèse où le réel est inconnu, mais que par la pratique de la science ou plus précisément, du concept homo œconomicus, nous voulons l’atteindre.
En fait, les littératures et la science économique n’ont que des images représentatives de l’homme ou des symboles usuels représentant l’homme tels qu’ils sont gravés sur des supports littéraires et graphiques, allant du dessin des cavernes, aux poses photographiques de l’homme, ou aux images de l’homme traversant une rue figurées sur les panneaux de circulation routières, ou à l’image représentative de l’homme (et de la femme) fixée sur les portes des toilettes, ou encore aux images et représentations de l’homme que les lecteurs d’une œuvre écrite gardent en mémoire à la suite d’une lecture d’un roman ou d’un récit, etc., des mots de description, et aussi des questions et d’interrogations. Pourtant, le beau ou le parfait est là, dans la théorie de ces représentations. L’esthétique nous assure qu’il est une réalité, sinon notre système de connaissance s’écroule. Pourtant, malgré l’assurance de la science, le doute ou l’angoisse persiste ; quelque chose nous dérange ; la solution apportée par l’esthétique n’a pas apaisé nos besoins de comprendre, la solution apportée par l’esthétique ne nous a pas délivrés de notre angoisse. Dans un contexte existentiel du philosophe Søren KIERKEGAARD20 (1813 – 1855), il nous faut remettre en cause ce qui a été vanté par le discours sur l’esthétique. Nous constatons alors que l’esthétique n’ayant pas encore vu le « vrai » et le réel, s’est contenté de porter un jugement sur seulement le profil et l’esquisse. Les modèles et les représentations ne sont que des esquisses de la réalité, pourtant ils attirent déjà la pensée humaine. Quel est le contenu de cette esquisse et de profil ? Tel est l’objet du second chapitre de notre thèse.

DES REFLEXIONS EMPRUNTEES POUR LA CONSTRUCTION DE LA REPRESENTATION DE L’HOMME ET DES CONSEQUENCES DE CELLE­CI PROLEGOMENES

Les prolégomènes suivants s’imposent pour parler d’un sujet ignoré de la science économique et qui, pourtant, est présent dans chaque formulation théorique.

PRESENTATION SOMMAIRE DU THEME DE L’HOMME

La représentation de l’homme sous une forme ou une autre est un bien qui, par le fait qu’il est produit dans toutes les communautés du monde, indépendamment du temps, est utile car répondant à un besoin de l’homme. LEVI-BRUHL, un ethnologue français constate que les communautés primitives ont une représentation de l’univers ; et dans les communautés modernes, les caméras et appareils photos, les artistes s’efforcent de capturer le monde ou un pan de la représentation du monde. La construction de la représentation de « l »’homme, ou en termes économiques, la production du thème de l’homme est une énigme de la science économique. Le thème de l’homme n’est pas une marchandise ordinaire car, si par définition, une marchandise est un bien ou un service utile et échangeable entre des agents opérant sous un même marché, le thème de l’homme qui fait déjà l’objet d’un offre et de demande ne s’achète pas et ne se vend pas, et pourtant, il a une valeur marchande. Son prix est le produit matériel ou immatériel qu’on n’a pas produit pour le produire ou pour le consommer ; c’est-à-dire la valeur de la désutilité des autres produit. Un individu qui a interrompu momentanément une activité productrice de revenu pour réfléchir sur un sujet du thème de « l »’homme a produit et consommé du thème de l’homme d’une valeur du revenu qu’il n’a pas voulu délibérément percevoir.
Cela s’explique par la nature du thème de l’homme : le thème de « l »’homme est un sujet inachevé de discussion sur la vie ; c’est un une marchandise inachevée, et pourtant consommable par la production. La participation à une conversation, échange ou discussion sur le thème de l’homme est à la fois un acte de production et de consommation de thème de l’homme. Le thème de l’homme n’est pas en apparence un bien rare, puisqu’il se produit et se consomme librement. Mais ces actes de production et de consommation n’ont pas apporté une satisfaction, une extinction d’un besoin, au contraire, la production et la consommation d’une discussion sur le sujet de l’homme ou de la vie provoque d’autres productions et une plus grande demande de discussion sur le sujet en question. Dans ce sens, la rareté du thème de l’homme persiste et ne cesse d’augmenter. La question est comparable à la vision malthusienne de la nourriture : plus on en produit, plus la demande est grande. Le thème de l’homme est donc un sujet économique comparable à celle de la nourriture.
C’est la communauté locale ou l’homme dans sa dimension globale qui produit et consomme le thème en question, alors que la marchandise usuelle étudiée par l’économie actuelle est produite et consommée par l’homme dans sa dimension familiale ou entrepreneuriale. Sa production et sa consommation ne sont pas une création ou de destruction d’un objet matériel, mais de thème de communication, de relation, voire d’organisation. Elles ne sont donc pas morcelables, mais localisables dans un espace composés d’éléments limitées et hiérarchisés, notamment de termes de « conscience et prise de conscience collective de risque », « prise de décisions », « enrichissement et accumulation de richesse », « dimensions de l’homme », etc. bref des éléments en construction qui, pour le moment, ne sont pas mesurables ou quantifiables.
Le thème de « l »’homme peut être assimilé à un bien collectif, c’est-à-dire un objet qui ne se détruit pas par la consommation par plusieurs agents. Au contraire, sa valeur augmente par la consommation, et inversement, elle diminue de valeur par son … stockage (car le fait de fermer un débat revient à mettre en dépôt un thème et ses concepts associés). Il n’est donc pas un bien collectif dans le sens où ce bien est défini en termes de consommation ; il est plutôt un « capital collectif », un bien collectif qui augmente en valeur par l’usage.
Le thème de l’homme peut aussi être assimilé à un club où ce qui l’utilise en profite le plus. Il y a un gain provenant de l’usage du thème qui est partagé entre les participants. Plus les participants sont nombreux, plus les gains sont importants. Conséquence, une sorte d’invitation silencieuse s’installe de façon spontanée entre les groupes d’individus de tous bords pour exploiter le thème. Cette situation entraîne des compétitions des thèmes et des sujets de conversation : exemple entre les sujets sportifs ou d’actualités politique, ou encore du potin de la ville. Le thème de l’homme hante les différents cercles de discussion. Comment se produit le thème de l’homme ? Comment et pourquoi le thème de l’homme parvient-il à atteindre la dimension humaine ? Telles sont les questions soulevés dans ce chapitre.

POSITIONS THEORICO-ECONOMIQUES SOMMAIRES DE LA QUESTION DE LA PRODUCTION DU THEME DE « L »’HOMME.

Deux théories dominent le thème de la production en économie du thème de l’homme : pour les classiques, la production se réalise par la mise en œuvre des facteurs de production que sont le travail, le capital et la nature ; alors que pour Joseph Aloïs SCHUMPETER, elle dépend de l’innovation. La production est l’œuvre des entrepreneurs.
Dans le sens de l’analyse classique, donc, le thème de l’homme est produit par le travail des artistes et des écrivains, des orateurs, des participants à un débat ou à des discussions, des organisateurs directs ou non des spectacles et débats, des philosophes, des publicistes ou encore, d’une simple réflexion silencieuse. La production du thème de l’homme est un phénomène humain universel ; elle ne dépend pas de la culture ni de savoir-faire particulier. La production du thème de l’homme peut être classée en deux modes selon leur place dans la division sociale de travail : la production non marchande et la production marchande. Le premier type de production n’est pas destiné pour le marché, ni pour être échangé contre un bien matériel (exemples : monnaie, biens et services matériels) ou immatériel (renommé et gloire) ; elle est silencieuse (réflexion, pensée) ou transmise sans contrepartie à d’autres personnes ; alors que le deuxième type de production du thème de « l »’homme est social et marchand (exemples : les livres traitant la vie, la sagesse, les conférences payantes de tous types, les tableaux artistiques, les spectacles, etc.). Le premier type de production du thème de l’homme, ce sont des productions des produits intellectuels en rapport, non pas avec la technologie qui génère une production matérielle marchande, mais avec la sagesse : la philosophie, les conseils sincères et gratuites, les réflexions et introspections que la science économique néoclassique considère comme un instrument de production de la pensée économique.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Les questions : Qui est « l »’homme et quel (et où) est son domaine ?
Positions théoriques de la question
Les réponses
Des problèmes
Des solutions
Portées et limites des solutions
Démarche et corpus
LIVRE PREMIER : DE L’HOMO OECONOMICUS. DES REFLEXIONS EMPRUNTEES ET CHOISIES SUR L’HOMME VERS LA REDECOUVERTE DU THEME L’« HOMO OECONOMICUS »
Introduction
Le problème : le thème de l’homme dans la science économique a été évincé par le modèle dénommé « homo oeconomicus »
Historique du thème de l’homme : De la formation de la réflexion de l’homme sur l’homme et ses
impacts sur la conception de l’homme de l’économie (L’obstacle épistémologique de récit ancien)
De l’esthétique vers le modèle
CHAPITRE I : DES REFLEXIONS EMPRUNTEES POUR LA CONSTRUCTION DE LA REPRESENTATION DE L’HOMME ET DES CONSEQUENCES DE CELLE‐CI
Prolégomènes
Présentation sommaire du thème de l’homme
Positions théorico‐économiques sommaires de la question de la production du thème de « l »’homme.
Diverses théories de la question de la représentation de l’homme.
A la recherche du lieu rhétorique ou le champ d’argumentation du thème de l’homme
Introduction
Les problèmes du thème de l’homme : L’existence de plusieurs mots désignant le mot « homme » dans chaque langue, la divergence de leurs connotés et l’absence de recherche spécifique sur le thème de l’homme
A la recherche d’une solution : En posant l’homme comme un être dual, qui prend conscience de lui par lui‐même
Démarche
Objectifs du chapitre
Intérêts du chapitre
Démarche pour présenter l’homme dual idéal
Section I – De l’appréhension des réflexions sur la représentation de l’homme
Introduction
La question : Qu’est-ce que l’homme dit de lui-même ?
Démarche vers la question
Paragraphe 1 – Les cadres thématiques du thème de l’homme
A la recherche de la voie menant vers la découverte de ce que la narration a construit en matière de la représentation de l’homme
De la demande du thème de l’homme
Les apports du débat juif sur l’homme image de Dieu et ses questions
Vers la reconstruction des liens entre les concepts pour la construction de la représentation de l’homme par la narration
I – De la construction de la réflexion sur « l »’homme à partir de la narration de la constitution de l’univers
A – Du collecte des matériaux de base pour la construction du thème de l’homme
B – Les récits de la richesse et ses effets sur la construction du thème de l’homme
II.‐ De la construction de la réflexion sur « l »’homme à partir du thème « femme »
A – La femme en tant que thème révélateur de la faiblesse de l’homme.
B ‐ Le choix du thème de l’homme par le narrateur
1°) Les déterminants de la production de la narration en faveur de thème de l’homme
a – De la vulgarisation des modèles de récits tout fait
b ‐ De la demande de récit de l’homme
2°) la mobilisation de l’intérêt collectif pour le thème de « l »’homme
a) Les causes de la mobilisation de l’intérêt collectif pour le thème de l’homme
b) La puissance de la narration
c) De la temporalité
Paragraphe 2 – De la narration de l’homme faible ou résumé du thème « homme »
I ‐ La faiblesse saisie par les théories sociologiques
A – Approche structuraliste de la femme ou de l’homme faible
B – Approche fonctionnaliste de la femme ou de l’homme faible
1°) La représentation de la femme : le travail domestique
2°) La représentation de l’homme est le produit de la volonté d’amplifier la différence sexuelle
3°) La narration de la différence homme‐femme par le thème du corps
II – Approches philosophiques de la faiblesse
A – La faiblesse de l’homme en général d’après la théorie de NIETZSCHE
1°) La formation du thème « la » femme chez NIEZTSCHE
2°) L’homme‐volonté de SCHOPENHAUER
B – La faiblesse de l’homme en général d’après Diogène le cynique
1°) La formation du thème de « l »’homme chez DIOGENE LAËRCE
2°) L’homme dénué et questeur de DIOGENE
Conclusion de la section
Section II – Des réflexions sur l’ensemble des représentations de l’homme
Introduction :
Position de la question de la représentation de l’homme dans le référentiel économique et présentation de la section
Objectifs de la section : montrer que la représentation est aussi une modélisation du comportement et un processus de socialisation.
Démarche
Paragraphe 1 – Des contenus de la représentation de l’homme
I – Diverses classifications du contenu du thème de l’homme
A ‐ Types de classification du thème de l’homme selon la position des narrateurs
B ‐ Le récit de l’homme selon les points de focalisation de la narration
1°) Le récit du vécu de l’homme dans le cadre d’un système totémique
2°) Le récit de l’homme à travers le thème de héro
II ‐ Les contenus des effets de la représentation de l’homme
A ‐ La représentation de l’homme sépare le corporel et l’incorporel et introduit le normal
B ‐ Les types de représentation de l’homme caractérisent la culture
C ‐ La représentation de l’homme ouvre la voie à la rhétorique
Paragraphe 2 ‐ La représentation de l’homme détache le lien entre l’homme et la nature et plonge l’existence humaine dans un ordre moral et physique
I. L’homme représenté véhicule la refonte de l’homme naturel ou de la construction de l’homme futur
II. L’homme esquissé n’apparaît que dans l’ordre à la fois moral et physique
III. L’homme représenté est transfiguré
A. L’entendement et la traduction modifient la représentation de l’homme.
B ‐ De la désinformation de la représentation de l’homme par la prolifération des oeuvres littéraires
1. Les effets de la spécialisation des moyens d’expression littéraire
2. Pourtant, le symbole indique une paresse de la pensée de représenter l’intuitif
Conclusion de la section
Conclusion du chapitre : Le thème de l’homme est encore un thème mal débroussaillé
CHAPITRE II – DE LA FORMATION DES FIGURES DES REPRESENTATIONS DE L’HOMME
Introduction
Des changements dans la conception du thème de l’homme
La conception du thème de l’homme annonce une systématisation du thème de l’homme et ouvre ce thème vers des critères plus variés
Section I – Des profils de l’homme selon l’homme et le scientifique anonymes.
Introduction
Le problème : A la recherche du profil de « l »’homme
La solution de la science économique et ses limites : le cliché de l’ensemble des phénomènes économiques et l’absence des autres dimensions humaines.
De la préparation au renouveau de l’homme de l’économie
Paragraphe 1 – Les cadres prénatals du thème de l’homme : les thèmes de figure des représentation de l’homme
I – De la construction du profil de l’homme indépendamment de l’homme
A – Les récits économiques et littéraires de l’homme retracent l’histoire de l’homme non souverain
1°) Le récit économique des oracles
2°) Le récit économique de la littérature politique et de la littérature scientifique
3°) Le récit économique de la vie quotidienne
B – Les récits économiques de l’homme animé par une détermination intérieure
1°) Du récit de l’opposition entre la volonté et le désir
a) Le récit ou le discours d’exposé de motif des politiques économiques
b) le discours sur la perception de risque
2°) Le lien entre désir et besoin
3°) Le récit du lien entre la volonté de l’homme et le besoin
II – Le profil de l’homme saisi à partir de l’imperfection de l’homme
1°) La faiblesse du héro
2°) La faiblesse de l’homme en général
Paragraphe 2 – Le thème de l’homme entre les mains des scientifiques
I ‐ L’homme narré par Adam SMITH
1°) Le récit de l’homme dans la narration d’Adam SMITH
2°) De la construction du récit de l’homme dans la théorie d’Adam SMITH
3°) Le cadre de capture de l’idée de l’homme dans le récit d’Adam SMITH
II ‐ L’homme de la doctrine de John Stuart MILL
1) Le récit de l’homme dans la pensée individualiste de John Stuart MILL
2) Le cadre de la formation du thème de l’homme dans la théorie de John Stuart MILL
III ‐ L’homme des modèles de la situation économique
1°) Le modèle de l’homme d’HARROD DOMAR
2°) Le modèle de Vernon SMITH
Conclusion de la section : Vers une systématisation des conditions de questionnement sur l’identité de l’homme
Section II – De l’état de lieu des récits de l’homme idéal de certaines religions
Introduction :
A propos du réel
Vers la confrontation des thèmes de l’homme entre eux.
Paragraphe 1 – De l’etat de lieu du thème de l’homme saisi à travers le sujet de la richesse développé et vulgarisé par la bible par rapport à l’homme développé par la science économique
I – La nature est une richesse de l’homme
A – L’homme dominant de la nature
B – L’homme à la recherche du Bien
II –L’homme universel est la richesse du système de narration
A – Le passage du thème de l’individu vers l’homme
B – La raison et la conscience humaine
Paragraphe 2 – De l’état de lieu de l’homme saisi à travers le sujet de besoin développé par d’autres religions par rapport l’homme développé par la science économique
I – Présentation sommaire du Bhagavad‐Gîtâ et de l’homme
II ‐ Qui est l’homme du Bhagavad‐Gîtâ ?
I – Où est l’homme selon la Bhagavad‐Gîtâ
II – Que fait l’homme selon la Bhagavad‐Gîtâ ?
Conclusion de la section
Conclusion du chapitre
CHAPITRE III ‐ A LA REDECOUVERTE DE L’HOMO OECONOMICUS
introduction
La question : La crise de l’homme
Le problème : De l’homme dans la pensée économique
Démarche vers la solution
Solution de la problématique de l’homme
Section 1 – Introduction au thème de l’homo oeconomicus
introduction
La question : la quête de normalisation de l’esthétique
Le problème : le « moi » en tant que sujet et en tant que objet
Paragraphe 1 – L’homo oeconomicus est le thème produit de la disposition naturelle consciente de l’homme à la quête de la représentation de l’homme
I ‐ L’existence de l’ homme est une donnée de la pensée humaine
1°) Notes sur la notion de la pensée humaine
2°) De l’existence de l’autre
3°) Les effets de l’existence de l’autre sur le récit de l’homme : la conception de l’homo oeconomicus
II – L’existence de l’autre vient de la conscience de la réalité de l’ordre et du langage
1°) Les dispositions intellectuelles de la formulation de la question de « qui est l’homme ? »
dans la philologie indo‐européenne ou « comment se forme la notion de besoin dans une communauté indo‐européenne ? »
a) De la redécouverte de l’homme : De l’intelligence vers la conscience
b) De l’état de conscience au lieu de la rationalité
2°) De l’état de conscience de soi comme moteur et mesure de l’activité économique humaine
1 ‐ Généralités sur la quantification de l’état de conscience
2 ‐ Vers la généralisation de l’état de conscience quantifié de l’homme
3 ‐ Du calcul et de l’évolution de état de conscience de soi
Paragraphe 2 – L’homo oeconomicus est le produit de la révolte ou de la résistance humaine pour se prendre en main
I ‐ Le thème de l’agent économique à travers le héro
1 ‐ De la construction indo‐européenne de modèle de l’homme par les récits de combat contre le mal
a ‐ Qui est l’homme identifié ou modélisé par le prêtre indo‐européen ?
b ‐ De la construction indo‐européenne de l’homme par le thème de la guerre et de discours sur l’obligation
c ‐ Le thème de triomphe de soi‐même
d ‐ Le sectarisme religieux, ses thèmes dérivés et leur contribution dans l’identification de l’homme
2 ‐ Le thème de rencontre des puissances dans la philologie indo‐européenne et son caractère archétype de la contradiction
a ‐ Les domaines du profane et du sacré
b ‐ Le rôle des sages et des prêtres indo‐européens dans la connaissance de l’homme
B – La spécialisation de la question de l’homme
1 ‐ La quête de l’identification de l’homme par le prêtre indo‐européen ou l’économiste
2 ‐ La formation de la question de l’identification de l’homme appréhendée par la problématique de la littérature religieuse indo‐européenne
3 ‐ La question de l’homme d’après les thèmes indo‐européens
4 ‐ Les conditions de la formation de la question de « qui est l’homme ? » dans la philologie mésopotamienne
a ‐ La question existentielle dans les civilisations mésopotamiennes : l’homme est un être créé pour une activité précise
b ‐ La question existentielle dans les communautés colonisées
c ‐ La puissance identifiée comme étant de l’horoscope ou, en malgache, le « vintana »
d ‐ Le rôle des colons dans le processus de questionnement de soi
5 ‐ De la découverte sur l’homme : la qualification de l’homme est le thème de l’économie
a ‐ La découverte de la science économique : les concepts de raison et de travail
b ‐ Au‐delà des apports de la science économique : l’économie a pour origine la conscience
de l’interdit et de la richesse
II ‐ Le destin de l’homme, c’est quoi ?
III ‐ De l’état de conscience humaine et la perception d’existence
Conclusion de la section
Section II – De l’homo oeconomicus devant « l »’homme
Introduction
Le thème de l’homo oeconomicus
Vers le lieu de l’homo oeconomicus
Le lieu de l’homo oeconomicus
Paragraphe 1 – Le thème de homo oeconomicus délimite les sujets de débats sur l’homme
I ‐ Du lieu de péroraison
A ‐ De la péroraison comme liens sociaux
B ‐ La péroraison comme lieu de profit social
II ‐ Du milieu hostile
III ‐ Du milieu interdit
Paragraphe 2 ‐ les faits de l’homo oeconomicus
I ‐ L’homo oeconomicus transforme la nature en richesse
A ‐ De la transmission de l’utilité sur la nature ou activité de valorisations de la nature
B – Le développement du thème de la production dans le cadre du thème de l’homo oeconomicus
1 ‐ Du gravage de la valeur dans la nature
2 ‐ De l’incrustation des objets matériels dans la vie humaine
II ‐ L’homo oeconomicus apprécie la situation et calcule les enjeux
A. Du calcul économique comme sens commun de l’homme
B. Le calcul est une pratique non pas des héros, mais des migrants et des êtres en mouvement.
1 ‐ Le cas d’Abraham
2 ‐ Le cas de Moïse
III – L’homo oeconomicus se déplace
A. L’homo oeconomicus franchit l’interdit
B. Il évolue
CONCLUSION DU CHAPITRE : L’HOMO OECONOMICUS EST UN PRODUIT DE L’ETHIQUE SUR L’INTIMITE
CONCLUSION DU LIVRE
BIBLIOGRAPHIE

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