Critères de choix pour la mise en place d’un traitement au tarissement

Facteurs de risque liés à l’environnement

Il est courant d’observer dans des élevages ayant d’importants cas de mammites cliniques pendant la période de stabulation, une régression nette et parfois spectaculaire de la maladie à partir du moment où les vaches sortent dans les pâtures, puis une reprise des problèmes à l’automne lorsque les vaches rentrent à l’étable. Il s’agit là d’une illustration parmi les plus banales d’une influence des conditions de logement sur les mammites.
Nous envisagerons, dans cette partie, les éléments du logement qui peuvent être source de contamination initiale des mamelles, et les facteurs qui influent sur ce niveau de contamination. Nous indiquerons également quelles sont les recommandations habituelles en matière de conception et d’entretien du bâtiment (Annexe VI), qui doivent permettre de contenir le microbisme dans les limites compatibles avec un bon état sanitaire des mamelles.

Pour estimer le risque de contamination des mamelles par le logement, il faudra évaluer : • L’apport initial de germes par les matériaux de la litière, • l’apport par les bouses des animaux : propreté des aires de couchage et de parcours et • les apports éventuels par des éléments extérieurs : nuisibles (rats, pigeons…).

Cette contamination initiale de l’aire de vie des animaux peut être considérablement augmentée lorsque des conditions de multiplication des germes se trouvent réunies : température élevée dans le bâtiment et/ou dans la litière, humidité …Enfin, des conditions d’utilisation du bâtiment, circulation des animaux, surpopulation, peuvent faciliter la transmission de germes de l’environnement aux mamelles des vaches [37]. Nous détaillerons, dans une dernière partie illustrée par l’annexe VII, un autre facteur de risque des mammites liés au logement : les blessures des trayons, liées à la vie en groupe de vaches laitières dans un espace limité. L’annexe VIII ressemble l’ensemble des informations nécessaires relatives aux facteurs de risque liés au logement.

La contamination initiale du logement des vaches laitières

Les mammites d’environnement sont provoquées par des germes qui vivent dans l’environnement proche des animaux : la litière, les aires de parcours, les aérosols en suspension dans le bâtiment, les biofilms attachés aux surfaces… Ces germes, coliformes (Escherichia coli, Klebsiella…) et certains streptocoques (Streptococcus uberis, streptocoques fécaux) sont essentiellement issus du tube digestif des animaux. Ils sont présents dans les bouses et contaminent la peau des mamelles, voire colonisent le canal du trayon et les quartiers, entre les traites. De façon générale, la teneur en déjections dans le bâtiment va augmenter la pression microbienne à laquelle sont soumises les mamelles. Le risque de contamination de celles-ci sera fonction de la nature de la litière et du niveau d’hygiène générale dans toutes les aires de vie des animaux.

La nature et l’état de conservation de la litière

De l’ensemble des travaux menés sur la contamination bactériologique des litières, synthétisés par Ménard et coll (2002) [74], on peut retenir quelques éléments qui semblent à peu près constants :

• La sciure de bois est généralement plus contaminée que la paille : 106 à 107 germes / gramme de litière, contre 103 germes / gramme de paille, pour une paille propre et sèche, stockée à l’abri des intempéries ; • La sciure de bois serait un substrat plus favorable que la paille à la multiplication des bactéries coliformes et notamment des germes Klebsiella et Enterobacter ; • La paille semble constituer un assez bon substrat pour la prolifération de Streptococcus uberis ; • Les niveaux de contamination initiaux de la litière, en fonction de la nature de ses constituants, sont d’autant plus élevés que ceux-ci sont stockés en milieu humide : les concentrations en germes et en moisissures sont alors beaucoup plus élevées, multipliées par 10² à 104.

Le stockage des litières, avant leur emploi, dans de mauvaises conditions et en particulier à l’humidité, est un facteur de risque. Les épandages de superphosphates peuvent être bénéfiques, non pas grâce à leur pouvoir désinfectant, mais grâce à leurs propriétés desséchantes qui limitent l’humidité de certaines litières : ils seront sans effet sur des litières très sales et très humides..

L’état de propreté de l’aire de couchage des animaux

Les normes relatives aux aires de couchages sont présentées dans l’annexe VI. En stabulation entravée ou en logettes, la zone de couchage doit être autant que possible exempte de déjections, celles-ci devant s’accumuler dans le caniveau situé derrière les vaches, ou dans le couloir de raclage des logettes. Dans les étables entravées, où il n’existe pas de séparation toutes les deux vaches, les animaux se couchent en travers et souillent leur zone de couchage. Il en est de même des logettes mal conçues, trop longues, dépourvues d’arrêtoir au sol ou de barre au garrot.

En stabulation libre à aire paillée, la litière doit être régulièrement répartie sur toute la surface paillée disponible et on ne doit pas voir de monticules dans la zone de couchage. Une litière très souillée laisse présager d’une contamination non négligeable des mamelles. Toutefois, si la propreté visuelle de l’aire paillée semble satisfaisante, elle ne peut garantir que la litière est peu contaminée en germes fécaux. Le tableau XV illustre cette idée. Par ailleurs, la présence de zones piétinées et souillées (zones de passage obligé ou présence de vaches en chaleur) constitue un risque pour les vaches qui sont amenées à se coucher à ces endroits.

L’état de propreté des aires de parcours

Celui-ci est lié à : • La densité des animaux qui circulent dans la stabulation et la surface d’aire de parcours réellement disponible par animal, • la fréquence du raclage des aires et • les conditions météorologiques en cas d’aires non couvertes.
Chaque fois que l’on observe une surface d’aire d’exercice réellement utilisée insuffisante par animal ou un raclage trop peu fréquent de cette aire (Annexe VI), le niveau des souillures augmente. En logettes, les vaches ont les pattes plus sales et salissent le sol des logettes. En aire paillée, si la surface d’aire d’exercice est trop faible, les vaches se promènent plus sur l’aire de couchage et la souillent plus. Dans les deux cas, les projections de bouses de l’aire de parcours sur les mamelles sont plus importantes. En cas de conditions météorologiques pluvieuses, si l’aire de parcours est découverte, les projections sont plus liquides et plus salissantes et les souillures plus importantes.

Il faut estimer la surface de parcours réellement disponible pour les vaches : le pourtour des râteliers, des abreuvoirs, des distributeurs automatiques d’aliments… doit être déduit de l’aire de promenade. Il en est de même pour la fumière — provisoire en principe ! – stockée en bout de couloir de raclage des bâtiments logettes à conduite fumier [37]. Des rounds ballers stockés momentanément sur l’aire paillée, les courants d’air réduisent aussi la surface disponible.

Appréciation du paramètre « propreté » des vaches

Le retentissement d’une hygiène défectueuse sur l’état sanitaire est incontestable, tout particulièrement dans le domaine de la production laitière. La propreté des animaux est un élément d’appréciation de l’hygiène générale de la stabulation et constitue une synthèse concrète des souillures apportées par le milieu et des facteurs pathogènes qui leur sont liés.
Une grille de notation de la propreté des vaches, proposé par la SNGTV, permet de situer le troupeau en matière de propreté (Annexe X, page 8).

Les souillures amenées par les nuisibles

Divers rongeurs (rats, souris…) et oiseaux (pigeons, étourneaux, corbeaux…) peuvent coloniser les abords, voire l’intérieur d’un bâtiment et amener par leurs déjections une contamination de la litière des vaches laitières. Leur présence constitue un facteur de risque supplémentaire.

Risque de multiplication bactérienne dans le logement

La charge microbienne initiale de la litière peut subir une importante augmentation si les conditions de température, d’humidité dans le bâtiment et / ou dans la litière, de concentration en ammoniac… sont favorables à la multiplication des germes.

L’évolution naturelle de la litière

Dans la paille propre et sèche, les lactobacilles, peu concurrencés par d’autres bactéries, se trouvent dans des conditions favorables pour se multiplier et orienter les fermentations de la litière [84]. Les déjections animales apportent un microbisme essentiellement constitué par des Enterococcus, des coliformes et des lactobacilles. Au sein de la litière, une multiplication sélective des différentes familles de bactéries se réalise. Le coefficient de multiplication des lactobacilles est très inférieur à celui des autres microorganismes : ce déséquilibre profite essentiellement aux coliformes et à certains Enterococcus. La décroissance du nombre de lactobacilles est également observée au cours du vieillissement de la litière, ces germes étant progressivement remplacés par des coliformes. Le changement de la litière et l’évacuation de la paille souillée ne peuvent assurer une élimination complète de l’ensemble des éléments bactériens de la litière précédente. Il persiste toujours des niches renfermant une colonie bactérienne représentative de l’écosystème antérieur. Chacun de ces îlots constitue un foyer potentiel à partir duquel peut se réinstaller cet écosystème [84]. Ce mécanisme pourrait expliquer la réapparition des mammites d’environnement, qui se déclenchent 8 à 12 jours après renouvellement de la litière.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE 1 : BIBLIOGRAPHIE
CHAPITRE 1 : PLANS DE PREVENTION DES MAMMITES
1- Actions de conseil collectif
1-1- Action Top Lait
1-1-1- Présentation de l’action
1-1-2- Résultats de l’action
1-2- Plan anglais
1-2-1- Présentation
1-2-2- Résultats de l’action
2- Actions de communication individuelle.
2-1- Approche économique des mammites
2-2- GTV Partenaire
2-3- Objectifs de la démarche GTV Partenaire
2-4- Les moyens
2-4-1- Les deux référentiels
2-4-2- La formation des vétérinaires
2-4-3- Les interventions en élevage
2-5- Exemples de complémentarité de l’action GTV Partenaire avec d’autres démarches qualités déjà mises en place.
– 2-6- L’action GTV Partenaire
2-6-1- Evaluation des pratiques des éleveurs
2-6-2- Elaboration du plan de traitement des mammites en lactation
2-6-3- Elaboration du plan de traitement des mammites au tarissement
– 2-7- Evaluation de la démarche GTV Partenaire par la SNGTV
CHAPITRE 2 : EPIDEMIOLOGIE
1- Epidémiologie descriptive ou suspicion épidémiologique
1-1- Prévalence des infections subcliniques
1-1-1- Concentration cellulaire de tank
1-1-2- Concentrations cellulaires individuelles
1-1-2-1- Données générales
1-1-2-2- Notion de seuil
1-2- Incidence des cas cliniques
1-3- Incidence et élimination
1-3-1- Numérations cellulaires des premières lactations
1-3-2- Numérations cellulaires pendant le tarissement
1-3-3- Numérations cellulaires pendant la lactation
1-4- Examens bactériologiques
1-4-1- Le but de l’examen bactériologique
1-4-2- Protocole de réalisation
1-4-3- Interprétation des résultats
1-4-4- Intérêts et limites des analyses bactériologiques
1-5- Modèles et sous modèles épidémiologiques
1-5-1- Modèles épidémiologiques
1-5-1-1- Modèle contagieux
1-5-1-2- Modèle environnemental
1-5-2- Sous modèles épidémiologiques
1-5-3- Caractéristiques des bactéries impliquées dans les modèles
1-5-3-1- Staphylococcus aureu
1-5-3-2- Streptococcus uberis
1-5-3-3- Escherichia coli
2- Epidémiologie analytique
2-1- Facteurs de risque associés à la traite
2-1-1- Propreté des mains du trayeur
2-1-2- Etablir et maintenir un rythme de traite dans un environnement non stressant
2-1-3- Etablir un ordre de traite
2-1-4- Préparation de la mamelle
2-1-4-1- Observation de la mamelle
2-1-4-2- Elimination des premiers jets
2-1-4-3- La préparation des trayons
2-1-4-3-1- Objectifs
2-1-4-3-2- Techniques de référence
2-1-4-3-3- Applications sur le terrain
2-1-5- Attache des gobelets trayeurs.
2-1-6- Temps de traite
2-1-7- Dépose des gobelets
2-1-8- L’hygiène du trayon après la traite ou post trempage
2-1-8-1- La désinfection
2-1-8-2- L’action cosmétique
2-1-8-3- L’effet barrière
2-2- Facteurs de risque associés à la machine à traire
2-2-1- Transmission de germes sur les trayons avant la traite et au cours de la traite
2-2-2- Traite traumatisante : diminution des défenses naturelles de la mamelle
– 2-2-2-1- Le stress dû à la traite
2-2-2-1-1- Effet du niveau de vide
2-2-2-1-2- Effet de la pulsation
2-2-2-1-3- Influence du manchon trayeur
2-2-2-1-4- Surtraite
2-2-2-2- Lésions des trayons
2-2-2-2-1- Congestion et œdème Hyperkératose
2-2-2-2-3- Lésions internes du canal
2-2-2-2-4- Pétéchies et points noirs
2-2-2-2-5- Anneaux de compression
2-2-2-3- Interprétation
2-2-3- Rôle infectant de la machine à traire
2-2-3-1- Le phénomène d’impact
2-2-3-2- Le « reverse-flow » ou le phénomène de traite humide
2-2-3-3- Le gradient de pression inversée
2-3- Facteurs de risque liés à l’environnement
2-3-1- La contamination initiale du logement des vaches laitières
2-3-1-1- La nature et l’état de conservation de la litière
2-3-1-2- L’état de propreté de l’aire de couchage des animaux
2-3-1-3- L’état de propreté des aires de parcours
2-3-1-4- Appréciation du paramètre « propreté » des vaches
2-3-1-5- Les souillures amenées par les nuisibles
2-3-2- Risque de multiplication bactérienne dans le logement
2-3-2-1- L’évolution naturelle de la litière
2-3-2-2- Conditions favorisant l’augmentation du microbisme
2-3-2-2-1- La température
2-3-2-2-2- L’humidité
2-3-2-2-3- L’excès d’ammoniac
2-3-3- Facteurs favorisant la contamination des mamelles à partir du logement
2-3-3-1- La circulation des vaches après la traite
2-3-3-2- La surpopulation
2-3-4- Facteurs influençant les blessures des trayons (Annexe VII)
2-3-4-1- Les blessures des trayons
2-3-4-2- Facteurs influençant les blessures des trayons
2-3-5- Conclusion
2-4- Facteurs de risque liés au traitement
2-4-1- Respect des posologies, des modalités d’administration, des règles d’associations
2-4-2- Hygiène des manipulations
2-4-3- Inhibiteurs
2-4-4- Résistances bactériennes
CHAPITRE 3 : TRAITEMENT DES MAMMITES
1- Traitement des mammites en lactation
1-1- Critères de choix pour la mise en place d’un traitement en lactation
1-1-1- Critères bactériologiques
1-1-2- Critères pharmacologiques
1-1-2-1- Critères pharmacodynamiques
1-1-2-2- Critères pharmacocinétiques
1-1-2-2-1- Généralités sur la diffusion des antibiotiques administrés par voie parentérale
1-1-2-2-2- Généralités sur la diffusion des antibiotiques administrés par voie locale
1-1-2-3- Antibiorésistance
1-2- Traitement de première intention
– 1-2-1- Choix de l’antibiotique
1-2-1-1- Cas d’un modèle contagieux
1-2-1-2- Cas d’un modèle environnemental
1-2-2- Choix de la voie d’administration de l’antibiotique
1-2-2-1- Antibiothérapie par voie locale
1-2-2-1-1- Point de vue théorique
1-2-2-1-2- Point de vue pratique
1-2-2-2- Antibiothérapie par voie générale
1-2-3- Les thérapeutiques adjuvantes
1-3- Evaluation de l’efficacité du traitement de première intention
1-3-1- Notions de guérison.
1-3-1-1- Amélioration clinique
1-3-1-2- Amélioration des concentrations cellulaires des quartiers atteints
1-3-1-3- Examen bactériologique
1-3-2- Non guérison bactériologique ou échec thérapeutique
1-4- Traitement de seconde intention
– 1-4-1- Données générales
1-4-2- Traitement de deuxième intention préconisé par la démarche « GTV Partenaire » (Figure 17)
2- Traitement des mammites au tarissement
2-1- Critères de choix pour la mise en place d’un traitement au tarissement
2-1-1- Critères pharmacologiques
2-1-1-1- Critères pharmacodynamiques
2-1-1-2- Critères pharmacocinétiques
– 2-1-2- Choix de la voie d’administration
2-1-3- Traitement non antibactérien : les obturateurs de trayon
2-1-4- Analyse des risques infectieux
2-2- Plan de traitement pendant la période sèche
2-2-1- Arbre décisionnel du traitement à prescrire en fonction de la situation du troupeau (Figure 18)
2-2-2- Réflexion sur le plan de traitement au tarissement
2-2-2-1- Le traitement systématique
2-2-2-2- Le traitement sélectif
2-3- Evaluation du traitement au tarissement
PARTIE 2 : ENQUETE
INTRODUCTION
1- Matériel et méthode
1-1- Population d’étude
1-2- Méthode
1-2-1- Elaboration et description du questionnaire (Annexe IX).
1-2-2- Récolte des données
1-2-2-1- Récolte des données relatives à la traite
1-2-2-2- Récolte des données relatives au bâtiment
1-2-2-3- Récolte des données relatives aux traitements des mammites
1-2-2-4- Récolte des données relatives à la bactériologie
1-2-2-5- Récolte des données relatives aux résultats et améliorations éventuelles
1-2-3- Retranscription des données
1-2-3-1- Modalités
1-2-3-2- Donnés relatives à la traite
1-2-3-3- Données relatives au bâtiment
1-2-3-4- Données relatives au traitement en lactation
1-2-3-5- Données relatives au traitement au tarissement et à la politique de réforme
2- Résultats
2-1- Résultats relatifs à la traite
2-1-1- Facteurs de risque très fréquents (prévalence supérieure à 75% après intervention de GTV Partenaire) (Tableau XXV)
2-1-1-1- Absence de faisceau particulier pour les « vaches à problème »
2-1-1-2- Absence d’ordre de traite
2-1-2- Facteurs de risque fréquents (prévalence comprise entre 50 % à 75 % après intervention de GTV Partenaire) (Tableau XXVI)
2-1-2-1- Observation d’entrées d’air à la pose des griffes
2-1-2-2- Essuyage défectueux des trayons
2-1-2-3- Absence de tenue réservée à la traite
2-1-2-4- Post trempage défectueux
2-1-3- Comparaison des pratiques à risque liées à la traite avant et après la mise en œuvre de la démarche
2-2- Résultats relatifs au bâtiment
2-2-1- Facteurs de risque très fréquents (prévalence supérieure à 75 % après intervention de GTV Partenaire) (Tableau XXVII)
2-2-1-1- Surface insuffisante des aires paillées
2-2-1-2- Fréquence de raclage de l’aire d’exercice en logettes insuffisante
2-2-1-3- Quantité de paille quotidienne par vache non conforme en stabulation paillée
2-2-1-4- Fréquence de raclage de l’aire d’exercice en stabulation paillée insuffisante
2-2-2- Facteurs de risque fréquents (prévalence comprise entre 50 % et 75 % après intervention de GTV Partenaire) (Tableau XXVIII)
2-2-2-1- Couchage des vaches après la traite
2-2-2-2- Couchage des vaches sur l’aire d’exercice en logettes
2-2-2-3- Quantité de litière quotidienne par vache en logettes insuffisante
– 2-2-3- Comparaison des pratiques à risque liées au bâtiment avant et après la mise en œuvre de la démarche
2-3- Résultats relatifs au traitement en lactation
2-3-1- Facteurs de risque très fréquents (prévalence supérieure à 75 % avant intervention de GTV Partenaire) (Tableau XXIXI)
2-3-2- Facteurs de risque fréquents (prévalence comprise entre 50 % et 75 % après intervention de GTV Partenaire) (Tableau XXX)
2-3-2-1- Observation des premiers jets
2-3-2-2- Absence de palpation des quartiers après la traite
2-3-3- Facteurs de risque rares (prévalence inférieure ou égale à 25%) (Tableau XXXI)
2-3-4- Comparaison des pratiques à risque liées au traitement en lactation avant et après la mise en œuvre de la démarche
2-4- Résultats relatifs au traitement au tarissement et à la politique de réforme
2-4-1- Facteurs de risque occasionnels (prévalence comprise entre 25 et 50%) (Tableau XXXIII) et rares (prévalence inférieure ou égale à 25%) (Tableau XXXIV)
2-4-2- Comparaison des pratiques à risque liées au traitement au tarissement avant et après la mise en œuvre de la démarche
2-5- Résultats relatifs aux modèles épidémiologiques et aux analyses bactériologiques
2-5-1- Les modèles épidémiologiques (Importance relative des différents modèles)
– 2-5-2- Les analyses bactériologiques
2-5-2-1- Les analyses bactériologiques sont-elles fréquemment réalisées ?
– 2-5-2-2- Importance relative des différents germes responsables de mammite
2-6- Résultats relatifs au statut sanitaire du cheptel en matière de mammite après la mise en place de l’action GTV Partenaire
3- Discussion
3-1- Comparaison des élevages suivis aux élevages étudiés par Fabre et al (1996) [30]
3-1-1- Répartition des élevages selon leur concentration cellulaire de tank depuis la mise en place de GTV Partenaire
– 3-1-2- Répartition des élevages selon les concentrations cellulaires individuelles de troupeau avant et après GTV Partenaire
3-2- Intérêts et limites de l’enquête
3-2-1- Intérêts de l’enquête
3-2-2- Limites de l’enquête
3-3- Discussion des résultats
CONCLUSION
REFERENCES
BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
ANNEXES

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