Soutenance mémoire
Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Les Politiques de l’entreprise
Comme toute entreprise qui se respecte, notre entreprise possède ses propres éthiques telles que :
– Garder et faire prospérer la qualité de la soie Malagasy.
– La compétitivité.
– Le respect de l’habitat naturel (respect de l’environnement).
Les Stratégies de l’entreprise
Les stratégies de l’entreprise pourraient être résumé en quelques lignes:
Dans un premier temps, l’entreprise va essayer d’obtenir des financements pour mettre sur pied le projet (financement sur fond I.D.A ou P.S.D.R), de réaliser ses prévisions, de stabiliser sa situation financière (atteindre ses prévisions : rythme de production, chiffre d’affaire, bénéfice, réaliser des investissements dans la mécanisation….).
Dans un second temps, on essayera de profiter des opportunités du marché local en appliquant tout d’abord une stratégie de pénétration du marché et ensuite adapter cette stratégie en fonction de la situation rencontrée sur le marché. L’entreprise lancera aussi une stratégie de fidélisation de ces clients sous forme de partenariat et aussi de maintenir une production suffisante avec une augmentation proportionnelle; Enfin, la stabilisation des prix devrait être le couronnement de cette phase.
Plus tard, l’entreprise va intégrer les activités en aval et se lancera dans la réalisation de ses propres produits (Fils, tissus, produits finis,….) pour améliorer sa compétitivité.
Dans le long terme, l’entreprise nouvellement créée espère pouvoir exploiter la potentialité du marché à l’exportation tout en s’appuyant sur sa compétitivité et en misant sur la qualité de ses produits.
Situation actuelle de la sériciculture
A Madagascar, la sériciculture est caractérisée par le traditionalisme. C’est à dire :
Un savoir-faire traditionnel qui a été transmis de génération en génération.
Les méthodes ainsi que le matériel utilisé sont encore traditionnelles, parfois obsolète.
L’investissement est très minime, certains éleveurs se servent à la fois du local d’habitation comme local d’élevage.
Une faible productivité due à une sous alimentation, insuffisance d’alimentation synonyme de faible rendement en cocon.
Insuffisance de la qualité ; Les cocons fabriqués par les vers insuffisamment alimentés contiennent moins de fil et présentent souvent des défauts comme des trous, des différences de couleur.
Les produits mis sur le marché n’arrivent pas à couvrir la demande, Le prix des cocons n’est pas stable.
La relance de la filière soie à Madagascar :
Depuis quelques années, le Gouvernement Malagasy avec l’aide des bailleurs de fonds (ONUDI, ANAE, WWF, GTZ, PNUD,…) déploie un effort considérable pour relancer la filière soie par le financement d’activité généralisée, la dotation en équipement de transformation, des offres promotionnels subventionner par l’Etat sur les équipements nouvellement créés afin d’inciter les producteurs à investir sur de nouvelle machine plus performante utilisant les nouvelles technologies, création de programme de formation et d’encadrement des artisans, réglementation des activités soyeuses.
Ces efforts conjoints entrent dans le programme de protection de l’environnement (exemple :
programme de reboisement des hautes terres grâce à la culture de mûrier).
dans le cadre d’un programme de lutte contre la pauvreté dans le monde rural.
Actuellement, on peut dire que ces efforts commencent à porter leurs fruits puisque la soie Malagasy retrouve peu à peu une meilleure réputation mais elle rencontre encore des problèmes tels que :
Le manque de compétitivité.
Le non-respect des normes internationales.
L’importance du secteur informel
Choix du type de Marché
Notre projet s’intitule « Création d’une unité de production de cocon de vers à Soie dans la Commune de Mahitsy ».
Notre activité se classe parmi les activités Agricoles, donc, le type de marché à viser en premier est « le marché Agricole » qui est surtout caractérisé par :
la confrontation entre des Offreurs très dispersés, mais aussi très nombreux et des demandeurs qui adoptent les mêmes attitudes.
. l’offre et la demande sont automatisées.
. l’offre n’arrive pas à couvrir la demande étant donné que la capacité de production de chaque offreur est très limitée, mais surtout pas assez important.
les prix ne cessent de subir des fluctuations très fréquentes et tendent à la hausse d’année en année. L’un des causes de cette fluctuation est l’existence des intermédiaires le circuit de distribution est assez long, car les intermédiaires sont très influents dans le secteur. Cela est du au fait de la multitude et de la dispersion des producteurs mais aussi des demandeurs.
Bien que le Marché intérieur soit très important, il ne faut non plus négliger celui de l’extérieur car c’est aussi un autre champ d’action très large qui représente une opportunité pour l’entreprise telle que la rentrée de devise.
Mais cette opportunité se présente surtout par le fait que les opérateurs intervenants sur ce marché sont actuellement à la recherche de nouveaux producteurs même si certains pays mettent à leurs disposition une quantité assez importante.
La raison de cette prospection sans cesse est la recherche de la qualité car même si les produits disponibles sont très importantes, les évolutions technologiques apportées dans le processus de transformation tendent à diminuer la qualité à cause des différentes compositions chimiques qui y sont utilisées
Analyse de l’Offre
L’analyse de l’offre est une étape que l’on ne peut négliger dans l’étude de Marché. C’est à partir des données obtenues de cette analyse que nous pouvant définir les politiques à établir, les actions commerciales et publicitaires à mettre en œuvre.
Evaluation de l’offre sur le Marché local
Tous les produits de la Sériciculture sont présents sur le Marché local, allant des jeunes plants de mûrier enracinés, passant par les cocons, les fils de Soie, les déchets de filature, la soie grège, les tissus jusqu’au produits finis divers.
La production nationale de cocon par an n’atteigne qu’environ 100T, dont 60T de cocon de Landikely ou « Bombyx Mori » et de 40T de cocon de Landibe.
Cette production constitue 0.010% de toute la production mondiale de cocon de soie et 0.0006% de la production mondiale de la soie grège.
Le marché national de la soie est caractérisé par la supériorité de l’Offre par rapport à la demande. La production nationale est donc écoulée presque entièrement sur le marché local.
Mais depuis quelques années, on a remarqué la concurrence des produits venant de l’importation, sans oublier celle des autres fibres naturels ou synthétiques.
On trouve actuellement trois (3) types de produits à base de soie sur le marché local :
– les produits à base de soie d’élevage (Landikely) .
– les produits à base de soie sauvage (Landibe) .
– les produits à base de soie importée de qualité industrielle dont la majorité des produits sont fabriqués à partir de fil de soie synthétique.
La presque totalité des produits à base de soie importés de l’extérieur sont présentés sur le marché sous forme de produits finis, tels : les tissus d’habillement, accessoires vestimentaires et d’ameublement, dessous féminin, cravate.
Certains opérateurs importent aussi des fils de soie et des tissus écrus mais à une quantité moins importante, et ces produits sont vendus à de prix très exorbitant.
Concernant l’exploitation locale, la sériciculture en entier se fait d’une manière artisanale, y compris l’élevage des vers mais surtout les différentes étapes essentielles à la transformation des cocons en produits finis. La quantité produite est donc très limitée et elle est insuffisante pour la consommation nationale puisque les artisans utilisent la soie pour fabriquer des vêtements d’apparat privilégiés, des châle, des écharpes, des nappes, des sacs, …, mais surtout des « linceul » qui tiennent une place très importante dans la société Malagasy car ils servent à couvrir les morts lors des enterrements et des retournements puisque ces derniers sont très vénérés dans notre pays.
Quant à leurs prix, étant donné que c’est surtout le cocon de vers à soie qui nous intéresse, on va présenter sous forme de tableau la variation des prix mais il faut tout de même souligner que le prix des cocons sur le marché local est très instable et subit une très nette augmentation d’année en année.
Le marché Asiatique
Ce Marché est la plus importante, il consomme quasiment 60% de la production mondiale de la Soie. Il est constitué par des intervenants qui sont de gros producteurs, de gros transformateurs, mais commencent à se convertir en grands consommateurs.
Les pays Asiatiques tels que le Japon, l’Inde, la Chine sont les plus grands consommateurs mondiaux de la Soie.
Le Japon a besoin d’une importante quantité, principalement pour la fabrication des « Kimonos », qui sont les habits traditionnels japonais.
L’Inde possède un très vaste marché local caractérisé par la supériorité de la demande par rapport à l’Offre locale.
Quant à la Chine, son marché local est caractérisé par une augmentation sans cesse de la demande locale due à la croissance du pouvoir d’achat des consommateurs.
Le Marché européen
Ce Marché est essentiellement transformateur, à l’exemple de l’Italie qui est le plus gros importateur, transformateur de cocon et qui est aussi le plus grand exportateur des produits soyeuses en Europe.
L’Italie réalise plus de 80% de l’importation totale européenne.
La France est le 2e importateur, elle exporte également des produits dérivés de la Soie de très grande qualité vers le Marché américain.
L’Allemagne arrive à la 3e place, il possède un marché textile très vaste. Il privilégie les fibres naturelles et commence à augmenter l’importation de la Soie, surtout lasoie provenant de la Chine.
Les produits européens sont caractérisés par le luxe, ainsi que par une très grande qualité. Ils sont produits et exportés sous formes de tissus, d’habits, de cravate, de tissus d’ameublement.
Le Marché Américain
Le Marché Américain de la Soie est entièrement consommateur. La production des industries Américaines est infime face à l’importation. Ces importations se portent sur les habits, les accessoires et tissus d’ameublement car les infrastructures de transformation de la soie aux Etats Unis sont presque inexistants. Cependant, les consommateurs recherchent et exigent une matière confortable, décontractée, facile à entretenir et très luxueuse.
Généralement, la soie y est combinée avec d’autres fibres tels que : le coton, le lin, le polyester pour répondre aux attentes d’une clientèle très exigeante.
Dans le même continent, le Canada et l’Amérique latine, à part le Brésil, sont aussi de grands consommateurs uniquement étant donné l’absence de structure de production et de transformation. Ils possèdent également des clientèles qui ont les mêmes caractères que celles qui composent le marché aux Etats Unis.
Le Marché Africain et Autres
Le Marché Africain, Australien et Néo-zélandais son en pleine croissance, mais vu le faible pouvoir d’achat des consommateurs de ces pays, surtout ceux des pays africains.
Ces marchés sont moins ciblés par les exportateurs de produits finis, mais commencent à servir de lieu de transformation pour les industries occidentales, Asiatique et Européennes, étant donné que la concurrence sur le marché mondial oblige ses pays à pratiquer la délocalisation afin de trouver une bonne compétitivité.
Nous pourrons donc affirmer que le marché de la soie connaîtra un essor dans cette région dans un futur proche.
En résumé, on enregistre une forte hausse de la demande de la soie au niveau de ce marché mondial.
Auparavant, Les pays européens et Américains étaient en première place quant à l’importation des cocons de soie. Ces pays n’effectuaient aucun élevage de ver à soie étant donné que le climat dans ces régions n’est pas favorable à la Sériciculture, surtout à l’élevage des vers à soie, donc ils ont compté sur les importations massives de cocon de soie pour alimenter leurs industries de transformation.
Mais actuellement, on constate un important changement car les pays asiatique tels que le Japon, la Corée, l’Inde, et la Chine se voient aussi augmenter la demande de la soie au niveau de leur marché local respective.
Dans son rapport de Novembre 2003, le CITE livre que la demande au niveau mondial évolue vers
– une exigence accentuée sur la qualité du produit.
– une meilleure capacité de réponse rapide des fournisseurs.
– une exigence en matière d’information sur les produits (qualité, origine, entretien, …).
– une demande en plus forte progression pour les vêtements de confort tels que les vêtements de soirée.
Mais malgré cela, la part du marché de la soie sur le marché mondial reste encore très faible par rapport aux autre produits et son cours sur ce même marché est imposé par la Chine étant donné qu’elle est la première producteur mondial de la Soie.
Etude du comportement des consommateurs
Dans cette partie, on va axer notre étude sur le comportement des consommateur vis à vis d’un produit mis sur le marché. Bien que l’analyse du comportement des consommateurs ne s’avère pas être facile, il est nécessaire de l’effectuer car de lui dépend l’identification des attentes des consommateurs et les actions commerciales à entreprendre afin de répondre à cette attente. Analyser le comportement d’un consommateur n’est pas chose facile, étant donné qu’un consommateur est parfois représentée par une personne indépendante qui peut prendre une décision et se rétracter plus tard ou encore peut ne pas savoir exactement ce dont elle en a envie. Le but de notre étude est de déterminer le facteur qui déclenche l’achat d’un produit par le consommateur, la raison d’un choix d’une marque par rapport à une autre ou la fidélité par rapport à une marque, l’importance d’une marque, la motivation d’achat, ainsi que les freins qui empêchent l’achat d’un produit par le client.
Au cours de nos études on a constaté que le comportement d’un consommateur peut être influencé par quatre (4) facteurs :
– Facteurs psychologiques telles l’attitude, l’attirance, la mentalité.
– Facteurs personnels comme l’âge, la profession, le style de vie, la personnalité.
– Facteurs culturels : la culture, la croyance, la classe sociale.
– Facteurs sociaux tels que la famille, les groupes de référence.
D’après cette constatation, on peut donc affirmer que pour réussir à attirer les consommateurs vers notre produit, on doit mettre en place une politique marketing qui peut faire face à ces facteurs. Pour bien comprendre les consommateurs, on va continuer notre analyse par la théorie de Maslow qui fournit des explications concernant les différents niveaux de besoin que peut avoir un consommateur.
Selon Maslow, les besoins d’une personne peuvent être hiérarchisés comme suit :
Besoin physiologique.
Besoin de sécurité.
Besoin d’appartenance.
Besoin d’estime.
Besoin d’accomplissement de soie.
|
Table des matières
PARTIE I : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : Historique du projet
Section 2 : Caractéristiques du projet
2.1 – Activité principal
2.2 – Choix du ver à Soie
2.3- Les conditions exigées pour l’élevage des vers
2.3.1 – Le local
2.3.2 – L’alimentation
2.4-Lieu d’implantation
2.5-Objectifs
2.6-Les Politiques de l’entreprise
2.7-Les Stratégies de l’entreprise
Section 3 : Situation actuelle de la sériciculture
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE
Section 1 : Description du Marché
1.1-L’industrie textile à Madagascar
1.2-La filière soie à Madagascar
1.3-Le contexte international
1.4-Choix du type de Marché
Section 2 : Analyse de l’Offre
2.1-Evaluation de l’offre sur le Marché local
2.2-Evaluation de l’Offre sur le Marché International
Section 3 : Analyse de la demande
3.1-Identification du March
3.1.1- Le Marché national
3.1.2- Le Marché international
(a) Le Marché Asiatique
(b) Le Marché Européen
(c) Le Marché Américain
(d) Le Marché Africain et Autres
Section 4 : Etude du comportement des consommateurs
Section 5 : La concurrence
5.1-Points fort de la concurrence
5.1.1-Répartition de la part de Marché
5.1.2-Politique de distribution
5.2-Les Opportunités du Marché
5.2.1-Les équipements
5.2.2- Insuffisance du Professionnalisme
5.2.3- Mode de Production
5.2.4- Niveau de Formation des dirigeants
Section 6 : La stratégie Marketing à adopter
6.1-Définition de la Clientèle Cible
6.2-Stratégie Marketing à adoptée
6.3-Utilisation des Médias
PARTIE II : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUES DE PRODUCTION ENVISAGEES
Section 1 : Les techniques de production
1.1-La Moriculture
1.1.1-Les conditions nécessaires à la plantation
1.1.2-Ennemis et Maladies des Mûriers
1.1.3- Quantité de feuille nécessaire à l’élevage
1.2-Le local et les matériels d’élevage
1.2.1-le local d’élevage ou Magnanerie
1.2.2- le matériel d’élevage
1.3-Les vers à soie
Section 2 : Identification des Matériaux
2.1-Le terrain
2.1.1- le terrain de plantation
2.1.2- Terrain du local
2.2-Le local
2.2.1- Le local de bureau
2.2.2- Le local d’élevage
2.3- Les petits outillages
CHAPITRE II : CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Section 1 : Evolution de la production
1.1-Tableau de l’évolution annuelle de la production
1.2-Tableau de l’approvisionnement en oeuf
1.3-Tableau de l’évolution de la plantation de mûrier
1.4 Tableau de la quantité de feuille produite annuellement
Section 2 : Evolution du Chiffre d’affaire
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : La forme Juridique
Section 2 : Organisation du travail
2.1- Le personnel
2.2- Description des fonctions principales
2.2.1- Le gérant
2.2.2- Le secrétaire comptable
2.2.3- Le technicien d’élevage
2.2.4 Le Technicien Moriculteur
2.2.5- Les ouvriers
Section 3 Organigramme Envisagé
PARTIE III : ETUDE FINANCIERE
CHAPITRE I : NATURE ET COUTS DES INVESTISSEMENTS
Section 1 : Nature et coûts des investissements
1.1-Les immobilisations incorporelles
1.2-Les immobilisations corporelles
1.2.1- Le Terrain
1-2-2 Les constructions
1-2-3 Les matériels et outillages
1-2-4 Les listes des matériels de travail et informatique
1-2-5 Autres immobilisations corporelles
Section 2 : Amortissements
2.1-Définition
2.2-Tableau d’amortissement
Section 3 : Les Tableaux d’amortissements
Section 4 : Le financement du projet
4.1- Le Fonds de Roulement Initial
4.2- Les ressources et les emplois
4.3-Le tableau de remboursement des dettes
CHAPITRE II : LES ETATS FINANCIERS PREVISIONNELS
Section 1 : Les comptes de gestion
1.1- Les produits
1.2- Les charges
1.2.1 Les achats consommés annuels
(a) Matière Premières
(b) Autres Approvisionnements
(c) Achats de Services, Petits équipements, Fournitures
Agricoles et Elevages
(d) Achats non Stockés
(e) Services extérieurs
(f) Impôts, Taxes et Versements
1.2.2Charge de personnel
Section 2 : Les comptes de résultat prévisionnels
2.1- Comptes de résultat par nature
2.2- Comptes de résultat par Fonction
2.3- La capacité d’autofinancement
Section 3 : Les bilans prévisionnels
3.1- Le bilan d’ouverture de l’exercice
3.2- Les bilans sur cinq ans
CHAPITRE III : EVALUATIONS DU PROJET
Section 1 : Evaluations financières du projet
1.1- La valeur actuelle nette (VAN)
1.2- L’indice de profitabilité (IP)
1.3- Le taux de rentabilité interne (TRI)
1.4- La durée de récupération des capitaux investis (DRCI)
Section 2 : Analyses des ratios et le seuil de rentabilité
2.1- Les ratios de rentabilité globale
2.2- Les ratios de rentabilité financière
2.3- Le Seuil de rentabilité
Section 3 : Evaluations socio-économiques
3.1- Evaluation économique
3.2- Evaluation sociale
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIES
Télécharger le rapport complet
