Le Niaouli
Définition Le romarin est l’unique espèce du genre rosmarinus appartenant à la famille labiacées. Il est un arbuste ligneux, toujours vert qui atteint rarement deux mètres et qui peut vivre jusqu’à 30 ans. Le romarin a des feuilles étroites et allongées de couleur verte sombre sur le dessus et recouverte de duvets riches sur leur face inférieure. Les fleurs sont petites et de couleurs bleuâtres à deux lèvres distinctes et à deux étamines. Le niaouli est une plante appartenant à la famille des myrtacées dont le nom botanique « Melaleuca viridiflora » ou « Melaleucequinquenevra ».Il figure parmi les plus grands arbres du genre Melaleuca car sa hauteur peut atteindre 20m et la taille moyenne étant de 10 à 15 m (Voir ANNEXE 2). Création d’une entreprise de fabrication et de distribution d’huiles essentielles Le niaouli se reconnaît facilement, son tronc blanc droit et lisse, recouvert d’une écorce constituée de nombreuse couche papy racé, semblable à des feuilles de papier de cigarettes. Il porte des branches claires, ponctuées de lenticelles sombres, rougeâtre pour les jeunes. Les feuilles sont de couleurs vertes, cendrés, alternés et de forme lancéolée. Elles dégagent l’odeur caractéristique de l’huile lorsqu’on les cache. Cet arbre à port d’eucalyptus présent des inflorescences terminales en épi-simple ou ramifié. Les fleurs sont de couleurs jaunâtres dues à la présence de très nombreuses étamines.
Propriétés et indication La pharmacopée confère à l’huile essentielle de niaouli les propriétés thérapeutiques suivantes :
– anti-infectieux agissant autant au niveau respiratoire que lymphoganglionaire et génito-urinaire
– stimulant tissulaire, antihypertensive et déconfessionnaliser veineuse
– antibactérienne et antimycobacotérienne (BK d’origine pulmonaire, urogénital, lympho-ganglionaire bacille de Hansen)
– puissant anti-septique ayant une action prononcée sur le BK
– antirhumatismal expocterante et antispasmodique
– excellente antiviral, anti-inflammatoire, temporisatrice des phénomènes allergiques et analgésiques
L’essence de niaouli est particulièrement indiquée pour :
– les infections respiratoires, sinusites rhinopharyngites dites bronchites
– la tuberculose pulmonaire
– les endocardites, artérites, varice, hémoroïdes
– les herpes génitales, lésions planes, dysphasie du col vaginite
– petite insuffisance hépatique biliaire, diarrhée, choléra, cancer du rectum
– le cancer du sein non hormonal
– les piqûres des moustiques dermites mycosique, lèpre, plaie surinfections, rides
Curcuma longa
Conditions écologiques La plate s’accommode d’un climat subtropical ; une température élevée, un grand ensoleillement, une pluviosité assez élevée, avec une saison sèche pas trop marquée. Le curcuma longa s’approprie d’une température moyenne annuelle de 18 à 27°C ; le froid et la gèle s’obligent à passer au repos végétatif. Il existe une pluviomètre de 1000 à 2000mm par an. Toutefois, une migration s’avère nécessaire si le pluviomètre est inférieur à 1000mm.
Technique culturale Le curcuma se multiplie par bourgeonnement des rhizomes qui sont placés dans un endroit frais assez humide durant une semaine, la plantation débute de la saison pluvieuse. Les fragments de rhizomes de 2 à 3cm et l’engrais sont placés dans des trous de 20 à 25cm de diamètre et la densité de plantation est de 25*25cm. Après deux ou trois mois, quand les feuilles sont assez développées, le buttage devient indispensable. Pour la récolte, elle peut se faire 8 mois après la plantation mais la matière colorante et les principes aromatiques n’apparaissent qu’en fait de végétal. Il faut donc, une année pour avoir une récolte satisfaisante. Le rendement de plantation est de 22 à 50t/ha selon la densité de plantation.
Stratégies d’organisation
Pour que l’organisation soit à la norme, il doit y avoir des stratégies à suivre pour qu’il y ait une perfection dans la façon de travailler en bien fixant les objectifs et en s’adaptant mieux à un environnement toujours en évolution. Création d’une entreprise de fabrication et de distribution d’huiles essentielles Il existe plusieurs stratégies d’organisation à savoir la stratégie de l’Information, de l’Education et de la Communication (IEC) qui est certainement adoptée ; la stratégie de contrôle et de pilotage.
– la stratégie d’information et de communication est par laquelle la décision prise est communiquée auprès des acteurs de l’organisation, pour qu’ils puissent se l’approprier et agir dans le sens souhaité par le décideur.
– La stratégie d’éducation est une stratégie idéale pouvant améliorer l’organisation, en effet dans le monde du travail, tous les acteurs doivent s’éduquer et partager une certaine formation à autrui.
– La stratégie de contrôle et de pilotage : le contrôle des activités de l’entreprise réunit la capacité de prévoir, d’organiser, de commander, de coordonner, et de contrôler au sens étroit de vérifier, de finaliser, d’animer, d’évaluer et de faire un suivi. Il est alors distingué comme un moyen de pilotage de l’entreprise qui est comme un moyen pour améliorer le fonctionnement.
Les impacts financiers
Nous avons déjà vu auparavant ces analyses donc nous pouvons dire que notre projet est rentable financièrement, en effet l’analyse des ratios présente des indicateurs favorables sur l’analyse financière de l’entreprise. L’observation de l’augmentation des chiffres d’affaires, l’amélioration du résultat marque la ressource de l’exercice d’exploitation. Les revenus supplémentaires reçus par divers agents peuvent affecter à l’achat de biens de consommation, à la constitution d’épargne et au paiement des impôts. La bonne maîtrise des charges aura des impacts sur l’objectif financier du projet.
CONCLUSION GENERALE
Malgré la déforestation à Madagascar, elle est encore riche en matière de plantes aromatiques qui peuvent être extraire en huiles essentielles pour l’amélioration de la santé de la population malagasy. Nous avons pris conscience de l’importance de cette richesse et aussi la valeur de la médecine traditionnelle, alors nous avons créée une entreprise fabriquant et distribuant d’huiles essentielles à base de plantes aromatiques malagasy telles que le romarin, le niaouli, le basilic et le curcuma longa. L’Etat Malgache adopte une politique de développement rapide et durable pour la lutte contre la pauvreté qui se voit à Madagascar. Pour que cette politique soit accomplie, il faut que l’Etat Malgache considère le secteur primaire comme la priorité des priorités en orientant l’assistance technique des activités génératrices des revenus et les sous-secteurs productifs à fort impact et potentiel de développement et social du pays. Autrement dit, notre projet fait partie du secteur incité. Il se peut que les bailleurs de fonds pourront nous financer dans le but de valoriser la filière « Huiles Essentielles » et de contribuer au développement rural. Ainsi, ce projet entrera dans le cadre politique du pays pour le développement sociauxéconomiques et qui mettra en valeur la médecine traditionnelle. Sur le plan social, ce projet contribue à la réduction de la pauvreté et à la diminution du taux de chômage par la création d’emplois alors que les jeunes diplômés d’aujourd’hui ne cessent d’augmenter. Sur le plan environnemental, ce projet joue un rôle dans la protection de l’environnement en sensibilisant les paysans à gérer de manière durable et profitable les ressources naturelles dans la région et à reboiser des plantes aromatiques comme le niaouli ou le romarin. En d’autre terme, la filière huiles essentielles comme nous l’avons souligné précédemment est un thème qui véhicule derrière elle l’idée de la préservation des ressources naturelles car elle en dépend. Par contre, la destruction des ressources forestières constitue une menace pour notre activité, aussi sur le pays tant sur le plan économique que sur le plan environnemental ; même si Madagascar se trouve parmi les pays qui sont riches en plantes aromatiques. La relance du secteur agricole comme la filière huiles essentielles nécessite une formation adéquate à la technique d’extraction moderne qui sera assurée par des techniciens qualifiés. Ceci étant pour la bonne et la meilleure qualité et quantité des productions avant de les vendre aux consommateurs. La réussite de ce projet dépende en grande partie de l’efficacité du mécanisme de gestion et management des différents activités et de la coordination des actions des différents acteurs de la filière. Alors, le mécanisme de gestion et de management doit être flexible afin de répondre à la complexité des interventions et des tâches à exécuter. Cependant, la concrétisation de ce projet peut être conditionnée par plusieurs contraintes. Par exemple la difficulté d’accès aux établissements de crédit, la lenteur administrative, l’insuffisance de communication et de concertation entre l’administration et le secteur privé représenté par le groupement professionnel. Malgré l’existence de soit disant contraintes, notre projet est rentable et viable d’après l’évaluation financière. En effet, les résultats attendus au cours de cinq premières année sont toujours positifs, ce qui signifie que le projet est acceptable. Comme l’évaluation financière confirme que le projet est rentable et viable, notre étude justifie la réalisation efficace de ce projet. Cette réalisation nécessite un financement de l’ordre de 70% du montant total de l’investissement et de 30% qui seront constitués par les apports des associés. Par ailleurs, ce projet contribue au développement économique du pays grâce à sa forte valeur ajoutée. En bref, ce projet est une action participative au développement de Madagascar, aussi c’est le fruit des connaissances requises durant la formation, ainsi des recherches auprès des entités correspondantes qui ont été effectuées pour son élaboration.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
1ère Partie : IDENTIFICATION DU PROJET
Chapitre I : Présentation du projet
Section 1 : Historique
1 – 1 Historique du produit
1 – 2 Notion du produit à Madagascar
1 – 3 Genèse du projet
Section 2 : Description du projet
2 – 1 L’objet du projet
2 – 2 Caractéristiques du projet
2 – 2 – 1 Objectif du projet
2 – 2 – 2 Résultat attendu
2 – 3 Cadre logique
Section 3 : Présentation de l’entreprise envisagée
3 – 1 Présentation physique
3 – 1 – 1 Les promoteurs
3 – 1 – 2 Identité commerciale
3 – 1 – 3 Identité physique
3 – 2 Présentation juridique
3 – 2 – 1 Type d’établissement
3 – 2 – 2 Capital social
Chapitre II : ETUDE DE MARCHE VISE
Section 1 : Analyse du marché
1 – 1 Description du marché
1 – 1 – 1 L’importance de l’étude du marché
1 – 1 – 2 La zone d’étude du marché
1 – 2 Part de marché
Section 2 : Analyse de l’offre
2 – 1 La qualité
2 – 1 – 1 Définition
2 – 1 – 2 Les types de qualité
2 – 2 L’aspect extérieur des produits
2 – 3 Estimation de l’offre dans la zone étudiée
Section 3 : Analyse de la demande
3 – 1 Analyse globale
3 – 1 – 1 Le comportement de la clientèle
3 – 1 – 2 La connaissance d’achat du client
3 – 2 Les clients cibles
Section 4 : Analyse de la concurrence
4 – 1 La concurrence globale
4 – 2 L’identification de la concurrence
4 – 3 Les caractéristiques de la concurrence
Section 5 : La politique et la stratégie marketing à adopter : Marketing mix
5 – 1 La politique du produit
5 – 2 La politique de prix
5 – 3 La politique de distribution
5 – 3 – 1 Définition
5 – 3 – 2 Le circuit de distribution : le circuit court
5 – 3 – 3 Les avantages de ce circuit
5 – 3 – 4 Le coût du circuit
5 – 3 – 5 La gestion de la distribution
5 – 4 La politique de promotion
Chapitre III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
Section 1 : Les outils d’évaluation
1 – 1 La valeur Nette Actualisée (VAN)
1 – 1 – 1 Définition
1 – 1 – 2 Formule
1 – 1 – 3 Interprétation
1 – 2 Le taux de Rentabilité Interne (TRI)
1 – 2 – 1 Définition
1 – 2 – 2 Formule
1 – 2 – 3 Interprétation
1 – 3 Le Délai de récupération des capitaux investis (DRCI)
1 – 3 – 1 Définition
1 – 3 – 2 Formule
1 – 3 – 3 Interprétation
1 – 4 L’indice de profitabilité (IP)
1 – 4 – 1 Définition
1 – 4 – 2 Formule
1 – 4 – 3 Interprétation
Section 2 : Les critères d’évaluation du projet
2 – 1 La pertinence
2 – 2 L’efficacité
2 – 3 L’efficience
2 – 4 Durée de vie du projet
2 – 5 L’impact du projet
2ème Partie : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE PRODUCTION
Section 1 : Caractéristiques des produits
1 – 1 Les huiles essentielles
1 – 1 – 1 Définition
1 – 1 – 2 La conservation des huiles essentielles
1 – 1 – 3 L’efficacité des huiles essentielles
1 – 2 Propriétés des plantes aromatiques utilisées
1 – 2 – 1 Le romarin
1 – 2 – 1 – 1 Définition
1 – 2 – 1 – 2 Propriétés et indication
1 – 2 – 2 Le Niaouli
1 – 2 – 2 – 1 Définition
1 – 2 – 2 – 2 Propriétés et indication
1 – 2 – 3 Le basilic
1 – 2 – 3 – 1 Définition
1 – 2 – 3 – 2 Propriétés et indication
1 – 2 – 4 Le curcuma longa
1 – 2 – 4 – 1 Définition
1 – 2 – 4 – 2 Propriétés et indication
1 – 3 Leurs usages
1 – 3 – 1 Le romarin
1 – 3 – 2 Le niaouli
1 – 3 – 3 Le basilic
1 – 3 – 4 Le curcuma longa
Section 2 : Technique de production envisagée
2 – 1 Identification des matériels
2 – 1 – 1 Les matériels
2 – 1 – 2 Entretien et maintenance des matériels
2 – 2 Etude ethnobotanique des plantes
2 – 2 – 1 Le romarin
2 – 2 – 1 – 1 Conditions écologiques
2 – 2 –1 – 2 Technique culturale
2 – 2 – 2 Le niaouli
2 – 2 – 2 – 1 Conditions écologiques
2 – 2 – 2 – 2 Répartition géographique
2 – 2 – 3 Le basilic
2 – 2 – 3 – 1 Conditions écologiques
2 – 2 – 3 – 2 Technique culturale
2 – 2 – 4 Curcuma longa
2 – 2 – 4 – 1 Conditions écologiques
2 – 2 – 4 – 2 Technique culturale
2 – 2 – 5 Description du lieu cultural
2 – 3 Processus de fabrication
2 – 3 – 1 Les pesages
2 – 3 – 2 Les chargements
2 – 3 – 3 Les alambics
2 – 3 – 4 La distillation
2 – 3 – 5 Le traitement et le conditionnement
2 – 3 – 5 – 1 Le traitement
2 – 3 – 5 – 2 Le conditionnement
2 – 3 – 6 Schéma de processus de fabrication d’huiles essentielles
CHAPITRE II : CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Section 1 : Evolution du chiffre d’affaires et la production envisagée
1 – 1 La production envisagée
1 – 1 – 1 Le planning de production d’essences envisagées
1 – 1 – 2 Le planning de production en flacon sur cinq ans
1 – 2 L’évolution du chiffre d’affaires
1 – 2 – 1 Planning de vente sur 5 ans
1 – 2 – 2 Le chiffre d’affaires sur 5 ans
Section 2 : Aspect qualitatif et quantitatif de la production
2 – 1 Aspect qualitatif
2 – 1 – 1 Contrôle de la qualité
2 – 1 – 1 Contrôle de la qualité
2 – 2 Aspect quantitatif
2 – 2 – 1 Le romarin
2 – 2 – 2 Le niaouli
2 – 2 – 3 Le basilic
2 – 2 – 4 Le curcuma longa
Section 3 : Les différents facteurs de production
3 – 1 Les facteurs humains
3 – 2 Les facteurs techniques
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Organigramme envisagé
1 – 1 La structure organisationnelle
1 – 2 L’organigramme adopté
Section 2 : Organisation du travail
2 – 1 La gestion prévisionnelle des effectifs du personnel
2 – 2 Recrutement du personnel
2 – 3 Rémunération du personnel
2 – 4 Les stratégies d’organisation
3ème Partie : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : COUT D’INVESTISSEMENT ET COMPTES DE GESTION
Section 1 : Le coût d’investissement
1 – 1 Les investissements
1 – 2 Planning d’investissement
1 – 2 – 1 Préparation du terrain cultural
1 – 2 – 2 Terrain/Bâtiment et Génie civil
1 – 2 – 3 Matériels
Section 2: Tableaux d’amortissements
2 – 1 Le tableau d’amortissement technique
2 – 2 Le tableau d’amortissement financier
Section 3 : Plan de financement
3 – 1 Le fonds de roulement initial
3 – 2 Le tableau récapitulatif des investissements
Section 4 : Tableau de remboursement des emprunts
Section 5 : Les comptes de gestion
5 – 1 Les charges prévisionnelles
5 – 2 Les produits prévisionnels
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE
Section 1 : Le compte résultat prévisionnel
1 – 1 Le tableau de grandeurs caractéristiques de gestion (TGCG)
1 – 2 Le compte d’exploitation prévisionnelle
Section 2 : Le plan de trésorerie
Section 3 : Le bilan prévisionnel
3 – 1 Le bilan d’ouverture
3 – 2 Les bilans prévisionnels sur 5 ans
CHAPITRE III : EVALUATION ET IMPACTS DU PROJET
Section 1 : L’évaluation économique
1 – 1 Les effets sur les finances publiques
1 – 2 Création de la valeur ajoutée
Section 2 : Evaluation sociale
1 – 1 La création d’emplois
1 – 2 Développement social de la région
1 – 3 Augmentation des revenus
Section 3 : Evaluation financière
3 – 1 Selon les outils d’évaluation
3 – 1 – 1 La Valeur Actualisée Nette (VAN)
3 – 1 – 2 Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
3 – 1 – 3 L’Indice de Profitabilité (IP)
3 – 1 – 4 Le Délai de Récupération du Capital Investi (DRCI)
3 – 1 – 5 Les ratios de résultats
3 – 2 Selon les critères d’évaluation
3 – 2 – 1 La pertinence
3 – 2 – 2 L’efficience
3 – 2 – 3 La durabilité du projet
Section 4 : Les impacts du projet
4 – 1 Les impacts économiques
4 – 2 Les impacts sociaux
4 – 3 Les impacts financiers
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
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