Création d’un centre de documentation pour la maison des cultures du monde

CRÉATION D’UN CENTRE DE DOCUMENTATION POUR LA MAISON DES CULTURES DU MONDE

pourquoi un centre de documentation à la Maison des Cultures du Monde ?

Depuis maintenant plus de quinze ans la Maison des Cultures du Monde a fortement contribué au développement de véritables échanges entre les cultures.
Aujourd’hui, c’est au tour des scènes parisiennes d’accueillir des formes de spectacles étrangères. La Maison des Cultures du Monde entre donc dans une nouvelle phase d’évolution et redéfinit ses objectifs. Ils s’articulent autour de deux pôles : la recherche et la réflexion.
Cette évolution est à la base de la création d’un centre de documentation international des arts du spectacle à Vitré en Ille-et-Vilaine.
Dès sa création la Maison des Cultures du Monde avait prévu la mise en place de structures complémentaires à son fonctionnement, mais un manque de place et de moyen avait retarder leurs créations. Aujourd’hui elle est en mesure de réaliser ces projets.

Le rôle du centre de documentation

Dans sa définition générale, le centre de documentation est un lieu animé par des professionnels de l’information où l’on stocke des documents et où sont accueillis des usagers qui peuvent poser des questions et consulter des documents de natures diverses. Il a pour vocation d’être un lieu d’accès aux savoirs et aux connaissances. Il propose de rendre accessible au plus grand nombre, aux professionnels comme aux particuliers, une masse croissante d’informations.
Dans le circuit de l’information, le documentaliste sert d’interface entre les informations stockées et les utilisateurs. Son rôle est de fournir la réponse la plus exhaustive et la plus appropriée à la demande de l’usager.
Le centre de documentation a pour objectif de diffuser les connaissances plus que de les conserver. Les sources sont finement analysées, reliées les unes aux autres,rassemblées etpériodiquement diffusées. En règle générale, le public d’un centre de documentation est un public spécialisé aux exigences pointues. Il n’y a donc pas de place pour la documentation de vulgarisation dans ce genre d’établissement.
Pour la Maison des Cultures du Monde, le centre de documentation a pour fonction de constituer à partir de ses propres archives sonores, photographiques et documentaires un fonds spécialisé dans les arts du spectacle.
S’adressant plus particulièrement aux étudiants, aux chercheurs et aux enseignants, elle met à la disposition du public, l’ensemble des documents qu’elle a rassemblé au cours de son existence, grâce à une salle de consultation et un espace audiovisuel.
Mais son objectif n’est pas de se limiter à un seul rôle de diffusion de l’information. En plus d’un centre de ressources documentaires, il pour vocation d’être un centre d’orientation pour ces utilisateurs. En d’autres termes, il veutpouvoir renseigner le public sur les autres centres de ressources existant dans ledomaine des arts du spectacle, proposer la liste de ces centres de documentation et si possible connaître la teneur de leur fonds documentaire, voire la proposer sous forme de listes bibliographiques, pour mieux orienter les utilisateurs. Un vaste travail de recherche est prévu et devra être effectué par le documentaliste avant que le centre de documentation soit opérationnel dans ce domaine.
Dans le cadre de ce stage, mes recherches se sont portées plus particulièrement sur le Nô (forme de théâtre japonais). La première étape de mon travail a été de prendre contact avec les bibliothèques spécialisées susceptibles de posséder des documents sur ce sujet puis de consulter leurs fichiers pour connaître la liste des documents proposés.

UNIVERS DES ARTS DU SPECTACLE : CARACTERISTIQUES

LE THEATRE MUSICAL : UN ART EPHEMERE

On peut définir le théâtre musical comme la rencontre du texte, de la musique et de la mise en scène visuelle. Dans le cas de mes recherches pour la Maison des Cultures du Monde je me suis plus particulièrement intéressée aux formes théâtrales suivantes : le Nô (forme de théâtre japonais), l’opéra chinois et le Kathakali (forme de théâtre indien). Ces trois formes différentes mêlent en effet le chant, la musique, la danse, les acrobaties même dans le cas de l’opéra chinois.
La caractéristique de cet art, comme de tout spectacle vivant est d’être un art du direct.
Chaque représentation est une expérience unique et originale. Elle n’est jamais la même d’une fois à l’autre selon l’humeur des acteurs, la composition du public, les réactions sur la scène ou dans la salle.
A la différence du texte du théâtre qui représente la trace, ce qui reste une fois le spectacle terminé ; la représentation, elle, appartient au domaine de l’éphémère.
Le temps de la chose écrite est celui de la durée et de la permanence, celui du spectacle vivant est le présent. Le spectacle ne reste pas sur la scène une fois la représentation terminée les acteurs quittent la scène et les seules traces de cette représentation sont les souvenirs des spectateurs.
Dans le cas des arts du spectacle étrangers cet éphémère est d’autant plus marqué que ces représentations sont rares et peu nombreuses. Une représentation de Nô, par exemple, demande, de l’avis des acteurs, une concentration et une énergie telles que le nombre de représentation est très réduit. Le spectateur occidental n’a donc pas l’occasion d’assister fréquemment à de tels spectacles.
De plus comme j’ai pu le montrer précédemment, déplacer de telles représentations n’est pas chose facile. Les difficultés de transfert rendent donc moins fréquentes la présentation de spectacles étrangers et accentue donc leur caractère évanescent, en n’en laissant qu’ un simple souvenir dans la mémoire du public.

LE THEATRE MUSICAL : UN SYSTEME

DE COMMUNICATION FAIT DE SIGNES ET DE CODES

Le théâtre est un véritable système de communication. En schématisant, la communication théâtrale est un échange d’information entre la scène et la salle.
La réciprocité de l’échange n’étant pas véritablement reconnue, on peut concevoir cette communication comme un «moyen utilisé pour influencer autrui et reconnu comme tel par celui qu’on veut influencer » . Mais le message échangé entre le public et les acteurs n’est pas toujours compris par sondestinataire. On peut distinguer dans ce cas la réception du message de sa compréhension. Dans le cas des arts du spectacle étrangers cette distinction est d’autant plus importante. Ainsi, au cours d’une représentation de théâtre japonais, chinois ou indien le public occidental ne comprend pas la signification des textes mais s’il connaît une partie des codes ou des signes utilisés dans la forme représentée il est plus réceptif au spectacle.
L’étude de trois exemples distincts à savoir le Nô, l’opéra chinois et le Kathakali vont me permettre de montrer en quoi le théâtre est l’art du code. Ces codes appartiennent à différents langages comprenant le geste, le mouvement, le costume ou bien encore le maquillage. Ils sont fondamentalement différents des codes du théâtre occidental et relèvent d’une toute autre culture.
Dans le cas du Nô, la seule disposition des personnages suffît à les identifier.
Après son récit initial qui décrit le voyage qui l’a amené sur les lieux de l’action, le waki («celui du côté »), personnage secondaire, s’assoit obligatoirement à droite du plateau près du pilier qui porte son nom. Le shiite («celui qui agit »), personnage principal, évolue, lui, sur toute la scène (le plateau et le pont). De la même façon, les costumes permettent de différencier les deux personnages. Le shiite porte un costume somptueux qui attire l’œil et fixe l’attention du public alors que le waki, dans la plupart des cas un moine, porte un vêtement sans éclat.
Dans l’opéra chinois, la seule couleur du maquillage de l’acteur permet dedistinguer le caractère des personnages.
Une dizaine de couleurs différentes (rouge, violet, noir, blanc, bleu, vert, jaune, vieux rouge, gris de tuile, or, argent) sont donc des signes distinctifs de leur personnalité. La classification des couleurs n’est pas absolue et admet une grande souplesse. Mais en général, le rouge marque la loyauté et l’honneur, le violet l’intelligence courageuse et la fermeté dans la décision, le noir le dévouement etla droiture, le blanc délayé dans l’eau l’hypocrisie et la méchanceté, le fard blanc la vanité et la tyrannie, le bleu un caractère inébranlable, le vert un caractère épris de justice, le jaune la cruauté, le vieux rouge la fidélité et la bravoure de vieux généraux, le gris de tuile un caractère féroce et ambitieux, l’or et l’argent sont surtout utilisés pour les divinités. Prenons l’exemple du «visage monochrome » (annexe 1, ill.l) : le personnage de Guan Yu a le visage peint en rouge ce qui lui donne une apparence solennelle et majestueuse ; le visage peint en noir du personnage de Bao Zheng (annexe 1, ill.2) montre que c’est un fonctionnaire intègre et impartial qui fait strictementrespecter la loi. Les sourcils froncés tracés en blanc indique son caractère loyal et dévoué franc et honnête, la demi-lune au milieu du front est le symbole de sontalentlégendaire pour juger équitablement les cas les plus compliqués.
Dans le cas du «clown » (annexe 2), personnage satirique et amusant une simple tâche blanche de forme variable au milieu du visage, couvrant les yeux et le nez, souligne le caractère du personnage (humour, bêtise, cupidité… ). Jian Gan (annexe 2, ill. 16) est un bouffon civil dont le masque montre son apparente intelligence cachant un lettré pédant et étourdi. Jia Giu (annexe 2, ill. 17) porte lemasque du petit bouffon représentant un eunuque de rang inférieur. Zhu Guangzu (annexe 2, ill. 18) derrière son masque de bouffon guerrier est un redresseur de tort vagabond, alerte et courageux. Enfin Chong Gongdao (annexe 2, ill. 19) portant le masque du vieux bouffon est un brave vieux qui aime aider les autres.
Dans l’opéra chinois, les costumes permettent également de symboliser les statuts sociaux et les personnalités des personnages. Ainsi, on distingue le vêtement du civil de celui du militaire, celui du pauvre de celui du riche, celui du Chinois de celui du Barbare.
La pièce d’habit qui caractérise le Barbare est la queue de renard. Les Barbares sont toujours des habitants du Nord, ils vivent dans des régions froides d’où la nécessité de la queue de renard pour se protéger.
Les costumes peuvent indiquer la différence de richesse. Ainsi une concubine impériale portera une tunique brodée d’or alors qu’une personne se trouvant dans le dénuement le plus complet portera une tunique rapiécée.
Dans une pièce adaptée d’un épisode de Rêves au pavillon rouge les deux épouses portent l’une, un costume classique chinois et l’autre, une robe mandchoue. On peut s’interroger sur le fait que les membres de la même famille portent des habits aussi différents. Pour répondre à cette interrogation on doit avoir recours au caractère symbolique du costume. La première est douce, réservée, sentimentale et faible c’est pourquoi elle porte le vêtement chinois. La deuxième est hypocrite, méchante, violente et n’a rien des vertus traditionnelles de la femme chinoise, elle est donc vêtue d’une robe et d’une coiffe mandchoue.
La différence de costume montre donc la différence de personnalité.

UN CENTRE DE DOCUMENTATION POUR CONSERVER LA MEMOIRE DU SPECTACLE ?

UN FONDS DOCUMENTAIRE VARIE

Variété du fonds documentaire. Forte de l’organisation de plus de quatre cents spectacles provenant de cent trente pays, la Maison des Cultures du Monde a rassemblé, en quinze ans une masse considérable de documents de natures diverses.
Il est possible de diviser le fonds documentaire de la Maison des Cultures du Monde en six grandes catégories.
Elle possède tout d’abord un certain nombre d’ouvrages traitant des arts du spectacle en langues diverses. Il s’agit des livres et catalogues d’exposition édités par la M.C.M. ainsi que de nombreuses monographies acquises par l’association ou reçues en don.
Elle conserve également dans ses locaux quelques collections de périodiques auxquelles elle est abonnée ou des numéros de revue qu’elle achète occasionnellement. On trouve aussi dans cette catégorie de documents sa propre édition Y Internationale del’Imaginaire comprenant aujourd’hui trois séries. Lapremière compte trois numéros datés de 1984 et la deuxième dix – neuf numéros datés de 1985 à 1991. La troisième série co-éditée avec les éditions Babel/Actes Sud comprend neuf numéros datés de 1994 à 1998.
On peut également trouver à la Maison des Cultures du Monde un certain nombre de cassettes vidéo correspondant aux enregistrements des spectacles proposés par l’association. Un enregistrement systématique des représentations n’existe que depuis quatre ou cinq ans.
Certains de ces spectacles ont fait l’objet, comme je l’ai déjà expliqué, d’un enregistrement sonore édité dans la collection Inédit. Ceci correspond à près de quatre – vingts références comprenant des disques compacts simples et des coffrets de deux à sept disques. D’autres enregistrements édités dans d’autres collections ont été acquis par la Maison des Cultures du Monde.
Toutes ces catégories de documents sont éparpillées dans les différents bureaux de la M.C.M. ou aux domiciles personnels de ses membres. Aucun classe mentlogique n’a été mis en place ce qui ne rend pas aisée leur consultation.
La Maison des Cultures du Monde possède également un fonds documentaire photographique très important. En effet, au cours de chaque représentation des photographies sont prises en nombre plus ou moins important. Celles-ci sont conservées dans des boîtes rangées selon un classement géographique par pays assez sommaire et sont peu accessibles. A titre d’exemple les trois formes de spectacle que j’ai plus spécialement étudiées au cours de mon stage regroupent plus de quatre cents photographies et diapositives. Elles sont regroupées dans des chemises sans ordre précis, chaque chemise correspondant à une représentation donnée à la Maison des Cultures du Monde.

Comment organiser ce fonds documentaire ?

La création du centre de documentation suppose l’utilisation de tous ces types de documents. L’objectif de mon stage était d’élaborer une méthode d’organisation de cette masse de documents pour la rendre accessible aux futurs utilisateurs
Le premier travail a effectué est, évidemment un regroupement des documents et leur traitement matériel. Toutes les monographies possédées par la Maison des Cultures du Monde devront être enregistrées et estampillées. Il faudra procéder au bulletinage des périodiques et envisager de compléter les collections s’il manque des exemplaires. Les diapositives pourront être conservées dans des pochettes plastiques et mises dans des classeurs ce qui rendra leur consultation plus aisée et si les photographies ne sont pas numérisées, elles pourront être collées sur des cartons et rangées dans des fichiers en libre accès. Les disques et les enregistrements audiovisuels des spectacles présentés par la Maison des Cultures du Monde devront également être inventoriés. Enfin, La numérisation des documents dits «littérature grise » peut être envisagée pour une meilleure conservation. Ces documents pourraient être mis à la disposition des utilisateurs du centre de documentation sous forme papier.
Pour faciliter l’accès des documents, il est indispensable d’établir un plan de classement clair et utilisé pour tous les types de documents. Le classement le plus approprié semble être un classement géographique par pays.
Pour le traitement intellectuel de ces documents, en particulier le mode d’indexation, la Maison des Cultures du Monde pourrait construire son propre thésaurus ou utiliser un outil documentaire existant tel que RAMEAU qui propose une partie des termes spécifiques que la Maison des Cultures du Monde est susceptible d’utiliser lors de l’indexation de ces documents. Pour relier entre eux tous les documents relatifs à la même forme de spectacle, le centre de documentation pourrait mettre au point un système de «fiches-spectacle » En plus d’une fiche technique succincte du spectacle présenté par la M.C.M., elle permettrait d’établir la liste des documents disponibles à la Maison des Cultures du Monde ou dans d’autres centres de ressources documentaires.

UN ROLE DE MEMOIRE MAIS LAQUELLE ?

On peut définir sommairement la mémoire comme un entassement de souvenirs liés à l’expérience personnelle et collective et qui sont stockés sous la forme de fragments de toute origine. Le centre de documentation quel qu’il soit joue un rôle de mémoire en accumulant un nombre considérable de documents de toutes natures. En analysant le contenu d’un document, le documentaliste organise les informations à mémoriser et crée le souvenir des connaissancesapportées par ce document.
Dans le cas de la Maison des Cultures du Monde, le centre de documentation veut être la mémoire des arts du spectacle.
La caractéristique principale du spectacle vivant est d’être évanescent. Il semble donc paradoxal de pouvoir conserver à tout prix une trace de cette évanescence. De plus lorsqu’on assiste à la représentation d’un spectacle vivant tous nos sens sont mis en éveil, on fait appel à nos émotions. La mémoire théâtrale personnelle est faite de rêves, on peut parler d’une mémoire affective qui tente de retenir l’intensité de ce que l’on a vécu pendant cette représentation.
Elle permet de retrouver des images, des sensations, des vibrations… Cette brève rencontre intense et fascinante serepose et se prolonge dans la mémoire et faireappel à celle-ci c’est retrouver des émotions rares et uniques.
Pour un centre de documentation jouer le rôle d’une mémoire du spectacle ne peut être que parcellaire. Tout l’aspect affectif lié à la représentation ne peut être restitué. Le centre de documentation ne peut donc offrir que des bribes de ces spectacles à travers des photographies. Les programmes et les affiches sont des traces matérielles qui permettent le rappel d’une représentation. Un enregistrement sonore ou vidéo d’un spectacle montre bien cette volonté de garder à tout prix la vie de ce spectacle mais ce n’est que retenir les images et lamusique sans communiquer l’émotion.
En fait, on pourrait dire que tous ces documents sont des «prothèses » du spectacle qui activent seulement le souvenir de ceux qui l’ont déjà vu. Pour émouvoir, convaincre ou informer ceux qui ne le connaissent pas c’est un objet inerte.
Mais la Maison des Cultures du Monde a-t-elle vraiment la volonté de conserver cette mémoire affective duspectacle ?
Le rôle du centre de documentation est plus celui de conservation de la mémoire du patrimoine culturel mondial. On peut ainsi donner l’exemple des marionnettes vietnamiennes. Cette expression était considérée comme mineure voire dérisoire par les instances gouvernantes du Vietnam. Grâce à la volonté de la Maison des Cultures du Monde une tournée de cette forme spectaculaire avait été donnée en
Europe. Après les avoir reconnues comme un art issu de son patrimoine le Vietnam a recueilli des témoignages, des informations des anciens, collecté des marionnettes… Mais ce travail n’est pas toujours fait dans le pays d’origine des formes spectaculaires, c’est donc ce rôle que la M.C.M. assigne à son centre de documentation. Tous les documents que l’association a accumulés depuis plus dequinze ans d’existence rend compte de la richesse de ce patrimoine culturel.
Mettre à la disposition de tout le monde ces différents documents c’est permettre de découvrir des domaines et des formes spectaculaires méconnues voire inconnues de la majorité même s’ils ne restituent pas leur dimension émotionnelle. Pourreprendre les exemples des formes théâtrales sur lesquellesj’ai travaillé, les documents rassemblés par la Maison des Cultures du Monde aident à l’étude et à la connaissance d’une partie des clés favorisant la compréhension du spectacle.

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Table des matières
INTRODUCTION 
I : UN CENTRE DE DOCUMENTATION POUR LA MAISON DES CULTURES DU MONDE 
A/ Présentation de la Maison des Cultures du Monde 3
1 : historique
2 : structure
3 : rôle et activités
B/ création d’un centre de documentation pour la maison des cultures du monde
1 : pourquoi un centre de documentation à la Maison des Cultures du Monde ?
2 : le rôle du centre de documentation
II : L’UNIVERS DES ARTS DU SPECTACLE : CARACTÉRISTIQUES
a/ le théâtre musical : un art éphémère
b/ le théâtre musical : un système de communication fait de signes et décodes
III : UN CENTRE DE DOCUMENTATION POUR CONSERVER LA MÉMOIRE DU SPECTACLE ? 
a/ un fonds documentaire varie
1 : variété du fonds documentaire
2 : comment organiser ce fonds documentaire ?
b/ un rôle de mémoire mais laquelle ?
CONCLUSION 
ANNEXES

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