CORRÉLATIONCOMPORTEMENT DES ÉLÈVES ET MÉTHODE D’ENSEIGNEMENT

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La méthode expositive ou magistrale

Il s’agit de la méthode utilisée par l’enseignant qui effectue un cours magistral. Elle est dite expositive, car l’enseignant expose les savoirs aux élèves qui doivent se l’approprier. La pédagogie traditionnelle magistrale, c’est « celle qui fonctionne par cours et présentation impositive et structurée du savoir, exigeant des élèves une assimilation et une restitution contrôlées du savoir. »23
La pédagogie magistrale part du principe que le professeur détient le savoir et qu’il doit le transmettre aux élèves. Ces derniers ont peu ou pas de connaissances et donc interviennent très peu, mais se contenteront d’écouter l’enseignant. Ainsi, pendant le cours, l’enseignant expose le savoir de manière structurée, en utilisant un tableau ou un vidéoprojecteur. Quant aux élèves, ils assistent à une « célébration de savoirs »24 pour reprendre, l’expression de Jean HOUSSAYE. Les activités des élèves se limiteront à écouter, à prendre des notes et à essayer de comprendre ce que le professeur expose. Dans une telle situation, il est rare qu’il y ait une discussion ou une interaction entre ces deux sujets. Certes, il se peut que le professeur pose des questions pour toute la classe tout au long de l’apprentissage, mais les élèves réagissent très peu.

La méthode maïeutique

Le mot maïeutique, d’après le dictionnaire Larousse, est un art pratiqué par Socrate, consistant à faire découvrir à l’interlocuteur les vérités de son esprit en lui posant une série de questions.
Ainsi, la méthode maïeutique, dite aussi d’ailleurs interrogative incite à la réflexion intellectuelle en posant des questions. En effet, l’étudiant est vu comme étant un être disposant des éléments de connaissance ou des représentations du contenu à acquérir pendant l’apprentissage. Grâce aux questions appropriées que l’enseignant pose, il permet à l’étudiant de construire ses connaissances par lui-même ou de faire des liens et de donner du sens à ces éléments disséminés. L’étudiant ou un groupe d’étudiant est incité à formuler ce qu’il sait, ce qu’il pense, ce qu’il se représente.
Certes, cette méthode est centrée sur l’élève : l’enseignant pose des questions à l’ensemble de la classe ou en désignant un élève, qui va donner des réponses, mais posera aussi des questions. Toutefois, il convient de noter qu’elle se repose encore en très grande partie sur l’enseignant. En effet, avec cette méthode, c’est encore l’enseignant qui fait le choix des contenus du cours, mais aussi de la structure et surtout fixe les objectifs tout au long de l’apprentissage.
Elle peut se présenter sous deux formes :
Orale : l’enseignant essaye de déterminer les représentations des élèves en posant des questions et en écoutant les réponses, puis en les confrontant, avant d’apporter une correction ou une conclusion.
Écrite : l’enseignant proposera des activités aux élèves comme des textes, des chiffres ou des données que ces derniers vont interpréter et analyser pendant un moment donné. L’enseignant apportera ensuite une correction.

La méthode démonstrative

L’enseignant détermine un chemin pédagogique : il montre, fait faire ensuite et fait formuler par l’étudiant pour en évaluer le degré de compréhension. Cette méthode suit l’enchaînement suivant : montrer (démonstration), faire faire (expérimentation) et faire dire (reformulation). Cette méthode est souvent utilisée dans les travaux dirigés où l’étudiant acquiert un savoir-faire par simple imitation.
La méthode active
Cette méthode, dite aussi de découverte, est une méthode centrée sur l’élève. Elle consiste à laisser l’élève construire son propre savoir par sa propre démarche. L’enseignant crée un scénario pédagogique avec du matériel qui permet d’utiliser les essais, les erreurs et le tâtonnement pour apprendre25. Il mobilise l’expérience personnelle de l’étudiant ou celle d’un groupe d’étudiants pour apprécier la situation et résoudre le problème avec leurs moyens.
Avec cette méthode, l’élève ne se contentera pas d’écouter l’enseignant faire un étalage de connaissances, ou encore de répondre aux questions. Il sera l’acteur de la situation d’apprentissage et auteur de son propre cours26. En effet, comme Jean Houssaye a écrit, le processus d’apprentissage se base sur la relation privilégiée entre l’élève et le savoir. Cela dit, le professeur n’est pas exclu du processus. Il jouera le rôle de préparateur et d’accompagnateur de la situation d’apprentissage27.
Le principe de cette méthode est simple : « faire faire à l’étudiant, faire dire à l’étudiant puis l’enseignant reformule »28.
La méthode expérientielle
Comme son nom l’indique, il s’agit d’une méthode qui se base sur l’expérimentation. En effet, certains savoirs ne s’acquièrent pas en écoutant l’enseignant, mais en réalisant des activités et en faisant ainsi des expériences.
Il s’agit alors d’une méthode qui se base sur la réalisation des expériences. L’apprenant essaie quelque chose en sentant ce qui se passe, en étant attentif, en s’observant soi-même. La tâche de l’enseignant consiste à choisir et structurer les expériences les plus appropriées à chaque phase d’apprentissage. À partir de ce qu’il sent et ce qu’il observe tout au long de l’expérience, l’élève acquerra des connaissances.
Une expérience doit comporter un élément de défi; une tâche faite avec conscience, curiosité, attention. Être conscient signifie avoir les canaux sensoriels ouverts : pendant qu’on fait quelque chose, sentir, voir, entendre, toucher, etc.
Quand le professeur donne les explications, fait des démonstrations, il devient la vedette et c’est gratifiant. Dans l’apprentissage expérientiel, le professeur guide l’élève à faire son expérience. Il choisit et propose des expériences de plus en plus précises, nuancées et pose des questions pour en tirer des conclusions, des apprentissages.
Chaque expérience vise à saisir et à distinguer ce qui marche et ce qui ne marche pas, ce qui est plus efficace et moins efficace.
Le comportement des élèves face aux différentes méthodes d’enseignement précités.
Parler du comportement que manifestent les élèves selon les méthodes d’enseignement utilisées par les enseignants revient à parler de la psychopédagogie. Cette dernière se définit comme étant l’établissement des liens entre l’aptitude de l’élève et les activités de l’enseignant pour déterminer les conditions psychologiques de succès dans le domaine scolaire. Les psychopédagogues étudient à la fois le comportement des élèves, et ceux de l’enseignant. Ainsi, dans ce paragraphe, nous verrons respectivement les comportements que manifestent les élèves en fonction de la méthode adoptée par l’enseignant. Soulignons que les méthodes traditionnelles et les méthodes nouvelles d’enseignement sont utilisées par le formateur pour susciter chez la personne en formation un ensemble de comportements d’apprentissage déterminés29.
Le comportement des élèves face à la méthode traditionnelle
Comme nous l’avons déjà vu, les méthodes traditionnelles dites aussi magistrales ne laissent aucune occasion aux élèves de participer à l’apprentissage. En conséquence, ils sont réduits à de simples spectateurs de l’enseignant qui effectue un étalage de savoir et de connaissance. Or, dans la plupart du temps, lorsque l’enseignement fait un exposé, très peu d’élèves suivent et écoutent. Mais la plupart des élèves n’écoutent pas parce qu’ils ne comprennent rien et se contenteront de copier après le résumé que donnera l’enseignant. Force est cependant de constater qu’une grande partie des enseignants de Géographie a tendance à adopter cette méthode d’enseignement.
« Les cours magistraux sont temps perdu. (…)On n’apprend pas le piano en écoutant un virtuose. De même, on n’apprend pas à écrire et à penser en écoutant un homme qui parle bien et qui pense bien. Il faut essayer, faire, refaire, jusqu’à ce que le métier entre, comme on dit» 30 . Autrement dit, ce n’est pas en écoutant l’enseignant parler et exposer des connaissances que l’élève va acquérir des connaissances. À force d’écouter l’enseignant, il finira par s’ennuyer, il ne sera plus intéressé et n’écoutera plus ce que l’enseignant explique ou expose.
En conséquence, cette méthode ne favorise pas la motivation des élèves, mais au contraire les démotive et les pousse à ne faire aucune recherche, mais d’attendre ce que l’enseignant leur propose et ensuite de le réciter, le moment de l’évaluation venu.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’élève devra en effet acquérir un certain nombre de savoirs très rapidement. Si pour certains élèves, cela ne pose aucun problème, pour d’autres, l’assimilation est trop excessive, que l’élève peut se retrouver rapidement en situation d’échec31. Cela ne pourra que le démotiver et il se peut même qu’il abandonne.
En un mot, l’utilisation de la méthode magistrale n’est pas favorable à l’apprentissage de l’élève. Il pousse ce dernier à avoir un comportement traduisant un désintéressement au cours et sera par conséquent démotivé.
Les méthodes nouvelles ou modernes
Quant aux méthodes actives ou encore modernes, elles peuvent susciter la motivation et pousser les élèves à apprendre et chercher d’avantages, car elles sont centrées beaucoup plus sur l’élève que sur l’enseignement et le maître. L’élève prendra beaucoup plus part à la construction de son savoir.
La méthode interrogative, un moyen suscitant la motivation des élèves
Contrairement à la méthode magistrale, celle-ci suscite aussi la motivation chez les élèves, étant donné qu’elle incite les élèves à participer en cherchant des réponses aux questions ou encore des solutions aux problèmes posés par l’enseignant. Ainsi, ils sont amenés à réfléchir étant donné qu’ils devront parler et répondre, autrement dit, ils doivent s’impliquer. Or, d’après Jean Houssaye, dans le processus formé, implication et motivation se recouvrent32, c’est-à-dire que ces deux concepts se rattachent et sont dépendants. Il n’y a aucune motivation, sans implication, et vice-versa, il n’y aura pas d’implication sans motivation. Ainsi, avec une telle méthode, qui est d’ailleurs centrée sur les élèves, ils seront plus actifs en classe et plus concentrés sur le cours.
Cependant, il faut noter que cette méthode, malgré le fait qu’elle soit centrée sur les élèves, conserve encore une forme d’imposition. En effet, il est vrai que les élèves participeront au cours, seulement, ce qu’il faut comprendre, c’est que le maître structure et prépare tout, et orientera les élèves, vers le plan qu’il a déjà pensé. Ainsi, elle ne permet pas aux élèves de construire leurs propres savoirs.
La méthode démonstrative, un facteur de motivation
Cette méthode fait aussi partie des techniques qui favorise la motivation chez les élèves. En effet, tout comme pour la précédente, l’élève ne sera pas un simple spectateur lors du processus d’apprentissage. Il prendra part dans la construction de son savoir par l’expérimentation et la reformulation.
Des élèves plus curieux avec la méthode expérientielle
La méthode expérientielle est une des techniques efficaces pour motiver les élèves à apprendre. D’ailleurs, les apprenants sont des êtres vivants curieux de nature. En effet, tous les élèves, pendant leur enfance, avant d’aller à l’école étaient tous des chercheurs. Chacun a déjà sans doute expérimenté toutes sortes de procédés, pour voir ce qui se passe après. Seulement, une fois arrivés à l’école, beaucoup d’entre eux pensent qu’ils vont arrêter de chercher, car ils leur seront tous donnés. Ce qui est une réaction plutôt normale, car cela est dû à la méthode magistrale adoptée par l’enseignant. Or, comme il a été dit, les élèves sont curieux de nature, il suffit de savoir faire comment susciter cette curiosité en leur faisant effectuer des recherches à partir des expérimentations et construire leur savoir.
De plus, les élèves seront moins stressés et ne sentent aucune pression, car avec l’expérience, il n’y a de réussite ou d’échec, mais des essais et des résultats. Ainsi, dans la position d’essayer quelque chose, l’apprenant est plus détendu et les mécanismes de régulation intérieure peuvent mieux entrer en action.
Des élèves plus actifs et autonomes avec la méthode active
Avec cette méthode, l’élève construira lui-même son propre savoir, il ne sera pas condamné à écouter l’exposé du maître ou encore de répondre aux questions de celui-ci. L’enseignant ne sera là que pour jouer le rôle de guide. Une telle méthode ne pourra que motiver l’élève et le rendre plus actif en classe, car il devra lui-même construire son savoir surtout que le maître ne sera pas la pour le lui donner.
LES ÉLÈVES DE LA SÉRIE SCIENTIFIQUE ET LE COURS DE GÉOGRAPHIE
Dans ce chapitre, nous allons nous pencher sur la Géographie vue par les élèves de la série scientifique. Nous parlerons en premier lieu de la Géographie comme étant une matière ennuyante pour les élèves de la série scientifique, puis en second lieu comme une matière qui intéresse cependant une partie des élèves.
LA GEOGRAPHIE, UNE DISCIPLI NE PLUTOT PARTICULIERE
Tant il est vrai qu’une grande partie des élèves de la série scientifiques ne sont pas intéressés par la géographie et s’ennuient pendant le cours, mais, il faut admettre que certains d’entre eux sont tout de même intéressés et apportent une attention particulière à l’apprentissage. La géographie, malgré tout présente des particularités.
La géographie, une matière au carrefour des sciences naturelles et des sciences humaines
La géographie occupe une situation au carrefour des sciences sociales mais aussi des sciences naturelles. P George l’a d’ailleurs définit comme  » une science de synthèse au carrefour des méthodes de sciences diverses »… »Par sa nature, la géographie est donc nécessairement méthodologiquement hétérogène… »33
Cette situation de carrefour fait que tout peut appartenir à la discipline sans lui être spécifique, propre ou réservé.
La géographie comme science sociale
La géographie s’attache à décrire et à comprendre l’organisation des activités humaines, ainsi qu’à identifier les interactions entre population et environnement. En effet, elle place l’homme au cœur de ses préoccupations dans son environnement naturel, politique, social et économique. Elle contribue de ce fait à un aménagement durable des territoires. Science d’action, elle propose le fruit de ses analyses aux décideurs en aménagement du territoire avec qui elle travaille en collaboration. L’objet de la géographie humaine est alors le rapport de l’homme à l’espace et non l’espace lui-même.
Elle peut paraître comme une science sociale car :
Elle s’intéresse aux hommes, aux individus et privilégie les sujets à travers leur vie quotidienne.
Le géographe n’étudie pas l’espace en soi. L’espace ne constitue son objet d’étude qu’à partir des significations et les valeurs qui lui sont attachées.
La pertinence sociale de la géographie s’exprime à travers son utilité et sa dimension active. L’homme-habitant doit être au centre de cette problématique: l’exigence locale, la dimension humaine doivent être au centre des problématiques34.
La géographie, comme science naturelle
« Science des paysages », « Science des lieux »…., « Sciences des milieux naturels pour une écologie de l’espèce humaine », « Science de l’espace » ou « géo-analyse », « sciences des interactions spatiales » sont quelques termes qui peuvent aussi être utilisés pour définir la géographie.
Pris dans ce sens, la géographie fait allusion à l’interaction entre faits humains et faits physiques qui fondent la discipline alors qu’en pratique le clivage entre géographie physique et géographie humaine se fait de plus en plus grand.
La géographie comme science naturelle touche essentiellement les disciplines physiques (écologie, biologie, géophysique, géologie… géomorphologie, climatologie, hydrologie, océanographie, biogéographie….). Ce qui la distingue de ces différentes connaissances scientifiques, c’est qu’elle assure à sa manière, la synthèse de ces nombreuses disciplines. Ce statut noble de la synthèse place la géographie au dessus des autres disciplines jugées unimodales et privilégiant souvent un seul faisceau épistémologique35.
Les enseignants et les élèves de la classe d’échantillon
Les enseignants de la classe d’échantillon
Au cours de nos observations et enquêtes au Lycée Moderne Ampefiloha, nous avons choisi deux classes scientifiques, dont l’une première (PD7) et l’autre terminale (TC2). Ces deux classes sont toutes tenues par Madame Razafimalala Hantarinoro, professeur certifiée, sortante de l’École Normale Supérieure d’Antananarivo en1990.
Les élèves de la classe d’échantillon
Pour les besoins de nos enquêtes et observations de classe, nous avons choisi deux classes dont l’une première scientifique (PD2) comptant 54 élèves et une classe de Terminale scientifique, la TC2 avec 44 élèves, soit au total 98 élèves.
Le Lycée Privée Andrianarisoa
Comme établissement privé, nous avons choisi le Lycée Privée Andrianarisoa. Ce choix s’explique avant tout par le fait que l’accès au lycée nous est beaucoup plus facile étant donné que nous avons déjà suivi des cours au sein de l’établissement pendant le secondaire. À cela s’ajoute le fait que c’est l’un des lycées privés qui dispose des classes scientifiques dans la ville. L’emplacement de l’établissement, qui se trouve en plein centre-ville, nous facilite le déplacement lors des séances d’observation au sein de l’école.
Historique et description du Lycée Privé Andrianarisoa
Le Lycée Privé Andrianarisoa a été créé en 1976 par son propriétaire qui avait donné son nom à l’établissement. À l’époque, ce dernier occupait un bâtiment situé à Behoririka. À l’heure actuelle, les cours se tiennent dans une maison, qui est de location et se situe à Ambatomitsangana (cf carte N°01). Le bâtiment comprend au total dix salles de classe, et deux pièces pour les personnels administratifs.
la mort de son propriétaire-fondateur, sa femme a pris le relais de la direction. Depuis un an, l’école est dirigée par le Directeur Pédagogique ainsi que la fille du propriétaire, suite à la retraite de cette dernière.
Depuis sa création, jusqu’à l’heure actuelle, le Lycée comprend une classe de sixième jusqu’en Terminale A, C, D. Il est fréquenté par des élèves issus de famille modeste comme les enfants d’épiciers, des d’artisans,…
D’après notre entrevue avec le Directeur pédagogique, les élèves qui étudient au sein de l’établissement sont surtout des « déchets scolaires », pour reprendre son expression. En effet, les élèves qui ne sont pas admis dans les lycées, c’est-à-dire, ceux qui ont une moyenne de moins de 12/20, ou encore ceux qui sont renvoyés depuis d’autres établissements privés qui viennent étudier au sein du lycée. C’est la raison pour laquelle, les élèves de l’établissement sont la plupart indisciplinés. Cependant, le lycée fait de grands efforts pour établir la discipline en dehors des cours. Toujours d’après les dires du Directeur, certains élèves viennent tout simplement parce que leurs parents leur demandent d’y aller sans qu’ils en aient envie. Mais il y en a cependant, qui sont sérieux et qui viennent réellement pour étudier.
Sur le plan social, l’établissement vient en aide aux élèves, notamment à ceux qui ont des difficultés financières. Ces élèves ne payent pas par exemple d’écolage. Ils sont au nombre de 6. Pour tous les élèves de l’établissement, c’est le lycée qui prend en charge les fournitures scolaires à chaque rentrée.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : LA GÉOGRAPHIE, UNE MATIÈRENEGLIGEE PAR UNE PARTIE DES ÉLÈVES DE LA SÉRIE SCIENTIFIQUE, MAIS QUI INTÉRESSE CERTAINS
CHAPITRE I : APPROCHE THÉORIQUEDU COMPORTEMENT DES ÉLÈVES
I. GENERALITE SUR LE COMPORTEMENT DES ÉLÈVES
A. Essai d’explication du terme comportement
B. Les différents types de comportements des élèves
C. Les différents éléments influant le comportement
II. CORRÉLATIONCOMPORTEMENT DES ÉLÈVES ET MÉTHODE D’ENSEIGNEMENT
A. Les méthodes d’enseignement : définition et types de méthodes d’enseignement
B. Le comportement des élèves face aux différentes méthodes d’enseignement précités.18
CHAPITRE II : LES ÉLÈVES DE LA SÉRIE SCIENTIFIQUE ET LE COURS DE GÉOGRAPHIE
I. LA GEOGRAPHIE, UNE DISCIPLI NE PLUTOT PARTICULIERE
A. La géographie, une matière au carrefour des sciences naturelles et des sciences humaines
B. La géographie, une matière qui mobilise les quatre aptitudes mentales
C. Des élèves scientifiques intéressés par la Géographie
II. LA GÉOGRAPHIE, UNE MATIÈRE ENNUYANTE POUR CERTAINS ELEVES
A. L’ennui scolaire
B. Les différents symptômes et manifestations de l’ennui scolaire.
C. Les causes de ce comportement des élèves de la série scientifique pendant le cours de géographie
CONCLUSION DE LA PREMIÈRE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : LE COMPORTEMENT DES ELEVES DE LA SERIE SCIENTIFIQUE PENDANT LE COURS DE GEOGRAPHIE DANS LES LYCEES D’ANTANANARIVO
CHAPITRE I : LES CADRES D’ETUDE DUCOMPORTEMENT DES ELEVES ET LES DISPOSITIFS DE RECHERCHE MIS EN OEUVRE
I. Le Lycée Moderne Ampefiloha
A. Historique et description du Lycée Moderne Ampefiloha
B. Les personnels et les élèves du lycée
C. Les enseignants et les élèves de la classe d’échantillon
II. Le Lycée Privée Andrianarisoa
A. Historique et description du Lycée Privé Andrianarisoa
B. Les personnels du lycée
C. L’enseignant et les élèves de la classe d’investigation
CHAPITRE II :LES DISPOSITIFS DE RECHERCHE
I. Les recherches bibliographiques
II. Les observations de classe
III. Les questionnaires et les entretiens
A. Les enquêtes par questionnaire
B. Les entretiens
CHAPITRE III : LE DEROULEMENT DES INVESTIGATIONS ET LES RESULTATS OBTENUS
I. Analyse et interprétation des observations de classe
A. Pour la classe de première :
B. Pour les classes terminales
II. Analyse et interprétation des réponses aux questionnaires
A. Interprétation des questionnaires pour les élèves
B. Interprétation des questionnaires pour les enseignants
III. Les raisons et les conséquences de ces comportements
A. Les raisons expliquant ces comportements:
B. Les conséquences de ces comportements
IV. Les solutions pour motiver les élèves
A. Concernant l’enseignant
B. Concernant les activités à proposer
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : QUELQUES SUGGESTIONS POUR MOTIVER LES ÉLÈVES DE LA SÉRIE SCIENTIFIQUE À S’INTÉRESSER À LA GÉOGRAPHIE
Chapitre I : COMMENT DECLANCHER LA MOTIVATION SCOLAIRE ?
I. Qu’est-ce que la motivation scolaire ?
II. Les différents types de motivation
A. La motivation intrinsèque
B. La motivation extrinsèque
III. Les sources de motivation scolaire
A. Les sources internes de la motivation
B. Les sources externes de la motivation
C. Stimuler la motivation : les exigences par rapport à la géographie
CHAPITRE II : AMELIORER LESMATÉRIELS DIDACTIQUES
I. Le centre de documentation et sa place dans la vie scolaire
A. L’importance du centre de documentation pour les deux acteurs de l’enseignement
B. La création d’un centre de documentation et l’actualisation des livres de Géographie dans le CDI
II. L’utilisation des outils didactiques variés et motivants
A. L’outil didactique et ses particularités
B. Les outils les mieux adaptés à l’enseignement de la Géographie pour provoquer la motivation
III. Une contribution plus effective de l’État
CHAPITRE III : LES NTIC, UN MOYEN DE MOTIVATION DES ÉLÈVES SCIENTIFIQUES POUR L’APPRENTISSAGE DE LA GÉOGRAPHIE
I. Qu’est-ce que les NTIC ?
II. Les avantages des NTIC
A. Pour l’enseignant
B. Pour les élèves
III. Suggestions pour l’intégration des NTIC pendant l’apprentissage de la géographie
IV. L’utilisation des TIC dans l’enseignement de la géographie
A. Pendant les heures de cours :
B. L’utilisation en dehors des heures de classe
CHAPITRE IV : LA FORMATION ET AMÉLIORATION DES CONDITIONS D’ENSEIGNEMENT DU PROFESSEUR
I. Amélioration des méthodes d’enseignement
A. Les méthodes d’enseignement : l’importance de la pédagogie active
B. Amélioration de l’interaction maître-élève
C. La formation des enseignants
II. L’amélioration des conditions de travail des enseignants
A. La question relative à la rémunération
B. Concernant le milieu de travail : les activités à réaliser au bénéfice de la salle de classe96
CHAPITRE V : DES SUGGESTIONS A L’ENDROIT DES ÉLÈVES ET DES PARENTS
I. Des suggestions concernant la manière de travailler pour les élèves
II. Des recommandations touchant la matière à l’intention des parents
Conclusion de la troisième partie
CONCLUSION GÉNÉRALE

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