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Dosage de la Protéine C Réactive et de l’alpha-1-Acide Glycoprotéine
Principe
La Protéine C-Réactive (CRP) plasmatique contenue dans l’échantillon provoque une agglutination des particules de latex couvertes avec les anticorps anti-protéine C-réactive humaine. L’agglutination des particules de latex est proportionnelle à la concentration en CRP et peut être quantifiée par turbidimétrie.
L’alpha-1-Acide Glycoprotéine (AGP) aussi appelée orosomucoïde, présente dans l’échantillon à doser, précipite en présence d’anticorps anti alpha-1-Acide Glycoprotéine humains. La dispersion de la lumière générée par les complexes antigènes-anticorps est proportionnelle à la concentration en alpha-1-Acide Glycoprotéine de l’échantillon et peut être quantifiée par turbidimétrie.
Appareils et réactifs
Le dosage est effectué par turbidimétrie à l’aide de l’analyseur automatique A15 (Biosystems SA, Costa Brava 30, Barcelona, Spain) piloté par un ordinateur. La protéine C-réactive est dosée grâce à un kit (Réf 13921, Biosystems, Barcelona, Spain) contenant les réactifs A (un tampon de glycine à 0,1mol/L, pH 8,6 ; 2×16 ml) et B (suspension de particules de latex sensibilisés avec les anticorps anti CRP humaine ; 2x4ml) et un standard (1x1ml) reconstitué avec de l’eau distillée.
L’AGP est analysé avec un Tampon Tris (50 mmol/L, pH 8,5) (Réf 31928, Biosystems S.A, Barcelona, Spain) contenant des anticorps de chèvre anti-AGP humains. Un standard (1x1ml ; Réf 31195, Biosystems S.A, Barcelona, Spain) est utilisé pour la courbe de calibration.
Mode opératoire
Un volume de 100 μL d’échantillon (sérum, standard ou pool interne de plasma) est introduit dans une cupule disposée sur le plateau d’échantillon de l’appareil.
Pour la CRP, le mélange des réactifs A (16ml) et B (4ml) est disposé sur le plateau réservé aux réactifs. Au cours de la réaction, 3 μL de plasma sont prélevés par l’analyseur qui effectue automatiquement le mélange avec 440 μL de réactif. La CRP de l’échantillon réagit avec des anticorps anti-CRP et conduit à la formation de complexes antigènes-anticorps entraînant l’agglutination qui est mesurée par turbidimétrie.
Pour l’AGP, le réactif est disposé sur le plateau qui lui est réservé. Lors du dosage, 3 μL de plasma sont aspirés par l’analyseur qui effectue automatiquement le mélange avec 300 μL de réactif. Il y a ainsi formation d’immunocomplexes qui sont mesurés par turbidimétrie. L’absorbance des complexes, proportionnelle à la concentration en AGP dans l’échantillon, est calculée par interpolation avec la courbe de calibration effectuée en 5 points selon les indications données par le fabriquant.
Contrôle qualité
La précision et la validité des mesures de CRP et d’AGP sont vérifiés grâce aux sérums Contrôle Rhumatoïde niveau I (3×1 ml, Réf. 31213, Biosystems, Barcelona, Spain), niveau II (3×1 ml, Réf.31214, Biosystems, Barcelona, Spain) et à un sérum contrôle Randox (12x 5ml, Réf. LAN4214, Randox, United Kingdom). Les mesures sont validées lorsque les valeurs des différents contrôles sont dans les limites admises (± 2 écarts type). Le contrôle de la qualité interne des mesures de la CRP et de l’AGP est effectué à l’aide d’un pool de plasma interne. Les mesures sont faites en double pour l’AGP et sont validées si le coefficient de variation entre deux mesures est inférieur à 5%.
Définition de l’anémie, de la carence en fer et de l’inflammation
L’anémie est définie chez les enfants de 6-59 mois par un taux d’hémoglobine (Hb) < 110 g/L. Elle est légère si 100 ≤ Hb ≤ 109 g/L, modérée si 70 ≤ Hb ≤ 99 g/L et sévère si Hb < 70 g/L (OMS, 2011). La carence en fer est définie chez l’enfant de moins de 5 ans par une concentration de ferritine plasmatique < 12 μg/L. L’anémie ferriprive est caractérisée par un taux d’hémoglobine bas associé à une ferritine plasmatique diminuée selon les seuils définis par l’OMS (WHO, 2011). L’inflammation est chronique si AGP > 1 g/L et CRP ≤ 5 mg/L, aiguë si AGP ≤ 1 g/L et CRP > 5 mg/L, mixte si CRP > 5 mg/L et AGP > 1 g/L. (Thurnham et al., 2003 ; Namaste, 2017).
Analyses statistiques
La saisie, le traitement et l’analyse statistique des données sont effectuées avec les logiciels Epi-info version 7 (Centers for Disease Control and Prevention, Atlanta, USA), AnthroPlus version 1.04 (OMS, 2007), Excel 2016 (Microsoft Corporation, Redmond, USA) et STATA/SE version 12 (STATA Corporation, Texas, USA). Les résultats des analyses sont exprimés en moyennes ± écart-types, en médianes et percentiles (25-75ème) et en pourcentages. Certaines variables dont la distribution n’est pas gaussienne ont subi une transformation logarithmique puis exprimées en moyennes géométriques ± écart-types. Le test t de Student, le test de Wilcoxon sont utilisés pour comparer les moyennes arithmétiques et les médianes ; les tests de χ ² et de Mac Némar ont permis comparer les pourcentages. La méthode de régression de BRINDA (Biomarquers Reflecting Inflammation and Nutritional Determinants of Anemia) est utilisé pour enlever l’effet des marqueurs de l’inflammation sur la ferritine plasmatique (King, 2015). La relation entre le statut en fer et les indicateurs anthropométriques, alimentaires, socio-économiques et sanitaires est analysée à l’aide des méthodes de régression. Les facteurs qui ont un p < 0,200 ont été introduits dans des modèles de régression linéaire multiple et logistique pour déterminer leur effet prédicteur sur la ferritine plasmatique corrigée en ajustant les autres variables ainsi que sur le statut en fer. Un seuil de signification de 5% est retenu pour toutes les analyses statistiques.
RESULTATS
Caractéristiques sociodémographiques
Les caractéristiques sociodémographiques des couples mère-enfant sont présentées dans le Tableau 1. Au total, 176 couples mère-enfant ont été enquêtés. La répartition des enfants selon le sexe fait ressortir des proportions de garçons de 51,7% et 48,3% de filles. Leur âge moyen est de 23 ± 1 mois. La plupart des enfants (66,7%) occupe au moins le troisième rang de naissance.
L’âge moyen des mères est de 25 ± 6 ans et les femmes âgées d’au moins de 20 ans sont majoritaires (78,4%). La multiparité est prépondérante, retrouvée chez 78,7% des mères. L’ethnie wolof est majoritairement représentée (94,3%). La plupart des mères ont suivi une scolarisation à l’école coranique et n’exerce aucune activité professionnelle.
Allaitement et alimentation complémentaire des enfants
Les données sur les pratiques de l’Alimentation du Nourrisson et du Jeune Enfant sont indiquées dans le Tableau 3. L’allaitement maternel est poursuivi chez seulement 17,1% des enfants. Le score de diversité alimentaire (SDA) moyen est de 5 ± 1 groupes d’aliments. La plupart des enfants ont une diversification alimentaire minimale (SDA ≥ 4 groupes d’aliments) alors que la fréquence minimale des repas et l’apport alimentaire minimum acceptable sont faiblement atteints avec des proportions respectives de 27,8% et 13,6%. Une différence significative est observée pour l’apport alimentaire minimum acceptable selon le sexe.
Le rappel diététique de 24 heures a révélé que la totalité des enfants consomme des céréales, racines ou tubercules et plus de la moitié ont dans leur régime alimentaire les groupes d’aliments tels que viande-poisson, légumineuses-noix et fruits-légumes. Les oeufs et le lait par contre occupent une faible part dans l’alimentation des enfants (Figure 1).
Statut en fer corrigé des enfants par rapport à l’inflammation
Corrélation entre la ferritine plasmatique, l’hémoglobine et les marqueurs de l’inflammation
L’analyse effectuée grâce à la corrélation de Pearson permet de rechercher l’association entre la ferritine plasmatique, l’hémoglobine et les marqueurs de l’inflammation (Tableau 8). L’hémoglobine a une corrélation positive et significative avec la ferritine plasmatique (r = 0,4640 ; p < 0,001). Aucune corrélation n’est notée entre l’hémoglobine et les marqueurs de l’inflammation. Une corrélation faible positive et significative est observée entre la ferritine plasmatique et l’AGP (r = 0,2853 ; P < 0,001), mais cette association n’existe pas avec la CRP.
DISCUSSION
La carence en fer constitue un véritable problème de santé publique chez les enfants âgés de 23 mois en milieu rural à Kaffrine malgré la mise en place d’interventions spécifiques et sensibles à la nutrition dans la région. Ces résultats confirment les tendances nationales obtenues au cours de l’étude sur le statut de base en micronutriments effectuée au Sénégal en 2011 avec une prévalence de 55,7% de carence en fer chez les enfants âgés 12-59 mois (COSFAM/MI/UCAD, 2012). Nos résultats sont également en accord avec les fortes prévalences de carence en fer retrouvée en Afrique, tout en restant toutefois plus importantes que celle notées en Côte d’Ivoire (51%), en Egypte (64%) ou en Algérie (51%) même si notre étude est parcellaire (Mwangi et al., 2017).
Nous avons trouvé dans cette étude une relation positive entre la ferritine plasmatique et les marqueurs de l’inflammation, confirmant le lien établi dans la littérature entre ces différents marqueurs biologiques (WHO, 2011 ; Namaste, 2017). Après ajustement par rapport à l’inflammation grâce à la régression de BRINDA, les valeurs de la ferritine plasmatique ont significativement diminué, aboutissant à une augmentation significative de la prévalence de la carence en fer chez l’ensemble des enfants et chez les filles. Cette prévalence corrigée rejoint celle obtenue lors de l’enquête nationale (82,4%) bien que l’ajustement soit effectué avec les facteurs de correction proposés par Thurnam (COSFAM/MI/UCAD, 2012). Par contre, au Cameroun, Engle-Stone a retrouvé une faible prévalence (13%) de carence en fer corrigée chez les enfants âgés de moins de cinq ans à partir de l’approche de régression de BRINDA (Engle-Stone, 2017).
Plusieurs déterminants peuvent expliquer les fortes prévalences de carence en fer obtenues dans notre étude. La faible consommation de produits d’origine animale tels que la viande, le poisson, la volaille, pourrait être une des causes majeures de la carence martiale (Mwangi et al., 2017 ; Mya et al., 2019). En effet, en plus de sa richesse en fer héminique hautement biodisponible, le tissu animal améliore fortement l’absorption du fer non héminique (Blanco-Rojo et al., 2018). Cependant, dans notre étude, nous n’avons pas trouvé de lien entre le statut en fer des enfants et la consommation d’aliments d’origine animale de même qu’avec la diversité alimentaire, bien que l’analyse du profil alimentaire ait montré que plus de la moitié des enfants ont atteint la diversification alimentaire minimale. Ceci pourrait être due au fait que l’enquête alimentaire ne concernait que l’alimentation de la veille, les données pouvant ne pas être représentatives du régime alimentaire général des enfants. Par ailleurs, le modèle social au Sénégal incluant une alimentation commune autour du bol familial, associé au faible niveau économique de certains ménages, pourrait entraîner une faible consommation de viande, de poisson, de volaille, ou de produits riches en vitamine C (légumes) par les enfants. La richesse des aliments en inhibiteurs de l’absorption du fer tels que les phytates pourrait aussi expliquer l’absence de relation entre la carence en fer et l’alimentation, d’autant plus que le régime alimentaire sénégalais est largement dominé par les céréales (Dobe et al., 2017 ; Niang et al., 2017). Dans cette présente étude, le groupe d’aliments céréales-racines-tubercules est unanimement consommé par les enfants. Par ailleurs, l’apport minimum acceptable est faiblement atteint à l’instar du niveau national (8%) (ANSD, 2018).
Les parasitoses intestinales, endémiques au Sénégal, présentes chez 31,3% des enfants de moins de 5 ans en zone rurale (Diouf et al., 2000), font également partie des principaux facteurs causals de la carence en fer de même que le taux élevé d’inflammation (Gregory et al., 2017). La faible couverture du déparasitage des enfants dans notre étude pourrait alors être à l’origine d’une incidence élevée de parasitoses intestinales d’où l’importance du déparasitage systématique semestriel des enfants âgés de moins de 5 ans. Stoltzfus et al. (2004) ont montré lors de leur étude menée à Zanzibar chez des enfants âgés de moins de 24 mois qu’un traitement antihelminthique trimestriel réduit de 59% l’incidence de l’anémie modérée. La supplémentation en vitamine A des enfants de moins de cinq ans contribue aussi à l’amélioration du statut en fer en augmentant la résistance aux infections, l’absorption et le métabolisme du fer, ainsi que par modulation directe de l’érythropoïèse d’où sa complémentarité avec le déparasitage (Michelazzo et al., 2013 ; Biswass, 2018).
Un faible niveau d’éducation des mères, notamment retrouvé dans notre étude, est aussi associé à la carence en fer selon certains auteurs. En effet, un niveau d’éducation des mères élevé permet aux mères d’acquérir une meilleure connaissance en matière de santé, de prendre des décisions plus rationnelles, ce qui concourt à garantir aux enfants de meilleurs soins ainsi qu’une promotion d’habitudes alimentaires plus saines (Nobre et al., 2017).
Le sexe masculin est apparu dans certaines études comme prédicteur de la carence en fer, probablement due à la faiblesse des réserves en fer des garçons à la naissance, aux facteurs hormonaux ou génétiques, à leur plus grande susceptibilité aux infections (Domellöf, et al 2002 ; Kisiangani et al., 2015 ; Camaschella, 2017). En revanche, dans le Nord du Kenya, Shell-Duncan et al. (2005) ont montré que les filles sont plus à risque de carence en fer, mettant en cause des facteurs culturels (Shell-Duncan et al., 2005). Cependant, nous n’avons pas trouvé de relation entre le sexe et le statut en fer dans la présente étude.
La carence en fer est à l’origine de près de la moitié des cas d’anémie à travers le monde. En tant qu’indicateur tardif de la carence martiale, l’anémie témoigne de la sévérité du déficit (WHO, 2015 ; Gregory et al., 2017 ; Houghton et al., 2019). D’autres facteurs sont aussi impliqués dans la survenue d’une anémie chez les enfants de moins de cinq ans tels que la carence en folates, en vitamine B12, le paludisme (Wirth et al., 2016 ; Huang et al., 2019). La prévalence de l’anémie dans notre étude dépasse largement celle obtenue à l’échelle nationale au Sénégal. Par ailleurs, ces dernières années, l’anémie atteint de plus en plus d’enfants âgés de 6-59 mois dans le pays passant de 60% en 2014 à 71% en 2017 (ANSD, 2018). Il est alors primordial de mesurer la pertinence des interventions posées depuis lors ainsi que les différents facteurs d’aggravation pour de meilleures stratégies de lutte. L’anémie chez les enfants de moins de 5 ans demeure un problème de santé publique sévère dans plusieurs pays d’Afrique sub-saharienne avec de fortes prévalences au Burkina Faso (87,6%), en Côte d’Ivoire (70 %), en Gambie (70%) (Séré et al., 2016 ; Mwangi, 2017). Nous avons retrouvé une prédominance de la forme modérée de l’anémie (50,3%), à l’image d’études menées en Ethiopie ou en Inde, les formes sévères étant moins présentes (Bharati et al., 2013 ; CSA, 2017). Par contre d’autres études ont montré une prépondérance de l’anémie marginale chez les enfants d’âge préscolaire. Les proportions de garçons et de filles anémiques ne présentent pas de différence comme relaté par certains auteurs (Parbey et al., 2017 ; Gebreweld et al., 2019 Nambiema1 et al., 2019) contrairement à Heckman et al. (2010) qui avaient trouvé des prévalences d’anémie plus élevées chez les filles comparées aux garçons parmi les enfants âgés de moins de cinq ans.
La prévalence de l’anémie ferriprive (71,1%) est plus importante que celle retrouvée lors de l’étude du statut de base en micronutriments au Sénégal (57%) probablement dû au fait que notre étude concerne uniquement le milieu rural (COSFAM/MI/UCAD, 2012). Les prévalences d’anémie ferriprive parmi les enfants de moins de 5 ans en Afrique de l’Ouest et du Centre vont de 38% au Cameroun à 58% au Togo et de 14% au Malawi à 67% en Tanzanie, en Afrique du Sud et de l’Est (Smith, 2000). En Asie du Sud, 55 à 75% des enfants âgés de 6-59 mois présentent une anémie ferriprive avec des prévalences plus élevées chez les enfants vivant en milieu rural (Hyder et al., 2007). La disparité des données peut être imputée aux différentes méthodes d’évaluation utilisées ainsi qu’à l’échantillonnage dans le cadre d’une enquête nationale ou parcellaire. Elle peut aussi être secondaire aux spécificités géographiques, économiques ou culturelles des différentes régions.
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Table des matières
I. INTRODUCTION
II. METHODOLOGIE
1. Cadre de l’étude
2. Ethique
3. Type d’étude et sujets
3.1. Critères d’inclusion
3.2. Critères d’exclusion
4. Taille de l’échantillon
5. Collecte des données
5.1. Questionnaires
5.1.1. Pratiques d’alimentation du nourrisson et du jeune enfant
5.1.2. Morbidité
5.2. Anthropométrie
5.2.1. Poids
5.2.2. Taille
5.2.3. Calcul des indices anthropométriques
5.3. Prélèvement sanguin et dosages biologiques
5.3.1. Prélèvement sanguin
5.3.2. Mesure du taux d’hémoglobine
5.3.2.1. Appareillage et principe
5.3.2.2. Mode opératoire
5.3.2.3. Contrôle de qualité
5.3.3. Dosage de la ferritine plasmatique
5.3.3.1. Appareillage et principe
5.3.3.2. Mode opératoire
5.3.3.3. Contrôle qualité
5.3.4. Dosage de la Protéine C Réactive et de l’alpha-1-Acide Glycoprotéine
5.3.4.1. Principe
5.3.4.2. Appareils et réactifs
5.3.4.3. Mode opératoire
5.3.4.4. Contrôle qualité
5.3.5. Définition de l’anémie, de la carence en fer et de l’inflammation
6. Analyses statistiques
III. RESULTATS
1. Caractéristiques sociodémographiques
2. Santé des enfants
3. Allaitement et alimentation complémentaire des enfants
4. Etat nutritionnel des enfants
5. Anémie chez les enfants
5.1. Distribution des valeurs d’hémoglobine
5.2. Prévalences de l’anémie chez les enfants
6. Statut en fer des enfants
6.1. Distribution des valeurs de ferritine plasmatique mesurées
6.2. Statut en fer des enfants
7. Statut inflammatoire des enfants
8. Statut en fer corrigé des enfants par rapport à l’inflammation
8.1. Corrélation entre la ferritine plasmatique, l’hémoglobine et les marqueurs de l’inflammation
8.2. Distribution des valeurs de ferritine plasmatique corrigées
8.3. Statut en fer corrigé des enfants
9. Prévalences de l’anémie par carence en fer mesurée et corrigée
10. Déterminants du statut en fer chez les enfants
10.1. Facteurs influençant la concentration de ferritine plasmatique
10.2. Facteurs de risque de la carence en fer
IV. DISCUSSION
V. CONCLUSION
VI. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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