Contrôle des PSF ou semi œuvré (PSO)
Présentation du genpharma
GENPHARMA est une entreprise pharmaceutique crée en 2001 et pour objectif la fabrication des médicaments génériques. Ce site de GENPHARMA abrite plusieurs services : I/ Départements de Génpharma I.1 Département marketing Au sein de la division GENPHARMA, le marketing fait une étude du marché qui consiste Au lancement de nouveaux produits. A la promotion des produits au niveau des corps médicale et pharmaceutique. I.2 Département commercial Étant en étroite relation avec le service marketing, le commercial se fixe pour objet de réaliser les ventes prévues. I.3 Département logistique Accompli comme fonction : L’approvisionnement en matière première, article de conditionnement et produit fini conformément aux besoins (grâce au service d’achat) à partir d’un programme de fabrication hebdomadaire et mensuel : Gestion administrative des commandes des fournisseurs étrangers et locaux et des différentes composantes des médicaments, Gestion de transports des marchandises, Saisie des réceptions, des retards, des transferts,… Gestion des stocks de sécurité, Gestion de faisabilité des fabrications. Et pour réussir ceux-ci un planning annuel de la fabrication est établit, c’est pourquoi une communication entre le département de logistique et le département de marketing est indispensable où le service marketing évalue à l’avance le budget annuel de vente à partir duquel et en fonction de la taille du lot, de vente mensuelle, du délai de fabrication, de la capacité de l’usine et des états de stocks, on procède à la mise en place du planning de fabrication et de fabrication non définitive en raison des variations de ventes et des disponibilités réelles GENPHARMA est une entreprise pharmaceutique crée en 2001 et pour objectif la fabrication des médicaments génériques. Ce site de GENPHARMA abrite plusieurs services : I/ Départements de Génpharma I.1 Département marketing Au sein de la division GENPHARMA, le marketing fait une étude du marché qui consiste Au lancement de nouveaux produits. A la promotion des produits au niveau des corps médicale et pharmaceutique. I.2 Département commercial Étant en étroite relation avec le service marketing, le commercial se fixe pour objet de réaliser les ventes prévues. I.3 Département logistique Accompli comme fonction : L’approvisionnement en matière première, article de conditionnement et produit fini conformément aux besoins (grâce au service d’achat) à partir d’un programme de fabrication hebdomadaire et mensuel : Gestion administrative des commandes des fournisseurs étrangers et locaux et des différentes composantes des médicaments, Gestion de transports des marchandises, Saisie des réceptions, des retards, des transferts,… Gestion des stocks de sécurité, Gestion de faisabilité des fabrications. Et pour réussir ceux-ci un planning annuel de la fabrication est établit, c’est pourquoi une communication entre le département de logistique et le département de marketing est indispensable où le service marketing évalue à l’avance le budget annuel de vente à partir duquel et en fonction de la taille du lot, de vente mensuelle, du délai de fabrication, de la capacité de l’usine et des états de stocks, on procède à la mise en place du planning de fabrication et de fabrication non définitive en raison des variations de ventes et des disponibilités réelles . Contrôles physico-chimiques IV.1.1 Contrôle des MP Caractères organoleptiques : aspect, couleur, solubilité, l’odeur… Identification : point de fusion, point d’ébullition, méthodes (spectrales : IR, UV, VISIBLE / chromatographiques : HPLC, CCM / réactions colorées). Essai : (critère de pureté des MP) : CCM /SPECTROPHOTOMETRIE UV perte de masse à la dessiccation / cendre sulfurique / essais limites des métaux lourds / recherche des impuretés particulières. Dosage : méthodes volumétriques, méthodes physico-chimiques (HPLC, CPG). IV.1.2 Contrôle des PSF ou semi œuvré (PSO) On contrôlera l’aspect, l’uniformité de masse pour les solides (l’uniformité de volume pour les liquides), le temps de désagrégation, le pH, la densité ….. IV.1.3 Contrôle des PF ⇒ Les AC Conformité (n° de lot, date de péremption, PPM,) ceci pour le conditionnement secondaire, pour le primaire on ne vérifie que le n° de lot et date de péremption. Etanchéité des fermetures. Conformité d’étiquetage, couleur. Vérification de notices. ⇒ Produit médicamenteux Caractère (aspect). Identification : dosage du PA, et des excipients. Essai de pureté : recherche de substance apparenté, dimension, taux d’humidité… Essais galéniques : dissolution, désagrégation, poids moyen, uniformité de masse… IV.1.4 Contrôles microbiologiques Constitue une assurance aux PF d’une qualité, la meilleure, microbiologiquement parlant, conformément aux normes de la pharmacopée. ⇒ Echantillonnage La procédure à suivre pour les prélèvements dépend des analyses à effectuer, l’asepsie doit être respectée d’une façon très stricte afin d’éviter toute contamination du produit prélevé. Les conditionnements recevant les prélèvements doivent être obligatoirement stériles. Le transport de l’échantillon au laboratoire doit s’effectuer dans les plus brefs délais, pour ne pas influencer sa qualité microbiologique. ⇒ Contrôles effectués normalement Dénombrement des germes viables totaux : aérobies et des entérobactéries (Ecoli), dans les produits non obligatoirement stériles (MP et PF). Dénombrement des germes spécifiques ou pathogènes : (galeries d’identification ou par utilisation de milieu de culture spécifique). Contrôle de la contamination des locaux de fabrication : (on détermine la charge microbienne). Analyse microbiologique de l’eau : Tous les contrôles en cours de fabrication, y compris ceux qui sont effectués en zone de production par du personnel de production, doivent être réalisés selon des méthodes approuvées par le Contrôle de la Qualité et les résultats vont faire l’objet de comptes rendus. Une attention particulière doit être portée à la qualité des réactifs, de la verrerie graduée, des solutions titrées, des étalons et des milieux de culture. Leur préparation doit se faire selon des procédures écrites. Les produits ou solutions de réactifs préparés en vue d’un usage prolongé doivent porter la date de leur préparation et la signature de celui qui les préparés. La date de péremption des réactifs instables et des milieux de culture doit être indiquée sur l’étiquette, de même que les conditions particulières de conservation. De plus, pour les solutions titrées, la dernière date de titrage et le titre en cours doivent être indiqués. Lorsque cela s’avère nécessaire, la date de réception des produits utilisés pour les analyses (par exemple les réactifs et les substances de référence) doit être indiquée sur le récipient. Les instructions pour l’utilisation et la conservation doivent être respectées. Dans certains cas, il peut être nécessaire d’effectuer une identification et/ou d’autres contrôles des réactifs lors de leur réception ou avant leur emploi.
Validation d’une méthode d’analyse
Le principe de la validation des procédures analytiques quantitatives est, aujourd’hui largement, répondu dans tous les domaines d’activité où des mesures sont réalisées. Le champ d’application de la validation analytique s’étend à toute procédure d’analyse utilisée dans le contrôle de la matière première, le développement galénique, le contrôle en cours de fabrication, le contrôle des produits intermédiaires et finis et les essais de stabilité de tous les produits pharmaceutiques. Dans le domaine pharmaceutique, son exigence est avant tout une pratique réglementaire. En effet, au Maroc, selon la dernière circulaire du ministère de la santé N°49DMP/00 du 16 juillet 2003, toute méthode analytique décrite dans le dossier d’AMM doit être accompagnée par les résultats d’une validation complète. La validation est fondée sur une analyse statistique basée sur un certain nombre de critères aboutissant à des méthodes analytiques permettant de donner des résultats fiables. Donc, elle a pour but de démontrer qu’elles correspondent à l’utilisation pour laquelle elles sont proposées. Afin d’aider concrètement les spécialistes du médicament à appliquer les recommandations réglementaires concernant la validation. Le présent document présente donc une synthèse des deux guides communément admises et appliquées dans l’industrie pharmaceutique nationale (ICH et SFSTP) et une démarche statistique pour la validation d’une procédure analytique permettant de minimiser les essais effectués et minimiser les deux risques de 1er et 2ème espèces c.à.d. le risque d’accepter une procédure qui ne serait pas suffisamment exact ou, au contraire, de rejeter une procédure qui serait capable. Enfin, bien que la démarche présentée dans ce travail concerne essentiellement les techniques chromatographiques appliquées au médicament, elle peut facilement s’appliquer à d’autres techniques et s’étendre à d’autres secteurs d’activité comme l’environnement et l’agro-alimentaire. La norme ISO/CEI 17025 définit la validation comme étant « la confirmation par examen et fourniture de preuves réelles que les exigences particulières d’un usage projeté donné sont remplies ». Une validation n’est pas une opération que l’on effectue une seule fois, plus les conséquences d’un résultat sont importantes, plus la rigueur de la validation doit être poussée. L’intégration, par un laboratoire d’une méthode validée par un tiers peut, le cas échéant, être réalisée par une validation simplifiée. Cela suppose toutefois que le personnel de laboratoire ait suffisamment d’expérience en la matière. I.3 Critères de la validation Les critères de validations illustrés dans le tableau ci-dessous, peuvent être requis suivant la nature de l’essai Exactitude L’exactitude d’une procédure analytique exprime l’étroitesse de l’accord entre la valeur accepté comme conventionnellement vraie, ou comme valeur de référence, et la valeur trouvée. Elle est parfois appelée justesse. ⇒ Fidélité La fidélité d’une procédure analytique exprime l’étroitesse de l’accord (mesure de la dispersion) entre une série de mesures obtenues à partir de plusieurs prises d’essais provenant d’un même échantillon homogène, dans les conditions prescrites. Elle peut être considérée à 3 niveaux : Répétabilité ; Fidélité intermédiaire ; Reproductibilité
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Table des matières
Introduction générale
ére Partie : Présentation du Génpharma
I/ Les départements de Génpharma
I.1 Département marketing
I.2 Département commercial
I.3 Département logistique
I.4 Magasin
I.5 Centrale de pesée
I.6 Unité de production
I.7 Le laboratoire de contrôle qualité
I.8 Département d’enregistrement
II/ Organigramme de Génpharma
III/ Organigramme du LCQ
IV/ Rôle essentiel du laboratoire de contrôle de qualité (LCQ
IV.1 Contrôles physico-chimiques
IV.1.1 Contrôle des MP
IV.1.2 Contrôle des PSF ou semi œuvré (PSO)
IV.1.3 Contrôle des PF
IV.1.4 Contrôles microbiologiques
émé Partie : Généralité
I/ Validation d’une méthode d’analyse
I.1 Introduction
I.2 Définition de la validation
I.3 Critères de la validation
I.4 Etapes de la validation
I.4.1 Définitions
I.4.2 Les méthodes statistiques
I.4.3 Méthodologie de la validation analytique
I.5 La démarche statistique
II/ Généralité sur les médicaments
II.1 Constituants d’un médicament
II.1.1 Principe actif
II.1.2 Excipient
II.2/ Forme pharmaceutique
II.3.1 Définition
II.3.2 Types des formes pharmaceutiques
Principe phases du développement d’un médicament
II.3.4 Développement galénique à la production industrielle
II.3.4.1 La reformulation
II.3.4.2 La formulation
II.3.4.3 Définition d’un médicament générique
II.3.4.4 Intérêt du médicament générique
III/ Spectroscopie d’absorption dans l’UV visible
III.1 Domaine spectral
III.2 Principe
III.3 Loi d’absorption de la lumière – loi de Béer-Lambert
éme Partie : Partie expérimentale
I/ Détermination de la teneur du principe actif (Paracétamol) par méthode
spectrophotométrie
I.1 Objet
I.2 Principe
I.3 Mode opératoire
I.4 Expression des résultats
II/ Détermination de la teneur du principe actif Amlodipine bésylate par méthode
spectrophotométrie
II.1 Objet
II.2 Principe
II.3 Mode opératoire
II.4 Expression des résultats
II.5 Résultats
A-Fidélité
Reproductibilité
B-Linéarité
C-L’exactitude
D-Intervalle de mesure
Conclusion générale
Abréviation
Référence bibliographique
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