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Diagnostic territorial
Etat des lieux qui recense, sur un territoire déterminé, les problèmes, les forces, les faiblesses, les attentes des personnes, les enjeux économiques, environnementaux, sociaux. Il fournit des explications sur l’évolution passée et des appréciations sur l’évolution future. Il est à la fois un outil de légitimation d’un territoire et aussi un outil de médiation et de dialogue entre ses divers acteurs (DATAR 2012).
Le diagnostic territorial est une analyse de la réalité locale servant à orienter la vision et l’action. Il remplit trois fonctions : orienter les prises de décision, constituer un référentiel pour le suivi d’un plan d’action et favoriser la cohésion sociale et l’éducation au Développement Durable. Ses objectifs sont de mobiliser les parties prenantes et de connaître l’état des composantes de la collectivité et de comprendre les enjeux locaux (PROVOSTE 2011).
Le diagnostic territorial participatif met en exergue les caractéristiques, les besoins, les enjeux et les ressources des quartiers prioritaires et du territoire dans lequel ils s’inscrivent.
Il a deux fonctions majeures :
il constitue une phase incontournable d’identification précise des besoins des quartiers prioritaires et de leurs habitants et des moyens mobilisables pour y répondre, qu’il s’agisse du droit commun de l’Etat et des collectivités territoriales ou des moyens spécifiques de la politique de la ville ;
il permet d’impliquer un maximum d’acteurs autour d’enjeux discutés collectivement pour mobiliser les partenaires du contrat de ville (Etat, opérateurs publics, communes, intercommunalité, Conseil général, Conseil Régional, bailleurs, associations, habitants) aux différentes échelles territoriales concernées (agglomération, communes, quartiers prioritaires). Le diagnostic territorial est une opportunité d’apprentissage et de qualification des acteurs sur la mise en oeuvre du nouveau contrat de ville.
Le diagnostic ne peut se limiter à une analyse statistique de la situation des quartiers (observation quantitative) et mérite d’intégrer des éléments plus sensibles pour donner à comprendre le fonctionnement du territoire et de son inclusion dans l’espace intercommunal (analyse qualitative et stratégique).
Filière et approche filière
On appelle filière de production l’ensemble des agents (ou fraction d’agent) économiques qui concourent directement à l’élaboration d’un produit final. La filière retrace donc la succession des opérations qui, partant en amont d’une matière première – ou d’un produit intermédiaire- aboutit en aval, après plusieurs stade de transformation/valorisation à un ou plusieurs produits finis au niveau du consommateur. L’approche filière a été développée par des institutions françaises de recherche comme un outil neutre d’analyse mettant en évidence l’existence de circuits de distribution pour les biens agricoles. Elle consiste à analyser quantitativement les flux de marchandise, les prix et la valeur ajoutée, tout au long de la filière, en utilisant les comptes de chaque agent (TALLEC et BOCKEL 2005)
Selon TCHUISSEU TCHEPNKEP(2007), la filière est la prise en compte d’une succession d’activités étroitement imbriquées les unes aux autres, liées verticalement par l’appartenance à un même produit ou des produits voisins et dont la finalité consiste à satisfaire les besoins des consommateurs.
Selon DUTEURTRE, et al (2000), c’est un système d’agents qui concourent à produire, transformer, distribuer et consommer un produit ou un type de produit. Cela est complétée par MVOGO (2004) qui pense que la filière est un découpage du réel délimitant un champ qui englobe des opérations techniques et économiques ayant trait à la production, la transformation, la distribution et à la commercialisation d’un produit.
Par synthèse de tout ce qui ont été dits alors, la filière est l’ensemble des activités faites par des différents acteurs depuis sa production, passant par la transformation et la distribution, jusqu’à la consommation d’un produit précis. Il est à noter que la filière n’est pas uniquement économique, au sens strict du mot, ou comptable, elle est aussi géographique, politique, et sociologique. Beaucoup de facteurs interviennent sur la vie d’un produit de sa phase initiale à sa phase terminale.
Une filière est constituée par l’ensemble des :
opérations subies par un produit depuis sa création jusqu’à sa consommation ;
acteurs y intervenant ;
coûts générés à chaque stade de transformation.
Agents économiques
En économie, les individus ou les groupes d’individus qui interviennent dans la production, l’échange, la transformation ou la consommation de produits sont appelés agents. Certains auteurs parlent aussi d’acteurs économiques. Ces agents sont des personnes, des familles, des groupes de personnes constitués en association ou en entreprises, des administrations publiques etc.
Les agents réalisent des fonctions économiques : cultiver des céréales, transporter des animaux sur pied, transformer de l’arachide en huile et en tourteau, consommer des tomates, etc. Les fonctions économiques principales sont : produire pour vendre et acheter pour consommer. Ces deux fonctions définissent l’essence même de la vie économique : les échanges de biens (marchandises) ou de services (DUTEURTRE, et al 2000).
Logique d’action
La logique d’action est la manière dont les acteurs justifient leurs actions, choix et comportements, et comment ils les rendent recevables et valables (Erhard, 1977). Elle s’intéresse moins à l’explication de principes qu’à leur structuration par un certain nombre de règles qui la rend acceptables et permet d’aboutir à un accord Selon BERNOUX et al. (2014), la logique d’action est ce qui fonde les choix des acteurs, les rationalités qui sont à l’oeuvre derrière chaque action.
Cette logique est pratiquée quotidiennement dans nos « société critique » ou les acteurs peuvent mettre en oeuvre une certaine réflexivité.
Selon (CROZIER et FRIEDBERG 1977), la stratégie d’acteur dans un système déterminer est l’ensemble des comportements adoptés par cet acteur afin de préserver ses intérêts. Dans cette logique, l’acteurs est un stratège et dispose d’une marge de manoeuvre. Il développe et met en oeuvre des jeux stratégiques dans le cadre de relation (collaboration, alliance, affrontement, opposition, négociation,…) afin d’atteindre ses objectifs.
Rationalité et rationalité limitée
La théorie du choix rationnel ou modèle de l’utilité espérée doit être resituée au sein du paradigme de l’individualisme méthodologique (BOUDON 1967). L’enjeu d’un tel paradigme consiste à refuser catégoriquement l’utilisation dans les sciences sociales de « boîtes noires » comme les biais cognitifs ou, les forces sociales, pour l’explication de phénomènes. D’autre part, Boudon réfute également le recours à des modèles MCM, dits Modèles de Causalité Matérielle qui présupposent la détermination d’actions individuelles par des facteurs matériels.
Boudon propose que la théorie du Choix rationnel se définisse en 6 postulats :
P1, individualisme: Tout phénomène social est le produit d’ADACC2 individuel
P2, compréhension: Tout ADACC individuel peut être compris
P3, rationalité: Tout ADACC est principalement le produit de raisons
P4, instrumentalisme: Les raisons considérées concernent les conséquences de l’ADACC
P5, égoïsme: Les conséquences considérées sont celles qui concernent personnellement l’individu.
P6, maximisation: L’individu préférera l’ADACC qui lui paraît présenter un bilan plus favorable que toutes les autres options présentes à lui.
D’autre part, Boudon fait référence à Max Weber dans sa thèse en 1967 et propose de distinguer la rationalité instrumentale, qui regroupe tous les raisons poussant un individu à une certaine action. La rationalité limitée provient de l’incapacité des individus à traiter l’ensemble des informations en provenance de leur environnement. Cette limitation de la possibilité, pour les individus, de saisir leur environnement nécessite une interrogation sur la manière dont ils se représentent le monde. En effet, la représentation du monde d’un agent déterminera, en partie, le contenu d’une décision et la manière dont elle sera prise (HERBERT 1959).
Coût d’opportunité
Le cout d’opportunité (ou cout d’option) est le cout d’un bien ou d’un service estimé en terme d’opportunité non réalisée (les avantages qui auraient pu être retirés de ces opportunités). C’est la valeur de la meilleure option non-réalisée, c’est-à-dire la mesure des avantages auxquels on renonce en affectant les ressources disponibles à un usage donné. L’hypothèse sous-tendant cette notion est que les ressources disponibles sont limitées, et qu’il n’est pas possible d’acquérir ou de réaliser l’ensemble des options disponibles (MEUNIER et MARDSEN 2009)
Valeur économique totale de la biodiversité
La valeur économique totale (VET) est un cadre d’évaluation permettant de déterminer l’ensemble des valeurs générées par les biens et services écologiques d’un écosystème autant marchandes que non marchandes (BRAHIC 2009). L’avantage d’utiliser la VET pour catégoriser les différentes valeurs des biens et services écologiques est qu’elle favorise une approche logique d’un point de vue économique et qu’elle inclut tous les aspects de la valeur de l’environnement (COLON 2009). D’entrée de jeu, il semble indispensable de préciser que la VET qui résulte des évaluations économiques correspond à des valeurs pertinentes à une prise de décision et offre un ordre de grandeur pour évaluer les compromis environnementaux par rapport aux objectifs de l’évaluation (SAWYER, et al 2001). Le cadre de la VET a été développé afin de catégoriser la diversité de ces valeurs ou bénéfices. Ce classement peut aider à réduire la possibilité d’oublier certaines valeurs dans les évaluations ou de les évaluer deux fois. La VET peut être évaluée à partir de valeurs d’usage et de non-usage (Bourassa, 2011a; Anielski et Wilson, 2005; NRC, 2004) telle que l’illustre la figure.
Subtilités de la fructification et quelques notions de rendement
Les lianes de poivre sauvage connaissent deux pics de fructification dans l’année. Le premier est en juin-juillet et le second en septembre-novembre. Mais on peut trouver des lianes fructifères de juillet à avril selon les zones considérées (LEVESQUE 2012). La maturation des grappes nécessite 2 à 4 mois. Ainsi, sur le même plant, on trouve des lianes à maturité différente. De même, sur la même grappe, les grains ne sont pas matures simultanément ( TOUATI, 2012).
En termes de fructification, il a été observé selon les auteurs, 1 à 25 kilogrammes de grappes fructifères par liane adulte, avec une moyenne de 5 kilos par liane). Au niveau du rendement (RAZAFIMANDIMBY 2011), la production d’un kilogramme de poivre sec de qualité moyenne nécessite 6 kilogrammes de poivre frais ; et un kilogramme de poivre sec de qualité supérieure, 10 kilos de poivre frais (Guillaume, 2012).
Cadre règlementaire de l’exploitation du Tsiperifery
L’arrêté interministériel n° 2915/87 du 30 Juin 1987 portant conduite de l’exploitation des produits accessoires des forêts est l’arrêté qui réglemente l’exploitation des PFNL sont définis comme produits accessoires selon cet arrêté les plantes médicinales et industrielles forestières. L’article 2 de l’arrêté n° 6686/2000 réglementant l’exploitation et la commercialisation des produits accessoires des forêts rajoute cependant des précisions sur cette définition. Ce sont les plantes médicinales ainsi que les plantes industrielles forestières destinées à l’alimentation et à Carte d’identité du Poivre sauvage malgache la fabrication des produits artisanaux. Le poivre sauvage étant destiné à la consommation, il fait partie des produits accessoires des forêts. Ces deux arrêtés visent à réglementer la collecte et l’exploitation des produits accessoires fixent les conditions générales pour les différents exploitants : leur activité ne peut être permise qu’en vertu d’une convention, permis d’exploiter ou une attestation de producteur privé.
Dans la pratique, l’exploitation de PFNL se fait par la délivrance d’une convention d’exploitation : la convention de collecte. Elle est délivrée à toute personne désirant entamer l’exploitation. Si elle est une personne morale c’est-à-dire une société, elle doit également être titulaire d’une attestation de producteur privé. Pour l’heure, il existe des exploitants de tsiperifery titulaire d’une convention de collecte. Sa délivrance est effectuée par la direction régionale en charge des forêts (DREEF). Mais la procédure fait intervenir les institutions locales qui sont le fokontany et la commune. Cette convention ne peut être obtenue que pour l’exploitation des produits accessoires présents sur une forêt domaniale mais pas sur ceux présents dans une aire protégée.
Pour l’obtention de la convention de collecte, l’exploitant doit :
Démarcher auprès du Fokontany et de la Commune pour obtenir un avis de leur part.
Présenter cet avis au cantonnement forestier de la localité qui va effectuer un contrôle de la réalité de la demande surtout par rapport à l’existence de la ressource. Il donnera son avis favorable.
Transmettre le dossier auprès de la direction régionale. Celle-ci pourra demander l’avis des autorités scientifiques au cas où l’exploitation de la ressource présente un risque afin d’obtenir son visa. Si tout est en règle, la direction régionale accorde la convention.
Il s’agit d’une procédure particulièrement longue et qui nécessite un déplacement éloigné. Les acteurs à la base n’ayant pas connaissance de cette procédure, ne l’ont jamais intenté. Au niveau du Fokontany, il est possible que le KASTI (Komitin’ny Ala Sy ny Tontolo Iainana), un comité spécialisé examinant les questions environnementales tranche la question. Cette convention de collecte est un contrat administratif, elle peut être retirée à tout moment si l’intérêt national l’exige par exemple si le produit objet du contrat encourt des risques (RAHARIJAONA 2014).
Interactions sociales des acteurs de la filière Tsiperifiery
Selon l’étude faite par RAKOTOMALALA, (2017), les acteurs sont encastrés dans un contexte social et la filière ne se limite pas aux termes de prix et de bénéfice. L’échange s’effectue dans la majorité des cas entre des amis, des membres de famille et à quelques exceptions entre des opportunistes. De par la relation sociale qui s’établit entre les acteurs, la confiance y règne et garantit la performance de ce secteur informel. La filière Tsiperifery est soumise à des incertitudes permanentes concernant l’approvisionnement et l’écoulement du produit.
Prédominance des collecteurs opportunistes
Comme tous les collecteurs de produits à Madagascar, les collecteurs opportunistes et informels prédominent dans le commerce local et national. C’est ainsi qu’ils multiplient le nombre de maillon de la chaîne de valeur, ce qui entraine l’augmentation des coûts de la transaction (le prix de vente du premier intermédiaire devient le prix d’achat du deuxième qui va lui aussi revendre au troisième intermédiaire et ainsi de suite jusqu’au collecteur règlementaire). Ces collecteurs se contentent de « coups » opportunistes. Ils achètent des quantités qu’ils peuvent revendre immédiatement avec un peu de bénéfice aux acheteurs qui acceptent le produit tel qu’il est ( RABE SANTATRA , 2017).
Démarche commune à la vérification des hypothèses
Recherche bibliographique
En amont de l’intervention, différents ouvrages ont été consultés afin de répertorier les données et informations disponibles qui vont aider à cerner le contexte de la zone d’étude et des différentes filières à étudier. La bibliographie sert également de complément et de recoupement des informations obtenues sur le terrain. Ainsi, une consultation des ouvrages a été effectuée auprès du Centre d’Information et de Documentation (CID) de l’ESSA. Des recherches sur des sites en ligne ont été aussi effectuées pour compléter les informations.
Phase exploratoire
Pendant la mise en oeuvre de l’étude, une phase exploratoire est envisagée afin de connaitre la situation sur la zone d’étude et l’approche à adapter vis-à-vis de la réalité locale. Elle permet aussi de préparer le terrain avant de faire la phase d’enquête auprès de l’administration locale et celle des ménages cibles de l’étude.
Entretien auprès des personnes ressources
Des consultations et entretiens ont été entrepris avec les personnes ressources pour exposer la raison d’être du projet et pour connaitre le contexte socio-économique institutionnel et environnemental de la Commune.
Le adjoint au maire a été ainsi la première personne enquêtée dans l’objectif d’obtenir plus d’information concernant la Commune. Cela a permis d’avoir un aperçu général de la commune et des activités sociales et économiques de ce dernier.
L’entretient auprès des Zokiolona, par contre, a permis d’appréhender la dynamique sociale et l’organisation coutumière ainsi que les traditions. Il a aussi facilité l’intégration dans la communauté sur terrain étant donné que c’est un signe de respect aussi.
Changement socio-économique et écologique de l’adoption du Tsiperifery
Estimation de la production annuelle
L’estimation de la production et du revenu par classe sert à répondre à l’hypothèse 3.1 : « l’adoption de la culture du Tsiperifery affecte le revenu des ménages et réduit les inégalités sociales ».
Calcul du Rendement :
Le rendement des poivres varie fortement au cours de la vie des lianes. Une liane de 3 ans donne 1 à 2 kg de poivre frais. Entre 4 à 7 ans, le rendement croit progressivement de 3 à 10kg. Lorsque la liane atteint son 15ème année, l’âge auquel il est nécessaire de renouveler la plantation, le rendement décroit jusqu’à 2 à 2.5 kg (CAMBRONY 1987). Il n’y pas encore d’étude prédéfini pour le poivre sauvage, donc on va prendre le résultat de Cambrony pour calculer le rendement du poivre sauvage à partir des informations sur le poivre rouge.
Selon GUILLAUME & TOUATI, (2012), la productivité moyenne des poivres sauvages est 5kg par pied, et la production est optimale à la 5ème année. ??????????=?????? ?? ????∗???????????é ???????.
Pour le calcul de la productivité, le taux d’enracinement n’est pas fiable donc le taux de reprise a été choisi. En effet, le taux de reprise est utilisé pour la replantation des pépinières. (Elodie 2016). La production de Tsiperifery est moins bonne dans les trois (3) premières années. Mais dans les quatre et cinquièmes années, là où les lianes commencent à être matures, la production serait bonne car la production moyenne est 5kg par grappe.
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Table des matières
Introduction
1 Concept et état de l’art
1.1 Concept
1.1.1 Diagnostic territorial
1.1.2 Filière et approche filière
1.1.3 Rationalité et rationalité limitée
1.1.4 Coût d’opportunité
1.1.5 Valeur de la biodiversité
1.2 Etat de l’art
1.2.1 Classification du Tsiperifery
1.2.2 Subtilités de la fructification et quelques notions de rendement
1.2.3 Cadre règlementaire de l’exploitation du Tsiperifery
1.2.4 Interactions sociales des acteurs de la filière Tsiperifiery
1.2.5 Prédominance des collecteurs opportunistes
1.2.6 Analyse économique de la filière Tsiperifery
2 Matériels et méthodes
2.1 Matériels
2.1.1 Justification de la zone d’étude
2.1.2 Outils de saisie et de traitements de données
2.2 Méthodes
2.2.1 Démarche commune à la vérification des hypothèses
2.2.2 Démarches spécifiques de vérification des hypothèses
2.3 Cadre opératoire
2.4 Limite de l’étude
2.5 Chronogramme
3 Résultats
3.1 Classification structurelle des ménages
3.1.1 Typologie
3.1.2 Répartition des revenus
3.2 Logiques et comportement des acteurs du projet DomTsip
3.2.1 Logique des acteurs
3.2.2 Carte des acteurs
3.2.3 Analyse de plan d’influence entre acteurs
3.2.4 Facteurs déterminants l’intégration des ménages dans le groupement FMVM
3.3 Changement socio-économique et écologique de l’adoption du Tsiperifery
3.3.1 Estimation de la production annuelle
3.3.2 Valeur économique totale du Tsiperifery
4 Discussions
4.1 Caractérisation de l’exploitation agricole
4.1.1 Caractérisation des ménages
4.1.2 Structure des sources de revenu
4.1.3 Situation foncière
4.1.4 Accès aux ressources et droit de propriété
4.2 Logique des acteurs par rapport au projet DomTsip
4.2.1 Structure du marché du Tsiperifery
4.2.2 Contribution de la production de Tsiperifery au revenu et à l’emploi
4.2.3 Analyse des facteurs influant l’adoption de la filière Tsiperifery
4.3 Changement social, économique et écologique de l’adoption du Tsiperifery
4.3.1 Estimation des revenus
4.3.2 Effets de l’adoption du Tsiperifery dans la protection de la biodiversité
4.3.3 Tentative d’intégration de la conservation de la biodiversité dans l’exploitation du Tsiperifery
4.3.4 Changement social
5 Recommandations
5.1 Organisation de la filière Tsiperifery
5.2 Augmentation des recherches et d’innovation dans la filière Tsiperifery
5.2.1 Proposition d’objectifs et de piste d’action
5.2.2 Proposition d’un cahier de charge
5.3 Elaboration d’un transfert de gestion des ressources renouvelables
Conclusion
Bibliographie
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