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Les différents Organes d’appui au développement
Les O.M.D ou Objectifs du Millénaire pour le Développement, approuvés par les gouvernements aux Nations Unies en Septembre 2000, visent à améliorer le bien-être de l’homme en réduisant la pauvreté, la faim dans le monde et la mortalité infantile et maternelle, en garantissant l’accès à l’enseignement pour tous, en contrôlant et en gérant les épidémies et les maladies, en abolissant la discrimination entre les sexes, en assurant un développement durable et en établissant des partenariats à l’échelle mondiale. Les huit (08) O.M.D sont:
Objectif 1: Réduire l’extrême pauvreté et la faim
Objectif 2: Assurer l’éducation primaire pour tous
Objectif 3: Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes
Objectif 4 : Réduire la mortalité infantile
Objectif 5: Améliorer la santé maternelle
Objectif 6: Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d’autres maladies
Objectif 7: Assurer un environnement durable
Objectif 8: Mettre en place un partenariat mondial pour le développement.
Le PNUD ou Programme des Nations Unies pour le Développement, en Anglais « United Nations Development Programme » a été créé en 1945 dans le cadre des Nations Unies dans le but de favoriser le développement.
Sa définition en 1990 de la notion de « développement humain » est à l’origine de l’indicateur du développement humain (IDH) qui mesure la pauvreté selon des critères qualitatifs et sociaux plutôt que quantitatifs et économiques. En 2000, il s’est fixé 6 domaines d’intervention prioritaires:
1- la gouvernance démocratique
2- la réduction de la pauvreté
3- la prévention des crises et redressement
4- l’énergie et l’environnement
5- les technologies de l’information et des communications
6- le VIH/SIDA.
Le PNUD aide donc les pays à renforcer leurs capacités pour faire face aux défis environnementaux et énergétiques aux niveaux mondial, national et communautaire, en identifiant et en partageant les meilleures pratiques, en fournissant des conseils politiques novateurs et en reliant les partenaires par le biais de projets aidant les populations des pays en développement à s’assurer des moyens d’existence durable.
L’ONU ou Organisation des Nations Unies a joué un rôle crucial dans l’élaboration d’un consensus international sur l’action en faveur du développement. Depuis 1960, l’Assemblée Générale contribue à définir des priorités et des objectifs dans le cadre d’une série de stratégies internationales décennales. L’ONU continue de formuler de nouveaux objectifs dans des domaines clefs tels que:
– le développement durable ;
– la promotion de la femme ;
– le respect des droits de l’homme ;
– la protection de l’environnement et la bonne gouvernance ;
– l’élaboration des programmes en vue de leur réalisation.
Définition de la culture
Selon les Penseurs
La culture se définit depuis les travaux de l’anthropologie culturelle américaine du 20è Siècle comme l’ensemble des manières de vivre, c’est-à-dire de sentir, d’agir, et de penser propre à une population déterminée en un temps déterminé.
L’anthropologue anglais du XIXe Siècle, E B Tylor, définit la culture comme étant « un ensemble complexe qui comprend la connaissance, l’art, la morale, le droit, la coutume et toutes les autres capacités et habitudes acquise par l’homme en tant que membre de la société». (Tylor,1990).
Cet héritage social est le concept-clé de l’anthropologie culturelle. « La culture comprend des techniques, des objets fabriqués, des procédés de fabrication, des idées, des mœurs et des valeurs hérités». B Malinowski (1931), in G. Ferréol et J.-. Noreck, Introduction à la sociologie, (Armand Colin, 1989).
« La culture, c’est la manière de vivre d’un groupe ». (Macquet (1949), in G. Ferréol et J.-P. Noreck).
Le culturalisme définit la culture comme système de comportement appris et transmis par l’éducation, l’imitation et le conditionnement dans un milieu social donné.
Selon les enquêtés
La culture se définit comme étant une manière de pensée vécue par la société donnée et qui devient une habitude inculquée à un individu pour avoir la conscience collective.
La culture, pour les autres, c’est tout ce qui est socialement hérité ou transmis.
Position personnelle
La culture se présente comme l’ensemble de manières de vivre héritées de l’ancêtre ou de la société elle-même et que chaque individu doit la respecter afin de mieux vivre harmonieusement dans une société.
Après avoir vu la définition du développement et de la culture, il est important de connaître le contexte historique de la femme rurale.
Contexte historique de la femme
La prise en compte du contexte socioculturel et historique de la femme est un facteur essentiel qui détermine sa contribution au développement socioculturel; sur ce point nous allons voir tout d’abord le contexte historique de la femme.
Les représentations mentales et images de la femme
Ce caractère divin est exploité par les souverains lorsque les systèmes monarchiques se consolident. La périodisation imprécise et le sens du merveilleux qui caractérisent l’oralité sont utilisés au profit des dynasties par les chroniqueurs officiels et royaux de la tradition orale (lovan-tsofina) pour sacraliser et légitimer leur pouvoir. Les récits mythiques (Arira, Angano) donnent des souverains (Rois malgaches) l’image d’ êtres à part, d’essence surnaturelle, car possédant une qualité mystique, el Hasina2.
En ayant épousé une fille de Dieu, Andriambavilanitra (princesse du ciel), les Rois auraient acquis une essence divine grâce à leurs mè res et l’auraient transmise à leurs descendants, grâce à leurs épouses.
Le concept d’ Andriambavilanitra est lié aux notions de Lanitra signifiant le ciel, les cieux et le séjour des êtres sacralisés. Et cette princesse du ciel est venue avec deux éléments primordiaux, essentiels pour la vie : quelques graines de paddy, une poule et un coq.
Femme malgache
Selon la tradition orale, la venue de la femme est liée à l’origine du riz. Or le riz dans la civilisation malgache signifie la vie. Ce riz se répandit dans toute l’île. Dans cette perspective, la femme venue du ciel devient la première source de richesse. Indifféremment, elle peut engendrer des enfants ou faire produire les éléments nécessaires et vitaux au genre humain ici malgache : tel le riz qui est la base même de sa nourriture.
Dans ces récits, la femme est ainsi liée à la découverte de l’agriculture, elle jouait et joue encore de nos jours, le rôle principal dans la riziculture, on ne fait appel à l’homme que pour débroussailler et pour préparer les sillons des rizières. En revanche, la femme choisit, conserve les semences, sème les graines, entretient les pépinières, procède au repiquage et surveille quotidiennement la croissance régulière des épis, de la germination à la moisson.
La femme est aussi liée au thème de l’eau. L’eau devient symbole de vie, de puissance « Rano Velona » ou eau vive, vivante ou qui fait vivre, « Rano Mahery » ou eau puissante. Associée aux différentes forces magiques de l’eau,la femme acquiert une importance et une puissance illimitées.
Les aspects de la féminité vont être remodelés réactivésou pour être employés par des groupes plus puissants que les autres. La femme va avoir un statut ambigu. Elle reste génitrice et mère-universelle.
Caractéristiques de al femme
Si tel est le contexte historique de la femme, comment se présente l’image de la femme traditionnelle, son image nouvelle et la femme vecteur de nouvelle civilisation?
L’image de la femme traditionnelle
Dans cette première moitié du XXe siècle, l’image et le rôle de la femme rejoignent ceux que les anciens Malgaches se sont donnés de leurs femmes : tout d’abord, être une bonne mère et seulement après être une bonne épouse.
Malgré l’éducation dispensée aux enfants des deux exes, les parents malgaches d’avant 1958, dans leur majorité, n’avaient pas encore ressenti le besoin d’éduquer leurs filles pour un métier bien déterminé pouvant l’entrainera dehors, à l’extérieur du foyer conjugal, familial.
L’image nouvelle de la femme
Une image nouvelle de la femme « Haingon’ny Tokan-trano » ou Bijou du foyer. Pendant la période d’intenses activités commerciales, la femme doit avoir l’image d’une bonne maîtresse de maison, d’une bonne épouse et d’une bonne mère.
Mais devant les facilités et les nouveautés, elle av se concentrer sur sa mise, sa présentation et son allure, nouveaux soucis devant se refléter dans la tenue de son logis. Ceci est surtout vrai pour la classe dirigeante. Ainsi la femme autrefois considérée sur le même plan d’égalité que son compagnon sinon un peu plus,doit, à partir du XIXè siècle, se soucier de plaire à son entourage, à son époux. Subrepticem ent, la femme va dépendre de l’homme et devenir un objet. Les missions chrétiennes ont unegrande part dans cette transformation.
Femme vecteur de la nouvelle civilisation
La femme en tant que mère ou future mère de famile prend une importance énorme, car elle va devenir le relais, une sorte d’amplificateur des idées coloniales au sein de la famille.
Cette femme doit inciter les siens à adopter un nou veau mode de vie engendrant de nouveaux besoins. Ici, on peut souligner la création des écoles professionnelles où étaient formées les fameuses maîtresses de couture et la création des écoles ménagères. Mis à part le rôle de la femme, vecteur d’un nouveau genre de vie , le colonisateur n’oublie pas son rôle procréateur. Or ceci est primordial pour cette colonie neuve, relativement peu peuplée, ayant besoin d’une main-d’œuvre suffisante et appropriée.
La colonisation a beaucoup misé sur l’existence d’une population nombreuse en vue d’une main-d’œuvre solide et rentable.
Les mesures prises, bien que flétrissant l’image de la femme traditionnelle, accentuent le droit coutumier: retour à la procédure de confiscation des biens des défunts sans enfants.
Aspect culturel de la femme
La naissance et le mariage jouent un rôle important dans la vie de la femme malgache, ce sont donc des points essentiels qui méritent d’être soulevés.
La naissance
La naissance occupe une place prépondérante pour esl Malgaches. C’est le commencement de la vie d’un individu qui entre en premier lieu au sein d’une société. Dans ce cas, les villageois s’entraident et pratiquent différentes sortes de coutumes appropriées durant la période de la grossesse, au moment de l’accouchement et après l’accouchement.
En ce qui concerne ce dernier, c’est une occasion importante qui procure de la joie autour de la famille.
Nous allons, donc, entamer différentes raisons marquant la joie après l’accouchement.
Tout d’abord sur le plan économique, l’adage malgache dit: « Ny zaza no harena », littéralement: l’enfant est une richesse. En effet, il représente une valeur sûre dans la vie des hommes, car ce n’est pas chose facile d’avoir un bébé vu les moments difficiles à parcourir pendant la période de la grossesse jusqu’à l’accouchement, et c’est dans ce sens qu’on met en évidence l’adage malgache : « Tsy misy Ray aman-dReny mahafoy zanaka, fa ny zanaka no mahafoy Ray aman-dReny », littéralement : Les parents n’arrivent pas à perdre leurs enfants, par contre c’est l’inverse pour l’enfant.
De ce fait, l’enfant est une richesse pour les Malgaches et ils le considèrent également comme du « silaky ny aina na sombiniainy », littéralement moelle de la vie et cela représente donc beaucoup pour eux.
L’enfant est, par ailleurs, synonyme de richesse étant donné qu’il engendre des générations futures et c’est vraiment difficile pour les Malgaches si on cesse d’avoir des générations surtout de rester stérile, car on dirait qu’ils n’ont pas d’héritiers.
Dans un second temps, il y a lieu de signaler qu’après l’accouchement, la famille organise une fête, car on dit: «nahatafita aina », littéralement: avoir eu sa progéniture. Ce qui veut dire que l’accouchement peut causer également de la mortalité et c’est pour cela que les Malgaches expriment leur joie après avoir eu un bébé.
Après que la mère garde avec elle le bébé bien au chaud, appelé en malgache „ mifàna“, il y a une phase nommée «mivoaka itany », littéralement : premier contact avec le jour qui est le moment favorable marquant que ce bébé remplit du hasina pour pouvoir entrer dans la société.
Enfin, on met en évidence qu’avoir un bébé impliquele renforcement du lien de mariage pour les Malgaches. Le mariage n’a pas de valeur au cas où l’un des couples serait stérile surtout la femme. Et par conséquent, dans ertainesc régions, l’homme finit par commettre une certaine infidélité face à son épousestérile. Tout cela amène à dire que les Malgaches aiment leurs enfants.
Le mariage
Le mariage a toujours été l’évènement le plus important de la vie d’une femme. Le principal but est de donner des enfants, assurer la continuité de la souche, perpétuer le culte familial.
«Ny anambadian-kiterahana », littéralement: On se marie pour avoir des enfants. C’est une expression bien connue. La jeune fille est mariée dès qu’elle est formée physiquement, apte à avoir des enfants. La femme est un trait d’union pour avoir des enfants. Sans enfant, elle est souvent répudiée.
Il convient de noter que pour les Malgaches, le « vodiondry » est un mariage traditionnel signifiant que l’homme qui demande la femme pour être son mari doit payer un certain montant aux parents de la femme. Le mari a payé pour que l’autorité du père de la famille lui soit transférée. Ce paiement est donc itd « vodiondry ».
La remise du « vodiondry » signe le consentement de la famille de la jeune femme pour que le mari devienne propriétaire des fruits du ventre de la femme. Les enfants sont rattachés à la famille paternelle.
Autrefois ce paiement a été fait en nature pour finalement devenir ce qu’il est maintenant. L’obligation de cohabitation s’impose surtout à la femme qui doit résider là où se trouvent le mari et son groupe familial. Le transfert d’autorité du père au mari est rendu effectif, par ce transfert du domicile.
Comparativement au droit coutumier, la femme malgache depuis l’Indépendance jouit de tous les droits civils au même titre que l’homme. Elle a les mêmes libertés fondamentales3.
Etat des lieux
La déscente sur terrain nous a permise d’obtenir de plus amples informations sur la connaissance géographique, démographique et socioculturelle locale pour la réalisation de notre étude.
Situation géographique
Faisant partie du District de Manandriana et de la région d’Amoron’i Mania , la commune rurale d’ Anjoman’Ankona se trouve à 15km à l’Ouest d’Ivato Ambositra , traversée par la Route Nationale n°35 menant à Ambatofinandrahana.
A 18 km au Nord d’ Ambovombe Centre Chef lieu du District, cette commune sert de porte d’entrée de Manandriana et de commune contigüe du District d’ Ambatofinandrahana. Anjoman’Ankona fait partie des Hautes terres malagaches sur une altitude de 1660m, elle a une superficie de 104m.
Relief et Hydrographie
Anjoman’Ankona fait partie des Hautes Terres constituées de massif et chaînes montagneuses: Andrarafato, Iharana, Ambalafanoharana. Les rizières se trouvent dans la vallée d’Ankona, et de part et d’autre, des rivières, où la maîtrise de l’eau peut se faire par la construction des barrages. Sur les flancs des montagnes et collines s’étagent des rizières en terrasse, spécifiques des régions des Betsileo s’inspirant celles de la Malaisie.
La rivière d’Ankona traverse la commune tout entière, mais ses affluents en amont arrosent les bas de pentes de part et d’autre des petites vallées comme à Andohasahamamehy, qui veut dire entouré de vallée.
La rivière d’Andohariana et des flux d’ Ambatomikatsaka forment un affluent provoquant un débit assez fort dont la chute d’Andriamamovoka.
Sol et végétation
Les sols ferralitiques rouges avec des sols plus ou moins compacts et relativement pauvres forment le type des sols de la commune.
La caractéristique des sols sur les têtes de vallon est souvent stérile, d’où le faible rendement à cause de la dégradation du sol et du manque d’engrais qui ne sont pas à la portée des agriculteurs.
On trouve des « lavaka » ou trous à cause de l’érosion sur les montagnes.
Par contre, pour les cultures maraîchères sur les bas de pente, les sols sont très argileux humides surtout à l’horizon supérieur. Sur les bas fonds, c’est spécialement pour les cultures de riz et des cultures de contre saison, les sols sont très tourbeux. Sur la plupart des versants, des herbes ainsi que des couches végétales freinent l’érosion, et des forêts sur les sommets de quelques montagnes, notamment des forêts naturelles de tapia ou sclérophylle et de temps en temps des plantes médicinales.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : ETAT DES LIEUX ET CONTEXTE SOCIOCULTUREL DE LA FEMME
CHAPITRE I : Définition du terme et contexte socioculturel de la femme
Section I: Définition et perception du développement
I-1 Qu’est ce que le développement
I-2 Perception du développement selon les enquêtés
I-3 Les différents Organes d’appui au développement
Section II : Définition de la culture
II-1 Selon les Penseurs
II-2 Selon les enquêtés
II-3 Position personnelle
Section III : Contexte historique de la femme
III-1 Les représentations mentales et images de la femme
III-2 Femme malgache
Section IV : Caractéristiques de la femme
IV-1 L’image de la femme traditionnelle
IV-2 L’image nouvelle de la femme
IV-3 Femme vecteur de la nouvelle civilisation
Section V: Aspect culturel de la femme
V-1 La naissance
V-2 Le mariage
CHAPITRE II : Etat des lieux
Section I: Situation géographique
I-1 Relief et Hydrographie
I-2 Sol et végétation
I-3 Caractéristiques des bassins versants
I-4 Climat et Pluviosité
I-5 Classification des forêts
I-6 Pépinière et Reboisement dans la commune
I-7 Autres potentialités
Section II: Situation démographique
II-1 Historique
II-2 Histoire de migration
II-3 Structure administrative et administration
II-4 Ressources humaines
Section III: Situation socioéconomique
III-1 L’agriculture, l’élevage, la pêche
III-2 Les mines, l’artisanat, le tourisme
III-3 Liste des organismes d’appui opérant dans la commune
Section IV: Situation socioculturelle
IV-1 L’éducation
IV-2 La santé
IV-3 La religion
IV-4 Us et Coutumes
DEUXIEME PARTIE : CONTRIBUTION DE LA FEMME RURALE AU DEVELOPPEMENT SOCIOCULTUREL
CHAPITRE III : Femme rurale et développement social
Section I: Dynamisme de la femme rurale aux différents secteurs de développement
I-1. Secteur économique
I-2 Secteur sanitaire
I-3 Secteur éducatif
Section II : Approche genre
II-1 Statut et rôle parental de la femme
II-2 Statut et rôle conjugal de la femme
II-3 Statut et rôle communautaire de la femme
CHAPITRE IV: Femme rurale et développement culturel
Section I: L’artisanat, activité culturelle, favorisant le développement local
I-1 Compétence de la femme rurale au tressage
I-2 compétence de la femme rurale en tissage de la soie
I-3 Compétence de la femme rurale à la poterie
Section II : Le « valin-tanana » ou entraide sporadique et le « dabok’andro » comme étant des activités culturelles permettant de développer également la commune
II-1 Signification du terme « valin-tanana
II-2 La mobilité de la femme au « valin-tanana
II-3 Signification du terme « dabok’andro
Section III : Le « toaka gasy » ou l’alcool traditionnel et la femme rurale
III-1 Le « toaka gasy » marque de l’identité culturelle betsileo
III-2 Le « toaka gasy » est un facteur de développement économique
III-3 Le « toaka gasy » est un facteur de développement sanitaire
TROISIEME PARTIE : PROBLEMES, ANALYSE SOCIOLOGIQUE ET SUGGESTIONS
CHAPITRE V : Les problèmes rencontrés par les femmes au niveau de développement local
Section I : Problèmes socio-économiques
I-1 : Problèmes économiques
I-2 : Problèmes sanitaires
I-3 : Problèmes éducatifs
Section II : Problèmes culturels
II-1 : La prédominance des coutumes et tabous
II-2 : Dépenses liées à toutes fêtes traditionnelles
CHAPITRE VI : Analyse sociologique de la contribution de la femme rurale au développement socioculturel
Section I : L’aspect sociologique du dynamisme, de la mobilité de la compétence de
la femme rurale au développement local
I-1 Conscientisation de la pauvreté
I-2 Interaction, cohésion sociale, organisation sociale
Section II : La fonction sociale du « toaka gasy
II-1 Ses aspects positifs
II-2 Ses aspects négatifs
CHAPITRE VII : Suggestions
Section I : Face aux problèmes rencontrés par les femmes rurales en matière du développement local
I-1 Sur le plan économique
I-2 Sur le plan sanitaire
I-3 Sur le plan éducatif
Section II: Au niveau de l’amélioration de la qualité de vie et du bien être de la femme rurale
II-1 Conscientisation des femmes rurales en tant que bénéficiaire, mais surtout en tant que principaux acteurs de développement
II-2 Mettre en œuvre la participation de l’homme au niveau de développent pour assurer l’équité et l’égalité entre les deux sexes
II-3-Les solutions émanant du gouvernement et des organismes
CONCLUSION GENERALE
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