Contribution à l’intégration d’une liaison avionique sans fil

Glossaire et concepts clefs

Ingénierie système : l’ingénierie système est une approche interdisciplinaire qui permet la réalisation d’un système. L’approche se focalise sur la définition des besoins utilisateurs et des fonctions requises très tôt dans le cycle développement
Milieu aérospatial : Dans notre cas, avion hélicoptère lanceur
Système de communication : Système permettant d’acheminer des données d’un point à un autre
Capteur : Elément passif ou actif permettant de convertir une grandeur physique en information compatible de l’entrée d’un nœud (ou d’un concentrateur).
Réseau de capteur : Ensemble de capteurs liés par des systèmes de communication à des centres de décision
Classes d’application : Regroupement des utilisations similaires du système par domaine (Avions, hélicoptères et lanceurs).
Système : En général, ensemble d’éléments (logiciel, matériel ou humain) en interaction mutuelle et en interaction avec l’environnement, organisé en fonction d’un but. Dans notre cas, ensemble constitué d’un concentrateur et d’un ou plusieurs nœuds communiquant ensembles.
Système complexe : Système dont les propriétés et le comportement résultent de l’interaction de plusieurs constituants qui peuvent eux même être des systèmes. On les appellera alors sous système
Module : Constituant unitaire du système (dans notre cas Concentrateur, Routeur ou Terminaison.).
Produit : Eléments matériel présenté à l’issue du projet : modules du démonstrateur permettant la réalisation d’un ou plusieurs systèmes.
Gamme de produit : Ensemble de produit ayant en commun un ou plusieurs modules mais dont chaque produit possède un ou plusieurs modules spécifiques
Concentrateur : Elément concentrant les informations d’une ou plusieurs terminaisons (par une liaison RF), disposant ou pas disposant d’une ou plusieurs interfaces capteur et raccordé au système hôte : apport énergétique et liaisons de communication.
Routeur : Elément concentrant les informations d’une ou plusieurs terminaisons (par une liaison RF), disposant ou pas disposant d’une ou plusieurs interfaces capteur. Mais ne disposant pas de raccord avec le système hôte.
Réseau SAHARA : Ensemble constitué d’un concentrateur, éventuellement un ou plusieurs routeurs et d’au moins un terminal communiquant ensembles.
Système hôte : Système intégrant un ou plusieurs réseaux SAHARA.
Terminal : Satellite autonome disposant d’une liaison RF avec un ou des modules et disposant d’une ou plusieurs interfaces capteur.
Qualification : C’est la somme des différentes étapes, respect des règles, vérifications,validations, tests permettant de s’assurer que l’équipement est fiable pour être autorisé à être installé dans un aéronef.
Certification : Une certification est donnée par un organisme agréé. C’est une étape formelle permettant une utilisation commerciale de l’équipement sur aéronefs.
Analyse des exigences : Elle a pour objectif de spécifier toutes les fonctions et propriétés que devra avoir le système pour répondre à ses missions. La spécification des exigences s’intéresse donc au quoi (que doit faire le système ? quelles doivent être ses performances et aptitude) et non au comment (pas d’apport de solution technique qui relève plus du travail de conception)
Vérification : Contrôle de l’implémentation d’une exigence.
Validation : Contrôle de la complétude de couverture d’une exigence.
Ingénierie système : L’ingénierie des systèmes est une approche scientifique interdisciplinaire, dont le but est de formaliser et d’appréhender la conception de systèmes complexes avec succès.
Cycle de vie : Correspond à toute l’utilisation du produit dans son environnement cible. Pour les lanceurs : de l’installation des modules jusqu’à la désintégration de l’étage après son tir. Pour les avions et les hélicoptères, cela correspond à un vol en incluant les phases de préparation et vérification avant et après ce dernier. (Un second cycle, plus large est à inclure : il correspond à la vie de l’appareil)
Modes de fonctionnement : Le fonctionnement du produit SAHARA peut de décomposer en sous ensemble avec des caractéristiques, des possibilités ainsi que des réactions différents (ex. : actif, veille, initialisation, mesure, transmission nominale ou dégradée, …). Ces différents sous-ensembles sont appelées modes de fonctionnement du produit
Phases du cycle de vie : Décomposition du cycle de vie en parties qui peuvent avoir des caractéristiques différentes. Chaque phase peut être associée à un ou plusieurs modes de fonctionnement.
Vieillissement /latence maximale : On appelle vieillissement d’une donnée le temps qui s’écoule entre sa production et sa mise à disposition de l’émetteur dans une trame en vue de son émission RF.

Définition de l’innovation

   Le manuel d’Oslo de l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE) propose les définitions suivantes: « On entend par innovation technologique de produit la mise au point/commercialisation d’un produit plus performant dans le but de fournir au consommateur des services objectivement nouveaux ou améliorés. Par innovation technologique de procédé, on entend la mise au point/adoption de méthodes de production ou de distribution nouvelles ou notablement améliorées. Elle peut faire intervenir des changements affectant – séparément ou  simultanément – les matériels, les ressources humaines ou les méthodes de travail » Non seulement l’innovation de façon macroscopique a un rôle déterminant dans l’impulsion du système économique comme le décrit Dès 1912, Joseph Schumpeter dans la « Théorie de l’évolution économique » [Schumpeter] l’Innovation comme un moteur sinon le moteur de l’Economie. Mais force est de constater aussi qu’à l’échelle de l’entreprise l’innovation (produit ou procédé) sur un marché peut: Rendre l’entreprise plus compétitive et entrainer la concurrence à s’aligner Entrainer le monopole de l’entreprise sur le nouveau produit Rendre libre l’entreprise d’imposer son prix de vente et ainsi dégager un maximum de bénéfices. Augmenter la demande, car l’innovation qui apparaît crée de nouveaux besoins. Le succès d’une innovation ne dépend pas seulement de la performance technologique d’une entreprise. L’ensemble de ses ressources (humaines, techniques, financières, …) sont en effet des facteurs clé de la réussite d’un projet innovant. Par définition, l’innovation se fonde sur une idée originale. Mais l’innovation réside principalement dans la capacité à transformer ces idées en succès commerciaux. Il existe des méthodes et techniques de travail qui encadrent le processus d’innovation. Malheureusement ces méthodes posent souvent problème. En effet, d’un coté, des ingénieurs sont chargés de la conception d’un nouveau produit. Ils sont créatifs et ont les compétences techniques. D’un autre coté il y a les services orientés « commerce », qui eux sont chargés de promouvoir et de vendre le produit. Maitrisant une certaine conscience du marché et une connaissance de leur clientèle

La famille de norme IEEE 802.11

   La famille IEEE 802.11 spécifie un contrôle d’accès au médium et plusieurs couches physiques pour pouvoir connecter en sans fil des équipements fixes, portables ou mobiles dans une zone locale donnée. Elle utilise des techniques de modulation qui utilisent le même protocole de base. Les plus populaires sont les protocoles 802.11b, et 802.11g qui utilisent la bande de fréquence des 2,4GHz. C’est pourquoi les nœuds 802.11 peuvent parfois souffrir des interférences causées par les fours micro-ondes, les téléphones sans fil et les équipements BlueTooth. Alors que BlueTooth utilise le saut de fréquence FHSS, le 802.11b et le 802.11g utilisent respectivement, la signalisation DSSS, direct sequence spread spectrum signaling et la méthode OFDM, orthogonal frequency division multiplexing. Le 802.11a utilise la bande des 5GHz, offrant 19 canaux distincts. La sécurité a été renforcée dans le 802.11i. Le 802.11n propose une nouvelle technique de modulation multi-streaming. Les autres standards de la famille (c-f, h, j) sont des amendements.

Le standard WirelessHart

   WirelessHart est un standard industriel qui vise à assurer une solution sans fil pour les réseaux de capteurs sans fil utilisés dans des applications ayant de fortes contraintes temporelles. WirelessHart a adopté un mécanisme de sauts de fréquences qui lui permet de résister aux interférences et aux effets des obstacles qui sont deux caractéristiques essentielles d’un environnement industriel. La pile protocolaire d’un réseau WirelessHart est constituée de 5 couches : une couche physique, une couche MAC, une couche réseau, une couche transport et une couche application. Une entité spécifique appelée Network Manager prend en charge la constitution des tables de routage des nœuds du réseau et le séquencement des échanges TDMA. Un réseau WirelessHart est constitué essentiellement de 4 éléments : Les entités capteurs ou actionneurs, une entité mobile appelée Handheld responsable de la configuration et du calibrage des autres entités, une passerelle qui connecte les entités du réseau de capteurs aux postes de contrôle et de surveillance, et le Network Manager qui est responsable de la configuration du réseau, de son séquencement et de la gestion des communications entre les différentes entités.

Lanceur

   Le besoin lanceur se différencie en plusieurs points. Les mesures souhaitées doivent être réalisée au sol et non pas au sol et en vol comme dans nos deux autres cas. Aussi, l’aspect sécurité est moins important. En ce qui concerne l’allégement, certains réseau de capteur, même s’ils ne serviront plus une fois le lanceur en vol, ne seront pas retirés de l’appareil (surtout ceux qui auront été posé dans des zones difficilement instrumentables) donc l’allégement est (même si pas primordial) un point parfois important (1kg envoyé coute 10 000euro) Le plus important pour les constructeurs est de pouvoir réaliser des séries de mesures partout dans le lanceur. Ceci entrainera les mêmes problématiques de compatibilité électromagnétique que dans un avion ou un hélicoptère, et posera le problème de la consommation énergétique qui est un problème à part entière et qui volontairement ne sera pas traité Performance (Faire de la mesure au sol) : évolutivité et malléabilité Ajouter du contrôle de santé : flexibilité Cout : la réduction du poids pour les mesures au sol est secondaire (sauf pour les réseaux non retirés au lancement)

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Table des matières

1. Introduction
1.1. Problématiques
1.2. Objectif de la thèse
1.3. Motivation
1.3.1. Avancée technologique
1.3.2. Une avancée méthodologique
1.4. Contributions et résultats attendus
1.4.1. Un véritable état de l’art et une étude de l’existant
1.4.2. Des solutions à nos problèmes et des levées de verrous technologiques
1.4.3. Une méthode
1.5. Les processus utilisés
1.5.1. Une procédure systémique
1.5.2. Une procédure marketing
1.5.3. Une procedure technique
1.5.4. Conclusion partielle
1.5.5. Processus complet
1.6. Glossaire et concepts clefs
2. Approche opérationnelle en phase amont (phase de montage et de préparation) d’un projet de conception d’un système innovant
2.1. Une idée, une finalité 
2.1.1. Constat de la situation
2.1.2. Finalités désirées
2.1.3. Idées proposées et sélectionnées
2.2. Un état de l’art
2.2.1. Retour d’expérience
2.2.1.1. Projets aérospatiaux
2.2.1.2. Projets non aérospatiaux ayant un axe commun
2.2.2. Groupe d’étude
2.2.2.1. Pôle NASA
2.2.2.2. Pôle ESA
2.2.2.3. Quelques conférences dédiées à ces sujets
2.2.3. Technologies existantes
2.2.3.1. Technologie disponibles sur le marché (détaillé dans l’annexe 1)
2.2.3.1.1. La norme IEEE 802.15.1
2.2.3.1.2. La norme IEEE 802.15.3
2.2.3.1.3. La norme IEEE 802.15.4
2.2.3.1.4. La famille de norme IEEE 802.11
2.2.3.1.5. Le standard ZigBee
2.2.3.1.6. Le standard BlueTooth
2.2.3.1.7. Le standard ISA100
2.2.3.1.8. Le standard WirelessHart
2.2.3.1.9. La norme 6LowPan
2.2.3.1.10. WiFi Low Power
2.2.3.1.11. WiDom
2.2.3.2. Tri des technologies en adéquation avec les applications
2.2.4. Conclusion partielle sur l’état de l’art
2.2.4.1. Résumé des déductions faites par rapport au retour d’expérience
2.2.4.2. Résumé des informations récoltées grâce à l’étude des technologies existantes et présentation des technologies sélectionnées
2.2.4.2.1. Technologies standardisées
2.2.4.2.2. Technologie en cours de développement
2.3. Analyse de marché
2.4. L’analyse d’un besoin
2.4.1. Les besoins avion
Hiérarchie des besoins avions
2.4.2. Les besoins hélicoptère
Hiérarchie des besoins hélicoptères
2.4.3. Lanceur
Hiérarchie des besoins lanceurs
2.4.4. Conclusion sur les besoins
Figure 1 : architecture modulaire
2.5. La définition d’un concept système 
Figure 2 : concept système : vue d’ensemble
Figure 3: concept système, entrée du système
Figure 4 : concept système, sortie du système
2.6. Etude du potentiel
2.6.1. Marché aéronautique et spatial et retombées à cinq ans
2.6.2. Autres marchés
2.6.3. Club utilisateurs
2.7. Analyse de l’environnement
2.7.1. Systèmes environnants définition
2.7.2. Acteurs types
Matrice croisée entre systèmes environnants et étapes de vie du système : acteurs intervenant sur le système au cours du temps
2.7.2.1. Environnement indirect
Figure 5 : système environnementaux indirect
2.7.2.1.1. Système environnemental
Figure 6 : Système environnemental au sens de l’environnement de l’aéronef
2.7.2.1.2. Système normatif (législation)
Figure 7 : système législatif
2.7.2.1.3. Le système sociétal ingénierie
Figure 8: système d’ingénierie
2.7.2.1.4. Système technologique
Figure 9 : système technologique
2.7.2.1.5. Clients, operateur, utilisateur
Figure 10 : système clients
2.7.2.2. Environnement direct
Figure 11 : environnement direct du système SAHARA
Figure 12 : détail des sous systèmes aéronef
Figure 13 : détail des systèmes environnementaux directs influents
2.7.2.3. SAHARA : « un système dans un système »
Figure 14 : SAHARA, un système dans un système soumis a un environnement direct et indirect
3. Approche opérationnelle en phase projet de conception d’un système innovant
Figure 15 : démarche systémique de la conception d’un système
3.1. Définition du système
3.1.1. Des missions accomplies par un concept
Figure 16 : les entrées et sorties du système SAHARA
3.1.2. Une vision opérationnelle
3.1.2.1. Architecture de l’environnement
Figure 17 : architecture environnementale choisie pour spécifier  l’ensemble des exigences
3.1.2.2. Contexte opérationnel
3.1.2.2.1. Pour le système avion
Figure 18 : applications avion
3.1.2.2.2. Pour le système hélicoptère
Figure 19.1 : application hélicoptère : pale
Figure 19.2 : application hélicoptère : boite de transmission
3.1.2.2.3. Pour le système lanceur
Figure 20 : Détail d’une partie de virole avec raidisseurs détourés
3.1.2.3. Cycle de vie
3.1.2.3.1. Cycle de vie d’un avion
3.1.2.3.2. Cycle de vie d’un hélicoptère
3.1.2.3.3. Cycle de vie produit
3.1.3. Une mission accomplie pour chaque acteur
3.1.3.1. Cas d’utilisation
Figure 21 : cas d’utilisation hélicoptère et avion
Figure 22 : cas d’utilisation lanceur
3.1.3.2. Scenario opérationnel
3.2. Montage
3.2.1. Briefing marketing : levée d’une incompréhension
3.2.2. Cartographie générale
Figure 24 : cartographie générale
Figure 25 : boucle des scenarios opérationnels
3.2.3. Plan d’action : feuille de route, diagramme de Gantt
Figure 26 : GANTT du projet SAHARA
3.3. Définition des limites du système : périmètre du produit et définition du système 
3.3.1. Un système borné
Figure 27 : périmètre de SAHARA
Figure 28 : SAHARA par bloc
3.3.2. Point focal de l’innovation discussion par bloc
3.3.2.1. Les capteurs
3.3.2.2. Traitement du signal : convertisseur analogique-numérique dans le cas ou le capteur n’en comporte pas
3.3.2.3. Analyse
3.3.2.4. Mémoire
3.3.2.5. Émission/réception : les antennes
3.3.2.6. Protocole de communication par le canal électromagnétique sans fil
Figure 30 : les différentes couches réseau
Figure 31 : couche modifiée dans SAHARA
3.3.2.7. Bus communication/Interface homme machine/Alarme
3.3.2.8. Énergie
3.3.3. Verrous technologiques réels et choix des bornes
3.4. Définition des fonctions de service du système et leurs contraintes
4. Approche fonctionnelle en phase projet de conception d’un système innovant
4.1. Définition des exigences fonctionnelles
4.2. Analyse et conception fonctionnelle : architecture fonctionnelle
Figure 32 : découpage fonctionnel
4.3. Analyse et dérivation des exigences de haut niveau
4.3.1. Caractéristique d’une bonne spécification d’exigences
4.3.2. Exigence de haut niveau des différentes parties prenantes
Figure 33 : groupe et sous groupe de parties prenantes
4.4. Spécification des exigences
4.4.1. Exigences projet
4.4.2. Exigences fonctionnelles et organiques
4.4.2.1. Point glossaire
4.4.2.2. Générales
4.4.2.3. Architecture physique
4.4.2.4. Modes
4.4.2.5. Communication / protocole
4.4.2.6. Liaison RF
4.4.2.7. Mémoire
4.4.2.8. Gestion des pannes et maintenance
4.4.2.9. Energie
4.4.2.10. Interfaces du réseau SAHARA
4.4.2.10.1. Générales
4.4.2.10.2. Interface de type A : Capteurs et actionneurs
4.4.2.10.3. Interface de type B : Réseau de bord
4.4.2.10.4. Interfaces de type C : Moyens d’essai
4.4.2.11. Dimensions terminaux, routeurs et concentrateurs
4.4.2.12. Matériel
4.4.2.13. Plateformes d’essais et environnement des démonstrateurs
5. Amorce d’une approche organique en phase projet de conception d’un système innovant
5.1. Verrous technologiques et critères de sélection des technologies
5.1.1. Verrous technologiques
5.1.2. Critères problématiques
5.2. Technologies finalement sélectionnées
5.2.1. UWB
5.2.2. Ultra Low Power Bluetooth
5.2.3. WiFi Low Power
5.2.4. 802.15.4
5.2.4.1. Evaluation du débit demandé par un capteur dans les conditions les plus favorables
5.2.4.2. Spécifications des fréquences et débits pour 802.15.4
5.2.5. Comparaison des différentes technologies
5.3. Préparation et adaptation des protocoles sélectionnés 
5.3.1. 802.15.4
5.3.2. 802.11 Low Power
5.4. Amélioration du débit (critère majeure identifié)
5.4.1. Agrégation
5.4.1.1. Agrégation à la source
5.4.1.2. Agrégation sur un nœud intermédiaire
Figure 34 : Agrégation sur nœud intermédiaire
5.4.2. Compression sans pertes
5.4.2.1. Compression à la source
5.4.2.2. Compression dans le réseau
5.4.3. Multi-interfaces
5.4.3.1. Multi-interfaces mono-technologie
5.4.3.1.1. Multi-interfaces multi-technologies
5.4.3.1.2. Problématique des nœuds multi-interfaces
5.4.3.1.3. Multi-interfaces mono ou bi-technologies
Figure 35 : Nœud radio multi-interfaces
5.4.3.1.4. Multi-interfaces mono bi-technologies
Figure 36 : Spectre fréquentiel des technologies 802.11 Amérique du Nord
5.4.4. Techniques de modulation
5.4.4.1. Changement en ligne de technique de modulation
Figure 37 : Architecture générale d’une radio logicielle
5.4.4.1.1. Avantage
5.4.4.1.2. Inconvénients
5.4.4.2. Etalement de spectre
5.5. Approche organique en phase projet
5.5.1. Architecture générique
5.5.1.1. Les composants
5.5.1.1.1. Terminal mono-interface
Figure 38 : Architecture modulaire proposée pour un terminal
5.5.1.1.2. Routeur / Concentrateur
Figure 39 : Exemple d’architecture d’un module radio multi-interfaces
Figure 40: Module bi-technologies
5.5.1.2. L’étoile
5.5.1.2.1. Etoile Wifi Low Power
5.5.1.2.2. Etoile Multi-interfaces 802.15.4
Figure 41 : Etoile multi-interfaces 802.15.4
Figure 42 : Etoile en radio logicielle
5.5.1.3. L’ilot
5.5.1.3.1. Ilot mono-technologie
Figure 43 : ilot mono-technologie
5.5.1.3.2. Cohabitation de deux ilots avec technologies différentes
Figure 44 : Cohabitation de deux ilots avec deux technologies différentes
5.5.1.3.3. Ilot bi-technologies
5.5.2. Architecture du démonstrateur SAHARA
Figure 45 : Architecture Démonstrateur
5.5.3. Architecture de Recherche
Figure 46 : Architecture étendue (1)
Figure 46 : Architecture étendue (2)
Figure 47 : Nœud multi-interfaces 802.15.4 « équivalent » à un nœud monointerface WLP
5.5.4. Discussions sur les Exigences Système des End-Users
5.5.4.1. Exemples d’exigences difficiles ou impossibles à satisfaire
5.5.4.2. Exemples d’exigences lourdes sur protocoles réseau
6. Conclusion phase post innovation : l’approche organique en projet et post-projet
7. Bibliographie
7.1. Ouvrage et articles
7.2. Standard
7.3. Guides de référence
7.4. Normes
7.5. Projet et groupe d’étude
7.6. Site internet 
8. Publications et conférences
9. Annexe
9.1. Annexe 1 : état de l’art de la liste exhaustive des technologies considérées
9.1.1. La norme IEEE 802.15.1
9.1.1.1. Architecture
Figure 1 : Architecture avec séparation possible du contrôleur et de l’hôte
9.1.1.2. La couche L2CAP
9.1.1.3. Le Device Manager
9.1.1.4. La couche Link Manager
9.1.1.5. La couche Baseband
9.1.1.6. La couche Radio: Radio Frequency (RF)
9.1.1.7. Les services de transfert offerts à l’utilisateur
Figure 2: Hiérarchie des entités chargées d’assurer les différents services
Figure 3 : Succession de paquets émis par le maître et un esclave
Figure 4 : Format d’un paquet de taille maximum 2745 bits
9.1.2. La norme IEEE 802.15.3
9.1.2.1. Description
9.1.2.2. Architecture du réseau
Figure 5 : Type de liaison dans un piconet
Figure 6 : Architecture en piconets.
9.1.2.3. L’accès au canal de communication
Figure 7 : Structure d’une Supertrame
9.1.2.4. La communication entre nœuds
9.1.2.5. La couche physique
9.1.3. La norme IEEE 802.15.4
Figure 8: Format d’une trame MAC IEEE 802.15.4
9.1.4. La famille de norme IEEE 802.11
9.1.4.1. Topologie
Figure 9 : Les différents composants d’un réseau 802.11
9.1.4.2. Services offerts
9.1.4.3. Les trames 802.11
9.1.5. Le standard ZigBee
9.1.5.1. Topologies
Figure 10 : Topologies ZigBee
9.1.5.2. Stack ZigBee
Figure 11 : Stack ZigBee
9.1.5.3. Profils ZigBee
9.1.6. Le standard BlueTooth
Figure 12 : La pile protocolaire BlueTooth
9.1.6.1. Les profils
9.1.7. BlueTooth basse énergie
9.1.8. Le standard ISA100
9.1.8.1. Architecture et topologie
9.1.8.2. Couches basses (physique et MAC)
9.1.8.3. Couches intermédiaires (réseau et transport)
9.1.8.4. Couches hautes (application)
9.1.9. Le standard WirelessHart
9.1.9.1. La couche physique
9.1.9.2. La couche MAC
9.1.9.3. Les couches réseau et transport
9.1.9.4. La couche application
9.1.9.5. La sécurité
9.1.10. La norme 6LowPan
9.1.10.1. Le besoin d’une alternative IP
9.1.10.2. Architecture protocolaire
Figure 13 : Intégration des réseaux 6LoWPAN avec les réseaux existants
Figure 14: Position de la couche d’adaptation 6LoWPAN
9.1.11. WiFi Low Power
9.1.11.1. Concernant le débit
9.1.11.2. Concernant la portée
9.1.11.3. Concernant la consommation
9.1.11.4. Tendance impulsée par les smartphones
9.1.11.5. Tendance impulsée par la version n
9.1.11.6. Tendance impulsée par le marché des réseaux de capteurs
9.1.12. WiDom
9.1.12.1. Principe
Figure 16 : Principe du protocole
9.2. Annexe 2 : applications capteurs candidate
9.2.1. LI : faible débit à l’intérieur de l’avion
9.2.2. LO : faible débit en dehors de l’avion
9.2.3. HI : haut débit à l’intérieur
9.2.4. HO : haut débit en dehors de l’avion
9.3. Annexe 3 : Tableau des applications capteur sélectionnés
9.3.1. Application avion
9.3.2. Application hélicoptère
9.3.3. Application lanceur
9.4. Annexe 4 : modélisation SysML
9.4.1. Diagramme d’exigence
9.4.2. Diagramme structure
9.4.2.1. Définition de bloc
9.4.2.2. Bloc interne
9.4.3. Diagramme de comportement
9.4.3.1. Cas d’utilisation
9.4.3.2. Diagramme d’activité
9.4.3.3. Diagramme de séquence
9.4.3.4. Diagramme d’état machine
9.5. Annexe 5 : Exigences des parties prenantes dérivées
9.6. Annexe 6 : Tableau de traçabilité
9.7. Annexe 7: exigences par thématique
9.7.1. Exigences projet
9.7.2. Exigences fonctionnelles et organiques
9.7.2.1. Générales
9.7.2.2. Architecture physique
9.7.2.3. Modes
9.7.2.4. Communication / protocole
9.7.2.5. Liaison RF
9.7.2.6. Mémoire
9.7.2.7. Gestion des pannes et maintenance
9.7.2.8. Energie
9.7.2.9. Interfaces du réseau SAHARA
9.7.2.9.1. Générales
9.7.2.9.2. Interface de type A : Capteurs et actionneurs
9.7.2.9.3. Interface de type B : Réseau de bord
9.7.2.9.4. Interfaces de type C : Moyens d’essai
9.7.2.10. Dimensions terminaux, routeurs et concentrateurs
9.7.2.11. Matériel
9.7.2.12. Plateformes d’essais et environnement des démonstrateurs
9.8. Annexe 8 : étude fréquentielle
9.9. Annexe 9 : étude sécurité
9.9.1. Localisation des points à risques pour la sécurité
9.9.1.1. Hard
9.9.1.2. Protocole
9.9.2. Ebauches de solutions pour parer à la sécurité
9.9.2.1. Aspect soft ware
9.9.2.1.1. Le dénie de service : une attaque contre la disponibilité
9.9.2.1.2. Intrusion, écoute
9.9.2.1.3. Intrusion et diffusion de fausses informations
9.9.2.2. Aspect hard ware

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