CONTRIBUTION A L’ETUDE DES RESULTATS DU BACCALAUREAT

En sciences naturelles ou SVT

                    En série A, les élèves doivent faire le choix entre les sciences naturelles et la physique chimie. Au lycée de Betioky-Sud, en 2003, presque tous les élèves ont choisi les sciences naturelles. Quatre élèves sur trente six, soit 11,11% de l’effectif total seulement ont choisi la physique chimie. La plupart des élèves donc préfèrent les sciences naturelles à la physique chimie ; mais cela ne veut pas dire qu’ils maîtrisent bien les sciences naturelles, la preuve c’est que la plupart d’entre eux n’ont pas eu la moyenne en cette matière. Parmi les trente et un élèves qui ont choisi les sciences naturelles, six seulement, soit 19,35% ont eu la moyenne et les notes varient de 01 à 13/20. Cinq élèves, soit 18,88% ont obtenu des notes inférieures à 05/20; huit élèves, soit 25,80% ont eu des notes qui appartiennent à l’échelle de [5-7,50[et douze élèves, soit 38,70% ont obtenu des notes de l’échelle de [7,50-10[. Donc, malgré leur choix, ils sont très faibles en sciences naturelles. Et avoir choisi les sciences naturelles ne veut pas dire laisser de coté la physique chimie. Ils ont mis en second choix la physique pour avoir des notes de bonification, mais un élève seulement parmi les vingt qui ont traité la physique chimie a pu avoir 0,25 comme bonification. Les autres donc n’ont pas eu la moyenne en physique chimie, et donc, ils n’ont eu aucun point de bonification. Signe qu’ils sont aussi faibles en physique qu’en sciences naturelles. Le professeur de SVT a sa maîtrise en sciences naturelles, elle travaille au lycée en tant que suppléant. Elle assure neuf heures de cours par semaine dont quatre heures de temps en seconde, trois heures en première A et deux heures en terminale A

INFRASTRUCTURES

                 Lors de nos enquêtes et entretiens auprès des enseignants, des élèves, des parents et du proviseurs, nous leur avons demandé ce qui pouvaient être ,d’après eux, à l’origine de ces échecs des élèves du lycée au Bac. La plupart d’entre eux, plus précisément, 96 sur les 156 personnes enquêtées, soit 61,54 % parlent entre autres du problème d’infrastructures dans cet établissement en particulier le problème de salles de classe et que nous allons étudier selon les années scolaires vécues pendant notre enquête
Année scolaire 2002 – 2003 En 2002 – 2003, il y avait dix classes d’élèves du premier cycle dont quatre classes parallèles pour les élèves de la sixième et deux classes chacune pour les autres niveaux, soit pour les élèves de la cinquième, de la quatrième et de la troisième. Pour les élèves du second cycle, on compte 3 classes, c’est à dire une classe par niveau car il n’y a pas la série D en cette année là. En tout donc, il y avait treize groupes et douze salles pour ces treize groupes d’élèves. Ce problème de salles de classe n’a pas encore existé en cette année là. En fait, Il n’y avait pas de salle fixe pour telle ou telle classe, les élèves changeaient de salle à chaque fois et à chaque matière. De plus, les élèves du CEG pouvaient occuper les salles du lycée et ceci vice versa ; Les taux de réussite aux examens officiels du lycée en cette année 2002 – 2003 étaient tolérables : 32,76% au PEBC et 30,55% au baccalauréat.
Année scolaire 2003 – 2004 En 2003 – 2004 : l’effectif des élèves du lycée augmente par rapport à celui de l’année précédente, il y avait donc, quatre classes parallèles pour les élèves de la sixième et de la cinquième et trois classes parallèles pour les élèves de la quatrième ainsi que de la troisième. Il y avait donc quatorze classes en tout pour les élèves du premier cycle. Au second cycle, il y avait quatre classes d’élèves dont une pour la seconde et une aussi pour la clase de terminale mais deux classes de la première dont une pour la série A et une aussi pour la série D. au total donc, il y avait dix huit classes d’élèves au lycée et pourtant les salles des classes demeuraient toujours les mêmes : douze salles pour tous les élèves. Il en manque donc six. Ce problème se pose parce qu’il n’ont pas su faire une bonne répartition des salles en mettant en rapport les heures d’utilisation des salles avec le nombre de cours et d’heures et le nombre de niveaux.
Remarque : Il y a eu la série D au lycée de Betioky jusqu’en 1998 (année scolaire 1997 – 1998), cette série a été supprimée en l’année 1998 – 1999 par une décision du corps enseignant avec le consentement du proviseur. Elle a été reouverte par le nouveau proviseur en 2002 (année scolaire 2002 – 2003), mais son successeur l’a refermée en 2005 –2006 avec le consentement du corps enseignant à cause de la faiblesse des élèves en matières scientifique car il n’y avait aucune réussite en cette série lors du bac. Le taux de réussite des élèves au BEPC était meilleur en 2004 par rapport à celui de l’année précédente. Il a été de 44,85% tandis que celui du bac a diminué par rapport à celui de l’année 2003 où il a été de 23,21%. Il y avait donc problème de salles au lycée en 2003 – 2004. Effectivement, si on comparait le nombre de salles de classes et celui des classes d’élèves, il y avait six classes qui n’avaient pas eu de salles de classes. Mais comme les classes n’ont pas de salles fixes pour travailler, on s’échange les salles selon les besoins et les différentes matières. Il suffit tout simplement d’arranger leurs emplois du temps mais alors, il n’y a plus le volume horaire nécessaire à chaque matière.
Année scolaire 2004 – 2005 C’est en cette année qu’il y a eu séparation du CEG et du Lycée d’où distribution des biens matériels pour les deux établissements séparés : le CEG garde ses dix salles de classe et le lycée n’a que ses deux salles de classe qui lui appartiennent officiellement. D’où un grand problème de manque de salles à résoudre pour les deux établissements d’autant plus qu’il y a eu en cette année augmentation de l’effectif des élèves au CEG : soit cinq classes parallèles de 84 ou 85 élèves par classe en sixième, cinq classes parallèles de plus de 70 élèves comme en cinquième et quatre classes parallèles pour les élèves de quatrième ainsi que pour ceux de la troisième. Il y avait donc, dix-huit classes d’élèves pour le CEG a caser dans dix salles sans compter une salle de classe utilisée comme bureau du personnel administratif, donc, neuf salles seulement pour les dix -huit classes d’où une salle pour deux groupes d’élèves si on fait le partage ou la moyenne. Le problème existe de même pour le lycée où il n’ y a que deux salles qui lui appartiennent officiellement, alors qu’il a cinq classes d’élèves : une classe de seconde, deux classes de premières dont une de la série A et une de la série D et deux classes de terminales : une de la série A et une de la série D. Les élèves du lycée n’ont pas le droit d’aller étudier dans les salles de classe du CEG car ce dernier a aussi de problème de salles de classe. Le lycée a donc pris une salle de l’ancien atelier comme salle de classe même si elle n’a pas les normes d’une salle de classe régulière. Le Proviseur est alors allé demander à Monsieur le Maire de prêter au lycée la grande salle de la Mairie pour l’utiliser comme salle de classe en attendant la finition des nouvelles salles « Préfabriquées » que le Ministère vient de mettre en place pour cette année scolaire. On a mis la terminale D dans l’atelier, la terminale A à la Mairie et les deux classes de premières el la classe de seconde se sont arrangées dans les deux salles du lycée. On peut conclure qu’une diminution des heures de classe s’impose pour chaque classe de même qu’une diminution du volume horaire par matière et par semaine. Ce n’était pas seulement en 2004-2005 qu’il y avait cette diminution du volume horaire hebdomadaire des différentes matières au lycée, mais nous avons noté que ce problème a existé dans les années précédentes. Voici cidessous les tableaux montrant les volumes horaires officiels (VHO) ; le volume horaire assuré (VHA) et le volume horaire non assuré (VHNA) durant les trois années scolaires de notre étude. Le volume horaire officiel ou VHO d’une matière varie selon le niveau et la série. Ce VHO est dicté par le livre de programme scolaire lui-même. Une classe de seconde comme la classe de Première D doit assurer 33 heures de cours par semaine en tout. Il est de 27 heures pour la Première A, 31 heures pour la Terminale A et 39 heures pour la Terminale D. Sur les tableaux qui suivent, nous allons comparer ces VHO avec le volume horaire assuré (VHA) par classe et de là, nous découvrirons quels sont les volumes horaires non assurés (VHNA) par classe.
En classe de seconde : En seconde, les élèves doivent avoir 33 heures de cours par semaine selon le VHO. Or, au lycée de Betioky en 2002 – 2003, ils ont seulement 21 heures de cours par semaine. Ils leur manquent donc 12 heures dont 2 heures en HG ; 6 heures en français et une heure en mathématiques, une heure en Physique Chimie et 2 heures en EPS. Ainsi, en un mois, ils manquent au total 48 heures de cours. Les élèves de seconde n’ont pas eu de cours de français durant toute l’année scolaire 2002 – 2003. Et en HG, où le programme est long il manque donc deux heures de cours par semaine ; IL n’est pas étonnant si la plupart des leçons figurant dans le programme ne sont pas finies parce que le professeur n’a pas eu assez de temps pour les terminer avant la fin de l’année scolaire. De même pour les mathématiques et la physique chimie. Même si les professeurs essaient de faire de leur mieux pour couvrir le programme, ils n’ont pas eu assez de temps pour faire faire des exercices à leurs élèves. Alors que c’est l’essentiel surtout pour les matières scientifiques,où les élèves doivent traiter beaucoup d’exercices. Faute de temps donc, quelques professeurs ne sont pas arrivés à terminer le programme. Prenons l’exemple de l’histoire et géographie (classe de seconde) en 2002 – 2003 ; ils n’ont même pas terminé le premier chapitre de la leçon de géographie intitulé : « la terre dans l’espace » (ANNEXE VI) où ils ont traité seulement les sous-titres :
– structure de la terre ou de globe terrestre :
– la zone basaltique
– la zone granitique
– la zone détritique
– l’écorce terrestre
– les mouvements de la terre
– le mouvement de la terre sur elle-même
– le mouvement de la terre tourne autour du soleil
Et en histoire, ils ont seulement vu une partie du chapitre intitulé : « notion de civilisation » où ils ont traité comme leçon :
Définition : Évolution dans le temps et dans l’espace de la civilisation du monde occidental La civilisation de l’occidental à partir du XVème au XVIIème siècle
* les causes générales des grandes découvertes :
– causes religieuses et politiques
– causes économiques
En 2002 – 2003, le VHO de la classe de première A (PA) est de 27 heures par semaine (voir tableau n° 4). Au lycée de Betioky, pour cette classe, le VHA est de 22 heures par semaine. Ici, il y a une heure de plus en SVT par rapport au VHO hebdomadaire prévu par le programme (VHA > VHO), cette classe assure alors trois heures de SVT au lieu de deux heures. Tandis qu’en histo-géo, il en manque 2 heures par semaine, ainsi qu’en EPS et en Français où il manque une heure par semaine (voir tableau n° 5). En cette classe, il y manque donc 5 heures de cours et pourtant il y a aussi une heure de surplus de cours. D’après ce tableau, nous voyons que les VHNA en matières littéraires sont trop élevés dans toutes les classes par rapport à ceux des matières scientifiques. Face à ces manques, il n’est pas très étonnant si les élèves du lycée ont plus de lacunes en matières littéraires où les échecs y sont catastrophiques : 87,07 % en matières littéraires et 55,56 % en matières scientifiques. En 2003 – 2004, le volume horaire assuré en cette classe est de 20 heures par semaine, donc, 13 heures en manque c’est à dire il y avait 12 heures de VHNA dont 4 heures en malagasy ; 4 heures en français, une heure en anglais, en mathématiques ainsi qu’en physique chimie et 2 heures en EPS. En cette année là, la classe de seconde n’avait pas de professeur de malagasy ; en Français, le professeur y a assuré seulement deux heures de cours par semaine au lieu de six heures comme il est prévu dans le programme scolaire. Face à ce programme, que peut faire le professeur en deux heures ? Le VHO en classe de première A est de 25 heures par semaine, or en 2003 – 2004, au lycée de Betioky, le VHA en cette classe était de 16 heures par semaines, il en manque donc 9 heures c’est à dire que le VHNA dans cette classe est de 9 heures par semaine dont 4 heures en malagasy, 2 heures en français, une heure en anglais et deux heures en EPS. La classe de première comme la classe de seconde, n’ont pas eu de professeur de malagasy durant l’année scolaire. Le volume horaire non assuré en Français était de deux heures par semaine, donc en un mois, les élèves ont manqué huit heures de Français.. Nous avons pris trois cahiers de leçon des élèves classe de première A en 2003 – 2004 et nous avons relevé les titres de leçons de Français réalisés en cette classe durant cette année scolaire. Classe de première A (2003 – 2004) Nous avons relevé les titres de la leçon du Français faite en classe de première A durant l’année scolaire 2003 – 2004. Depuis quelques années la série D était fermée au lycée et en cette année (2003-2004), le VH0 de cette classe est de 33H / semaine et le lycée de Betioky a pu assurer 21 heures par semaine pour cette classe. Le VHNA en 1ere D est donc passé à 12H/semaine. Cette classe n’avait pas eu de professeur de Malagasy comme deux autres classes auparavant. Deux heures sur cinq prévues pour le Français sont alors assurées par semaine, les élèves manquent donc trois heures de Français hebdomadaire. En physique chimie aussi, il manque deux heures par semaine car quatre heures sur les six heures prévues seulement sont assurées, il en est de même en mathématique. (Tableau N° 21), tableau montrant les titres de la leçon d’histoire et géographie traités par la classe de 1ère D durant cette année scolaire 2004-2005 Et tout comme pour l’EPS où il une heure par semaine. Avec l’ EPS, cette classe a en tout 48 heures de VHNA par mois. Il y a donc, beaucoup de choses prévues dans le programme scolaire que les élèves ne peuvent pas voir ni apprendre en classe de première et ils auront des lacunes arrivées en terminale. En classe de terminale A, cinq heures sur les trente et une heure de VHO ne sont pas assurées dont une heure en Français ; deux heures en Anglais, et deux heures aussi en EPS. On est en série A et ce sont les matières littéraires qui manquent. En Anglais, deux heures de manque par semaine, en un mois, ils ont manqué huit heures d’anglais, et durant l’année scolaire, trente six heures leur manquent par le fait de leur diminution. Ce taux trop élevé du VHNA en Terminale A a sûrement des impacts sur les résultats des examens. Nous voyons sur la courbe que les taux des échecs des élèves en cette matière sont toujours trop élevés : 97,22% en 2003, 85,71% en 2004 et cela monte jusqu’à 100% en 2005 ; Ce que nous venons de voir en est un de ses causes. Il y avait moins de VHNA en matières scientifiques qu’en matières littéraires dans toutes les classes. En effet, les VHNA en matières littéraires sont trop élevés : 27 h par semaine en tout. Mais les résultats au BAC sont aussi catastrophiques en matières scientifiques qu’en matières littéraires.
REMARQUES : Dans toutes les classes, le volume horaire ou VHA ne change pas. Donc, celui de l’année scolaire 2004-2005 reste comme celui des deux années précédentes que nous venons d’étudier. L’EPS manque dans toutes les classes ou dans les différents niveaux scolaires du lycée. Et encore en cette année là, les élèves de seconde, de première D et de terminale D n’ont pas eu de cours d’Anglais car il n’y a pas de professeur d’Anglais au lycée. C’était le professeur de Français qui assurait l’Anglais en classes de première A et de terminale A. Pour le Malagasy, seules les deux classes de terminales en ont eu des cours, les autres niveaux n’en ont pas eu à cause du manque de professeur. Le professeur de Malagasy est arrivé au mois de mars 2005 et celui d’Anglais est arrivé au mois d’avril. Le premier a donc enseigné pendant trois mois et le second deux mois avant que les vacances ne commencent parce que les élèves sont entrés en vacances au mois de juin avant le CEPE. En classe de seconde, le VHNA est de treize heures par semaine dont quatre heures de temps en Malagasy par manque de professeur, deux heures de temps en Français car les élèves n’ont que quatre heures de cours ; trois heures en Anglais à cause du manque de professeur : une heure en Physique chimie ainsi qu’en SVT et deux heures en EPS. Alors, pendant un mois, les élèves de la classe de seconde ont eu cinquante deux heures de VHNA et quatre vingt heures de VHA. D’où 39,39% des heures hebdomadaires d’études ne sont pas assurées. Le VHNA en classe de première A est de neuf heures par semaine ou de trente six heures par mois, soit 33,33% des heures d’études par semaine de cette classe dont quatre heures en Malagasy ; une heure en physique chimie, deux heures de temps en Français et deux heures aussi en EPS. Durant presque toute l’année, ces élèves n’ont pas eu de cours de Malagasy et comment fera-t-il l’enseignant pour rattraper toutes les lacunes de toute une année scolaire ? Quand ils étaient en classe de seconde, ces élèves là n’ont pas eu de cours de Français, et là encore en classe de première, ils ont deux heures de VHA en Français, et pourtant c’est la langue d’enseignement et ils sont en classe littéraire Les élèves qui étaient en classe de seconde en 2002-2003 ont manqué douze heures de cours par semaine (VHNA = 12 heures / semaine). En un mois, ils ont manqué quarante huit heures (48 h) de cours. Ainsi, durant les neuf mois de l’année scolaire, ils ont perdu trois cent trente deux heurs (332 h), soit environ cinquante jours perdus en une année scolaire. Arrivée en classe de première en 2003-2004, ils ont eu, par semaine, dix heures de VHNA s’ils étaient en première A et douze heures de VHNA s’ils étaient en première D. En première A, se sont surtout les heures des matières littéraires qui ont été les plus manquées. Et même en Terminale en 2004-2005, ils auront encore eu des VHNA dont huit heures par semaine pour ceux de la série D et trois heures par semaine pour ceux de la série A. Face à tous ces manques, comment vont-ils réussir au Bac ? Comment vont-ils combler le gouffre de manques de VHNN beaucoup élevés à cause de l’insuffisance des salles de classe? Vu tous ces VHNA des élèves existant dès la classe de seconde jusqu’en terminale, il n’est pas étonnant si les échecs au Bac persistent au lycée de Betioky-Sud

Collaboration entre les enseignants

                 En général, au lycée de Betioky-Sud, un seul enseignant tient une matière dans toutes les classes et à tous les niveaux indifféremment. Lors de notre enquête, nous leur avons demandé comment fonctionne la collaboration entre les enseignants, les enseignants collaborent-ils entre eux ? Et leur réponse a été négative car disaient ils : « je suis le seul professeur de physique chimie ou de Français au lycée ». Donc pour eux, il n’y a pas de collaboration possible entre les enseignants de différentes matières. Et pourtant, il devrait y avoir le conseil d’établissement et des équipes pédagogiques au lycée. Le chef d’établissement doit organiser lui-même les échanges entre les différents enseignements et veiller à renforcer la cohérence interdisciplinaire des études. A sa charge, il a la mise en place des équipes pédagogiques (25), d’où il doit y avoir différentes formes de collaboration, soit entre les enseignants, soit entre les personnels de l’établissement.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : HISTORIQUE ET METHODOLOGIE
I- PRESENTATION DE LA ZONE
I-1- Situation géographique
I-2- Situation économique
I-3- Situation culturelle
I-4- La ville de betioky-sud
I-4-1- Une fonction administrative
I-4-2- Une fonction commerciale
I-4-3- Fonctions sanitaires
I-4-4- Fonctions scolaires
I-5- Le lycée de Betioky-sud
II- METHODOLOGIE
II-1 Naissance du projet : pourquoi ce projet et pourquoi avoir choisi Betioky ?
II-2 Entrée en contact avec les responsables
II-3 Outils de recherche
II-3-1 Les travaux de documentation
II-3-1-1 Les documents bibliographiques
II-3-1-2 Les documents statistiques
II-3-2 Les visites du terrain d’études
II-3-2-1 Enquête auprès des élèves
II-3-2-2- Enquête auprès des enseignants
II-3-2-3- Entretiens
II-3-2-4- Entretien auprès du Proviseur
II-3-2-5- Entretien auprès des élèves
II-3-2-6- Entretien auprès des parents
II-4 Les difficultés rencontrées
II-5 Choix des résultats du bac
II-6 Modèle d’analyse
II-6-1- Insuffisance quantitative et qualitative des enseignants
II-6-2- Insuffisance d’infrastructure : salles de classe
II-6-3- Niveau très bas des élèves dès les classes inférieures
II-6-4- Manque de collaboration
I-7 Revue de la littérature
CONCLUSION
DEUXIEME PARTIE : RESULTATS, ANALYSE ET INTERPRETATION
I – LES NOTES ET LES RESULTATS AU BAC DES ELEVES DU LYCEE DE BETIOKY SUD LORS DES SESSIONS DE 2003, 2004, ET 2005
II – ETUDES DES NOTES PAR MATIERES DES ELEVES DURANT LES TROIS ANNEES DE NOTRE ETUDE
II-1- Baccalauréat 2003
II-1-1- En Philosophie
II-1-2- En Malagasy
II-1-3- En histoire géographie
II-1-4- En Français
II-1-5- En Anglais
II-1-6- En mathématiques
II-1-7- En sciences naturelles ou SVT
II-1-8- En education physique et sportive ou EPS
II-2-9- En physique et chimie
CONCLUSION
II-2- Baccalauréat 2004
II-2-1- En philosophie
II-2-2- En Malagasy
II-2-3- En histoire et géographie
II-2-4- En Français
II-2-5- En Anglais
II-2-6- En Mathématiques
II-2-7- En sciences naturelles ou SVT
II-2-8- En EPS
CONCLUSION
II-3- Baccalauréat 2005
II-3-1- En philosophie
II-3-2- En Malagasy
II-3-3- En histoire et géographie
II-3-4- En Français
II-3-5- En Anglais
II-3-6- En Mathématiques
II-3-7- En sciences naturelles ou SV
II-3-9- En EPS
CONCLUSION
III- INFRASTRUCTURES
III-1-Année scolaire 2002 – 2003
II-2- Année scolaire 2003 – 2004
II-3- Année scolaire 2004 – 2005
CONCLUSION
IV- LE NIVEAU DES ELEVES
IV-1-. Les origines des élèves du lycée
Iv-1-2- Origines scolaires
Iv-1-2- Origine social
IV-2- Le passage d’une classe à une autre
IV-3- Absences fréquentes et souvent de longue durée des enseignants
Iv-4- Les problèmes rencontrés par les élèves
CONCLUSION
V- LA DISCIPLINE
V-1- Collaboration entre les enseignants
V-2- Collaboration entre le lycée et les parents d’élèves
V-3- Exemples
V-4- Nécessité de la collaboration
CONCLUSION
TROISIEME PARTIE : PROPOSITIONS ET SUGGESTIONS
I. PROPOSITIONS DE LA PART DES ELEVES 
II- NOS PROPOSITIONS ET SUGGESTIONS
II- 1- POUR LES ENSEIGNANTS
II-2- CONCERNANT LES INFRASTRUCTURES
II-3- CONCERNANT LE NIVEAU DES ELEVES
II-4- CONCERNANT LA DISCIPLINE
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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