CONTINUITE ET COMPACITE DES OPERATEURS DE TOEPLITZ SUR L’ESPACE DE BERGMAN

PFE & RAPPORT CONTINUITE ET COMPACITE DES OPERATEURS DE TOEPLITZ SUR L’ESPACE DE BERGMAN L 2 a (D) AVEC UN SYMBOLE INTEGRABLE PDF

Introduction générale
CHAPITRE 1 Rappels et notions de bases
1.1 Opérateurs compacts dans les espaces hilbertiens
1.2 Espaces de Bergman
1.3 Noyau de Bergman 
1.4 Projection sur les espaces de Bergman 
1.5 La transformation de Berezin 
1.6 Les espaces BMO p 
CHAPITRE 2 Opérateur de Toeplitz sur L 2a (D)
 2.1 Opérateur de Toeplitz sur L 2a (D) avec un symbole borné
2.2 La métrique de Bergman 
2.3 L’opérateur de Toeplitz avec un symbole intégrable
2.4 Opérateur de Toeplitz avec un symbole appartenant à BMO 1 
CHAPITRE 3 Continuité des opérateurs de Toeplitz sur L 2 a (D) avec un symbole intégrable  
3.1 Quelques résultats utiles  
3.2 Quelques estimations sur L p a (D) 
3.3 Premier théorème principal  
CHAPITRE 4 Compacité des opérateurs de Toeplitz sur L 2 a (D) avec un symbole intégrable 
4.1 Opérateur de Hilbert Schmidt 
4.2 Deuxième théorème principal 
Conclusion générale

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Chapitre 1 :Rappels et notions de bases

1.1 Opérateurs compacts dans les espaces hilber- tiens.

Soient E et F deux espaces préhilbertiens (dont les normes et produit scalaires seront notés par les symboles ||.||,h.,.i).
Tous les espaces vectoriels sont pris sur le corps C. Rappelons qu’une application linéaire U : E −→ F s’appelle un opérateur linéaire (de E dans F).
Propriété 1.1.1.
U est continu si et seulement si il existe M > 0 tel que
||U(f)|| 6 M||f||, f ∈ E
(M = sup{||U(f)||,||f|| 6 1} = ||U||)
Un opérateur vérifiant cette dernière relation est dit borné.
L’ensemble des opérateurs linéaires bornés de E dans F sera noté L(E,F).
Notation :
On écrit souvent Uf au lieu de U(f) (f ∈ E, Uf ∈ F) si cette écriture ne cause pas d’ambiguité.
Si E = F, on dira que U est un opérateur linéaire dans E.
L(E,E) ≃ L(E). Ainsi, si U ∈ L(E), on dira que U est un opérateur borné (ou continu).
Définition 1.1.2. Si U ∈ L(E), on définit un opérateur continu U ∗ (appelé l’opé-rateur adjoint de U) par la formule suivante :
pour f,g ∈ E, hUf,gi = hf,U ∗ gi
U est dit autoadjoint (ou hermitien) si U ∗ = U ;
U est dit normal si U ∗ U = UU ∗ ;
U est dit unitaire si U ∗ U = UU ∗ = id E .
Ainsi un opérateur autoadjoint ou unitaire est normal.
Exemple 1.1.3. Soit E = C([a,b]) l’espace vectoriel formé des fonctions continues
f : [a,b] −→ C muni de l’addition et de multiplication par les éléments de C.
On munit E de son produit scalaire défini par hf,gi = Z b a
f(x)g(x)dx, f,g ∈ E.
Une classe importante d’exemples de U ∈ L(E) est fournie par la formule suivante : pour f ∈ E,a 6 x 6 b
(Uf)(x) = Z b  a
K(x,y)f(y)dy
où K : [a,b] × [a,b] −→ C est une fonction continue (appelée souvent la fonction noyau de U).
On a bien U ∈ L(E) avec
|Uf(x)| =?Zba
K(x,y)f(y)dy
?6Zba
|K(x,y)| |f(y)|dy
6 sup
a6x6b
|K(x,y)|
Zba
|f(y)|dy 6 M(b − a)||f|| (M = sup
a6x6b
|K(x,y)|)
et
||f|| =?Zba
|f(x)| 2 dx
? 126
d’où
||Uf|| =?Zba
|Uf(x)| 2 dx
? 12
6 M(b − a)||f||
Ce qui montre que ||U|| 6 M(b − a).
Définition 1.1.4. Soit E un espace préhilbertien. Un opérateur U dans E est ditcompact si pour toute suite bornée {f n } dans E, la suite {Uf n } possède une sous-suite convergente dans E.
Notons qu’un opérateur compact U est continu.
En effet, en supposant que U n’est pas continu c’est-à-dire que sup
||f||<1
||U(f)|| n’est
pas fini,on aurait une suite {f n } avec ||f n || 6 1, n ∈ N, telle que ||Uf n || −→n→∞  ∞, ce
qui exclut l’existence d’une sous-suite convergente de {Uf n } n∈N
Donc U n’est pas un opérateur compact.
Exemple 1.1.5. Soit X = [a,b] (a < b réels) muni de la mesure de Lebesgue µ; si
K : X × X −→ C est de carré intégrable, alors l’opérateur U donné par
Uf(x) =Z b a
K(x,y)f(y)dy
est un opérateur compact dans l’espace hilbertien L 2 (X) = L 2 (X,P ,µ).
Définition 1.1.6. Soit E = L 2 (X), l’opérateur U défini dans l’exemple précédent est appelé opérateur intégral défini par la fonction noyau K par rapport à la mesure µ.
Théorème 1.1.7. Si T n est une suite d’opérateurs compacts sur H et ||T n −T|| → 0
quand n → ∞. Alors T est un opérateur compact.
Preuve. référence[2]

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