CONTEXTE DE L’ETUDE : LES ACTIVITES CITOYENNES DE L’UCAD

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LE SYSTEME DE SANTE DU SENEGAL

Les défis actuels de la santé dans le monde

Bien que l’OMS ait pour cadre de santé dans l’ensemble du monde, le constat qu’elle dresse porte essentiellement à considérer en 1er lieu la fragilité croissante de la situation sanitaire en Afrique subsaharienne. Presque tout le continent est à la traîne.
Pour 35% des enfants d’Afrique le risque de décès est globalement plus élevé qu’il y a dix ans. Toutes les heures, plus de 500 mères perdent un enfant en bas âge. En 2002, plus de quatre millions d’enfants sont morts en Afrique.
L’espérance de vie, invariablement plus limitée que presque jamais d’ailleurs, s’amenuise encore. Dans certains pays d’Afrique, elle a diminué de 20 ans et elle ne dépasse pas 46 ans pour les hommes.
Les principales causes sont : affections périnatales, maladies diarrhéiques, pneumonie et autres affections respiratoires basses, paludisme.
Plus fréquent aujourd’hui , le VIH/SIDA ,qui est devenu la principale cause de mortalité chez les adultes de 15‐59 ans dans le monde, tue toutes les 24h pres de 5000 hommes et femmes de cette tranche d’age et pres de 100 de leurs enfants en Afrique subsaharienne

L’espérance de vie :

L’espérance de vie s’améliore mais pas pour tous. Au cours des 50 dernières années, l’espérance de vie moyenne à la naissance à augmenter de pres de 20 ans dans l’ensemble du monde, passant de 46,5 ans entre 1950‐1955 à 65,2 ans en 2002.
Cela représente un accroissement moyen de l’espérance de vie de 4mois / an au cours de cette période.
La progression moyenne a été de 9 ans dans les pays développés ( Amérique du Nord , Australie , Europe , Japon et Nouvelle Zélande ) , 17 ans dans les pays en développement à forte mortalité( notamment les pays africains et les pays pauvres d’Asie,de la région de la Méditerranée et d’Amérique latine ) ,et de 26 ans dans les pays en développement à faible mortalité.
En 2002, l’espérance de vie à la naissance allant de 78 ans pour les femmes des pays développés à moins de 46 ans pour les hommes de l’Afrique subsaharienne, soit un écart d’un facteur de 1,7. Le tableau I donne pour quelques Etats membre de l’OMS, l’espérance de vie estimative des hommes et des femmes en 2002.

Tendance à la mortalité dans le monde :

En 2002, on a enregistré pres de 57 millions de décès dans le monde dont 10,5 millions, soit presque 20%, chez les enfants de moins de 5 ans (voir figure 2) et quatre‐vingt‐dix‐huit pour cent (98%) habitaient des pays en développement. Le nombre de décès chez les jeunes adultes (15‐59 ans) est relativement élevé dans les pays en développement ; un peu plus de 30% des décès y surviennent à ces ages contre 20% dans les pays riches.
Ce grand nombre de décès prématurés dans les pays en développement constitue un problème de santé publique très préoccupante.
La survie des enfants reste au premier plan des préoccupations internationales concernent la situation sanitaire des pays en développement. Par contre, l’évaluation des problèmes sanitaires que connaissent les adultes des en développement n’en est encore qu’à son début au niveau international.
Aujourd’hui, on a l’impression que la santé des adultes n’est sérieusement prise en considération que dans les pays développés où la mortalité juvéno‐prématurée a été sensiblement réduite.

Les objectifs du millénaire pour la santé de l’OMS :

Les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) place la santé au cœur du développement et reflètent l’engagement des gouvernements du monde entier à faire encore davantage pour réduire la pauvreté , la faim et pour lutter contre la mauvaise santé, les disparités entre les sexes, le manque d’instruction, le défaut d’accès à une eau potable et la dégradation de l’environnement. Trois des objectifs fixés sont directement en rapport avec la santé ; tous les autres ont sur elle d’importants effets indirects.
Ainsi les principaux objectifs sont donnés ci‐dessous :
– réduction de l’extrême pauvreté et de la faim
– réduire la mortalité des enfants de moins de 5 ans
– améliorer la santé maternelle
– combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d’autres maladies
– assurer un environnement durable
– mettre en place un partenariat mondial pour le développement

Description du système de santé au Sénégal :

Définitions

la santé : 

Plusieurs définitions ont été données à la santé par différents organismes.
Selon l’OMS : la santé est « un etat de bien être physique, mental et social, et ne veut pas seulement dire absence de maladie ou d’infirmité ».
Selon la classification de Goldberg : la santé est définie en fonction de trois abords :
– Abord perceptuel : la santé est un etat de perception de bien être.
– Abord fonctionnel : la santé est une capacité de bien fonctionner, capacité optimale pour accomplir efficacement son robe, ses taches.
– Abord basé sur le concept d’adoption : la santé est un ajustement réussi et permanent d’un organisme à son environnement.
Selon les Epidémiologistes : la santé est une souffrance mesurée par :
– Le taux de morbidité
– Le taux de mortalité
– Le taux d’invalidité
Selon les Economistes : la santé est un Capital, un Bien durable que l’on peut maintenir voire accroître par des investissements.

la santé publique :

La santé publique est une science et art de prévenir les problèmes de santé, de préserver, d’améliorer et de prolonger la vie et la santé des populations, au moyen d’action collectives visant à:
– assainir l’environnement
– lutter contre les maladies
– enseigner à l’individu les règles d’hygiène personnelle
– organiser les services de santé en vue de la prévention, du diagnostic précoce et du traitement des maladies.

système de santé

Un système de santé peut être défini comme l’ensemble des moyens et activités dont la fonction est la production de la santé c’est‐à‐dire promouvoir la santé, prévenir l’apparition de facteurs de risque ou de maladies, guérir, soulager les souffrances et réduire les conséquences des maladies sur le plan fonctionnel et social. [3]
Il constitue ainsi un ensemble d’éléments interdépendants qui interagissent en utilisant des ressources pour assurer un cycle d’activités aboutissant à des résultats, qu’aucun des éléments pris isolément ne peut produire.
Ainsi, un systeme quel qu’il soit, peut etre intégré dans un autre plus grand ou être subdivisé en sous systèmes.
Le système de santé comporte, selon les pays un ensemble de possibilités mises en œuvre par la puissance publique avec laquelle cohabite, de manière plus ou moins harmonieuse et tolérée, une offre multiforme de diagnostic et de soins.
Le système de santé assure des activités de gestion, de promotion de la santé, de prévention, curatives dont le résultat est le bien être de la population.

Problème de santé :

Un problème de santé se définit par sa nature et représente un écart entre un état de santé physique, mental, social, constaté, observé, exprimé ; et un etat de santé optimal considéré comme souhaitable, attendu, défini par des références médicales élaborées par des experts, législateurs, etc., ou des normes sociales élaborées par des groupes, la société, etc.

Historique :

Le système de santé du Sénégal date de l’époque coloniale avec la construction d’hôpitaux militaires comme l’hôpital Principal de Dakar et la mise en place de l’Assistance Médicale Indigène (AMI). Les premiers hôpitaux ont été fondés par des médecins de la marine en service colonial et ont été destinés aux militaires et aux fonctionnaires françaises et autochtones. A coté de ces organismes publics des missions chrétiennes et des œuvres caritatives créent des hôpitaux et des maternités destinés aux populations indigènes. [12]
Le système de santé colonial est basé sur des soins curatifs, de qualité pour le colonisateur et des soins pour le maintien en bonne santé de la population autochtone à des fins de productivité.
Depuis la décolonisation, de nouvelles réalités politiques, des valeurs universelles de libération et de préoccupation des opprimés, appel à la justice sociale et équité, ont donné naissances le concept de « développement de la santé » et de « l’investissement dans l’homme ».
Depuis la conférence d’Alma Ata 1978, un accent particulier est mis sur le développement des Soins de Santé Primaire (SSP) qui sont devenus un des axes essentiels de la politique sanitaire avec comme objectif d’assurer la santé pour tous en 2000.
Malgré les efforts considérables que les pays et l’OMS ont déployés vers la fin des années 60 et le début des années 70 pour améliorer et élargir les services de santé des populations nombreuses, particulièrement dans les zones rurales des pays en développement n’avaient toujours pas accès à ces services. [25]
Malgré de nombreux problèmes, la « locomotive » va de l’avant. En Mars 1988, la réunion organisée par l’OMS à Riga (URSS), sur le thème « A mi‐chemin entre Alma Ata et l’an 2000 », a constaté que les niveaux de santé mesurés par les taux de mortalité se sont améliorés dans tous les pays. [25]
En 1985 la conférence de Lusaka constitue un scénario du développement sanitaire. [9‐12]
Le renforcement de la politique de décentralisation initiée en 1996 a conduit à des réformes dans le systeme de santé, visant un rééquilibrage territorial et une plus grande équité dans l’accès aux soins. Les collectivités territoriales (régions,
communes et communautés rurales) ont ainsi acquis des droits essentiels de prise de décision, de construction, d’organisation et de financement des services sanitaires et sociaux. [1]

Organisation du système de santé du Sénégal :

Au Sénégal, comme dans la plupart des pays en développement, des disparités majeures de santé persistent. Mais d’importants efforts ont été fournis par les pouvoirs publics et les partenaires au développement pour l’élaboration de programmes visant à améliorer l’état de santé de la population. [1]
Le système de santé du Sénégal est organisé selon les recommandations du scénario de développement sanitaire à trois niveaux proposé depuis 1985 par le bureau de la région Afrique de OMS, avec une structure pyramidale comprenant :
A la base, un niveau périphérique appelé District Sanitaire constitué de Centre de santé, de Poste de santé supervisant les cases et les maternités Rurales pour la mise en œuvre des activités.
A l’échelon intermédiaire, un niveau stratégique appelé Région Médicale traduisant les politiques nationales en stratégies régionales.
Au sommet, un niveau central comprenant le Cabinet du Ministère, les Directions et les Services Nationaux formulant les orientations et politiques de santé. [19]

Fonctions du district sanitaire

Le niveau opérationnel assure un soutien opérationnel aux individus, aux familles et à la communauté. Il permet la mise en œuvre des soins de santé primaires en collaboration multisectorielle surtout avec les Organisation Non Gouvernementale(ONG) mais également par des interventions à base communautaire.
Les fonctions du district sanitaires en sont les suivantes :
1‐ Assurer les soins de santé de base :
• santé maternelle et infantile y compris le planning familial ;
• traitement approprié des maladies et lésion courantes ;
• prévention et contrôle des maladies endémiques locales.
2‐Assurer les interventions prioritaires de santé publique :
• vaccination contre les principales maladies notamment celles incluses dans le Programme Elargi de Vaccination(PEV).
• planning familial et le contrôle de la fécondité
• fourniture des médicaments essentiels pour le fonctionnement des structures
à la crédibilité des travailleurs
3‐Interventions apparentées à la santé
• éducation pour la santé et alphabétisation fonctionnelle
• approvisionnement en eau potable et assainissement
• soutien opérationnel aux individus, aux familles, à la communauté
• mise en œuvre des SSP : collaboration multisectorielle, ONG
• interventions à base communautaire.
Ces fonctions représentent « le paquet minimum » de la santé au niveau du district dont la finalité est : la survie de l’enfant, les maternités sans risque, les mains d’œuvres en bonne santé.

la supervision des personnels de santé au niveau du district

Principes

La raison d’être de la supervision est de promouvoir l’amélioration continue de la performance des personnels qui dépend :
‐ des objectifs poursuivis, qui doivent être adéquats
‐ des difficultés rencontrées aux quelles il faut s’adapter
‐ de la motivation du personnel, qu’il faut aider à développer
‐ des progrès du personnel, qu’il faut stimuler,
C’est à ces quatre facteurs que s’adressera essentiellement la supervision.
Le bon fonctionnement d’un programme dépend de l’accord de sa direction, les exécutants et les utilisateurs sur les objectifs du programme.
La supervision se distingue de l’inspection traditionnelle par le fait qu’elle apporte aux supervisés le soutien du superviseur (l’encadrement). Ce soutien dont se manifeste partout ou le besoin s’en fait sentir, qu’il s’agisse de la compréhension des objectifs, de l’exécution des taches ou des relations humaines.
Le processus de supervision au cours duquel on cherchera à s’adopter au mieux aux conditions de travail, à créer une situation de leadership motivant et à encadrer les membres de l’équipe de SSP, est bien sur un processus qui se poursuivra à différents niveaux et de façon continue.
La fréquence des visites du superviseur et la durée d’un cycle de supervision dépendront naturellement des problèmes à résoudre et de sa disponibilité du responsable. En général, quand un nouveau programme ou de nouvelles activités ont été introduites récemment dans un district, les visites devraient être au moins mensuelles et devenir par la suite trimestrielle. Deux visites de supervision par an devraient constituer le minimum acceptable.

les fonctions principales du superviseur :

Les fonctions du superviseur sont :
– Etablir les contacts individuels au lieu de travail avec les exécutants des programmes de SSP, les contacts avec les comités
de village (ou autre représentants des communautés locales) ; les contacts avec l’équipe de santé réunie, dans le cadre de chaque institution au service visité.
– Passe en revue, avec l’exécutant, les objectifs les cibles et les normes de travail
– Observer l’exécutant dans l’accomplissement de ses taches.
– Identifier les lacunes et les besoins de suivi de l’excusant
– Consulter les représentants de la communauté
– Fait rapport à l’équipe de santé

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Table des matières

NTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYSTEME DE SANTE DU SENEGAL
I- PRESENTATION DU SENEGAL
1- Situation géographique
2‐ Cadre naturel
3‐ Le milieu bioclimatique
4‐ Démographie
5‐ Contexte socio‐économique
6- Organisation administrative
I- LE SYSTEME DE SANTE DU SENEGAL
1‐ Les défis actuels de la santé dans le monde
1.1‐L’espérance de vie :
1.2‐Tendance à la mortalité dans le monde
1.3‐Les objectifs du millénaire pour la santé de l’OMS
2‐ Description du système de santé au Sénégal
2.1‐ Définitions
2.1.1‐ la santé
2.1.2‐la santé publique
2.1.3‐ système de santé
2.1.4‐Problème de santé
2.2‐Historique
2.3‐organisation du système de santé du Sénégal
2.3.1‐ District sanitaire
2.3.1.1‐ Organisation
2.3.1.2‐ fonctions du district sanitaire
2.3.1.3‐la supervision des personnels de santé auniveau du district
2.3.1.3.1‐ Principes
2.3.1.3.2‐ les fonctions principales du Superviseur
2.3.2‐la Région médicale
2.3.2.1‐ Organisation
2.3.2.2 Fonctions de la région médicale
2.3.3‐ Le Niveau Central
2.3.3.1‐Organisation
2.3.3.2‐ Fonctions du niveau central
2.4‐ Système de référence par recours
3‐Politique du gouvernement de santé
3.1‐Mise en œuvre de certains programmes
3.2‐La politique de l’urgence
3.3‐Politique pharmaceutique du Sénégal
3.3.1‐ le médicament
3.3.1.1‐ Définition
3.3.1.2‐ Origines
3.3.1.3‐Fonctions du médicament
3.3.2‐Politique national du médicament
3.3.2.1‐La politique de Médicaments essentiels : ME
3.3.2.2‐Initiative de Bamako (IB)
3.3.2.3‐Nouvelles orientations de la politique du Médicament et priorités
3.3.3‐Approvisionnement en médicaments du système
3.3.3.1‐Principes
3.3.3.2‐Les circuits d’approvisionnement des Médicaments
3.3.3.2.1-Circuit de distribution prive
3.3.3.2.2-Le Circuit de distribution public
4.1‐Infrastructures sanitaires
4.2.‐Ressources financières
4.2.1‐Budget de l’Etat
4.2.2‐ Situation de l’économie sanitaire au Sénégal
4.3‐Ressources humaines 2006
5-Insuffisance du système
II‐ LES PROBLEMES DES SYSTEMES DE SANTE ET QUELQUES OBJECTIFS DE RESOLUTION
1-Problèmes des systèmes de santé
2-Objectifs de résolution
DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION DES
RESULTATS
I- CONTEXTE DE L’ETUDE : LES ACTIVITES CITOYENNES DE L’UCAD
1- Historique
2- UCAD Rural : fruit des ACU en 2007
3‐ Les Impacts
II- CADRE D’ETUDE : PRESENTATION DE LA COMMUNAUTE RURALE(C.R) DE ROSS BETHIO
1- Situation géographique
2- La Démographie
3- Aspects économiques
4- Données Hydrographiques
5- Situation sanitaire
5.1- Infrastructures sanitaires
5.2-Ressources financières
5.3-Les Pathologies courantes
III- OBJECTIFS, MATERIELS, METHODOLOGIE, CONTRAINTE
1- Objectifs généraux
3- Matériels
4 – Méthodologie
4.1- Exploration
4.2- Observation
5-Contraintes
IV-PRESENTATION DES RESULTATS
1- Pathologies rencontrées pour les 3 spécialités
1.1-Les consultations en pédiatrie
1.2-Les consultations adultes
1.3-Les consultations en gériatrie
2- Les médicaments
2.1-Présentation des médicaments et matériels selon leur nombre et prix
2.2-Présentation des médicaments et matériels en pourcentage
2.2.1-Pourcentages des médicaments et matériels en fonction de leur nombre
2.2.2- Pourcentages des médicaments et matériels en fonction de leur budget
2.3- Présentation des produits en fonction de leurs classes thérapeutiques
2.3.1-Présentation des médicaments par classe thérapeutique
2.3.2-Présentation des classes thérapeutiques en fonction de leur nombre et de leur budget
2.4- Présentation des classes thérapeutiques et matériels en Pourcentage
2.4.1- Pourcentage des classes thérapeutiques et matériaux selon leur nombre
2.4.2- Pourcentage des classes thérapeutiques et matériaux selon leur budget
2.5 ‐ Présentation des médicaments au sein de chaque classe thérapeutique
2.5.1‐ Antalgiques et antipyrétique
2.5.2‐Les antianémiques
2.5.3‐ Les antibiotiques
2.5.4‐Les anti diarrhéiques
2.5.5‐les antiémétiques
2.5.6‐Les antifongiques
2.5.7‐Les antihistaminiques
2.5.8‐ les antihypertenseurs artériels
2.5.9‐Les anti‐ inflammatoires
2.5.10‐Les antipaludiques
2.5.11 Les antiparasitaires
2.5.12‐ Les antiseptiques
2.5.13‐ Les antispasmodiques
2.5.14‐ Les antitussifs
2.5..15‐les antiulcéreux
2.5.16‐ Les laxatifs
2.5.17‐ Les matériels médicaux
2.5.18‐Objet de pansement
2.5.19 Les pommades dermiques
2.5.20‐Les tranquillisants
2.5.21‐ Les solutions minérales
2.5.22‐ les vitamines
Discussion

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