Contexte de la cartographie du bruitย
La rรฉglementation relative au bruitย
La rรฉglementation relative au bruit se base essentiellement sur une directive europรฉenne et sur la loi bruit de 1992. La directive europรฉenne 2002/49 porte sur lโรฉvaluation, la prรฉvention et la gestion du bruit. Elle demande aux 25 Etats membres de mettre en place des plans dโactions tels que les Plans de Prรฉvention du Bruit dans lโEnvironnement, traduisant lโรฉvaluation de lโexposition au bruit et des actions de prรฉvention et de rรฉduction du bruit. Au sein de ces plans, doivent รชtre prรฉsentรฉes des cartes de bruit (Prรฉfecture du Var, 2014). Cette directive indique les prescriptions minimales auxquelles doivent rรฉpondre ces cartes de bruit stratรฉgiques. Elle stipule que ces cartes sont des reprรฉsentations des donnรฉes relatives ร des ambiances sonores, des dรฉpassements de valeurs limites, des estimations de donnรฉes (habitations, hรดpitaux, รฉcoles, nombre de personnes) prรฉsentes dans une zone spรฉcifique et exposรฉes au bruit. Les cartes relatives aux agglomรฉrations doivent se concentrer sur les รฉmissions sonores provenant des sources suivantes : la circulation routiรจre, le trafic ferroviaire, les aรฉroports, et les sites dโactivitรฉs industrielles, y compris les ports. De plus, les cartes de bruit stratรฉgiques doivent รชtre une source dโinformation pour les citoyens. Certaines informations sont requises: une reprรฉsentation graphique, des cartes prรฉsentant les dรฉpassements dโune valeur limite, des cartes diffรฉrentielles รฉtablissant une comparaison entre la situation existante et les situations futures, des cartes indiquant valeurs et indicateurs de bruit ร une hauteur autre que 4m (directive europรฉenne 2002/49). En France, la rรฉglementation concernant le bruit est dรฉfinie par la loi bruit (loi nยฐ92 1444) du 31 dรฉcembre 1992 et se trouve dans le code de lโenvironnement. Elle est composรฉe de 26 articles (article L.571.1 ร L.571.26) ayant pour objectifs de : ยซ Prรฉvenir, supprimer ou limiter lโรฉmission ou la propagation sans nรฉcessitรฉ ou par manque de prรฉcaution des bruits ou des vibrations de nature ร prรฉsenter des dangers ยป (CidB, 2018). Cela revient ร dรฉvelopper des mesures prรฉventives et de protection, ร rรฉglementer les activitรฉs bruyantes en fixant des seuils dโรฉmission de bruit, simplifier la constatation des infractions ainsi que renforcer les mesures judiciaires et administratives. Suite ร cette loi, sโensuivent donc diffรฉrents textes dโapplications comme les dรฉcrets rรฉglementant les bruits des transports terrestres, les activitรฉs bruyantes, les caractรฉristiques acoustiques des bรขtiments, le contrรดle et la surveillance du bruit, etc. Ceci est, de plus, accentuรฉ par une volontรฉ de favoriser la concertation, le dialogue mais aussi lโinformation (CidB, 2018). Que ce soient ces trois concepts ou les dรฉcrets รฉnoncรฉs juste avant, ces รฉlรฉments interviennent notamment lors de projets dโurbanisme.
Le bruit et lโamรฉnagement du territoireย
Alors que le bruit est qualifiรฉ comme ยซ une gรชne fortement ressentie et jugรฉe intolรฉrable ยป par lโAgence De lโEnvironnement et de la Maรฎtrise de lโEnergie (ADEME), le calme est jugรฉ comme ยซ une composante essentielle de la qualitรฉ urbanistique et rรฉsidentielle des espaces construits et il contribue ร une bonne santรฉยป (COTER et CFLB, Novembre 2015). Cela annonce quโune prioritรฉ doit รชtre portรฉe sur la maรฎtrise de lโexposition au bruit des personnes, notamment dans les espaces publics.
Le bruit est alors devenu ร part entiรจre un paramรจtre du concept dโยซ Amรฉnagement durable ยป. Cette notion implique de ยซ prรฉserver les lieux de tranquillitรฉ et en dรฉvelopper dโautres ยป, deux actions indispensables selon la Commission Fรฉdรฉrale pour la Lutte contre le Bruit (CFLB) et le Conseil de lโOrganisation du TERritoire (COTER) (COTER et CFLB, Novembre 2015). La volontรฉ est maintenant dโintรฉgrer le bruit dans les actions dโamรฉnagement. Ces nuisances sont majoritairement perรงues dans les centres urbains. De plus, il sโavรจre que le degrรฉ de cette pollution sonore est reliรฉ entre autres ร la forme urbaine dโun espace (Italo C. Montalvรฃo Guedes, 2011). Ainsi, de nombreuses รฉtudes, dont celle de Guedes, montrent que dans certaines zones, la densitรฉ de construction, le profil des rues, la prรฉsence dโespaces verts et la position et la forme du bรขti influencent son environnement sonore. Or, ces รฉlรฉments constituent les champs dโintervention de lโamรฉnagement du territoire. Comme Guedes le souligne dans son รฉtude, il devient alors nรฉcessaire de prรฉvoir le niveau de son gรฉnรฉrรฉ par le trafic et dโutiliser ces informations dans la phase dโรฉlaboration de projets afin de minimiser les effets du bruit sur lโenvironnement urbain (Italo C. Montalvรฃo Guedes, 2011). Ainsi, lโinformation relative au bruit est un รฉlรฉment qui se doit dโรชtre performant et un outil indispensable en amรฉnagement.
Lโinformation relative au bruitย
Lโinformation concernant le bruit constitue une dรฉmarche importante (rรฉglementรฉe notamment par la Directive Europรฉenne 2002/49/CE). LโADEME a dโailleurs annoncรฉ en 2010 le lancement dโun observatoire du bruit des transports terrestres, dans les agglomรฉrations de plus de 100 000 habitants (ADEME, 2014). Dรฉsormais, les nuisances sonores sont prรฉsentes dans de nombreux documents dโurbanisme tels que les Plans Communaux de Sauvegarde (PCS) ou encore les Plans de Prรฉvention du Bruit dans lโEnvironnement (PPBE). Ceux-ci listent les points noirs bruits (PNB) provoquรฉs par le trafic en agglomรฉration et font lโobjet dโune cartographie. Ce sont alors des outils essentiels notamment pour identifier les zones ร risques et quantifier le bruit en leur sein, afin de mieux le gรฉrer. Cependant, aujourdโhui, la rรฉalisation des outils de communication sur les niveaux sonores se fait suivant une dรฉmarche top down (cartographie rรฉalisรฉe par des professionnels uniquement). Elle ne prend alors pas en compte les besoins des destinataires et se limitent donc aux รฉlรฉments que la rรฉglementation europรฉenne exige. Pour cela la portรฉe de la communication peut se voir limitรฉe. La question qui se pose alors est : Comment mieux communiquer sur le bruit ? Lโintรฉrรชt est, maintenant, de sโintรฉresser aux moyens de communication permettant lโutilisation et la comprรฉhension des cartes de nuisances sonores par un large public. Des รฉtudes sont en cours pour rรฉpondre ร cette problรฉmatique, comme celle de CartโAsur (ce PFE sโintรจgre notamment dans celle-ci). Lโobjectif de CartโAsur et du travail prรฉsentรฉ au sein de ce rapport est de composer un outil de communication sโappuyant sur la cartographie afin de reprรฉsenter lโenvironnement sonore ร diffรฉrentes รฉchelles spatiales et temporelles (CartโAsur, 2014). Effectivement, ce travail vise lโamรฉlioration des reprรฉsentations existantes, ร savoir les cartes proposรฉes par CartโAsur, correspondant ร un premier prototype, et ainsi la transmission de lโinformation, la prรฉvention, la gestion et le dialogue entre acteurs concernant le bruit. En se basant sur ces premiers prototypes, comment amรฉliorer les reprรฉsentations cartographiques du bruit afin de les rendre accessibles ร un large public ? La particularitรฉ de Cart-Asur est dโadopter une dรฉmarche dite circulaire basรฉe sur la construction de cartes de bruits (ambiance sonore) prenant en compte les besoins et prรฉfรฉrences de sujets volontaires ou destinataires (riverains, techniciens, etc.).
Cartographie du bruit et la communicationย
La cartographie comme outil de communicationย
Le choix dรฉcidรฉ ici est de proposer une cartographie des ambiances sonores. En effet, la prise en compte de la perception du bruit (souvent peu รฉtudiรฉe) permet de complรฉter celle des niveaux sonores. Le langage visuel est un moyen de communication instantanรฉ, il ne nรฉcessite gรฉnรฉralement que trรจs peu de temps de rรฉflexion et est souvent perรงu comme plus efficace quโun texte. Cela reprend les paroles du philosophe Confucius ยซ une image vaut milles mots ยป (Confucius, -551 ร -479 a.v JC). Cependant, pour que ces paroles soient vรฉrifiรฉes faut-il encore que cette reprรฉsentation soit utile et comprรฉhensible par tous. Dโaprรจs Muelhenhauss (Muelhenhauss, 2014), la comprรฉhension dโune carte est associรฉe au fait que la carte ยซ crรฉe du sens ยป (ยซ create meaning ยป) pour celui qui lโutilise. Ce sentiment proviendrait dโun mรฉlange entre la crรฉation dโappรฉtit, grรขce ร lโesthรฉtique de lโimage, et la satisfaction de la curiositรฉ de lโutilisateur (ยซ mix between create appetite by beauty and satisfy curiosity ยป). Cela demande alors de savoir ร qui cette carte est destinรฉe et pour quelle utilisation. Dans notre contexte dโรฉtude, cela va demander une adaptation des fondamentaux de la reprรฉsentation cartographique, dรฉcrits par J. Bertin (voir annexe 1), afin que lโillustration proposรฉe satisfasse le dรฉsir de curiositรฉ dโun public professionnel ou non de la cartographie. Cette facultรฉ doit รชtre vรฉrifiรฉe pour tout type de reprรฉsentation graphique dont les cartes et notamment celles du webmapping. Le webmapping est un outil de communication puissant notamment par la multitude des possibilitรฉs techniques quโil comporte. Il permet de crรฉer une interactivitรฉ entre la carte et lโutilisateur, dโajouter une dynamique. Ceci permet dโaugmenter le nombre dโinformations et ainsi de satisfaire davantage de besoins. Ce moyen de diffusion des cartes par lโintermรฉdiaire dโinternet est un domaine en plein essor suite au dรฉveloppement des solutions Open Source. Il permet ร la fois de visualiser les mรชmes cartes statiques que celles existant au format papier, et de gรฉnรฉrer des cartes dynamiques (รฉvolution et mouvements des cartes ) et interactives (crรฉant un lien entre la carte et lโutilisateur). Il sโagit dโun outil intรฉressant, adaptable et adaptรฉ ร chaque utilisateur. Il reprรฉsente รฉgalement dโun outil dโinformation gรฉographique plus accessible, รฉtendant la visualisation, lโutilisation des cartes et leur crรฉation ร un public plus large. Le webmapping permet ainsi une dรฉmocratisation du domaine de lโinformation gรฉographique (Mohsen, 2008). Que ce soit pour du webmapping ou dans des formats plus classiques, la cartographie est un moyen de communication qui, de ce fait, doit sโintรฉresser ร la perception des utilisateurs pour รฉvoluer.
Lโaspect cognitif, un paramรจtre important en cartographieย
Prรฉcรฉdemment, il a รฉtรฉ indiquรฉ quโune carte apparaรฎt comme efficace lorsquโelle crรฉe du sens chez celui qui lโutilise (Muelhenhauss, 2014). Cela fait alors appel ร la notion de cognition. Cette notion concerne la capacitรฉ de chaque individu ร relier tout ce quโil peut voir ou ressentir durant un moment prรฉsent, ร une perception passรฉe afin dโen faciliter sa comprรฉhension (CrashCourse Psychology, 2014). Par exemple, dans le domaine de lโurbanisme, Colette Cauvin (Cauvin, 2002) explique que pour comprendre un espace, il faut sโintรฉresser ร sa description purement objective, ce qui est donnรฉ et construit, mais aussi ร son cรดtรฉ plus subjectif, ร la perception que les usagers ont de lโespace (aspects cognitifs). Cela permet au final de crรฉer un espace beaucoup plus adaptรฉ aux futurs usagers. Cependant, des recherches comme celle de Mary Hegarty (Hegarty et al., 2009), expliquent que dans certains cas la cognition peut avoir des effets contradictoires et ainsi limiter ses bienfaits. Hegarty a notamment dรฉmontrรฉ que dans le cas de lโรฉlaboration de reprรฉsentations graphiques, les perceptions cognitives ont une influence nรฉgative sur la comprรฉhension. Les rรฉsultats de son enquรชte indiquent que les choix, qualifiรฉs de ยซ naรฏfs ยป, des utilisateurs en termes de composants graphiques, limitent lโefficacitรฉ, voire la performance de la reprรฉsentation, dรฉfinie comme le niveau de comprรฉhension dโune carte, ainsi que le temps pris pour atteindre cette comprรฉhension. Indรฉpendamment de leur capacitรฉ ร lire une carte, les utilisateurs ont tendance ร choisir la complexitรฉ plutรดt que la simplicitรฉ. Or, ce phรฉnomรจne est totalement opposรฉ aux principes de la cartographie qui prรดnent la simplicitรฉ et lโefficacitรฉ. La performance se voit diminuรฉe avec la complexitรฉ. Hegarty rappelle alors la nรฉcessitรฉ dโรชtre prudent lorsque la dรฉmarche de crรฉation dโune carte se fait en relation avec les utilisateurs, afin de garder lโintรฉgritรฉ de la performance. Pour ce PFE, qui sโappuie notamment sur une approche collaborative et circulaire avec des destinataires volontaires pour รฉvaluer des cartes de bruits, on sโattachera ร comparer les choix des utilisateurs et les degrรฉs de performance (en termes de comprรฉhension) quโils impliquent, afin dโidentifier un niveau de performance suffisant.
Contenu des cartes de bruit actuellesย
Actuellement, les cartes de bruit reprรฉsentent, par des codes couleurs, lโexposition moyenne au bruit. Elles servent ร reprรฉsenter des situations sonores actuelles ou futures. Elles indiquent รฉgalement les dรฉpassements de valeurs limites, le nombre de personnes impactรฉes, les logements exposรฉs, pour chaque valeur et chaque zone (Prรฉfecture du Var, 2014). La directive europรฉenne 2002/49/CE dรฉfinit des indicateurs globaux que les cartes doivent reprรฉsenter :
– Lday (ou niveau journalier) correspond au niveau de bruit moyen sur une journรฉe (LAeq ou niveau รฉquivalent (7h-19h)) et est dรฉterminรฉ sur une annรฉe. Il sโagit dโun indicateur associรฉ ร la gรชne sur la pรฉriode diurne de 7h ร 19h.
– Levenig correspond au niveau de bruit moyen dโune soirรฉe (LAeq (19h-23h)). Il est รฉgalement dรฉterminรฉ sur une annรฉe.
– Lnight correspond, lui, ร la nuit (LAeq 23h-7h). Il sโagit dโun indicateur de bruit liรฉ aux perturbations du sommeil.
Dโaprรจs cette directive, les valeurs limites sont dรฉterminรฉes par les รฉtats membres et peuvent varier en fonction des types de bruit (trafic ferroviaire, routier, aรฉrienโฆ). De plus, lโรฉvaluation pour le calcul de ces indicateurs sโeffectue ร une hauteur de 4,0 m (+/- 0,2 m) au-dessus du sol (directive europรฉenne 2002/49).
Les cartes de bruit sont croisรฉes avec les donnรฉes dรฉmographiques pour dรฉnombrer la population exposรฉe. Il existe plusieurs types de cartes dโexposition (Prรฉfecture du Cantal, 2010) :
– Les cartes dโexposition (type A) : montrent les zones exposรฉes ร plus de 55 dB le jour (Lday) et les zones exposรฉes ร plus de 50 dB la nuit (Ln) ;
– Les cartes des secteurs affectรฉs (type B) : reprรฉsentent les secteurs affectรฉs par le bruit, prรฉalablement dรฉfinis dans les arrรชtรฉs prรฉfectoraux de classement sonore ;
– Et les cartes de dรฉpassement des valeurs limites (type C) : montrent les emplacements oรน les valeurs limites de jour et de nuit sont dรฉpassรฉes.
Les cartes permettent de mieux connaรฎtre le niveau de bruit et ainsi mieux le maรฎtriser afin dโamรฉliorer la qualitรฉ de vie, la sรฉcuritรฉ et la santรฉ des personnes impactรฉes. Nรฉanmoins, ces cartes ont des points faibles, quโil est indispensable dโidentifier pour la suite de ce projet.
Les limitesย
Au vu de tous ces รฉlรฉments il apparaรฎt comme difficile pour une personne lambda de comprendre ces cartes et encore plus de sโy intรฉresser. Les cartes de bruit actuelles intรฉgrรฉes aux documents dโurbanisme prรฉsentent certaines limites. En effet, elles doivent fournir assez dโinformations pour รชtre utiles, tout en restant comprรฉhensibles. De fait, dโaprรจs lโรฉtude de Beate Weninger ยซ The Effects of Colour on the Interpretation of Traffic Noise in Strategic Noise Maps ยป, il existe une limite infรฉrieure quant ร la quantitรฉ dโinformations, afin que la carte soit utile, et une limite supรฉrieure pour quโelle ne soit pas trop complexe (Weninger, 2013). Lโinformation transmise par les cartes de bruit aujourdโhui se focalise principalement sur la reprรฉsentation des bruits nocifs et dรฉsagrรฉables pour la qualitรฉ de vie dโun individu. Elle รฉvoque principalement la multi-exposition au bruit des habitants dโune commune. Cependant, cette multiexposition ne concerne que les bruits aรฉrien, ferroviaire, industriel et routier. Or, ces nuisances ne sontย pas les seules sources de bruit prรฉsentes dans une aire urbaine. Plusieurs autres รฉlรฉments, caractรฉristiques de lโactivitรฉ humaine, peuvent en รชtre lโorigine, et peuvent tout aussi bien รชtre perรงus comme agrรฉables ou non (sons provenant dโune animation de rue par exemple).
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Table des matiรจres
Introduction
Contexte de la cartographie du bruit
La rรฉglementation relative au bruit
Le bruit et lโamรฉnagement du territoire
Lโinformation relative au bruit
Cartographie du bruit et la communication
La cartographie comme outil de communication
Lโaspect cognitif, un paramรจtre important en cartographie
Contenu des cartes de bruit actuelles
Les limites
Les solutions proposรฉes vers un second prototype de cartes de bruit
Contenu de cartes de bruit dรฉfini selon le projet de CartโAsur
Contexte / participants
Analyse du questionnaire et propositions de nouvelles amรฉliorations
Analyse globale des rรฉponses aux questionnaires
Analyse dรฉtaillรฉe des rรฉponses aux questionnaires
Symbologie
Fond de carte
Lรฉgende
Interface Web
Lโeye-tracking comme moyen de recherche pour lโรฉlaboration de nouvelles cartes
Conclusion
Bibliographie
Annexes
Annexe 1 : Les รฉlรฉments de la sรฉmiologie graphique
Annexe 2 : Coefficient de variation, crรฉation de classes
Annexe 3 : Tests du KHI2
Annexe 4 : Test de Kruskal-Wallis
Annexe 5 : Eye-tracking, CHU de Tours
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