Construction d’une usine de production d’engrais NPK granule

Construction d’une usine de production d’engrais NPK granule

Introduction générale

  La croissance d’un pays renforce un nombre de facteurs présents dans le marché tels que la concurrence, l’apparition du nouveau marché, le lancement de nouveau produit,… Ce contexte préoccupe la plupart des entreprises présentent dans cet environnement et deviennent de plus en plus préoccupée par le souci de survie, d’efficacité, de performance et de rentabilité. Et pour en faire face, elles doivent se prendre en main à travers les différentes études qui vont assurer sa continuité.L’enjeu de ces entreprises aujourd’hui, quelles que soient leurs tailles et leurs organisations est de créer la valeur dans un contexte qui ne cesse de se compliquer, c’est donc à ce titre que l’investissement s’inscrit dans la stratégie de l’entreprise, quelle que soit sa nature (corporel, incorporel, financier), ou sa typologie (productive, commerciale,..) l’investissement doit être analysé comme un projet.Ainsi, un projet étant une action temporaire avec un début et une fin, mobilisant des ressources identifiées (humaines et matérielles) durant sa réalisation, celui-ci possède également un coût et fait donc l’objet de moyens et d’un bilan indépendant de celui de l’entreprise. C’est là que vienne la décision de réaliser un nouveau projet d’investissement.La décision d’investir est primordiale en matière de gestion de l’entreprise, elle est assez complexée, l’objectif assigné à cette décision réside principalement dans la recherche d’une prise de décision rationnelle d’une part, et d’autre part d’évaluer sa contribution à la maximisation de la valeur de l’entreprise.Une fois la décision est prise, l’entreprise doit entamer une étude préalable qui se base principalement sur l’évolution sur son intérêt économique et par conséquent le calcul de sa rentabilité, sa performance et son choix de financement. Alors que, pour encadrer le projet d’investissement l’entreprise doit accéder à une gestion dynamique qui est la gestion budgétaire.Ainsi les budgets sont parmi les outils les plus utilisés pour planifier et maîtriser la gestion des organisations. La méthode budgétaire donne aux dirigeants une vision de l’avenir et met en position favorable pour exploiter les opportunités.En effet, les investissements correspondent avant tout à des choix économiques comme il existe généralement plusieurs solutions pour lancer de tels projets, se pose la question du choix des moyens, donc du type d’investissements appropriés , face à des difficultés financières l’entreprise se trouve dans l’obligation de recouvrir à son environnement financier pour répondre à ses besoins de financement. et pour cela le présent travail se repose de traiter les problèmes de financement de cycle d’investissement de l’entreprise.

Définitions et typologies des investissements

  L’investissement est l’un des principaux outils de pilotage de l’entreprise qu’elle utilise pour accroitre leur performances et leur rentabilités, qui ce diffère du plusieurs notions suivant le point de vue adopté. Dans ce qui suit, nous allons définir l’investissement selon quatre visions différentes.

Définitions
« L’investissement est l’engagement de ressource (capitaux propres, emprunts) dans des projets industriel ou commerciaux dont on attend des profits futurs ».
A) Selon les comptables
En comptabilité, on définira un investissement comme étant « tout bien meuble ou immeuble, corporel ou incorporel, acquis ou crée par l’entreprise, destiné à rester durablement sous la même forme dans l’entreprise ».
B) Selon les économistes
L’investissement, dans sa notion économique, « renvoie bien à ces trois notions celles que sont le coût liée au projet, la durée (investir engage l’entreprise pour de nombreuses années) et le risque inhérent à tout l’investissement nécessaire pour aider l’entreprise à se développer, assurer sa pérennité ou lui assurer un avantage concurrentiel ».
C) Selon les gestionnaires
Les gestionnaires quant à eux considèrent l’investissement comme un coût pour l’entreprise susceptible de générer des flux nets positif, SIMON&TRABELSI ont défini l’investissement comme « une acception plus large, car elle prend en compte certain charge d’exploitation (frais de démarrage, publicité, formation, recherche …etc.)4 »
D) Selon les financiers
Pour le financier, l’investissement est « une immobilisation du capital qui produit des revenus à long terme et à ce titre doit être financé par des capitaux permanents (capitaux propre ou l’emprunt à long terme). Les investissements de maintien et de modernisation se prête aisément à une étude financière car les dépenses d’investissement, des gains de productivité ou les économies de coût peuvent être chiffres ». En revanche les investissements humains et sociaux ne sont pas étudiés car ils n’ont pas de finalité au niveau de la rentabilité.

Typologies d’investissement
Au terme de l’analyse économique de l’investissement, nous pouvons distinguer différents types de classement :
A) Par nature comptable
« L’organisation du Plan Comptable identifie trois types d’investissements qui se distinguent selon la nature de l’actif acquis »6.
a) Les investissements immatériels  L’investissement immatériel se distingue de l’investissement matériel par le fait qu’il n’augmente pas le stock de biens durables de l’entreprise.Les principaux investissements immatériels sont :
Les frais de recherches et de développement ;
La formation des salariés ;
L’acquisition de logiciel ;
L’achat de brevets ou de licences d’exploitation ;
Les frais publicitaires.
b) Les investissements matériels L’investissement matériel comprend l’acquisition de l’ensemble des biens durables réalisée par l’entreprise et indispensable à son bon fonctionnement et qui constitue ses immobilisations corporelles. Les principaux investissements matériels sont :
Les terrains ;
Les constructions ;
Les bâtiments ;
Le matériel industriel ;
Le matériel de bureau et informatique.
c) Les investissements financiers Les investissements financiers consistent soit en l’acquisition de droits de créances,soit en l’achat de titres financiers devant être conservés dans une stratégie de long terme visant à avoir un pouvoir de décision dans l’entreprise concernée. Les principaux investissements financiers sont :
Les titres de participation ;
Les titres immobilisés ;
Les prêts accordés par l’entreprise ;
Les dépôts et cautionnements.
B) Par objectifs
C’est le classement le plus souvent rencontré car il correspond au mode d’affectation des ressources le plus pertinent, en particulier dans l’industrie. Dans ce cadre, les investissements peuvent être classés sous trois rubriques principales :
a) Les investissements productifs Ils comprennent notamment :
Les investissements de remplacement ou de renouvellement ;
Les investissements de capacité ou d’expansion ;
Les investissements de productivité ou de modernisation qui permettre de diminuer les coûts de revient des produits ou d’en améliorer la qualité ;
Les investissements de diversification ou d’innovation dont l’objectif est en général, de créer des produits nouveaux ou de pénétrer de nouveaux marchés.
b) Les investissements socialement responsables (obligatoire ou réglementaires, protection de l’environnement) Ils assurent le respect de la législation en matière d’hygiène, de sécurité, d’environnement…, ou le respect de la convention collective, d’un accord d’entreprise (exemple : recyclage des déchets, mise à l’arrêt et remise en l’état des sites polluants).Ces investissements obligatoires sont contingents à l’espace et au temps, puisque la législation diffère d’un pays à un autre.
c) Les investissements stratégiques Ils sont à l’initiative des dirigeants de l’entreprise le plus souvent et poursuivant des buts divers. Ils se caractérisent souvent par leur ampleur (rachat d’entreprise) et leur niveau de risque. Ils visent à créer les conditions les plus favorables pour assurer le devenir de l’entreprise et peuvent s’inscrire dans une stratégie offensive ou défensive.
d) Les investissements par processus Au-delà de ces trois grandes catégories traditionnelles, nous recommandons, en particulier pour les activités de services et les investissements incorporels, de s’interroger sur la pertinence d’une catégorisation par grands processus : innovation,marketing, commercialisation…etc. L’analyse des projets d’investissements par processus vise alors à favoriser tout type de projet contribuant à améliorer ces processus en termes de coût, délai, qualité, utilité.
C) Par le risque
On distingue :
a) Les investissements comportant peu de risque Il s’agit des investissements de renouvellement ainsi que ce de productivité car les caractéristiques et les effets de ces investissements sont connues.Les investissements de renouvellement de productivité ont pour effet de maintenir l’entreprise dans ses états actuels. Les investissements de productivité ont effet d’une augmentation de productivité.
b) Les investissements très risqués C’est les investissements de capacités, et les investissements d’innovation car ils sont destinés à modifier l’état actuel de l’entreprise. Ces investissements font donc passe l’entreprise du connue à l’inconnue.
Les investissements de capacité ont pour effet une extension des moyens de
l’entreprise. Et l’des données du présent avec un risque d important.
Les investissements d’innovation ont pour effet de modifier plus précisément la situation actuelle de l’entreprise. Ils seront en effet à l’origine de la naissance et de développement d’une ou plusieurs acti nouveaux, dont l’entreprise
dispose évidemment pas d’historique

D) Par l’échelonnement des flux financiers du projet
Il existe quatre types d’investissement classé selon l’échelonnement des flux financiers
a) Fond ponctuel, revenu ponctuel (point input, point output)
Flux négatif d’investissement en année 0.
Flux positif en année n.
c) Dépense continues, revenu ponctuel (continuos outputs, point input)
Flux négatif d’investissement pendant plusieurs années.
Flux positifs d’exploitation en année n.
d) Dépense continues, revenus continus (continuos outputs, continuos inputs)
Flux négatif pendant plusieurs années.
Flux positifs d’exploitation avant l’achèvement de l’investissement et jusqu’en année n9.

L’étude économique d’un projet d’investissement.

  L’étude économique d’un projet d’investissement passe par plusieurs étapes, dont en va donner un aperçue de ces étapes.

L’identification de projet
Elle correspond à la première maturation de l’idée de projet ; on y fait l’analyse des besoins du marché, le diagnostic d’une situation qui pose le où les problèmes dominants ainsi que le ou les facteurs limitant. A la lumière des innovations possibles, elle dégage les premières esquisses de solution. L’un de ces objectifs est en fin de susciter le financement de l’étude de faisabilité. De façon générale le projet est donc localisé et grossièrement dimensionné. Les différentes options technico-économiques doivent être énoncées et la cohérence de l’ensemble vérifiée. Après avoir identifié le projet d’investissement et avoir vérifié sa cohérence avec les atouts et les contraintes de l’investisseur, l’évaluateur peut passer à une étape plus avancés dans son analyse :
l’étude marketing et commerciale.

L’étude marketing et commerciale
L’objectif des différentes études marketing est de mener une analyse factorielle du marché et de son environnement, permettant notamment d’évaluer sa taille. Elles comprennent notamment les études de marché, et les enquêtes client.
A) L’étude du marché
Elles constituent la principale enquête marketing lorsqu’il s’agit de créer ou de développer une activité. Le responsable du projet a le choix entre mener sa propre étude de marché ou la sous-traiter auprès d’un cabinet spécial qui va déterminer les forces du marché en déterminant l’intensité concurrentielle du secteur.
B) L’étude commerciale
C’est là qu’intervient l’étude commerciale qui va compléter l’étude marketing à travers la définition d’une politique et une stratégie commerciale. Cette stratégie s’interrogera sur la meilleure manière de convaincre le client. Cette étude porte sur les avantages comparatifs que peut offrir le produit ou le service :
a)Le produit
Le positionnement du produit aidera à établir la stratégie du prix. Le prix est-il haut de gamme, moyen de gamma, ou bas de gamme ? La qualité est aussi un élément déterminant, d’autant que le coût des retours de produits depuis l’étranger est élevé.
L’emballage peut devenir un avantage concurrentiel.

b) prix
Un prix doit permettre de dégager une marge bénéficiaire satisfaisante. Il doit tenir compte des coûts de productions, des coûts de transport et de distribution de la stratégie de vent du produit.
c) Communication
Les moyens de promouvoir un produit sont nombreux, signalons par exemple :
La publicité : il est important pour l’entreprise de faire connaitre son produit avec la publicité. Plusieurs canaux existent tels que journaux, radio, magazines, affiches, revues professionnelles et spécialisées, catalogue…en fonction de la nature du produit ou du service.
Les foires et les missions commerciales : ce sont des moyens efficaces de faire connaitre le produit à des clients potentiels, de recueillir et de valider les informations de l’étude de marché.
Internet : un site bien conçu constitue un moyen de favoriser le produit.
d)Distribution
Le mode de distribution doit être choisi en fonction des attentes de l’entreprise, de celle des distributeurs, et en fonction du produit28.
C) L’étude de l’environnement
L’évaluation des coûts et bénéfices environnementaux est une discipline nouvelle qui doit se faire face à de nombreuses difficultés théoriques et pratiques, et de nombreuses réticences de parts et d’autre de la ligne de démarcation environnementalistes-économistes. Mais cette méthodes à commencer à produire des résultats intéressantes, notamment en matière de pollution industrielle et donnera problèmes naissance à des méthodes à mettre en œuvre de matière obligatoire dans l’analyse de projets.

Les critères non financiers

  La prévision en univers dit certain est une prévision moyenne qui n’ignore pas l’existence du risque, mais ne le mesure pas. Voilà quelque type de risque essentiel à prendre en compte lors d’une étude.
A) Risque économique
Le chiffre d’affaire hors taxe (CAHT) d’une entreprise ne peut être totalement maitrisé. Il est lié à l’environnement et la qualité de la gestion. Il est donc sujet à des variations aléatoires qui se répercutent mécaniquement sur le résultat d’exploitation, la rentabilité économique, la rentabilité financière…
B) Le risque social et organisationnel
Ce risque est lié aux investissements d’innovation qui affecte la structure d’organisation de l’entreprise de nombreux changement organisationnel peuvent surgir notamment sur la restructuration du recours à la sous-traitance, de l’introduction de nouvelle technologie de communication. Autre ces impacts, d’autres peuvent avoir des effets sur la complexité des taches, la maniéré de travailler peuvent même entrainer des réactions sociales négative (conflit, non adhésion des salariés aux des objectifs)40.
C) Risque de marché
a) Risque liés aux approvisionnements
Une pénurie de la matière première ou une capacité de production insuffisante de l’ensemble des fournisseurs entraine une augmentation des prix d’achat et une difficulté d’approvisionnement.
b) Risque liés aux dépenses commerciale
Le chiffre d’affaire de l’entreprise repose sur un nombre limité de client. La perte de l’un d’entre eux est de nature à compromettre l’activité. En outre, un client représentant une part élevée de l’activité de son fournisseur a priori un pouvoir élevé de négociation des prix au prés de ses fournisseurs.
c) Risque client
L’entreprise prévoit d’avoir des encours de crédit client élevés sur des clients représentant un risque de défaillance élevé qui ne pourront être pas en totalité assurés.
d) Risque de change
Le projet est soumis à un risque de change structurel, à l’importation ou à l’exportation,
qu’elle ne peut couvrir par des techniques de couverture du risque de change
41.
D) Risque technologique, l’environnement
Le projet exploite une technologie qui risque d’être dépassée à proche au moyen terme. A l’inverse, l’entreprise a parié sur une nouvelle technologie qui ne s’est pas encore imposée. En pariant sur cette nouvelle technologie, elle peut aussi prendre plusieurs d’années d’avance que de retard.Au niveau des fournisseurs, les relations existent déjà. Il faudra voir si une diversification est nécessaire. Le contact avec les clients est établi mais pour un marché de dimension très modeste. Il y a donc un aspect de con quête de nouveaux marchés. L’entreprise s’adresse en priorité aux supermarchés et ensuite à quelques gros clients, les petits clients ne devant constituer qu’une faible part des ventes.L’impact du projet sera forcément important dans l’entreprise en raison de la place de la nouvelle activité dans le chiffre d’affaires. Il faudra en tenir compte dans le calcul des coûts (charges indirectes à répartir).
E) Risque de L’inflation
L’introduction de l’inflation complique la lecture des principaux résultats, c’est la raison pour laquelle il est possible de maintenir les ensembles de documents. Trois possibilités d’intégration des hausses de prix, seront étudiées :
Les prix constants : l’inflation n’est pas ou pas encore intégrée à l’évaluation.
Les prix courants : la hausse des prix fait l’objet d’une prévision.
Les flux calculés seront donc ceux que l’on devrait trouver en réalisation. La difficulté de cette position réside dans l’interprétation des résultats dans la mesure où il n’y a plus de référence monétaire (signification du TRI).
Les unités monétaires constantes : la hausse des prix est intégrée dans une première étape élément par élément selon les prévisions. Puis les flux sont recalculés de manière à tenir compte d’une baisse générale du pouvoir d’achat. Cette méthode intègre donc une inflation différentielle, c’est-à-dire qu’elle prend en considération les effets de l’inflation sur le projet tout en conservant la même référence aux prix de base du décideur ou du porteur du projet.
F) Risque de La fiscalité
Elle devra être complètement intégrée à la fin de la phase d’étude avant financement, de manière à connaître le niveau réel des charges et à intégrer d’éventuels avantages (exonérations d’impôts directs). Effectivement même avant financement, il est préférable d’intégrer l’impôt sur le résultat.Ainsi la taxe professionnelle implique que la localisation du projet soit connue or cette localisation peut justement faire l’objet d’un choix ultérieur.Il est fréquent que les projets génèrent des déficits les premières années, Le report de chaque résultat déficitaire est limité à 5 ans. Cela signifie que les déficits peuvent donner lieu à un remboursement d’impôt déjà payé.Nous rappelons qu’il n’y a de TVA déductible ni dans le compte de résultat ni dans les investissements. La TVA interviendra dans le calcul du BFR42.

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Table des matières

La liste des abréviations
La liste des tableaux
La liste des graphes et la liste des figures
Sommaire
Chapitre I : Projet d’investissement : Généralités et notions de bases
Introduction
Section 01 : Généralités sur les investissements
1.1.Définitions et typologies des investissements
1.1.1. Définitions
A) Selon les comptables
B) Selon les économistes
C) Selon les gestionnaires
D) Selon les financiers
1.1.2. Typologies des investissements
A) Par nature comptable
a) Les investissements immatériels
b) Les investissements matériels
c) Les investissements financiers .
B) Par objectifs
a) Les investissements productifs
b) Les investissements socialement responsables
c) Les investissements stratégiques

d) Les investissements par processus
C) Par risque
a) Les investissements comportant peu de risque
b) Les investissements très risqués
D) Par l’échelonnement des flux financiers du projet
a) Fond ponctuel, revenu ponctuel (point input, point outputs)
b) Dépense ponctuel, revenu continus (point output, continuos inputs)
c) Dépense continues, revenu ponctuel (continuos outputs, point input)
d) Dépense continues, revenu continus (continuos outputs, continuos inputs)
1.2.Objectifs et amortissement des investissements
1.2.1. Objectifs des investissements
A) Maintenir en l’état l’outil productif.
B) Se moderniser.
C) Se développer
D) Investissement stratégique
1.2.2. Amortissement des investissements
A) Définitions et objectifs d’amortissement
a) Définitions
b) Objectifs
A) Modes d’amortissement
a) Mode d’amortissement linéaire
b) Mode d’amortissement dégressif
c) Amortissement par composantes

d) Mode d’amortissement par l’unité des productions
Section 02 : Projet d’investissement
2.1. Définitions et caractéristiques d’un projet d’investissement
2.1.1. Définitions
A) Le capital investi
B) La durée de vie
C) Les flux de trésorerie générés par le projet
a) Notion des cash-flows
b) Evaluation des cash-flows
c) La valeur résiduelle
d) Le taux d’actualisation
2.2. Les étapes d’étude d’un projet d’investissement
2.2.1. Identification des catégories de projet
2.2.2. Recherche des projets
2.2.3. Collecte d’information
2.2.4. Sélection
2.2.5. Financement
2.2.6. Réalisation et contrôle
2.3. L’importance et la complexité de la décision d’investissement
2.3.1 Définitions
2.3.2. L’importance de la décision d’investissement
2.3.3. La complexité de la décision d’investissement
Conclusion
Chapitre II : Etude et analyse d’un projet d’investissement
Introduction
Section 01 : étude techno-économique d’un projet d’investissement 
1.1. L’étude économique d’un projet d’investissement
1.1.1. Identification de projet
1.1.2. L’étude marketing et commerciale
A) L’étude de marché
B) L’étude commerciale
a) Le produit
b) Prix
c) Communication.
d) Distribution
C) L’étude de l’environnement.
1.2.L’étude technique
1.2.1. Production et caractéristique de production
A) Production.
B) Caractéristique de production
1.2.2. Les besoin de l’entreprise
1.2.3. L’implantation des unités de production
1.2.4. Les délais de réalisation.
1.3.L’analyse des coûts de projet
Section 02 : Méthode et techniques d’évaluation des investissements
2.1. Les critères des choix d’investissement dans un avenir certain
2.1.1. Actualisation et capitalisation
A) Mécanisme et logique de l’actualisation
B) Mécanisme et logique de capitalisation
2.1.2. Critères financiers
A) La valeur actuelle nette
a) Interprétation
b) Avantages
c) Inconvénient
B) L’indice de profitabilité
a) Interprétation
b) Avantages
c) Inconvénients
C) Le taux de rentabilité interne
a) Interprétations.
b) Avantages
c) Inconvénients
D) La comparaison entre la VAN et le TRI
E) Le délai de récupération du capital investi
a) Interprétation
b) Avantages
c) Inconvénient
2.1.3. Les critères non financiers
A) Risque économique

B) Risque sociale et organisationnel
C) Risque du marché
a) Risque lié aux approvisionnements
b) Risque liés aux dépense commerciale
c) Risque client
d) Risque de change
D) Risque technologique, environnement
E) Risque de l’inflation
F) Risque de la fiscalité
2.2. Les critères de choix d’investissement dans un avenir incertain
2.2.1. Univers aléatoire
A) La méthode des scénarios
a) Critères de rejet de l’approche probabiliste
b) Critères de sélection de l’approche probabiliste
B) La méthode de Monte-Carlo
2.2.2. Univers indéterminé
A) Le critère de La Place
B) Le critère de Wald
C) Le critère de Maximax
D) Le critère de Savage
E) Le critère de Hurwicz
Conclusion
Chapitre III : Modalité de financement des projets d’investissements

Introduction
Section 01 : Les différentes sources de financement
1.1.Financement par fonds propres
1.1.1. L’autofinancement
A) La capacité d’autofinancement
a) Définitions
B) Avantages et inconvénient de l’autofinancement
a) Avantages
b) Inconvénients
1.1.2. Cession d’éléments d’actifs
1.1.3. Augmentation de capital
A) Augmentation de capital en numéraire
a) La prime d’émission
b) Le droit de souscription
B) Augmentation de capital par incorporation des réserves
a) Calcul du droit d’attribution
C) Augmentation de capital par apport en nature
D) Augmentation de capital par paiement du dividende en action
E) Augmentation de capital par conversion des obligations en action
F) Conséquences et limites de l’augmentation de capital
a) Conséquences de l’augmentation de capital
b) Les limites de l’augmentation de capital
1.2. Financement par quasi-fonds propres

1.2.1. Les comptes courants d’associer
1.2.2. Les prêts participatifs
1.2.3. Les titres participatifs
1.2.4. Les obligations avec bons de souscription d’action
1.2.5. Les obligations convertibles ou échangeables contres des actions
1.2.6. Les primes et subventions
1.3. Financement par endettement
1.3.1. L’emprunt bancaire indivis
A) Les caractéristiques d’emprunt bancaire indivis
1.3.2. L’emprunt obligataire
A) Les caractéristiques d’emprunt obligataire
1.3.3. Financement par crédit-bail
A) Définitions et caractéristique du crédit-bail
a) Définition
b) Caractéristiques
B) Le champ d’application de contrat
a) Crédit-bail mobilier
b) Crédit-bail immobilier
c) La cession bail immobilier
C) Avantages et inconvénients de crédit-bail
a) Avantages
b) Inconvénients
Section 02 : Choix de financement
2.1. Les critères de choix d’un mode de financement
2.1.1. Définitions des principaux ratios de rentabilité
A) La rentabilité économique
B) La rentabilité financière
C) L’effet de levier financier
a) Définitions et objectifs
2.1.2. Le coût des financements
A) Le coût des financements
a) Le modèle actuariel de GORDON et CHAPIRO (1956)
b) Le modèle d’évaluation des actifs financier (MEDAF).
B) Le coût d’une des capitaux emprunté
C) Le coût d’un financement par crédit-bail
2.1.3. Les décaissements réels
2.1.4. Les excédents prévisionnelles des flux de liquidité imputable au projet
2.1.5. La valeur actuelle nette ajustée
2.2. Les contrainte de l’équilibre financier.
2.2.1 Les règles financières
A) Règle de l’endettement maximum (l’autonomie financière)
B) Règle de la capacité de remboursement
C) Règle minimum d’autofinancement
2.2.2. Les autres contraintes
A) Le statue juridique
B) La taille

C) L’état des marchés financier
2.3. La structure optimale et la valeur de l’entreprise
2.3.1. Approche traditionnelle
2.3.2. Approche Franco Modgliani et Meton Mille
2.3.3. La théorie du compromis
A) La prise en compte de la fiscalité
B) La prise en compte du contrôle défaillance
2.3.4. Théorie d’agence (Jenen Meckling)
Conclusion
Chapitre IV : budgétisation et le contrôle de gestion
Introduction
Section 01 : Généralités et élaboration du budget
1.1. Définitions et objectifs du budget
1.1.1. Définitions
A)Aspect générale
B) Aspect financier
C) Aspect comptable
D) Aspect juridique
1.1.2. Objectifs
1.2. Rôles et typologies du budget
1.2.1. Le rôle du budget
A) Coordination, prévision et simulation
B) Délégation, motivation et évaluation

C) Conflit entre les rôles assignés aux budgets
1.2.2. Typologies du budget
A) Le budget commercial
B) Le budget de production
C) Le budget de distribution
D) Le budget des approvisionnements
E) Le budget des investissements
a) L’étude des projets
b) La sélection des projets
c) Le choix des projets
F) Le budget des frais généraux
G) Le budget de trésorerie
1.3. Principes et processus budgétaire
1.3.1. Principes
A) Le principe de l’annualité du budget
B) Le principe de l’unité budgétaire
C) Le principe de l’universalité budgétaire
a) La règle du produit brut
b) La règle de la non-affectation
D) Le principe de spécialité
1.3.2. Processus d’élaboration d’un budget
A) Etape de préparation
B) Etape de lancement

C) Etape de déroulement
D) Etape d’arrêt
Section 02 : Contrôle budgétaire et suivi des investissements
2.1. Elaboration d’un budget prévisionnel d’un projet d’investissement
2.1.1. Prévision, budgétisations, contrôle
A) Prévision
a) La prévision des encaissements
b) La prévision des décaissements
B) Budgétisation
C) Contrôle
2.2. Contrôle budgétaire d’un projet d’investissement
2.2.1 Définitions et contrôle budgétaire
A) Contrôle du budget pendant la durée de réalisation de l’investissement
B) Le contrôle de financement
a) Plan de financement : Définition, objectif et structure
b) Le budget de financement
C) Contrôle de la rentabilité à la réception de l’investissement
2.3. Suivi d’investissement et procédure de contrôle budgétaire
2.3.1. Suivi d’investissement
A) Les éléments d’exploitation
B) Analyse des écarts
C) Les outils de suivi d’investissement
a) Les outils de suivi à priori 

b) Les outils de suivi a posteriori
2.3.2. Procédure du contrôle budgétaire
A) Comparaison
B) Analyse
C) Décision
2.3.3. Limites du contrôle budgétaire et présentation du tableau de suivi d’investissement
A) Limite de contrôle budgétaire
B) présentation du tableau de suivi d’investissement
Conclusion
Chapitre V : Etude d’un nouveau projet d’investissement au sien de l’entreprise PROFERT

Introduction
Section 01 : Présentation de l’entreprise PROFERT et son projet d’investissement 
1.1. Présentation de l’organisme d’accueil PROFERT
1.1.1. Historique, missions et objectifs de la société PROFERT
A) Historique
B) Missions et objectifs de la société
1.1.2. Organisation de l’entreprise d’accueil
A) Structures supports
B) Direction régionales
C) Unités de productions
1.1.3. Les principales directions de l’entreprise PROFERT
A) Service secrétariat

B) La direction des ressources humaines
a) Service personnel
b) Le service paie
C) La direction des finances et comptabilité
a) Service comptabilité générale
b) Service comptabilité analytique
c) Service comptabilité matière
d) Service comptabilité finance
D) Direction des achats
a) Service des moyens généraux
E) Direction commerciale
a) Service de recouvrement
1.2.Présentation du projet d’investissement
1.2.1. Etude économique
A) Identification du projet
B) Présentation du promoteur
C) Terrain d’assiette
1.2.2. Eude marketing et commerciale
A) Etude du marché
a) Analyse du marché
B) Etude d’environnement
1.2.3. Etude technique
A) Besoin en utilités et consistance du projet
a) Besoin en infrastructures
b) Consistance du projet
B) L’analyse des coûts du projet
a) Evaluation financière du projet
b) Evaluation de la rentabilité prévisionnelle du projet
C) Régime d’avantages sollicite
a) Avantages au titre de la période de réalisation et pour une durée de 18 mois
b) Avantages au titre de la période d’exploitation pour une période de 10 ans
Section 02 : Etude de cas : Construction d’une usine de production d’engrais NPK granule
2.1. Analyse de la situation financière de l’entreprise PROFERT
2.1.1. Bilans des grandes masses et les indicateurs d’équilibres financiers
A) Bilans grandes masses (actifs et passifs)
B) Les indicateurs d’équilibre financiers
2.1.2. Les contraintes de la structure financière et l’amortissement de l’emprunt
A) Les contraintes de la structure financière de PROFERT
a) Calcul de la CAF
b) Les règles d’équilibre financier
B) L’amortissement de l’emprunt liée au projet
C) Le calcul de la rentabilité et l’effet de levier
2.2. Critères du choix de projet d’investissement
2.2.1. Critères financiers
A) Calcul de la VAN

B) Calcul du TRI
C) Calcul de l’indice de profitabilité
D) Calcul du délai de récupération
2.2.2. Plan de financement
A) Plan avant financement
a) Calcul de la CAF prévisionnelle avant financement
b) Le calcul de BFR prévisionnel
B) Plan après financement
a) Plan de remboursement de l’emprunt
b) Le calcul de la CAF après financement
Conclusion
Conclusion générale
Bibliographie.
Annexes.

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