Construction des indicateurs qualité d’une chaussée
QUALITE DANS LE CYCLE DE VIE DU PROJET ROUTIER
Elaborer une démarche qualité dans le domaine de la réalisation des routes permet aux maîtres d’ouvrages et aux maîtres d’oeuvre de développer la qualité dans les études et les travaux de réalisation de l’ouvrages, et ce en vue d’aboutir à la construction de très bonne qualité en matière de résistance, de fonctionnalité [capable de faire transiter le débit de projet], assurant un niveau de service satisfaisant pour les usagers (largeur de l’ouvrage, liquidité du trafic, bonne insertion dans le tracé en plan et le profil en long, etc.) et en plus mieux intégrés dans leurs environnements.
Pour atteindre ces objectifs, le management de la qualité doit être assurés dès la phase embryonnaire de l’ouvrage, c’est à dire depuis sa programmation dans le plan d’action selon des critères bien déterminés, et jusqu’à l’achèvement des travaux, et donc doit s’adopter dans le cycle de vie du projet routier.
La qualité à l’amont et en phase de conception
Pour aboutir à la construction d’un projet routier de qualité et durable, il s’avère primordial de bien manager la qualité tout d’abord à l’amont et durant les études, ensuite dans l’étape de l’adjudication et d’exécution des travaux et enfin à l’aval des travaux, c’est à dire, après leur achèvement.
Savoir bien manager la qualité dans le lancement de l’appel d’offres pour la réalisation des études du projet routier et aussi, dans la rédaction du cahier des prescriptions spéciales et du cahier des prescriptions communes des études, permet d’aboutir à un choix rigoureux d’un bureau d’études techniques qualifié capable de mener à bien (qualité dans l’étude, délai respecté, avec un meilleur rapport qualité/prix) l’étude jusqu’à l’approbation de la phase finale de l’étude.
La qualité à l’amont et dans la phase réalisation
Bien manager la qualité dans le lancement de l’appel d’offres des travaux et dans l’élaboration du cahier des prescriptions communes et le cahier des prescriptions spéciales des travaux aide au choix d’une entreprise qualifié capable d’exécuter les travaux avec une meilleure qualité, dans le délai et avec un coût concurrentiel.
La réussite dans la réalisation des travaux du projet routier de qualité est conditionné par la bonne gestion des actions à mener en vue de solutionner les problèmes imprévus qui se posent aux moments des travaux tels que : défaillance dans l’étude, le non suivi des payements, etc. en effet, la persistance d’un problème de ce genre dans temps risque de faire arrêter les travaux ou les retarder.
La qualité à l’aval de la phase réalisation
Enfin, après l’achèvement des travaux, l’ouvrage neuf doit être introduit aux archives avec toutes ses données à savoir :
Copie du marché de l’étude ;
Un exemplaire du dossier de l’étude approuvé ;
Copie du marché des travaux ;
Rapport d’exécution et d’achèvement des travaux. ;
Plans de recollement. ;
Photos de l’ouvrage neuf.
Savoir gérer dans les temps ces éléments d’archives et de définition du projet routier, est d’une importance capitale, dans la mesure il va permettre de les conserver tout au long de la vie de l’ouvrage d’art qui est d’une centaine d’années environ, en vue de les consulter en cas d’une intervention éventuelle sur l’ouvrage telle que : réparation, renforcement, élargissement, etc.
Le cycle de la qualité dans les projets routiers
Le cycle de la qualité s’appuie sur les besoins et exigences exprimé à satisfaire de la part du maitre d’ouvrage et qui attend que ceux-ci le soient dans certaines conditions, Les principes généraux de ce cycle sont décrits par la figure1.3 ci-après ;
Les différents éléments et liens qui constituent le cycle de la qualité sont expliqués ciaprès.
Qualité du projet routier attendue
Il s’agit du niveau de qualité explicitement ou implicitement recherché par le maitre d’ouvrage. Le niveau de qualité peut être considéré comme la somme d’un certain nombre de critères de qualité pondérés, pour les projets routiers il s’agit de la qualité fonctionnelle de la chaussée ; l’uni, la rugosité, l’imperméabilité, la sécurité, le confort, la résistance de la chaussée, et la durée de vie.
Qualité du projet routier voulue
Il s’agit du niveau de qualité que les acteurs responsables du projet routier (maitre d’oeuvre, entreprise…) se fixent pour objectif de fournir au maitre d’ouvrage. Il se définit en fonction du niveau de qualité attendu par celui-ci, de choix politiques et du contexte.
Quand on définit les objectifs du projet à réaliser, il faut considérer les facteurs suivants :
Une définition concise du projet routier voulu ;
Un niveau d’exigence, c’est-à-dire un pourcentage (estimé ou calculé) de la part du maitre d’ouvrage ;
Un seuil d’acceptabilité. Chaque fois que ce seuil est atteint, des actions correctives immédiates doivent être prises.
Qualité du projet routier réalisée
Il s’agit du niveau de qualité assuré au quotidien c’est-à-dire lors de la réalisation de l’ouvrage. Ce n’est pas uniquement une évaluation technique montrant qu’un processus a été accompli. La qualité réalisée doit en effet être mesurée du point de vue du maitre d’ouvrage afin de s’assurer de l’adéquation de l’ouvrage réalisé et le programme (besoins préalablement exprimés).
Qualité du projet routier perçue
Il s’agit du niveau de qualité perçu par le maitre d’ouvrage. La perception de la qualité réalisée dépend de son expérience personnelle par des projets déjà réalisé ou des prestations qui lui sont associées, des informations concernant les projets routiers provenant des acteurs responsables des projets, d’autres sources ou de son entourage.
CONCLUSION
De ce chapitre, on peut dire que pour l’obtention d’un projet routier de qualité, il nous suffit de suivre la méthodologie du référentiel proposé qui est le produit de la combinaison d’une démarche de conduite par projet et d’une démarche qualité. Il fournit la base nécessaire à leur mise en oeuvre de manière effective et efficace.
Nous avons défini les différents processus de réalisation d’un projet routier, l’application de ceux-ci nous ont permis donc d’avoir une vision claire et explicite sur la procédure de réalisation d’un projet routier
Et enfin, dans ce chapitre nous avons défini la qualité durant le cycle de vie du projet routier, cela-di nous ne pouvons porter appréciation qu’une fois le projet réalisé, pour cela, il nous faut mesurer la qualité au quotidien afin de s’assurer à chaque instant l’adéquation entre les objectives qualités et le résultat obtenu à cet instant.
Indicateurs qualité et tableaux de bords
INTRODUCTION
Dans le cadre d’une démarche qualité, il est important de connaître l’état, le statut d’un fait ou d’un événement pour ensuite le comparer à une valeur cible qui caractérise un objectif ainsi, vérifier à tout instant t l’état de l’objectif établi. Pour cela il s’avère nécessaire de définir et mettre en place des indicateurs appelés « indicateurs qualité », qui débouchent sur des actions correctives et préventives menées à l’aide de nombreux outils et permettent ainsi, d’assurer une lisibilité continue du système de l’organisme dans ses actes et dans ses phases d’amélioration.
Enfin pour une meilleure représentativité de ces derniers, il est nécessaire d’utiliser un tableau de bord, qui a pour objet de regrouper et de synthétiser les indicateurs pour les présenter de façon exploitable.
Pour cela nous allons consacrer ce chapitre pour une recherche bibliographique concernant les indicateurs qualités, comprenant, les définitions, les différents types qui existent et les qualités requise pour un indicateur pertinent. De même pour les tableaux de bord avec les fonctions qui doivent assurer, pour ensuite montrer la pertinence de ceux-là dans le système de management de la qualité.
DEFINITION D’UN INDICATEUR QUALITE
Un indicateur qualité est une appréciation périodique, généralement quantifiée, d’une composante d’un système qualité, généralement exprimée sous forme d’écart par rapport aux objectifs qualités ou aux exigences. Il peut porter sur la satisfaction des clients, la conformité des livrables ou le bon fonctionnement des processus.
Selon O. Cerutti B. Gattino « Un indicateur qualité est une donnée objective qui décrit une situation du strict point de vue quantitatif ».
D’après la norme NF X 50-125 (Juin 2000) « Un indicateur de qualité est une information choisie, associée à un phénomène, destinée à en observer périodiquement les évolutions par rapport à des objectifs qualités » il est toujours déterminé par un objectif que l’établissement se fixe et une action qu’il réalise.
TYPOLOGIE DES INDICATEURS
Il existe trois types d’indicateur pour la mesure de la performance des processus, Niveau 1 : indicateurs de performance, données d’entrée. Ils mesurent la conformité aux exigences par rapport aux données d’entrée du processus. Ils permettent de repérer au plus tôt les sources de non‐qualité ;
Niveau 2 : indicateurs de résultats, données de sortie. Ils mesurent la conformité aux exigences par rapport aux données de sortie du processus. Il s’agit d’un constat parfois tardif ;
Niveau 3 : indicateurs de processus. Ils renseignent sur le fonctionnement du processus et son activité aux différents stades et permettent de réagir rapidement aux dysfonctionnements constatés. Ils sont mis en place sur les points faibles en rapport avec l’obtention du résultat final.
LES QUALITES REQUISES POUR UN INDICATEUR PERTINENT
Pour qu’un indicateur soit de qualité, il doit être techniquement et conceptuellement apte à mesurer avec une précision acceptable le phénomène qu’il est censé mesurer et doit demeurer pertinent dans le cadre du déploiement présent de la démarche qualité.
Les qualités nécessaires pour y parvenir sont de trois ordres :
Des qualités d’usage : nous pourrions dire, un ensemble de qualités de bon sens qu’il est difficile de réunir tous ensemble, dès lors que le champ à instrumente (sur quoi on veut porter la mesure) intègre des aspects humains, ce qui est le cas très général de la qualité ;
Des qualités métrologiques : un indicateur est un instrument de mesure, il doit satisfaire aux qualités requises de tout instrument de mesure.
Des qualités systémiques : l’indicateur s’insère dans un ensemble visant à assurer une conduite du système qualité dans la bonne direction (celle de la démarche définie).
Les qualités d’usage
La simplicité
La politique qualité doit être comprise par l’ensemble du personnel, ces derniers aurons une idée claire et précise sur l’objectif visé et doivent donc bien connaitre l’enchaînement des processus. Pour s’assurer que cela soit fait conformément, il est conseiller de mettre en place des indicateurs qui soient d’interprétation simple, du point de vue des acteurs chargés de les produire et responsables de son niveau ainsi, que de choisir des unités « naturelles », notamment à l’acteur responsable de son niveau et/ou au champ exploré.
De façon générale on peut être amené à instrumenter deux grands types de champs :
Un champ propre aux activités opérationnelles concernant le métier de l’entreprise ou d’un organisme : la qualité de la production, l’optimisation du processus, le bon usage des matières, tous phénomènes de nature non financière. Comme pour le projet routier, on peut être appelé à mesurer la qualité fonctionnelle d’une chaussée.
Un champ proprement financier concernant l’équilibre économique de l’entreprise : la définition des enjeux pour fixer les priorités puis apprécier l’efficacité économique des programmes d’amélioration, qui pourra aussi s’appliquer dans les entreprises de travaux publics, les bureaux d’études voir même par le ministère des travaux publics.
Pour instrumenter ces champs, on peut choisir deux types d’unités de mesure :
Des unités financières (DA en interne, € en Europe et $ au niveau mondial) ;
Des unités non financières (tonnes, heures) que nous qualifierons en raccourci d’unités physiques.
Les unités « physiques » sont d’autant plus naturelles qu’on est proche du « terrain », l’unité financière l’est d’autant plus qu’on est proche de la direction. Fixons comme principe général qu’il faut préférer, chaque fois que cela ne comporte pas de contreindication, une mesure dans l’unité native de la donnée, c’est-à-dire naturelle du point de vue du champ instrumenté ; etc. Préférer la mesure des phénomènes non-financiers par des unités non financières et vice-versa.
Les unités de mesure offre une qualité de mesure meilleure, puisque la donnée initiale n’a pas à être convertie dans une autre unité et elle est directement « parlante » pour les hommes qui sont dans ce champ puisqu’elle correspond à leur langage habituel.
Représentativité
Pour être correctement représentatif de l’objectif dont il mesure la performance ou de l’action à piloter, le bon indicateur doit rassembler simultanément trois qualités ; la quantification qui est la définition même d’un indicateur, l’exhaustivité c’est-à-dire une représentation complète de l’objectif ou de l’avancement de l’action et l’objectivité c’est à dire être exempt de conventions de calcul pouvant faire l’objet de débat.
L’indicateur idéal de ce point de vue est la valeur affichée sur un compteur électrique par exemple et donc, elle est quantifiable, exhaustive : elle représente bien la totalité de la consommation électrique dans le secteur couvert et objective : à partir du moment où le compteur est correctement étalonné. De tels indicateurs deviennent rares dès que l’on quitte le domaine de la technique pour mesurer des phénomènes emprunts d’humanité.
Opérationnalité
Un indicateur a vocation à orienter l’action (indicateurs de performance) ou à l’ajuster (indicateurs de pilotage). Pour cela, il faut que l’information qu’il fournit au moment t1 soit valide au moment où l’action sera conduite.
Comme la invoqué Alain Fernandez (2005) qui parle de décision en temps réel, la définit comme la mise en concordance de deux fenêtres de temps : celle pendant laquelle l’information est valide et celle pendant laquelle la décision est possible, c’est-à-dire qu’il y a un temps de prise de conscience de la situation et un temps de réaction. L’efficacité de la prise de décision et donc lié au temps. Pour cela il serait pour le mieux d’augmenter la durée de validité de l’information.
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Table des matières
REMERCIEMENT
RESUME
ABSTRACT
الملخص
TABLE DES MATIERES
ACRONYMES
LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX
LISTE DES ABREVIATIONS ET ACRONYMES
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 : Route et qualité dans les projets routiers
1. INTRODUCTION
2. Démarche et politique qualité dans les projets routiers
2.1 Démarche qualité dans les projets routiers
2.2 Politique qualité pour les projets routiers
3. Référentiel du chef de projet
3.1 Mode management pour un projet routier
3.1.1 Cycle de vie d’un projet routier
3.1.2 Phases et étape du cycle de vie d’un projet routier
3.2 Système de management de la qualité d’un projet routier
3.2.1 L’écoute client
3.2.2 La clarification des rôles et responsabilités des acteurs
3.2.3 Approche processus et systémique des projets routiers
3.2.4 L’organisation du pilotage
3.2.5 La maîtrise des risques
3.2.6 La traçabilité
3.2.7 L’amélioration continue
4. Qualité dans le cycle de vie du projet routier
4.1 La qualité à l’amont et en phase de conception
4.2 La qualité à l’amont et dans la phase réalisation
4.3 La qualité à l’aval de la phase réalisation
4.4 Le cycle de la qualité dans les projets routiers
4.4.1 Qualité du projet routier attendue
4.4.2 Qualité du projet routier voulue
4.4.3 Qualité du projet routier réalisée
4.4.4 Qualité du projet routier perçue
5. CONCLUSION
CHAPITRE 2 : INDICATEURS QUALITE ET TABLEAU DE BORD
1. INTRODUCTION
2. Définition d’un indicateur qualité
3. Typologie des indicateurs
4. Les qualités requises pour un indicateur pertinent
4.1 Les qualités d’usage
4.1.1 La simplicité
4.1.2 Représentativité
4.1.3 Opérationnalité
4.2 Les qualités métrologiques
4.2.1 Les qualités requises dans le contexte de la démarche qualité
4.2.2 Spécificité métrologique des indicateurs
4.3 Les qualités systémiques
5. Tableau de bord
5.1 Définition d’un tableau de bord
5.2 Les fonctions d’un tableau de bord
5.2.1 Fonction de monitoring constant, de constat d’écart et d’alerte
5.2.2 Fonction de monitoring constant, de constat d’écart et d’alerte
5.2.3 Fonction de reportage et de reddition de comptes
5.2.4 Fonction de communication et de motivation
5.2.5 Fonction de contribution à la formulation des objectifs et des écarts
6. L’importance des indicateurs et tableau de bord dans le système de mangement de la qualité
6.1 Planifier les actions de progrès (Plan)
6.2 Déployer le plan de progrès (Do)
6.3 Contrôler l’efficacité des actions engagées (Check )
6.4 Agir et/ou réagir en fonction des résultats obtenus (Act)
7 Méthodologie de construction des indicateurs qualité et tableau de bord
7.1 Méthodologie de construction des indicateurs qualité
7.1.1 Méthodologie de construction des indicateurs qualité
7.1.2 Le choix des indicateurs de performance associés à la politique qualité
7.1.3 Le choix des indicateurs de pilotage des plans d’action qualité
7.2 Méthodologie de construction du tableau de bord
8. CONCLUSION
CHAPITRE 3 : CONSTRUCTION DES INDICATEURS QUALITES ET TABLEAU DE BORD
POUR LES CHAUSSEES ROUTIERE
1. INTRODUCTION
2. Caractéristiques générales d’une chaussée
2.1 Caractéristiques géométriques d’une chaussée
2.2 Constitution des chaussées : les différentes couches
2.3 Structures de chaussée
3. Les qualités fonctionnelles d’une chaussée
3.1 La qualité de l’uni d’une chaussée
3.2 La qualité de rugosité d’une chaussée
3.3 L’imperméabilisation de la chaussée
3.4 La durée de vie de la chaussée
3.5 La résistance de la chaussée
4. Compactage de la chaussée
4.1 Définition du compactage
4.2 Influence de la teneur en eau pour le compactage
4.3 Objectif du compactage
5. Les dégradations d’une chaussée
5.1 Déformation de la chaussée
5.2. Les arrachements de la chaussée
5.3 Fissuration de la chaussée
5.4 Les remontées de la chaussée
6. Construction des indicateurs qualité d’une chaussée
6.1 Les différents processus de réalisation d’une chaussée
6.2 Construction des indicateurs qualités d’une chaussée
6.2.1 Clarification du système d’objectif de la qualité d’une chaussée
6.2.2 Le choix des indicateurs de performance associés à la politique qualité
6.3 Instrumentation des indicateurs et moyens de mesure d’une chaussée
6.3.1 Indicateur qualité du compactage
6.3.2 Indicateur qualité de l’uni
6.3.3 Indicateur qualité sur la profondeur d’orniérage
6.3.4 Indicateur qualité sur la longueur/largeur d’une fissure
7 Construction du tableau de bord
8 Conclusion
CHAPITRE 4 : Cas de dégradation de la piste de l’aéroport Messali El Hadj Tlemcen
1. INTRODUCTION
2. Le réseau routier en Algérie
3 Plan d’intervention en infrastructure routière
3.1 Bilan de l’état de la piste de l’aéroport Messali El Hadj Tlemcen
3.1.1 Segmentation
3.1.2 Collecte des données
3.1.3 Diagnostic
3.1.4 Recommandation et suggestion
3.1.5 Plan d’assurance qualité
3.1.6 Données relatives aux autres types d’actifs
3.2 Élaboration de la stratégie d’intervention
4 Outil de mesure de la performance d’une chaussée
4.1 Feuille1 : Contexte de l’outil
4.2 Feuille2 : Indicateurs qualités
4.3 Tableau de bord
4.4 Feuille 4 ; Retour d’expérience
5 Conclusion
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
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