Connexions théoriques entre le développement et la réduction de la pauvreté

Introduction

Madagascar est classé au 151è rang sur 187 dans le classement IDH ou Indice de Développement Humain (un indicateur permettant de mesurer le niveau de développement d’un pays). Cet indice tient compte du niveau de scolarité et du nombre d’années de  scolarisation des enfants, du niveau d’instruction et d’alphabétisation des adultes, du niveau de santé des habitants et du pouvoir d’achat des ménages. Ce classement reflète les réalités que vivent les Malgaches. Toujours en proie à la pauvreté, la population survit chaque jour : la scolarisation n’est plus une priorité et la santé presque une luxe. D’ailleurs les statistiques le confirment bien. Selon l’EPM 2010, 76,5% des malgaches vivent en dessous du seuil de la pauvreté et ce chiffre s’est aggravé pendant la crise que le pays a traversée ces cinq dernières années, 58% de cette proportion des malgaches vivent dans l’extrême pauvreté, d’où l’intérêt de concevoir des directives permettant d’atténuer ces problèmes de pauvreté. Dans la plupart des pays, la pauvreté a une dimension nettement régionale, qui justifie par ailleurs le cas de Madagascar et elle est surtout répandue dans les zones rurales. C’est dans cette tendance que le thème de recherche a été choisi, c’est à dire porte essentiellement sur « Les perspectives de développement pour la réduction de la pauvreté à l’échelle régionale à Madagascar : Cas de la région SOFIA ». L’objectif poursuivi est le développement régional focalisé à la réduction de la pauvreté dans la région en question, qui, d’après l’EPM 2005, le taux de pauvreté dans cette région a été de 80,4%. Cet Objectif sera atteint en respectant certaines valeurs fondamentales : une bonne exploitation des potentiels économiques, le partage des responsabilités, la participation de la population active en tant qu’acteur de développement.

Définition du processus de Développement

Par définition, le concept de développement renvoie à l’ensemble des transformations profondes des structures économiques, sociales et mentales qui accompagnent une croissance durable telle que : l’amélioration du niveau de vie, l’amélioration de la santé et de l’éducation, la mise en place des infrastructures économiques et sociales efficaces, et les modifications des comportements (baisse de la natalité, hausse de l’espérance de vie, élimination de la corruption(1), etc. Cette définition est valable tant à l’échelle nationale que régionale.

Malgré la complexité de la mesure de ce phénomène, des indicateurs ont été également avancés :
→ Le PIB : Le produit intérieur brut
Cet indicateur permet de mesurer le niveau die vie de la population mais il ne tient pas compte des inégalités de revenus dans un pays. Donc, le Produit Intérieur Brut est insuffisant pour mesurer le Développement.
→ L’IDH : Indicateur de Développement Humain. Il prend en compte trois paramètres comme le montre le tableau suivant : Cet indicateur a été défini par le PNUD (Programme des Nation Unies pour le Développement) dans les années 90.

Il se calcule à partir des 3 paramètres suivants :
Le calcul de l’IDH s’effectue à l’aide de trois critères : le niveau de vie, l’espérance de vie et le niveau d’éducation. Sa valeur est comprise entre 0 et 1.Selon les normes internationales, les Pays développés ont un IDH supérieur à 0,8 et les pays plus pauvres ont un IDH inférieur à 0,5.
→ Ces deux indicateurs ne prennent pas en compte les inégalités sociales qui peuvent éventuellement exister à l’intérieur des pays. C’est pourquoi, d’autres indicateurs sont utilisés comme par exemple :
• l’IPH : l’Indicateur de Pauvreté Humaine
Cet indicateur inclutla santé et la longévité, l’accès au savoir et l’accès aux biens  essentiels comme l’eau ou la nourriture.
• L’ISDH : L’Indicateur Sexospécifiquede Développent Humain, qui intègre une mesure des inégalités hommes, femmes. En partant de ces énumérations, l’atteinte du développement nécessite la combinaison de plusieurs facteurs.

Les conditions du développement :

Le développement est un processus complexe dépendant de nombreux facteurs économiques, sociaux ou culturels.

a) Corrélation entre croissance et développement :
La croissance économique est une condition nécessaire au développement d’un pays ou d’une région. En effet, l’augmentation du PIB implique une augmentation des richesses économiques crées, ce qui améliore théoriquement le niveau de vie de la population de façon progressive et régulière. Ainsi, tous les pays à niveau du PIB élevé ont connu un processus de croissance régulière pendant plusieurs années, voire plusieurs décennies. Mais la croissance n’est pas la seule condition à enclencher un véritable processus de développement. Si la richesse créen’est pas vulgaire mais profiteàcertaine partie de la population, ou à un seul secteur économique du pays, (secteur exportateur), le développement ne suivra pas.

b) Restructurations économiques et sociales :
Le développement va de pair avec des transformations des structures économiques et sociales du pays ou d’une région. Ces transformations se traduisent/s’expliquent essentiellement par la réduction du taux de pauvreté, l’amélioration du niveau de vie de la population ou encore la diminution des inégalités de revenus. Le Développement désigne un processus qualitatif de transformation profonde des structures économiques, sociales et mentales. Ce processus se traduit par une révolution démographique, un changement des conditions de vie, la construction d’infrastructures modernes et la mise en place d’un Etat efficace. Le développement nécessite aussi une évolution des structures économiques telle l’évolution des secteurs d’activités ou la modification des structures de consommation, ce qui justifie par ailleurs le cas des pays industrialisés, qui, au cours de leur développement, ont connu une grande amélioration des catégories socioprofessionnelles comme la diminution du nombre d’agriculteurs, d’artisans, ou plus récemment d’ouvriers dans la population active, et aussi l’augmentation de la part du secteur tertiaire dans la formation de la valeur ajoutée notamment appelé : « La tertiarisation de l’économie ».

c) L’efficacité d’un système éducatif et d’un système de santé :
L’éducation revêt le caractère d’un investissement, notamment, elle constitue un énorme investissement, d’où la formule de Spinoza : « Le savoir est le seul bien qui ne diminue pas quand on le partage ». (3) L’accumulation du capital humain influence l’efficacité du système éducatif. La notion de capital humain renvoie à un concept très large qui incorpore aussi bien le niveau d’éducation ou de qualification des individus que l’état de santé ou d’hygiène.L’accumulation du capital humain a des effets positifs sur la croissance à long terme car la formation et l’éducation permettent d’accroître la productivité du travailleur et d’augmenter la production de demain.L’amélioration de la santé et l’évolution du secteur éducation de la population sont des éléments essentiels du développement car, de façon prospective, elles permettent d’augmenter la productivité du travail et d’assurer la pérennité du processus de croissance.

Du côté du secteur éducation, un consensus de la communauté internationale existe : « Depuis la Conférence d’Addis-Abeba (1961) jusqu’au Forum de Dakar (2000), l’objectif de l’éducation pour tous est affirmé comme facteur de croissance, de réduction des inégalités et de construction de la citoyenneté … » .Différentes preuves ont été avancées pour étayer cette assertion, dont on peut citer entre autre : le cas des pays industrialisés, historiquement, le développement économique a précédé le développement éducatif. A part ceci, dans les années 60, « la formation initiale du Capital humain, les faibles écarts de revenus (indice de Gini) et une transition démographique précoce peuvent être considérés comme les trois facteurs essentiels du décollage des pays d’Asie de l’Est ».  A l’instar de ces différentes assertions, différentes approches de développement ont été construites tout au long de l’histoire. Elles reposent sur des principes qui se diffèrent de l’une à l’autre.

La contribution de l’inclusion financière à la lutte contre la pauvreté :

Le concept d’inclusion financière renvoie à la mise en place de marchés financiers à l’échelle régionale ou nationale pour desservir la majorité de la population cible en leur fournissant davantage de produits ou services financiers répondant à leurs meilleures potentialités, c’est-à-dire, à moindre coût et de manière responsable, sûre, rentable et pratique. Actuellement, les actions menées en faveur de l’inclusion financière s’appuient sur les activités exercées par les prestataires de service de la micro finance. Par définition, l’objectif fixé par la micro finance est d’offrir des services financiers aux personnes ayant des faibles revenus. Sous l’hypothèse selon laquelle les problèmes du sous-développement apparaissent comme problèmes de financements, c’est-à-dire une question d’argents,Ragnar NURKSE affirmait qu’un pays est pauvre parce qu’il est pauvre.», On pourrait ainsi imaginer par translation de cette idée qu’une région est pauvre parce qu’elle est pauvre.

C’est dans cette optique que la micro finance engage sa principale préoccupation de construire, par le canal de ses services financiers, abordables et de qualité, une voie permettant aux ménages concernés d’améliorer leurs activités génératrices de revenus, d’assumer la stabilité de leurs dépenses de consommation, de cantonner les embûches à la réalisation de leurs opportunités d’Investissement,…Au départ, les produits fournis par les Institutions de Microfinancese limitaient à l’octroi de prêts aux personnes démunies désireuses de créer des micro entreprises. Suite à l’expansion de ces Institutions, elles fournissent une large gamme de produits et de services financiers personnalisés en fonction des situations de leur client et surtout en faveur des populations pauvres.Les clients de la microfinance ont typiquement des revenus peu élevés. La majorité d’entre eux vit en dessous du seuil de la pauvreté. Ces clients sont également exclus du système bancaire classique et des autres institutions financières officielles.

La majorité des bénéficiaires des services fournis par la microfinance exercent des activités opérant dans le secteur informel en tant que petits commerçants, petits magasiniers, vendeur des objets d’artisanal fabriqués chez eux ; et dans les zones rurales, il s’agit principalement de petits fermiers et de personnes qui vendent ou transforment des produits agricoles. Des études ont montré la contribution de la microfinance à la réduction de la vulnérabilité des pauvres par rapport à la complexité financière de la vie. Nountié-Conde, à travers ses études sur les contributions de la microfinance à la lutte contre la pauvreté, prétendait qu’actuellement, « la microfinance s’est révélée comme l’un des meilleurs outils de réduction de la pauvreté, de création d’emplois, de générations de revenus permanents et décents, en fixant les populations dans leurs localités autour des microprojets et micro entreprises, réduisant l’exode rural, l’émigration tout en contribuant ainsi au développement économique national, régional et local » (14). Au sens de l’objectif fixé par la microfinance, cette dernière peut être un facteur clé de lutte contre la pauvreté et le rôle de la microfinance comme « élément essentiel du développement régional » est aujourd’hui reconnu par tous. Les résultats de l’évaluation des impacts de ce système, surtout auprès de la population pauvre confirment ces deux assertions. Son impact s’évalue généralement par le biais de la mesure des changements palpables aux clients c’est-à-dire les individus ciblés par l’action.

L’étude portant sur cet impact s’opère à la fois :
– au niveau de l’individu, d’une famille, d’une entreprise
– mais aussi les effets sur l’économie régionale.
– et dans différents domaines (économique, social, anthropologique) .

Les actions menées par les institutions de microfinance se focalisent sur la vie sociale des individus ciblés, surtout les pauvres. Ainsi, les performances sociales d’une institution de microfinancese traduisent par la pratique de sa mission sociale (action, recommandations suivies des résultats, …) et également de l’amélioration du niveau de vie des clients pauvres et exclus de leurs familles, ainsi que des opportunités socio-économiques pour la communauté. L’atteinte de ces objectifs est au détriment de certains principes fondamentaux :
Cibler un nombre croissant de populations vulnérables par rapport à la situation financière.
Veiller à une bonne qualité et adéquation des services proposés aux clients.
Créer des profits pour les clients de la microfinance, leur famille et leur communauté tels que : l’amélioration du Capital social et des liens sociaux, l’augmentation des actifs et des revenus, diminution de la vulnérabilité par rapport à la complexité financière de la vie, élargissement de l’accès aux services de base et la satisfaction des besoins de base, notamment les besoins physiologiques du pyramide de Maslow.
Bien entretenir les relations entre l’institution de microfinance et toutes les parties prenantes (les employés, les clients, la communauté etc.…) et ceci dans l’intérêt d’assurer des performances sociales.De nombreuses réflexions s’accordent sur l’idée selon laquelle l’efficacité d’un secteur financier régional ne s’évalue pas seulement par la circulation monétaire mais aussi par l’aptitude de ce secteur à toucher une grande partie de la population rurale et urbaine, notamment les plus pauvres, grâce à des dispositifs complémentaires et diversifiés. A titre d’illustration et par curiosité, même si l’OMD (Objectifs pour le Millénaire du Développement) ne constitue plus une référence,Selon Fidèle SARASSORO,  l’impact des IMF (Institutions de Microfinance) en matière de contribution à ces objectifs est direct.

Ainsi, une revue rapide de la littérature sur les effets attendus de la microfinance en matière de contribution aux OMD met en lumière quatre principaux canaux.

Eradication de l’extrême pauvreté :
Etant donné que la microfinance fournit aux pauvres des produits financiers leurs permettant d’améliorer leurs activités génératrices de revenu ; l’octroi de petitscrédits et la sensibilisation à des comptes d’épargnes simples et sécurisées sont autant des moyens pour briser le cercle vicieux de la pauvreté.

Promotion de l’éducation :
Les services financiers fournis par cette institution permettent aux bénéficiaires de promouvoir l’éducation des enfants qui semble être leurs priorités.

Emancipation économique des femmes :
L’accès aux services financiers offerts par les IMF constitue une aubaine pour les femmes car elles sont souvent la cible prioritaire de ces institutions. Cette stratégie repose sur un triple diagnostic ; parmi les pauvres les femmes sont les plus vulnérables (faibles dotation initiale, spécialisation du travail à conditions déplorables) ; elles sont généralement plus responsables dans l’affectation des fonds du ménage (dépenses plus productives, hausse de revenu améliorant le bien-être du ménage et des enfants) et enfin, elles respectent les plans de remboursement (plus forte sensibilité à la pression sociale, faible nomadisme financier .

Système de santé efficace :
La maladie est une caractéristique de la pauvreté car elle entrave le niveau de vie de la population par les coûts affectés aux dépenses de soins. C’est dans cette tendance que la microfinance soit à même d’améliorer les conditions sanitaires au sens large (nutrition, hygiène, prévention, soins curatifs, infrastructures collectives,…) Bref, les services fournis par ces IMF contribuent de manière significative au développement dans plusieurs domaines. La microfinance est surtout au service du développement rural du fait que dans la plupart des cas, notamment dans les pays sous développés, la majorité des clients exercent des métiers ruraux. Quant au développement urbain, certaines réflexions s’accordent sur l’idée selon laquelle, « La négligence de certains secteurs comme le secteur urbain a handicapé la croissance de l’économie dans les Pays sous-développés ».

En matière de création de richesses, les activités de transformation et de services sont génératrices de valeurs ajoutées à l’image des Pays Développés. Cette stratégie peut être indispensable au développement économique des Pays sous-développés qui doit être à la base de la restructuration territoriale pour relancer l’économie et suivant laquelle les villes doivent jouer leurs fonctions économiques pour développer l’économie à l’échelle régionale. Les facteurs de pauvreté qui handicapent le développement d’une région résident non seulement dans le domaine social mais aussi dans le domaine des activités génératrices de revenus de la population. Alors, par quels moyens pourra-t-on briser ces facteurs pour favoriser le développement régional du point de vue du secteur productif ?

La croissance agricole et la réduction de la pauvreté et de la faim :

Depuis longtemps, l’on admet que la croissance n’implique plus développement, autrement dit, elle n’est plus une condition suffisante pour enclencher un véritable développement. Mais le développement ne poursuivra pas sans croissance. Le processus de développement exige une croissance accompagnée de certaines transformations structurelles. En matière de croissance économique, la croissance agricole joue un rôle essentiel. Plusieurs études défendent l’excellente idée selon laquelle la promotion de l’agriculture est un moyen efficient pour combattre l’insécurité alimentaire.

Le PNUD ou Programmes des Nations Unies pour le Développement définit spécifiquement la pauvreté extrême ou pauvreté absolue (18) comme suit : « Une personne vit en condition d’extrême pauvreté si elle ne dispose pas des revenus nécessaires pour satisfaire ses besoins alimentaires essentiels définis sur la base de besoins caloriques minimaux (1800 calories par jour et par personne) Souvent, dans les Pays sous-développés, la majorité des populations pauvres exercent des activités largement dépendantes du secteur agricole. Leurs moyens d’existence et leurs activités génératrices de revenus sont au détriment de l’agriculture. Dans cette optique, la croissance agricole obtenue par les petits agriculteurs et notamment les femmes contribue de manière significative à la réduction de l’extrême pauvreté et de la faim dans la mesure où elle fait accroitre le rendement de la main d’œuvre et crée des emplois pour les pauvres. L’importance accordée à l’agriculture varie d’un système économique adopté par un pays à l’autre et cette importance diminue au fur et à mesure que l’économie nationale ou régionale subisse des transformations structurelles. La Part que représente l’agriculture dans l’activité économique totale est très significative dans les pays les plus pauvres (environ à 30% de l’activité économique totale.) Dans l’ensemble, le développement du secteur agricole a une grande probabilité d’être un facteur clé à la réduction de la pauvreté, plutôt que comme moteur de la croissance économique.

Cela s’explique par le fait que la proportion des individus travaillant dans l’agriculture est nettement supérieure à la part de la production économique provenant de l’agriculture. Autrement dit, Cela s’explique par l’excédent en nombre de main-d’œuvre travaillant dans ce secteur qui représente une proportion nettement supérieure à cette part. Etant donné que la majorité des pauvres exercent des activités dans le secteur agricole, la croissance agricole aura probablement des effets bénéfiques aux pauvres que la croissance non agricole. Dans les pays à faible revenu, un taux de croissance du PIB élevé dû notamment à une forte croissance agricole réduit cinq fois plus la pauvreté que ce même taux issu de la croissance d’autres secteurs.Exceptionnellement, en Afrique Subsaharienne, en la matière de réduction de la pauvreté, la croissance agricole se révèle 11 fois plus efficaces. Il est donc important de miser sur l’agriculture (en cherchant à atteindre une productivité florissante) pour parvenir de manière significative à la réduction de la pauvreté, surtout dans les Pays à faible revenu.

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Table des matières

Introduction
1ère partie : Connexions théoriques entre le développement et la réduction de la pauvreté
Chapitre I : Notion et Généralités sur le processus de développement
Section 1 : Généralités sur le processus de Développement
Section 2 : Brève revue de littérature sur les approches de développement et la réduction de la pauvreté.
Chapitre II : Dans quelles mesures ledéveloppement régional constitue-t-il une voie de sortie à la pauvreté ?
Section 1 : Développement du secteur social et réduction de la pauvreté.
Section 2 : Développement du secteur productif et réduction de la pauvreté.
2
ème Partie : Etat des lieux et Perspectives de développement susceptibles de réduire la pauvreté dans la région SOFIA
Chapitre 1 : Présentation de la région SOFIA
Section 1 : Population, Secteur d’activité, secteur social
Section 2 : Analyse des Forces-Faiblesses-Opportunités de chaque secteur étudié
Chapitre 2 : Par quelle approche de développement pourra-t-on réduire la pauvreté dans cette région ?
Section 1 : Les Méthodes de développement favorables à la diminution des Incidences de la pauvreté dans cette région.
Section 2 : Evaluation de l’état de pauvreté dans cette région
Conclusion

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