Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
METHODES
Le chapitre va exposer toutes les méthodes relatives à l’étude de la culture. Elles comprennent la démarche commune aux deux hypothèses, l’approche quantitative, méthodologie de recherche, revue de la littérature,outils d’analyse et le chronogramme des activités . Elle va conduire à la description de la démarche retenue.
Démarche commune aux deux hypothèses
Lors de cette étude les actions suivantes ont étémenées : la recherche bibliographique, les entretiens auprès des personnes ressources, la confrontation des hypothèses émises, la détermination des variables d’enquêtes, l’élaboration et test du questionnaire, l’échantillonnage, ainsi que l’enquête formelle etl’apurement et traitement de données.
Recherche bibliographiques
Des recherches bibliographiques ont été effectuéescontinuellement pour prendre connaissance des principes, des méthodes relatives à l’ensemble de l’étude de culture des entreprises de construction, des définitions notamment de la construction et le modèle économique ainsi que pour connaître les travaux déjà réalisés par ces entreprises sur le secteur de travaux publics à Madagascar.
Entretiens auprès des personnes ressources
Il s’agissait de mener des discussions auprès des responsables au niveau central de la Société COLAS, pour obtenir plus de renseignementssur le sujet de la recherche. Les entretiens ont été axés sur le cadre d’interventionde la Société, l’idée propre à chaque institution, ainsi que leurs points de vue par rapport au terrain de recherche. Les personnes ressources ont été les dirigeants de la Société, sledirecteurs et responsables de la Société COLAS
Confrontation des hypothèses émises et déterminatiodes variables d’enquêtes
Les entretiens avec les personnes ressources ont été nécessaires pour confronter les informations et les hypothèses émises lors de l’étude bibliographique. Issue de cette confrontation nous avons pu choisir les variables suivant pour l’enquête :
– taille du ménage ;
– moyen de production ;
– activités de production ;
– accès au marché et prestations de services.
Le positionnement de la problématique
La finalité de l’étude est de contribuer à l’amélioration culture interne de la Société COLAS. Malgré l’instabilité politique actuelle, entraînant la crise économique, elle arrive encore à tenir sa place sur le marché. Pourtant, des points faibles, cités précédemment, ont été constatés et doivent être améliorés et renforcéses. Lnouvelles cultures constituent les éléments vitaux pour toute entreprise en tant que ources de vérifications. Leur sauvegarde et leur conservation devront être bien au soin. D’unepart, des points à améliorer au niveau de la sauvegarde et de la culture des données de la Société COLAS ont été principalement constatés. D’où, la mission d’apporter des recommandations sur leur nouvelle culture pour que ces activités suivent la norme internationale y afférent permettant à la Société COLAS des économies de coût et un meilleur management desrisques. D’autre part, l’acquisition de la culture est obligatoire pour tous les départements. Par conséquent, les clients ne sont pas servis dans un court délai. La mission va ainsi permettre à la Société COLAS un gain de temps énorme et par la suite un gain d’argent. Bref, la culture, l’exhaustivité, et la pertinence des travaux constituent les principaux buts.
Interprétation des hypothèses
Selon Larousse (2008), une hypothèse est une proposition initiale à partir de laquelle il faut construire un raisonnement. Elle est différente d’une condition préalable en ce sens qu’elle doit être remplie avant le démarrage du projet en question. Alors, la condition nécessaire pour qu’un raisonnement qui sous-tend le projet soit valable est de prendre compte des hypothèses.
La responsabilité ou l’engagement de la direction dans le renforcement de la culture est cruciale pour la réussite de cette recherche. La direction doit intégrer dans sa stratégie l’acquisition de nouvelle culture d’un tel système relatif au management de l’homme 5. En effet, elle donnera les moyens requis (humains, matériels, et financiers) pour entreprendre les actions programmées et gérer les tâches.
Par ailleurs, une totale implication de tout le personnel favorisera la réussite de la Société COLAS grâce à l’utilisation maximale de leur aptitude. En tout cas, le renforcement des capacités du staff en matière de culture sera ssuréa sur le tas. Sans ces conditions suscitées, la probabilité de succès de la mission eras faible ou la recherche est très indispensable.
Approche quantitative
Selon l’objectif général, l’étude se situe dans le« domaine de travaux publics». D’après les orientations des activités de ce secteur, des enquêtes seront organisées, qui constituent un système permettant d’orienter et de contrôler les activités de la Société COLAS en matière de culture. Il comporte l’élaboration du questionnaire, la détermination d’échantillonnage, l’enquête formelle sur la culture et l’organisation de la Société COLAS et la présentation des variables.
Elaboration et test du questionnaire
Le questionnaire a été élaboré en fonction des objectifs de recherche, en tenant compte des hypothèses préétablies et des informations collectées préalablement. Ensuite, des tests ont été effectués afin de vérifier l’efficacité de ceuestionnaireq. Vu l’objet de l’étude, les entretiens semi directifs sur la base d’un guide d’ enquête sont préférés par rapport aux entretiens directifs fondés sur un questionnaire fermé. Il porte sur cinq thématiques, à savoir (i) les facteurs de production que disposent la Société COLAS, (ii) les systèmes de culture, (iii) les systèmes de travail, (iv) l’accès au marché, (v) les besoins en de la Société COLAS et tous ce qui entourent cette culture.
Echantillonnage
Selon Sangaré/ Compaoré Nestorine« échantillonner, c’est choisir une partie (échantillon) d’une population pour la représenterQuand. la population choisie est homogène, on peut extrapoler ou généraliser les conclusions ed l’enquête réalisée sur un échantillon ».C’est à la lumière de cette définition que les données de l’enquête sur la culture et les systèmes de production de la Société COLAS onformémentc des enquêtes effectuées ont servi de référence pour l’enquête. Ces donnéesconstituent 150 employés réparties dans la capitale. L’échantillonnage aléatoire a été alorsdoptéa pour le choix des employés à enquêter en tenant compte de l’accessibilité et de la localisation des entreprises. De ce fait, 150 employés, éparpillés dans 03 « postes », ont ététenusre. Le tableau suivant présente la répartition des enquêtés au sein de la Société Colas.
L’enquête formelle
L’enquête a duré vingt jours et a été réalisée’aideàl d’un questionnaire se rapportant aux données suivantes : les caractéristiques de la construction faite, les activités de constructions, l’accès au marché public, les besoin en service de prestations effectuées. La saisie et compilation des données ont été effectuées dans le but de faciliter les traitements. Ainsi, ces derniers ont été effectués sur le logiciel XL-STAT.2008, SPSS 17.0
Présentation des variables
D’une manière générale, est considérée comme variable toutes caractéristiques de l’environnement physique et social, tout comportement dont les manifestations peuvent avoir un impact sur l’équilibre général. Définie ainsi,neuvariable est un caractère qui peut prendre des valeurs différentes en grandeur et en intensité, qualitativement et quantitativement.
Pour le cas spécifique de la COLAS, nous avons retenu trois variables : le poste occupé, l’ancienneté dans le service et le niveau d’instruction.
-La variable « poste occupé »
Dans une entreprise, le poste occupé joue un rôle primordial dans le comportement et les représentations des agents. Selon que l’on soit Directeur Général ou agent de liaison, on n’a pas toujours la même lecture des évènements marquant la vie de l’organisation. Dans le cas de la COLAS, cette variable nous permet justement de comprendre la spécificité de chaque poste et d’entrevoir les interactions possibles
-La variable « ancienneté dans le service »
Dans sa conception actuelle, la COLAS comprend une variété d’individus qui n’ont pas la même ancienneté. Il y en a qui sont à leurs débutstout comme ils s’en trouvent qui ont connu plusieurs phases d’évolution ou de mutation de la tructures. L’ancienneté dans le service peut être un élément moteur d’une certaine vision des osesch. La répartition selon le nombre d’années de service est la suivante :
– La variable « niveau d’études»
Ici, il s’agit de savoir qui a le niveau du primaire, du secondaire, du supérieur ou encore aucun de ces trois niveaux. Evidemment, lorsque nous parlons « d’aucun niveau », nous nous fondons sur le système d’enseignement classique. Ils’agit exactement de ceux qui ne sont pas allés à l’école. Cela ne veut cependant pas dire qu’ils sont dépourvus d’instruction. Notre objectif ici, c’est juste de disposer d’une variable opératoire. A la COLAS, le niveau d’instruction permet d’appréhender différemment lesréalités.
De façon concrète, voici comment se présente le niveau d’études de notre échantillon :
En définitive, la répartition en variables correspond à une autre de nos préoccupations: il s’agit de voir quel est leur impact sur les individus dans le contexte de notre cadre d’étude. Il importe pour nous de voir si ces variables constituent des facteurs de variation en ce qui concerne la façon dont les agents de la COLAS appr éhendent les faits et choses.
Méthodologie de recherche
Comment la recherche a été effectuée tant à l’interne qu’à l’externe de la Société COLAS? Une méthodologie adéquate facilite la collecte et le tri d’informations. Une raison pour laquelle des enquêtes, des observations et desanalyses documentaires ont été choisie
Enquêtes
Deux types d’enquêtes ont été réalisés durant lahasep de recherche de la mission notamment l’enquête par interview et l’enquête parquestionnaire.
L’enquête par interview
L’enquête par interview est un mode de collecte de données effectué oralement. Chaque service situant au sein de la Société COLAS, à été enquêté selon les besoins en informations. Les enquêtes par intervieweffectuées sont structurées, libres et concerne un thème général, puis centrées sur un thème particulier correspondant au service. Et sur ce, des informateurs aptes et disposés à répondre ont été sélectionnés 7.Cette technique de collecte de données présente des avantages tels que la flexibilité, les incitations à répondre (accueil, désir de communiquer), la quantité et la qualité accrues des informations.
L’enquête par questionnaire
Comme l’expliquent R. Quivy et L. Van Campenhoudt, l’enquête par questionnaire « consiste à poser à un ensemble de répondants, le plus souvent représentatif d’une population, une série de questions relatives à leur situation sociale, professionnelle ou familiale, à leurs opinions, à l eur attitude à l’égard d’opinions ou d’enjeux humains et sociaux, à leurs attentes, à le ur niveau de connaissance ou de conscience d’un événement ou d’un problème, ou encore sur tout autre point qui intéresse les chercheurs. L’enquête par questionnaire à perspective sociologique se distingue du simple sondage d’opinion par le fait qu’elle vise la vérification d’hypothèses théoriques et l’examen de corrélations que ces hypothèses suggèrent. De ce fait, ces enquêtes sont généralement beaucoup plus élaboréesetconsistantes que ne le sont les sondages (…) »8
Observations
L’observation directe, systématique et l’observation participante sont les techniques fréquemment utilisées dans la recherche. Par l’observation directe et systématique, la définition des objets à observer et des unités est indispensable. Puis, des comptages et sélections de données ont été effectués. Sur ce,prisela de note a été systématisée. Dans cette technique, l’intervention est minimale. Par l’obser vation participante, l’interview sur le vif ou en d’autres termes pendant l’évènement a été réalis. En effet, il se traduit par la participation maximale de l’observateur. Par ailleurs, l’intuitio n, l’imagination et la perception des problèmes sont les capacités requises du chercheur.Donc, pour avoir plus d’informations concernant la culture au sein de la Société COLAS te élaborer une PGE répondant aux exigences de la Société le questionnaire des dix (10) question suivant a été confectionné et posé aux employés pendant la période d’observationsur terrain.
Analyse documentaire
La documentation est une méthodologie de recherche très utilisée actuellement. D’après BARMEYER Christoph I., DAVOINE Eric9, l’Analyse est une opération qui consiste à présenter sous une forme concise et précise des données caractérisant l’information contenue dans un document ou dans un ensemble de documents rédigé charte de valeur et culturelle. La documentation permet de concrétiser, vérifier, confirmer, les informations acquises au niveau de la Société COLAS et d’enrichi les connaissances. Pourtant, prendre connaissance des documents dans leur intégralité durant le stage nécessite une grande disponibilité alors l’analyse documentaire a permisde le faire de façon condensée. Elle a permis aussi de faire un tri et de ne lire entièrement que les cultures qui paraissent les plus pertinentes dans leur situation.
Les types de culture exploités dans cette recherchesont divers comme les ouvrages, les imprimés, et les informations stockées sur lesdisques. Parmi ces sources, certains se rapportent à l’institution et d’autres au thème.
La documentation informatique a été également utilisée. Elle est une méthodologie simple et rapide. En effet, il s’agit de l’Internet qui fournit, à la demande, des réponses supposées pertinentes, sélectionnées dans un ensemble de connaissances préalablement mémorisées.
Approche méthodologique
La réalisation du travail s’est basée sur la méthode décrite par l’ouvrage intitulé Gestion du Cycle de Projet guide Récapitulatif des Formations est analogue à la précédente. Alors, l’élaboration de ce mémoire a comme référencplusieurs ouvrages. Le procédé suscité a été choisi particulièrement pour assurer la qualité de l’étude. Les différentes phases de ce procédé peuvent se résumer ainsi :
Premièrement, l’intégration en entreprise n’est autre que la phase de programmation ou la planification stratégique en vue de la détermination de l’objectif général. Deuxièmement, la phase d’identification suit la précédente. Celle-ci consiste à effectuer des recherches (orientations et ressources, diagnostics, analyses des risques) qui constituent des outils de résolution de problèmes.
Finalement, la phase d’instruction consiste à fair e la rédaction ou la conception du projet afin d’être évaluer pour confirmer sa pertinence, sa viabilité et sa faisabilité.
Revue de la littérature
Afin d’avoir une vision plus large possible de la culture d’entreprise, il est préférable de définir la notion, les sources, les composantesde cette culture
La culture d’entreprise
La culture d’entreprise est une notion extrêmement complexe, en témoignent la multitude de définitions que l’on peut en trouver. Il convient, avant d’essayer de dégager quelques éléments caractéristiques qui font l’unanimité, de présenter les différentes théories qui concernent le sujet. Dans un très célèbre article publié en 1983 dans la revue Administrative Science Quarterly, Laura Smircich10a structuré les diverses approches de la culture d’entreprise à partir de la distinction ent re la culture considérée comme étant une variable ou une métaphore.
Propre culture d’une entreprise
Quand l’on considère que l’organisation A une culture, on considère, qu’elle a une caractéristique particulière qui est sa propre culture. C’est tout à fait le présupposé théorique qu’avaient adopté Peters et Waterman 11dans leur best-seller. L’entreprise a une structure, des systèmes de gestion mais aussi une culture. La culture est donc considérée dans cette approche comme une variable du système ce qui conduit à se demander ce qu’elle apporte et comment elle interagit avec les autres variables. L’objectif est par la même d’essayer de la faire agir dans le sens des buts de l’entreprise. La culture est ici comprise d’une façon totalement différente. L’entreprise, à l’instar de toute société humaine, est considérée en elle-même comme une culture. Il faut donc l’étudier en«anthropologue ».La définition la plus communément employée dans la littérature est cellequ’Edgar Schein propose dans Organizational Culture and Leadership.17 Pour lui, la culture d’entreprise constitue :« Un modèle d’assomptions de base, qu’un groupe donné a découvert, inventé et développé, en apprenant à faire face aux problèmes d’adaptation e xterne et d’intégration interne, qui ont été suffisamment éprouvés pour être considérés commelidesva et donc être enseignés aux membres comme étant la manière juste de percevoir,de penser en relation à ses problèmes. »Il s’agit donc d’un ensemble d’évidences partagées, de formes acquises de comportement. Ces composantes de la culture d’entreprise sont évidentes dans la mesure où elles ne se justifient pas et où elles sont considérées comme esd acquis que l’on ne remet pas en cause. Les individus finissent donc par les oublier, ne plus les voir et donc ne plus les discuter. Ces évidences peuvent concerner la perception des phénomènes ou bien la façon de réagir à des situations. Ces évidences sont d’autre part partagées entre les membres de l’entreprise. Cela ne signifie pas, comme le rappelle Thévenet 12qu’il s’agisse d’une connaissance commune. Pourtant, les membres d’une entreprise agissent selon sa culture sans en être conscients. Cela qu’elle est partagée, qui ne signifie pas non plus que tout le monde adopte cette culture. L’adhésion peut être plus ou moins forte selon lesindividus. Seulement, ces évidences s’imposent à tout le monde et il faut souvent faire avec.
Après cette brève tentative de définition, nous allons maintenant nous pencher sur les sources et les composantes d’une culture d’entreprise.
Source de la culture d’entreprise
Gert Van Hofstede13, spécialiste du management inter culturel a largement montré dans quelle mesure les cultures nationales sont une des sources de la culture d’une entreprise. Il définit en effet cinq dimensions majeures qui vont servir de critères de différenciation. La distance au pouvoir fait référence au degré suivantlequel les membres d’une société acceptent une répartition inégale du pouvoir. Dans les cultures à faible distance au pouvoir comme les cultures scandinaves et germaniques par exemple, les relations de travail sont relativement égalitaires et les supérieurs hiérarchiques facilement accessibles. A l’inverse, dans les pays marqués par un forte distance au pouvoir, les employés sont soumis à l’autorité de leurs supérieurs et les relations sont fortement hiérarchisées. L’évitement de l’incertitude traduit la mesure dans laquelle les membres d’une culture acceptent ou au contraire ressentent de l’anxiété face aux situations incertaines et ambigües. Les cultures qui cherchent à réduire l’incertitude tendent à multiplier les règles et règlements, à valoriser le conformisme et la sécurité et à travailler dur. En revanche, les cultures tolérantes à l’incertitude, tels que les pays scandinaves ou anglo-saxons, contrôlent moins les c omportements et sont plus ouverts à l’initiative personnelle et aux idées nouvelles. Cette dimension appréhende la différenciation des rôles entre sexes dans la société. Les culturesmasculines établissent une distinction claire entre les rôles masculins et féminins et admettent la prédominance des rôles masculins, plus orientés vers la performance économique.
Dans les cultures plus féminines, hommes et femmes sont davantage sur un pied d’égalité et, par conséquent, les valeurs fémininescentrées sur la qualité de vie sont plus accentuées. L’individualisme/collectivisme traduit la primauté accordée à l’individu par rapport à la collectivité. Les sociétés fortementndividualistes encouragent l’indépendance de l’individu, l’initiative privée, la liberté d’action et l’épanouissement personnel tandis que les sociétés collectivistes privilégient l’interdépendance, la loyauté au clan et à la famille, l’intérêt collectif avant l’intérêt individuel. Cette étude est d’autant plus intéressante qu’elle a été complétée en 1990 par une enquête20 menée auin sede vingt unités issues de dix entreprises hollandaises et danoises. Elle a permis de mieux préciser ce qui, dans la culture d’une entreprise, est déterminé par l’environnement culturel national et ce qui émane de l’entreprise elle-même. Il apparaît que les valeursdes employés sont essentiellement fonction des critères de nationalité, d’âge et d’éducation. A l’inverse, les pratiques quotidiennes qui correspondent aux normes comportementales et aux artefacts culturels, sont déterminés avant tout par l’organisation d’appartenance. Les valeurs différencieraient essentiellement les cultures nationales tandis que les pratiques constitueraient le principal élément distinctif des cultures organisationnelles. Hofstede en conclue donc que les valeurs sont essentiellement acquises au moment de la socialisation primaire alors que les pratiques sont apprises lors du processus de socialisation organisationnelle.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : MATERIELS ET METHODES
Section 1 : Présentation de la Société
1. 1 Zone d’étude
1. 2 Population à étudier
Section 2 : Les limites de l’étude
Section 1 : Démarche commune aux deux hypothèses
1. 1 Recherche bibliographiques
1. 2 Entretiens auprès des personnes ressources
1. 3 Confrontation des hypothèses émises et détermination des variables d’enquêtes
1. 4 Le positionnement de la problématique
1. 5 Interprétation des hypothèses
Section 2 : Approche quantitative
2. 1 Elaboration et test du questionnaire
2. 2 Echantillonnage
2. 3 L’enquête formelle
2. 4 Présentation des variables
Section 3 :Méthodologie de recherche
3. 1 Enquêtes
3. 2 Observations
3. 3 Analyse documentaire
3. 4 Approche méthodologique
Section 4 : Revue de la littérature
4. 1 La culture d’entreprise
4. 2 Propre culture d’une entreprise
4. 3 Source de la culture d’entreprise
4. 4 Les composantes de la culture d’entreprise
Section 5 :Outils d’analyse
Section 6 :Chronogramme des activités
PARTIE II : RESULATS
Section 1 : les résultats obtenus des questions posées
1. 1 Résultats concernant la culture
1. 2 Résultat sur la politique générale de l’entreprise
1. 3 Résultats sur les prix compétitifs
Section 2 :les relations entre les variables explicatives et la variable expliquée
2. 1 Le rapport prestation-culture
2. 2 Prix de la Société COLAS -culture
Section 3 : calculs des corrélations linéaires
3. 1 Corrélation entre la prestation et la culture
3. 2 Corrélation entre le prix pratiqué et la culture
3. 3 Comparaison de ces deux coefficients de corrélation linéaire « r »
PARTIE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
Section 1 :DISCUSSIONS
1. 1 Discussions sur des résultats obtenus
1. 2 Discussions des résultats à propos de la prestation et de la valeur
1. 3 Discussions au sujet des corrélations entre les variables explicatives et de la variable expliquée
Section 2 : Analyse SWOT de la culture au sein de la Société COLAS
2. 1 Analyse de l’environnement interne
2. 2 Analyse de l’environnement suivant le modèle de 5M et de PESTEL
2. 3 Orientations stratégiques
Section 3 : Recommandations
3. 1 Suggestions offertes pour pouvoir gérer ou instaurer une culture performante, évolutive conduisant a une réussite durable
3. 2 Au sujet de la valeur
3. 3 A propos des services et de la prestation
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
Télécharger le rapport complet