Conduite alimentaire de la vache autour du vêlage

Production laitière

Pour la production laitièreil faut 0,44 UFL/kg de lait à 4% de matière grasse. Pour des laits dontle pourcentage de matière grasse est différent, la correction se fait selon laformule suivante :
Lait à 4%=Production laitière X (0,4 X 0,15 X %MG) (SOLTNER, 1986).
En effet, la période la plus délicate del’alimentation de la vache laitière se situe après la mise-bas. Après le vêlage, l’appétit augmente mais beaucoup plus lentement que les besoins, les apports recommandés en énergie et en protéines triplant voire quadruplant dès la 2ème semaine de lactation, soit bien avant le pic de lactation, tandis que l’appétit n’atteint son maximum que deux à quatre mois après le vêlage. Ainsi, la balance énergétique est négative chez les vaches en début de lactation. La couverture des besoins énergétiques chez les vaches laitières à fort potentiels’avère impossible en début de lactation (BEAM et al., 1999), malgrél’utilisation de fourrages de qualité (impliquant l’obligation d’une transition progressive sur 2 à 3 semaines) et l’accroissement du pourcentage de concentrés, progressif également. En effet, les très bons fourrages dépassent rarement 0,9 UFL/kg MS et les concentrés énergétiques courants, comme les céréales, avoisinent 1,2 UFL/kg MS (ENJALBERT, 2003).
La production laitière croît quotidiennement du vêlage au pic de lactation, vers 6 à 8 semaines postpartum. La vache présente un bilan énergétique négatif, s’accentuant de jour en jour, atteignant unmaximum en valeur absolue vers 7 à 15 jours postpartum. Plus le déficit sera intense, plus il faudra de temps pour le combler. L’appétit se restaurera au fur età mesure de la lactation, avec un pic d’ingestion de matière sèche survenant 3 à 6 semaines après le pic de lactation. Le bilan énergétique redevient donc positif vers 8 semaineschez les primipares et 12 semaines maximum chez les multipares (BAREILLE et al., 1995 ; BUTLER et al.,1989), ce qui autorise la reconstitution des réserves corporelles jusqu’au tarissement (WEAVER, 1987).
Le contrôle du déficit énergétiquepostpartum doit commencer avant le vêlage, par l’utilisation de fourrages richeset/ou par l’introduction de concentrés dans la ration. Il s’agit de trouver un compromis entre une évolution trop rapide de la ration (prédisposant à l’acidose) et une insuffisance d’apports pouvant conduire à l’apparition d’une cétose primaire.

Croissance

La croissance exige une quantité d’énergie variable selon l’âge au premier vêlage. En effet, la croissance des vachesse poursuit pendant plusieurs lactations mais n’est importante que chez les primipares, notamment lors de vêlage à 2 ans. On considère chez les multipares les besoins de croissance comme négligeables. (WOLTER, 1994)

Besoins en eau

La quantité d’eau consommée par l’animal est fonction de la composition de l’aliment qu’il ingère, de sa production et des conditions climatiques (MAYER et al., 1999). Les besoins augmentent avec latempérature, la présentation de l’aliment et leur ingestion. Tout sous-abreuvement, diminuela consommation alimentaire et la production laitière (WOLTER ,1997). L’eau est apportée par les aliments et l’eau de boisson. La quantité d’eau bue est d’autant plus faible que l’herbe est plus aqueuse. Les bovins boivent 2 à 3 fois par jour s’ils disposent d’eau à volonté.

Besoins et apports en minéraux et vitamines

L’apport minéral dans l’alimentation des animaux, en général et de la vache laitière, en particulier est très important. La vache laitière à un métabolisme minéral plus « accéléré » par rapport aux autres bovins. Car en plus des échanges internes entre le squelette très riche en calcium et en phosphore, etles autres tissus ainsi que des réactions biochimiques des différentes cellules, la composition minérale du lait peut entraîner de fortesexportations de minéraux (MAYER et DENIS, 1999).

NOTION DE NOTE D’ETAT CORPOREL DANS LA CONDUITE DES VACHES

Notation d’état corporel

L’appréciation du statut nutritionnel de la vache nécessite de connaître :
• la valeur de la ration, estimée à partir de tables ou par analyse chimique ;
• les quantités d’aliments, fourrages et concentrés, distribués ;
• les quantités d’aliments effectivement ingérées par l’animal, variables notamment suivant son stade physiologique et sa place dans la hiérarchie du troupeau ;
• la digestibilité de la ration, fonction de son état de conservation, de sa fibrosité et des éventuels traitements nécessaires à sa fabrication.
La notation de l’état corporel permetd’apprécier indirectement le statut énergétique d’un animal, par l’évaluation de son état d’engraissement superficiel.
Cette méthode couramment employée a l’avantage d’être peu coûteuse en investissement et en temps. Sa fiabilité reste supérieure à celle de la pesée de l’animal, sujette à des variations suivant le poids des réservoirs digestifs et del’utérus, mais aussi la production laitière (FERGUSON, 2002).

Principes et échelles de notation

La note d’état corporel est attribuée à l’animal sur la base de l’apparence des tissus recouvrant des proéminences osseuses des régions lombaire et caudale.
Plus précisément, les zones anatomiques évaluées comprennent les processus transverses et épineux des vertèbres lombaires, les tubérosités iliaques (pointe de la hanche) et ischiatiques (pointe de la fesse), le détroit caudal, la base de la queue et la ligne du dos. La couverture tissulaire peut être estimée par la palpation et/oul’inspection visuelle (FERGUSON et al., 1994 ; VALL et BAYALA, 2004).
Selon une grille de notation établie par l’Institut Technique de l’Elevage Bovin (BAZIN, 1984), chaque critère anatomique se voit attribuer par un observateur une note de 0 à 5, la note globale correspondant à la moyenne de 6 notes (avec une précision de 0,5 point), de0 pour vache cachectique à 5 pour vache très grasse. Plus près de nous, VALL et BAYALA (2004) proposent une grille de notation d’état corporel des zébus soudaniens (voir annexes). Ici, les notations d’état corporel (ou état d’engraissement) sont évaluées selon une échelle de notation qui varie de 0 à 5. Les notes sont également attribuées après observation du profil et del’arrière de l’animal. On utilise des repères anatomiques précis : côtes, creux du flanc, apophyses épineuses, apophyses transverses… D’autres échelles de score existent : ainsi, outre-atlantique, le système de notation le plus communément utilisé s’étale également de 1 à 5 points : 1 pour vache cachectique, 2 pour maigre, 3 pour moyenne, 4 pour grasse et 5 pour très grasse, avec une précision de 0,25 unité. Des formules permettant la conversion d’une échelle à l’autre ont été établies (FERGUSON et al., 1994).

Intérêts de la notation del’état corporel chez la vache

Représentativité du statut énergétique de l’animal

Bien que subjective, la méthode de notation de l’état corporel chez la vache peut toutefois être corrélée à d’autres mesures objectives, celles-ci, comme le poids vif ou la composition des tissus corporels. La note d’étatcorporel reflète l’épaisseur de la graisse sous-cutanée (EDMONSON et al., 1989). Une corrélation positive a également été démontrée entre la note d’état corporel chez la vache et la lipomobilisation (DOMECQ et al., 1997b), mais aussi avec la balance énergétique négative cumulée (DOMECQ et al., 1997a). Une variation d’un point de la note d’état corporel représente environ 56 kgde variation de poids corporel et 400 Mcal d’énergie nette, sur une échelle de score de 1 à 5 (FERGUSON, 2001).

Fiabilité de la méthode

La notation de l’état corporel apparaît comme une méthode répétable mais également reproductible : unecorrélation de 82 % entre les notes attribuées à un animal par le même observateur, et de79 % entre les notes accordées par les observateurs lors d’un même test ont été rapportées (AGABRIEL et al., 1986).
Environ 90 % des notations entre 2 observateurs ne diffèrent que de 0,25 point (FERGUSON et al., 1994). D’autre part, il semble que l’utilisation de grilles sous forme de diagramme permet à un observateur débutant d’évaluer la note d’état corporel avec la même précision qu’un initié (EDMONSON et al., 1989). En lactation comme en période de tarissement,la notation de l’état corporel à des intervalles réguliers de 30 jours constitue une bonne méthode pour appréhender et détecter les changements de la condition corporelle au cours deces 2 périodes, de façon significative et précise (HADY et al., 1994), ce qui illustre l’intérêt pratiqued’une telle méthode.

Autres intérêts zootechniques

La notation de l’état corporel peut constituer un outil diagnostique intéressant dans l’évaluation de l’adéquation entre les apports et les besoins d’énergie. L’observation et le suivi de l’état corporel d’un troupeau au cours de la lactation permettent une meilleure gestion de la conduitealimentaire, notamment par une correction de la ration si nécessaire. D’autre part, la note d’état elle-même ou ses variations sont associées à des troubles sanitaires nombreux comme des boiteries, des troubles métaboliques (cétose, fièvre de lait) et de nombreux troubles de la reproduction : métrites, kystes ovariens, dystocies, rétentions placentaires et baisse de fertilité, … (FERGUSON, 2002).

Profil d’état corporel au cour du post-partum chez la vache

Influence du stade du postpartum

L’état corporel de la vache laitière suit une évolution caractérisée par 2 grandes phases : l’une comprise entre le vêlage et le 60ème jour de lactation, l’autre au-delà du 60ème jour.
Au cours de la première phase, une diminution significative de l’état corporel est observée avec une valeur moyenne diminuant de 2,8 à 2,5 points durant les 60 premiers jours de lactation (DRAME et al., 1999 ; EDMONSON et al., 1989 ; FERGUSON et al., 1994). Cette perte d’état est une manifestation de l’utilisation intense des réserves corporelles survenant après le part. Une mobilisation de 20 à 70 kg de lipides a été rapportée au cours des 60 jours suivant le vêlage (OTTO et al., 1991). Elle se traduit par la réduction de l’épaisseur de la graisse sous-cutanée et du diamètre des adipocytes liée à la lyse des triglycérides.
Elle s’accompagne d’uneaugmentation de la teneur plasmatique enacides gras qui atteint son pic vers le 15ème jour du postpartum. Cette augmentation reflète la lipolyse et la mobilisation des réservesadipeuses pour assurer les dépensesénergétiques de l’animal.
La seconde phase observée sur la courbe d’état corporel se situe au-delà du 60ème jour postpartum, avec une augmentation significative de 2,5 à 3,4 points (DRAME et al., 1999 ; WALTNER et al., 1993). Celle-ci traduit la reconstitution des réserves énergétiques de l’animal, liée au rétablissement de sa capacité d’ingestion de matière sèche ainsi qu’à l’activation de la lipogenèse au détriment de la lipolyse qui diminue. Les excédents de nutriments absorbés seront ainsi stockés dans les tissus de réserve, à l’origine d’une augmentation de la note d’état corporel.
A la fin de la lactation, la note d’état corporel redevient égale à celle du vêlage (WALTNER et al., 1993).

Influence de la parité

Les vaches primipares et celles en deuxième lactation atteignent leur niveau d’état corporel le plus bas au 2ème mois suivant le vêlage. La note d’état la plus basse est atteinte au 4ème mois postpartum chez les vaches en 3ème et 4ème lactation (WALTNER et al., 1993).La perte d’état postpartum augmente avec la parité, passant de 0,3 point en moyenne chez les primipares à 0,9 point pour les vaches à 4 lactations ou plus (WALTNER et al.,1993).
D’autres travaux n’ont toutefois pas pu conclure à l’existence de différence significative portant sur la parité (DRAME et al., 1999).

Relations avec le niveaude la production laitière

Chez la vache laitière

Il est souvent admis que, pour les vaches laitières à fort potentiel de production, la quantité des graisses corporelles disponibles au vêlage est positivement corrélée au niveau de la production laitière en début de lactation. WALTNER et al. (1993) déterminent qu’une augmentation de la note d’état au vêlage de 2 à 3 points correspond à 322 kg supplémentaires de lait produit au cours des 90 premiers jours de lactation.Cette croissance est moins forte (+33 kg) lorsque l’on passe de 3 à 4 points. Au delà, un point de note d’état correspond à une diminution de production de 223 kg. Ainsi, les réserves adipeuses de la femelle au vêlage peuvent être un facteur limitant de la capacité à exprimer le potentiel laitier chez des vaches aptes à produire plus de 9000 kg de lait standard en 305 jours de lactation. Pour les mêmes auteurs, le niveau de la production laitière est davantage lié à l’utilisation des réserves de graisse corporelles en début de lactation qu’à leur niveau au vêlage. Ainsi, une perte de note d’état corporel n’excédant pas 1,5 point à 120 jours de lactation est associée à une augmentation de la production laitière. Audelà de 1,5 point de perte, unediminution de la production comparativement au potentiel laitier est constatée (WALTNER etal., 1993).

Chez la vache allaitante

Chez la vache allaitante par contre, La plupart des études indiquent qu’une réduction modérée du niveau d’alimentation de la vache allaitante ne modifie que très peu sa production laitière et donc la croissance de son veau dans le jeune âge, même si on peut observer une légèrebaisse de production quand la sous alimentation est longue et que les vaches sont en mauvais état. La production de lait peut d’ailleurs se compenser par la suite si le niveau d’alimentation revient à volonté grâce à la stimulation de la tétée. PETIT (1988) a cependant proposé la note d’état limite de 1,5 en dessous delaquelle prolonger l’amaigrissement risquerait de réduire la production des meilleures laitières adultes.

METABOLISME PROTEOENERGETIQUE CHEZ LA VACHE

INTRODUCTION

Le métabolisme énergétique de la vache présente plusieurs spécificités, dues principalement aux particularités de sa physiologie digestive .Après absorption, les nutriments sont véhiculés par le sang vers le foie, puis les cellules où ils sont métabolisés. Ce métabolisme revêt deux aspects : un aspect catabolique, qui sert à la fourniture d’énergie à partir des substances énergétiques et l’autre, anabolique dont l’intérêt est lasynthèse de nouvelles matières. De plus il faut signaler que chez les ruminants, le métabolisme du glucose est étroitement associé au métabolisme des acides aminéset des lipides (HUNTINGTON, 1997).
Aussi, plusieurs catégories de substrats énergétiques peuvent être identifiées au sein des tissus. Certains de ceux-ci sontapportés par la circulation sanguine : leglucose, le lactate, les acides gras volatils (AGV), les corps cétoniques, les acides gras non estérifiés à longue chaîne carbonée (AGNE) et les triacylglycérols.
D’autres ont une origine endogène : leglycogène et les triacylglycérols.

PRESENTATION DE CERTAINS DETERMINANTS PLASMATIQUES DU STATUT ENERGETIQUE DE LA VACHE

Les acides gras volatils (AGV)

Les AGV sont issus de la dégradation des hydrates de carbone alimentaires par les microorganismes du rumen. Les 3 principaux AGV formés à ce niveau et absorbés sont l’acétate, le propionate etle butyrate (figure 3). Cependant, seull’acétate constitue véritablement un substrat pour le tissu musculaire. En effet, lors du premier passage hépatique des AGV à partir de la veine porte, 85 à 90 % du propionate sont transformés en glucose et plus de 80 % du butyrate sont directement utilisés par le foie (HOCQUETTE et BAUCHART, 1999). La majorité de l’acétate capté est directement et complètement oxydé (± 80 %), le reste étant utilisé comme précurseur carboné pour la synthèse des acides gras (PETHICK et al., 1981). L’énergie nécessaire pour la synthèse de la matière grasse et du lactose du lait dans le pis provient de la combustion des corps cétoniques. La figure 3 présente une vue générale du métabolisme des hydrates de carbone chez la vache

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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : CONDUITE ALIMENTAIRE DE LA VACHE AUTOUR DU VELAGE
INTRODUCTION
I.1. BESOINS ET APPORTS NUTRITIFS CHEZ LA VACHE AUTOUR DU VELAGE
I.1.1. Besoins et apports énergétiques
I.1.1.1. Entretien
I.1.1.2. Production
I.1.1.2.1. Gestation
I.1.1.2.2. Production laitière
I.1.1.2.3. Croissance
I.1.2. Besoins et apports azotés
I.1.3. Besoins en eau
I.1.4. Besoins et apports en minéraux et vitamines
I.2. NOTION DE NOTE D’ETAT CORPOREL DANS LA CONDUITE DES VACHES
I.2.1. Notation d’état corporel
I.2.1.1. Principes et échelles de notation
I.2.1.2. Intérêts de la notation de l’état corporel chez la vache
I.2.1.2.1. Représentativité du statut énergétique de l’animal
I.2.1.2.2. Fiabilité de la méthode
I.2.1.2.3. Autres intérêts zootechniques
I.2.2. Profil d’état corporel au cour du post-partum chez la vache
I.2.2.1. Influence du stade du postpartum
I.2.2.2. Influence de l’état d’engraissementau moment du part sur la note d’état
corporelle
I.2.2.3. Influence de la saison du vêlage
I.2.2.4. Influence de la parité
I.2.2.5. Relations avec le niveau de la production laitière
I.2.2.5.1.Chez la vache laitière
I.2.2.5.2. Chez la vache allaitante
CHAPITRE II : METABOLISME PROTEO-ENERGETIQUE CHEZ LA VACHE
INTRODUCTION
II.1. PRESENTATION DE CERTAINS DETERMINANTS PLASMATIQUES DU
STATUT ENERGETIQUE DE LA VACHE
II.1.1. Les acides gras volatils (AGV)
II.1.2. Le glucose.
II.1.2.1. Origine
II.1.2.2. Glycémie et ses variations
II.1.2.3. Utilisation du glucose
II.1.3. Les corps cétoniques (CC)
II.1.3.1. Origine (cétogenèse)
II.1.3.2. Valeurs
II.1.3.2.1. Valeurs sériques
II.1.3.2.2.Valeurs dans l’urine et le lait
II.1.4. Acides gras non estérifiés (AGNE ou AGL) et des triacylglycérols
II.1.4.1. Origine des AGNE
II.1.4.2. Valeurs sériques des AGNE
II.1.5. Cholestérol
II.1.5.1. Définition
II.1.5.2. Valeurs sériques
II.1.5.3. Variations
II.1.6. Protéines
II.1.6.1. Définition
II.1.6.2. Rôle biologique
II.1.6.3. Les valeurs sériques
II.1.7. Urée
II.1.7.1. Définition
II.1.7.2. Valeurs sériques
II.1.7.3. Variations
II.1.7.3.1. Variations physiologiques
II.1.7.3.2. Variations pathologiques
II.2. REGULATIONS METABOLIQUES S’OPERANT CHEZ LA VACHE AUTOUR DU VELAGE
II.2.1. Orientations et utilisations des substrats énergétiques
II.2.2. Endocrinologie de la régulation des flux de nutriments et de la mobilisation des réserves en début de lactation
CHAPITRE III : PROFILS D’ETAT CORPOREL, BALANCE ENERGETIQUE ET
REPRODUCTION
INTRODUCTION
III.1. CONSEQUENCES POSSIBLES DE LA NUTRITION ENERGETIQUE EN
PERIODE DE TARISSEMENT SUR LE DEROULEMENT DU PART
III.1.1. Dystocie
III.1.1.1. Généralités
III.1.1.2. Facteurs de risques liés au statut énergétique
III.1.2. Rétention placentaire ou non-délivrance
III.1.2.1. Définition
III.1.2.2. Facteurs de risques liés au statut énergétique
III.2. NUTRITION PROTEO-ENERGETIQUE ET FERTILITE
III.2.1. Effets de la balance énergétique sur la reproduction
III.2.1.1. Relation entre la perte d’état corporel postpartum et les performances de reproduction
III.2.1.1.1. Chez la vache laitière
III.2.1.1.2. Chez la vache allaitante
III.2.1.2. Déficit énergétique et cyclicité ovarienne postpartum
III.2.1.2.1. Chez la vache laitière
III.2.1.2.2. Chez la vache allaitante
III.2.1.3. Déficit énergétique et mortalité embryonnaire
III.2.1.4. Déficit énergétique et expression des chaleurs
III.2.1.5. Etat corporel et affections du postpartum
III.2.1.5.1. Affections de l’appareil génital
III.2.1.5.2. Maladies métaboliques
III.2.1.6. Profils optimaux d’état corporel chez la vache laitière
III.2.3. Impact de l’alimentation azotée sur la reproduction
III.2.3.1 Carences azotées
III.2.3.2. Excès azotés
DEUXIEME PARTIE : PARTIE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. MATERIEL
I.1.1. Milieu d’étude
I.1.1.1. Le Burkina Faso en général
I.1.1.1.1 Repères géographiques
I.1.1.1.2. Climat
I.1.1.1.3. Données démographiques
I.1.1.1.4. Elevage
I.1.1.1.4.1. Situation actuelle
I.1.1.1.4.2. Filière bovine
I.1.1.1.4.3. Politiques et perspectives
I.1.1.2. Monographie de Bobo-Dioulasso
I.1.1.3. Présentation de la station de Farâko-Ba
I.1.1.4. Autres élevages bovins
I.1.2. Animaux de l’étude
I.1.2.1. Vaches de la ferme de Farâko-ba
I.1.2.2. Vaches des autres élevages
I.1.2.2.1. Vaches suivies en continu pendant l’étude
I.1.2.2.2. Autres vaches
I.1.3. Matériel Technique
I.1.3.1. Matériel de déplacement
I.1.3.2. Matériel de notation d’état corporel
I.1.3.3. Matériel de prélèvement de sang
I.1.3.4. Matériel de conservation
I.1.3.5. Matériel d’analyse
I.1.3.5.1. Matériel de dosage
I.1.3.5.2. Matériel de diagnostic de la brucellose
I.1.3.5.3. Matériel d’électrophorèse
I.2. METHODES
I.2.1.Etudes mises en œuvre sur le terrain
I.2.1.1. Etude longitudinale
I.2.1.1.1. Prélèvements de sang
I.2.1.1.2. Notation d’état corporel
I.2.1.1.3. Gestion et suivi de la gestation et de la mise bas
I.2.1.2. Etude transversale
I.2.1.2.1. Prélèvements de sang
I.2.1.2.2. Notation d’état corporel
I.2.2. Protocole de prélèvement de sang et analyses
I.2.2.1. Protocole de prélèvement de sang
I.2.2.2. Analyses de laboratoire
I.2.2.2.1.Test au Rose Bengale
I.2.2.2.2. Dosage de l’urée
I.2.2.2.3. Dosage des protéines totales
I.2.2.2.4. Electrophorèse des protéines sériques
I.2.2.2.5. Dosage du glucose
I.2.2.2.6. Dosage du cholestérol
I.2.3. Méthode d’analyse statistique
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
II.1. RESULTATS
II.1.1. Résultats du suivi de la gestation et des mise-bas dans l’étude
longitudinale
II.1.2. Résultats du dépistage de la brucellose
II.1.3. Note d’état corporel
II.1.3.1. NEC dans l’étude longitudinale
II.1.3.2. NEC dans l’étude transversale
II.1.4. Urémie
II.1.4.1. Urémie dans l’étude longitudinale
II.1.4.2. Urémie dans l’étude transversale
II.1.5. Protéinémie
II.1.6. Electrophorèse des protéines sériques
II.1.6.1. Electrophorèse des protéines sériques avant la mise bas et avant
l’avortement
II.1.6.2. Electrophorèse des protéines sériques après la mise-bas et après
l’avortement
II.1.7. Glycémie
II.1.8. Cholestérolémie
II.2. DISCUSSION
II.2.1. Suivi de la gestation et de la mise-bas
II.2.2. Test au Rose Bengale
II.2.3. Note d’état corporel
II.2.4. Paramètres plasmatiques azotées (indicateurs de l’équilibre nutritionnel en protéines)
II.2.4.1. Urémie
II.2.4.2. Protéinémie
II.2.5. Electrophorèse
II.2.6. Paramètres énergétiques
II.2.6.1. Glycémie
II.2.6.2. Cholestérolémie
CONCLUSION GENERALE
REFFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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